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Revue Spirite, 34° Année, 1891. - L'Encyclopédie Spirite

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46 REVUE SPIRITE<br />

Lc premier chapitre comporte trois parties formant chacune une &ance.<br />

La prcmiere seance traite de l'existence de Dieu, de sa personnalite et de sa nature.<br />

La deuxiernc seance traite de l'Etzrnit4 de Dieu, de celle de la matibre, de l'hypotl19s~<br />

de la creation, de l'immanence ou coeternite de Dieu et de la matiere, et de la loi uni-<br />

verselle.<br />

La troisieme seance traite de la question du mal sur la krre : clhoration mutuelle,<br />

souffrance, fleaux, etc.<br />

Le deuxieme chapitre comprend quatre parties ofi seance, savoir :<br />

La pi.emi&re sur l'existence et la nature de l'lime.<br />

La deuxieme sur la survivance, la reincarnation, l'immortalite de l'hne.<br />

La troisieme sur les expiations, les epreuves, les consequenoes naturelles..<br />

Lrt quatrieme constate le grand fait spirite de la survivance.<br />

Suit un appendice sur l'efficacite de la priere.<br />

Le tout se termine par un resume synthetique ou conclusion.<br />

Quoique chaque chapitre et chacune de ses sections ait un titre special, on remarquera<br />

dans telle ou telle division, des articles qui rappellent telle ou telle autre division etran-<br />

gere. La raison en est que la question de Dieu et la question de l'ame sont tellement<br />

liees et dependantes l'une de l'autre, que les materialistes ne peuvent nier Dieusans nier<br />

aussi l'ame, et reciproquement.<br />

Or ces divisions ou seances, on a cru devoir les etablir afin de ne pas trop fatiguer les<br />

interlocuteurs supposes ou plutot et plus efficacement, pour donner au lecteur le temps<br />

de la reflexion apres chaque coupure.<br />

Cela pose :<br />

Dans les paisibles discussions qui vont suivre, ami lecteur, nous sapposeroas, si vous<br />

le vaulez bien, que ces Messieurs philosophes, soit defunts, soit encore vivants, peu im-<br />

porte, sont assis en cercle dans une vaste salie, et que chacun emet son opinion sur le<br />

sujet en question, repondant, le cas echeant, aux objections qu'on lui oppose ou bien<br />

encore contredisant lui-meme les auteurs d'opinions qu'il ne partage pas. Le tout en<br />

. termes convenables et avec les egards qu'on se doit entre gens qui se respectent et s'es-<br />

timent reciproquement.<br />

C'es: donc entendu, chacun va etre cense exposer lui-meme les motifs de sa croyance<br />

et va t%cher de faire prevaloir son opinion dans la conviction qu'il la croit se rapprocher<br />

davantage de la verite, avec le desir sincere d'essayer de repandre un peu de clarte sur<br />

des questions OU problemes couverts jusqu'ici d'un voile si impenetrable qu'il n'a encore<br />

pu etre souleve par aucune individualite quelconque, si perspicace fut-elle.<br />

Personne ne preside. L'un de ces Messieurs, le premier venu, sans distinction, va<br />

prendre la parole et ouvrir le debat. P.-F. GINOUX pbre.<br />

NEcRoLoGIE : Par une erreur regrettable, le metleur en pages n oubli6<br />

notre rcvuc necrologique dans la <strong>Revue</strong> de novembre 1590.<br />

Mm". Vipe, decedee le 31 octobre, ct au caracture de laquelle nous avons<br />

rendu un juste hommage dans notre s6ance de commemoration du lCr novem-

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