Avalon 2007Certificat de compétencesAVALON 2007Nous avons quitté le quai de gare tôt le matin, aux alentours de 8h, pour gagnerles terres d'Avalon. Une fois sur place, les clans se sont réunis afin de rejoindreleurs camps respectifs pour monter les tentes. Un rendez-vous avait été donné àtous les peuples, à la cité, pour assister à la cérémonie d'ouverture.Après moultes explications le jeu débuta. Ainsi l'aventure pris son cours et duratrois jours, durant lesquels les batailles firent rage. Le dernier jour nous avonsrangé les camps, puis nous sommes sortis de la forêt pour assister au décomptedes points accumulés lors de notre séjour.Les Vikings gagnèrent, suivis des Elfes, des Saxons, des Bretons et pour finir desDrows. Tout le monde rentra chez soi, ce fut une brève mais sympathique expérience.Adrian / CouaggaFabrication d’un parcheminComment faire un parchemin avec peu de moyens.Mélangez dans de l'eau bouillante :- de la sauce soja- de l'huile- du vinaigre- du caféChiffonnez une feuille en marquant bien les plis et trempez-là dedans.Mettez-là au four préchauffé, à 150 degrés (environ 5 minutes) sur une plaque.L'effet est très réussi !!!Pour avoir plein d'autres trucs du style, allez voir le site www.trollcalibur.com" Pour survivre, les scouts ont appris le management et le marketing "*Et si c'était vrai ?*Bilan. N°192 novembre 2005Tu es CP et à la recherche d'une place d'apprentissage ? CM et en quête d'unstage ? CGA et à la recherche d'un boulot ?L'expérience des responsabilités scoutes est un atout précieux dans un CV, que cesoit pour une recherche d'emploi, de stage temporaire ou pour un apprentissage.C'est pourquoi à la Croisée nous avons mis sur pied, il y a quelques années, uncertificat de compétences. Celui-ci a été élaboré sur la base d'un dossier réalisépar des professionnels des ressources humaines soucieux de valoriser le travailbénévole des activités de jeunesses. Il s'agit d'un modèle type qui peut êtreadapté aux expériences de chacun, du jeune CP au responsable confirmé.Ce document d'une page A4 est destiné à accompagner un Curriculum Vitae ouune lettre de candidature. Il décrit la fonction du responsable et les tâches qu'il aété amené à effectuer, ainsi que les cours de formation. Une partie importante estconsacrée aux qualités humaines, sociales et d'organisation.Ces quelques lignes donc pour vous rappeler l'existence de ce certificat. Dans lamesure où il est destiné à être présenté à des employeurs potentiels et qu'il s'agit,en quelque sorte, d'une vitrine sur l'extérieur, nous avons cherché à être le plusprofessionnel possible dans sa réalisation. De cette manière nous espérons vivementqu'il puisse vous aider à décrocher la place que vous convoitez. Et si vousn'en avez aujourd'hui pas l'utilité, peut-être vous rendra-t-il service dans quelquesannées…Tu souhaites obtenir un certificat de compétence ? Prends contact avec le chef degroupe (philipp.schweizer@croisee.ch ). Vous discuterez ensemble des élémentsà mentionner…Pour plus d'information : www.dossier-benevolat.chCERTIFICAT DE COMPETENCES6Nathalie / Coati7
JAMBOREEJamboree 2007 - AngleterreAprès 2 ans de travail, de réunions et d'impatience, je m'envolais pour LondresHeathrow le 24 juillet (2 jours après être rentré du camp, c'est vous dire commej'était frais) dans l'inconnu total pour deux semaines de travail en tant queroutier de service. Arrivé à l'aéroport de Zurich, il n'y avait que des scouts suissesallemands qui étaient là, heureusement une genevoise arriva peu après moi (enfait ils n'étaient pas si méchants ces suisses allemand vu qu'une bonne moitiéparlait aussi un peu le français). Nous arrivâmes à Londres en fin d'après midiet c'est là que devant l'aéroportje découvrit pour la premièrefois ce que voulaisdire une réunion scouteinternationale: il y avait environ400 scouts qui poirotaientlà, certains depuisplusieures heures et qui pourpasser le temps jouaient etchantaient tous ensemble,tous les pays confondus. Etc'est là que je retrouvais unebonne partie de mes compatriotes,et enfin des gens que je connaissais. Après avoir attendu jusqu'à 20h environ(certains étaient arrivés vers 10h) que nous nous rendîmes au check-in encar afin de pouvoir nous enregistrer. Ce check-in était en fait un aérodrome oùles cars venaient nous déposer et venaient nous reprendre après l'enregistrement.C'est là que j'ai fait pour la première fois connaissance avec des scouts étrangers,français pour être plus précis (c'est quand même plus facile pour la langue) dansle froid et la faim (il était 21h, on était sur une grande plaine venteuse et nousn'avions rien manger. C'est donc naturellement autour d'une plaque de chocolatsuisse que nous avons fait connaissance et pu discuter du scoutisme de notrepays (les français sont très compliqués). Le car étant enfin venu nous rechercher,j'ai donc fait mes adieux à mes nouveaux amis et je suis parti pour le lieu duJamboree. Arrivé là bas, il me fallut trouver une tente où dormir (car je n'avaispas pris la mienne), ce qui fut chose faite et quand je pus enfin m'endormir, ilétait deux heures du matin. Le lendemain matin, j'ai pu faire la connaissance dela nourriture du Jamboree, qui allait m'accompagner durant ces deux semaines etdemies. Et pour tout vous dire c'était dégueulasse. Au début ça va, mais aprèsdeux semaines c'est horrible : les saucisses et le bacon à la friteuse tous lesmatin, les sandwich triangle tous les midi et des petits pois et les pommes deterre tous les soir, je vous laisse imaginer, un de mes plus grand regrets au Jam.Enfin bon, je me dirigeais ensuite vers le lieu de mon travail (car j'était avant toutlà pour ça… du point de vue des organisateurs, on est bien d'accord) et je me suisretrouvé dans l'équipe technologie et communication. Ça à l'air un peu pompeuxcomme ça, mais mon travail consistait à scanner des gens et à recharger desportables (pas très passionnant). Les jours se suivent, mais ne se ressemblentpas avec leurs lots de rencontre, de rigolades et de problèmes administratifs(qu'on pardonne volontierssur un événementde cette taille).L'ambiance y étaitfolle, tout le monde sesaluait, tout le mondese parlait, se souriait,du baume au cœur.Mais on ne sentait pastellement d'esprit scout(au sens ou je l'entend,c'est à dire personnel)durant l'évènement,l'autre plus grand regretdu jamboree. Pas defeux de camp, des activités de "consommation", du show à l'américaine pour lescérémonies, des concerts de musiques pop sans âme à la place des chants de veillées,d'une certaine censure de la radio du Jam, des snack et des supermarchés àtous les coins de rues. Enfin plein de choses qui faisait qu'on se sentait plutôtdans un festival que dans un camp scout. Néanmoins, comme je l'ai dit plus haut,je garde un très bon souvenir de l'ambiance du Jam, qui faisait qu'on se sentaitquand même aux scouts j'ai pas mal d'anecdotes je vous raconte ceux dont je merappelle sur le moment : une bataille (aux carte) sous la pluie dans le froid avecun brésilien, des veillée improvisée après les soirées ou j'ai appris quelques banset chansons et en particulier celle du dernier soir ou on a brûlé un livre pour sefaire du feu, d'une nuit de travail qui s'est terminée à 6h du matin en débat philosophico-musical,du morceaux que m'a appris un violoniste, des mes voisinsfrançais avec qui j'ai fait quelques bêtises, de la boue qui recouvrait notre terrainJAMBOREE1011