Le Socialistes . au Pouvoir - Bibliothèque de Toulouse

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I.e Lé Grand procès de ciu Tesailles atEeid so hôs tr Versl1es. - M. GflbcrL censeier la Cour a aut cet pxs-mid le dernire dispositions t1 vue du service d'otdc pour e procès Lan (mi. La partie &ote de la salle des assise sera éservée aux jouIne:isItes ; la peTtie gauche aux 25 tcmÔins. 1je servke dordre sera assu6 par mi piquet de vLn.gt hommes de la ganiso et les potes jflItérjeures du p1ais de justice serost gardIes per seze gendarrne. Pour éviter tout nc.dnt à 1'edtéieu, des agents de polce. sent (_l panton. La saiie des Pas Perdus eara barrte entre la coIrTertionfleiIlc et la Saille des vépioins Jes assises. Cette deie tant occupée par les pi&es à con.Vktions de Landu es tmoine seront placés dans la salie des témoins de la corcc- ionneAe. Enfin, ii a dcid, d'aecor1 avge le pr&s! knt des assises qu'aucune carte de faveur ne sïait dkiivre. Le " Currhu1urn " de Landru jarnas drame ne fut plus mysteuserneM tra que que celui cfue iroflt avoir à jisger les jurés e VersaiIes. jamais; cepend;ant, affa.re ne fouir- fit plus matire à vaudevillie. Q uon le veuille ou ne le veu1Te pas, s I af- faee Landni es aujou.rd'buil u1 ttre de Revue gaie, et le dxane de Gambai8 ibretto pouz le Palais-Royal. . PeurquoL ?... i3en J'ffiç.iie serait de le dire. n sufIit d si peu pour créer une légende L'hïatoire de ce do juaa barbu et chauve, aime 4lC 283 femmes, de ce dabk d'homme txouvant moyen d'en cuire mie di.zane la barbe de la juetke et d ses fins l.mrs, les bons mots, vra:s osfaux, dent iiaurait émaiÀé ses iiterrogatoires aa4ant de chose8-dont s'emparreSt revuistes et chansonniers. Landru saurat-1, ? l'audience, soueir sa utatoa dhornme d'esprit ? On en peut dou- tt..- Eu ccrrectien.nelile, ce fut une d&eilIusion. Et puis. tout de mme, devant ce prétoire oi 5'enasseront les piWies restes des victimes, dc- 'esot ces quelques d.ébiis d'cr cakns qu sont utice quidemeure de dx êtres humains pleins çié vi et de ranté quand ils eurent le malheur (1a. l'aimer. Avouons que les rires sonneraient éaux. Il est des cynismes dangereux devant un jucy. Landru est trop e.tors pour ne le point dsvner. Sans duto se bornera-t-ii rIépondlre 'I A vous t prouver, moi je nai rcn i dire. De preuves. évidemnient ii n'en est pas, pirni tant d détails accuisateur, il est une pré- ottion formiclbe en. sa impiicité Landru cÔCrtiaé 283 femmes. Toutes ont été retrouvées. aucune d'elle n'a été volée, par luL, Onze seulement sont demeur.es intr.ouvabl:es. Elles dis,pa- rues, tut leur avir, meubles, argent, valeur, oh- jets et papiers les pl intimes ont passé entre eq matirs. Qu'il expique doncce!a. . CecL dÎt, résmncn.s. d'un mot ce formidahle dôssier qui ne compte pas moins de 7.000 cotes. Le 2 février 9l9. unedemoiselile Lacoate, do- mssque Paris, . écuivat au procureur de la République pour lui signler que, de.pnis le mois cl'aot 1917, sa soeur, Maie Bson, avait paru. Mile Lacoste laissait, d'aillleurs, suppo- rr que sa soeur avait été la victime d'un cor- tain Georges l:remyet, lequel ce disait ng&. ' 3icur et devait l'épouser. C'est qu'en reehrc}iaat sâ soeur, Mile Lacoste avait appris que, déjt en l916 certaine dame Coilonb était venue i Garnirais ch;ez ledit Fre- myct, et n'a\'ait jamais reparu depuis. Aussi bcn M. Moreau, père de MMe Colionrb. dépo- a-!tii une plaint identique. CrdR cl: les qes pop1a!res SA NECESSJTE Le 13 mars 1917 était prcmuluée la lei votée par le Parlement français ayant e p ou r objet l'or- aaisation du Crédit au Petit et auMGyen Coifl- merce, à la Piite et Moyenne Industrie s. La ques{ion tat i'itude depluis lonsnps éji et ceux des Irao nornbdeux petits et moyeus c'ornmerçants ou induslieis qui n'avaianit pas la pcsibiiité de 5e procurer du Crédit dans les grands. établissements financiers, 4emanda eut pbulr leur pays 1 cQInstitu;tion dua Qrganispv stnhab1e à ccliii c'u foncjionrIait à I'éIraner, notamment en Aileiagne, ec Autriche, en Bel- gique, au Japoismême, ou dmandaiant t être traiiés sur un 'e' d'égalité àvec les agrihcuis 'Tui. depuis 1894 porsédaient teur caisses de Cédit agriole. . Les pissans établieeiets de crédit le Fo t que s du crédit réel s accordé contre Ta rense a'une streé matérejle constiietion d'hypoth- que ou de gage. 0, le petLt:ndustriei, le ,'rtit commerçant ne peu pas coStitues cCtte gara' tm matérielle. II .s donc bes&n de « crédit per- sbnnei s, car s'il n'ort pas e capable de crédt » attis la mearire du gli. nd manufacturier u du rand brasseur cl affa tes, ii est à tsi tLtrC tgal rdigne Il cxdit ', LE CREDIT, POPUIAlR 4 L'ETRANGLP C'est ce qu'avaient compris, avant la Frane 3es pays où le dveioppemexst induateiel et rom- )nes ial avaient &te nt des propoxtL cons ie abies avant la gcer: e. ' En 1849 Lut cr6 en Allemagse Ta prem'r.e e&ase de crédit mutuel RaifTei8en, et en i850 la première caisse Shulze-Deiitsch. Ces deux orga- n!smes diffèrent entre, eux jarce que l casre» Raiffejsen sont basées sur le princi»e de la soIr- darité ilimite' de tou8 les n'renbres, et la seo- est à reponrabi'jté limite. Les iraasacions é la Caisse ceniai ptussienne des caisses de crédit étAient, avait 1914, supérieures r ceUcs de a Banque de France . iEn ItaiLe, Sou l'ïpuison du Minisjre es fi- a1ce9 Luzzati, e» Panque popuiajres font leur aDGsaIrition vers 1860. Eues sont parUcullièrement 1irissantes dans I Jtrlie du Nord où la Banque puTaire de Turn peut prêter la VUe, des I9nnnes.gui ne sont pas nférieures à le lires, iAu Japon on signale .l'existènce de 6.690 asso- tations de crédt mat tuées en majeuire parUe en faveur de l'agxicu1ture, mais éaIernent pour le ecvmmerce, J'indusVe dia pêche. LES ESSAIS fl CREDIT POPULA1RF , EN FRANCE En Franco, des esrais, souvent 5vaieflt té tentés. Sous l'Empire, de 1863 à 186?. 4 banques populaires cont fondées Paris, dont I l'une sur l'jn.tiative du oijveynement irnpritl (1866). En 1870 elles avaient dspau. -Jules rmO4 zconte d une p . e p1aisa te Pour aider les pelils Et l'enquête policière commença, suivie ben- &t d'un mandat d'arrêt lance pai le Parquet rie Mantes contre X..., jour ssassinat. ARRESTATION DE LANDRU Le hasard, ce Dieu des policiers, fit que le lendemain même Fremyet était rencontré à Paris, par clea ami» de Mas Buisson, la disparie. Quel- gues jours après, il était arrêté 76, sue Roche- chouart, où il habitait, sous le 'nom de Lucien Guillet. Et, bientêt, on identité était tabiie : c'tait un repris de justice six foi» conanné» contradic- toirement pour escroquerie, et enfin, pardéfaut, une septime » 4 ans de p±ison, 2.000 fr. d'amende et la rélégation. II s'appelait, de son vrai nom, Henri-Désiré Landru, né à Paris le 12 avdl 1869. - - Depuis la guexre, échappant la ustke, Lan- dru vivait d'expédienis étranges. Depuis l'aban- don de son garage de Malakoif, ii résultait des documents saisis que ce singulier personnage ne vivat que d'une chose : l'exploitation des fem- nies. Beau par:ieur, séducteur mr mais habile, l'homme i la habe noire et aux yeux envouteurs savait, sur ces maiheureuses rencontréles au hasard;des courses ou attirées par une pompeuse annonse de journaux, exercer un emrise incon testable. Chiffre formidable, l'instructior établi que Landru avait été en relation avec283 femmes. Deuxcertt quatse-vint-trois, ê Dan Juan !.., . LECARNETREVEL.ATEUR Or, ce don Juan était homme d'affaires. Et ce n'est point pet.te clioso que de ne s'y point per- dur quand on mène de front ses petites affaires avec 283 femmes. Aussi bien Landru tenait-iI un carnet. Or, sur ce carnet, parmi an't d'irscr.iptions tvystérieuses dont le sens magique ne se rév- lera que lentement, l'enquête tout d'abord releva deux noms. C'étaient ceux des disparues. Et voici que ces deux noms s'accompagnIaient de neuf autres Cuchet A idem - Bré»il - Crozatior Havre Buisson Collomb - Babelay - Jaume Pascal Marchad.ier. Ces neuf autres, huit femmes et le jeune Cu- chet, êgé de 18 ans, 1' (A idem) du carnet, avaient eux aussi, disparu après avoir conne Land.ru. Le crime s'imposait. CeIÏeliste tt une liste de morts : dix femmes, un jaune homme. Dans l'histoire du crin.e, Landru s'éitvait une hau- teur tragque. Sur ces entrefaites, des piIxes saisies I son dosnic i e, rtsuitait la preuve que c'est It Pairs qu'il fàil.àit chercher le centre des eoration» de celui que la légende populaire appelait déjI le Barbe-Bleue moderne; le parquet de Mantes dessaisissait et M. Bonin n.ouIpait Landnu d'ho micides volontaires, vois, recels et complicité. LES JURES On tiré, hier, les noms des trene-six per- sonnes parmi lesgueiles seront choisis les douze jurés qui oivent juger Landru - Voici leurs pnofessons : Un tailleur de pierre, trois marchands de vins. onze propriétaires, six hommes sans profession, un employé municipal, doux rrprésentantl, deux hommes retirés des affaires, un cordonnier, un négociant et sept fermiers. Sont-ce do bons vivants ? s'est inforrn Landru, . . Car avec ceux-ci, je serais bien sOEr de m'entendre, l'odyssée de la Ca'sse d'Escompie des sQcits pouIieires : e Nous avions nis' diacun 5.000 francs. Les membre» de la Société s'étaent inte.rdrica toutr :esèce de bénéfices, II leur &uffisait d'avoir 'n- térêt de leur argent. La Banque de Fronce nous ouvrit un compte et nous donna de5 facilités. La Société réusst bien, trop bie même, c'est-b-dre qu'on venait de tous cêtés ui demancVrr dè l'argent. Mrris quand sont arrivées les échéances, penscnoe n'a payé, et l'osa n trouvé si:nguiiIer que des hommes comme noua vinssent dire : e Ren- dez-mai môn argent. s Un bau' jour, le gouva- fleur de la Banque do Frlance nou fit remeUrIe r:In petit compte de 180.000 francs, dont noue restêmes débiteurs ii la Banque. Chacun de nous »'exécuta honnêterient - et il nous en coûta une quinzaine de mille francs chacun, pente assjr sensible pour quelques-uns d'ente nous. C'était un peu dur... s Jules Simon état ii conornisedi5tingué, nïa nl,a ne suffit pas toujours pour atre un banquiez averti. De 1870 1» 1882, deux soiétés sont fondées Ii Paria. Vers 1892, trois société aon fondées pour fournir du crédit aux coop éu altives, notamment la Banque Coopérative de Arsociations ouvri- res de producticn à Lyon, le Centre Féd:étatif du Crédit populaire de France à M.arseile qui existent errcore et scOt très prospères. Juqu'en 1900 on a ccmpté la création de 84 banques po- pulsires dont 75 s'adressaient au peut ccmmer- ce et à la peite indus:rie, et 9 eux associations ciuvnières et coopératives. Mais la piiupa!t de cCs banques n'ont pu vivre, et en 1910, d'a- près les rappcIrts des préfets, i n'exirait puls que 13 banques populaires urbaines. Parmi ces banques citons celle rie Limoges, fondée er !830, la Banque populaire de Mao- ton, la Banque popuielce dè Rouen, la Banque popsdaire de Toulouse. - LA LOI DU 13 MARS 1917 En.,instituant le cédit au petit et au moyen eommeace, Ii la pictite et is la moyenne industrie, le légi5iaieur a été amené è réglementer la ccnstitutio des banques pcpuiaies et des Sociétés de catitiora mutuelle. Les ban:cjues populaires sont consiitu,!es par des souacciptions d'actions dont le taux est fixé à 100 francs. La »rponrabiiité des sociétaires dit être nettement déterminée dans les statuts. Ou bien les sociétaires ne ercnt tenus de det- es sccialCe que jusqu'à concurrence pour eh».- cun d'eux du montant des parts souscrites par ui (responsabi:iité i:mirée), ou bien chaque so- ciétai're eCta tenu soit pour un certain nmbre de fois le montant des parts aauIrciriies par lui, soit pour rifle somme fixe en pius du mntant de erS parta (responsabiiité mixte), ou bi les socié- taire» sont tenus indéfmnimrnt sur tous lirurs hins suit 5oPd.aiement ontr eux, sot sans olidaritê, des dettes sociale» (responral ':t mitée), Ees peuveut fa tOUtes OjJ ao0C de banque av les commerçants, indutriLs, ééo- ciats que ceux-ci ocnt ors non ectiorrïaire5. Eie9 peuvent recevoir une açaflec de l'E-tat qu ne peut excédez le dcui:ie dc leur capital rocoi versé en espes. La duréx de cete avarl ce ne peut ête accrdée plouc plus de cnq an- nées. EtIe peut être renouvel'e. ; Le sociétés de cautiofl mutuelle ne peuven faire d'opérations de banque. Leur rôle consiste is endosser, à avaliser les valeurs de leurs nrent- brs et les donner enCu e en ne°cit ou e tel étabifsssment finanicieede leur choix. Les avances que lEtat fait nux banquos po- pulaireS proviennent de la coovention poesée avec lia Banque de France le 2 novembre 191 et approuvée par la loi du 29 décemb:e 19H. Par cette convention la Banque de France a con- sant au Tr4sor une avance de 20 mllions, 5ur lesquels l'article 2 de la lo du 13 mars 1917 a mis 12 milliens la cliposition du gouver- nernent pour être attribués sous forme d'aven- ces temporaires et sans intérêt aux banque5 po- :puiaires constituées conformément à la loi du l3 mars 1917. Les effets de cette loi n'ont pas tardé se manifester. Les banques populaires ont, poui ainsi dire, 5unigi du so1. On en compte r1s de 80 nouv&iles --chacune d'elie» a une limite tessitoriele d'action qui est le département. Le jour n'est pas éloigné où chque départmrn sera doté de sa banque poprdiaire. Citons dan la région : la Banque populaire do la Grondc, de Mont-de-Mbrsan (pour les Landes), de Pan (pour le» Bsses-Pyrénées), d'Auch, (pour le Gens), de Ciracassonne (pour l'Aude), de Tou- louse (pour la Haute-Canonne). On noua assure que l'Arige et le Tarn-et-Garonne ne tarde- sont pas is suivre le mouvement. LES PRETS AUX DEMOBILISES L'essor dnné aux Banques populaires e5t d en partie à lia loi du 24 octobre 1919, qui en ouvrant un crédit de 50 miiin:s en faveur des comnserçnts, iUduiriel et artisans dénrobli- isés, a institué les Banques pOpulaires cotïtme- répartitricc5 d'et avances aux intéressés. Les démobilisés qui exploitaient un commerce 01.5 une industrie antérieurement à la moIbt}iisa Lion, eu ler veuves, ou les mutd&s qui à la suite rie bks»ures ont dû changcr de profession, peuvent obieir, sous la ré5erve des ga- rantiCs exigées par la lçi du 24 octobre 1919, une avance dont le maximum n été fixé à 10.000 francs, pendant une durée qui ne petit excéder 10 ans, moyennant le paiement d'un ii'4tdrêt de 3 % var an. Les banques populaires reçoivent en avance six fois le montant de leur capital social. LE CflEDIT A LONG TERME Ces avances aux dmohii1isés ne doivent pis tre confondues avec le cfdt à long tanne que le légisIateur e éIrarté iersqrr'ii a voté la loi du 13 mars 1917. C'est une çke»tion qui dot être résolue dans un temps prcchain si on veut per- mettre au commerce d'exportation de iutr avec la concurrence éangàre, et si l'on veut favri- sen et faciliter densic pay les modifications que la science ppGrte cbaquajour don l'eu'dI- lage industricé et ls procédés d fabrIcation. Qao:iqu'iI en soit, la loi du 13 mars 1917, ben que tardive par rapport aux légieationa étran- gères sur la matière, est venue combler une lacune trs girave dont souffraient tous ceux 'r qui étaient digne5 decrédt s. L4 BANQUE POPULAIRE DE TOULOUSE Pour Toéou»e et la Haute-Garenne, l'orge- zijiime existe. Réorganisée sur la hase de la du (3 mars 1917. et diairee de se mettre à la dieposition des démchïiaés, le Banque p0- iaire de Toulouse (9; piace Wilson) vient de recevoir de l'Etat 10 Une avance de 200.000 franc5 au titre de lIa loi précitée. 2» Une avance de tIOO.000 francs pour les démobilisés. - ' Nous nous félicitons dc heureux résultats d'une loi qui aide-les commerçants et induarieis déshérités jusquà ce jour, et n-ors5 souhsitns de tout coeur une beie prospérité aux banques pcpuiaires de Toulouse et de la région. lLLlERES. s-_ --' - Ce e tout hOlillle dLit savôir Les affections de voea ur:naires sont le piu souvent négiigées ou mal soignées et deviennent fréquemment chronique». Ees ne causent alors a7icune douleur ut aucune gêne et wssent ainsi la plupart du temps inaperçues. C'est la cause principale de leur fréquence rt de leur durée, les malades, même les plus insruits, ignorant leur état et sa mOntrant tout surpris lorsqu'iie le dé- couvrent. Le Traité expicatif du Dtut' Berteay, inti- talé Ce que iout homme cloU savofr, ens&gere les signes certains de la maladie qu ris portent iciconsciemlrnelit, avec les conséquences redouta- hles qu'eie entlramne et le traitèinc'rt rationnel qu'elie comporte. Le Traité explicatif dr Doctèur llertrsy est en- voyé diioràtement contre cinquante centimes. Adrerser les demandes à M. le docteur Reriray, Diiecteir de l'institut de Médecine de Paris, 10, rue Frcrhct, Paris. Ies trFs obibR[s spots MADRlD SE MONTRE PLUS RAISONNABLE M0ii, -- On coirtfitn quei la cclni- misiors oes va!eut's douane n crté: un prcédent dans lis question des char- bonis : e;ci a PO5 le principe l'oi pcuvait ttnce'r les rnportntks sut' la bne dc lai r&uction eTet dot envisagée au tarif actuicment it etucte et cit;j c_ "aiL entrer en vrguout' le lc janvier. Cette d4&sicn dc la ccrnmiszicIn 'rj, ' niee st impcTLate, car etc dcnne sa- tisfaCtiOTL t a clinribze officielle: die cour- nrcrcô dc Madnid qui jcue le 161e 'L'éII& )T1lent ncdiateur dans la question .et pré. coriso lre'lt Je n cdi "iventi rrpciauX CTtYt 'Espagne et tetie ou naLjc.ln. - En con1uence1, le rapports ccc nique3 frrr.coespagtrcIs n auraleltrt &flC l-aa !IC ctct)rr atr'Ui çl9Ini; CIl ;tl pazlt. Dans les 1fl,iIieUX financits et coin-mer- ciaux c(e Madnic ct a le ferme eepir «rrriVcr à ttne' e:ttente favoruhFe aux ctteI-ux pays, h srat nccetair, dit-o ,, qr e voeu Lçrnis. Pur !r ccflrit t:ler ropprochement. fnnr.tstsagnol ,uior i ra cernie: as rijbêct crJc .. r ir ure crtxhle eiiquet: fitirei C: nunître La articles snscep ti e changds rurns noque ce r' aux ntrrts des cent p,s, fu cuiv c cxcLtiors, %T Spl'IVC Aprâs les tnatclies de la Touasain, i nous ne violes aux Prises que de équipes fatigues ou rapiécées, un pari paxtout la valse des champion- na-ta va reDrendre euourd'htri- de plus . beie. II appaIrait coi-tain que cCUX qui ont moCté la piàce n'ont pas asoez compté sur les forces de résst-anre dc» artistes dont quelques-uns déjà s»inbent manquer de tempérament. Mais atton dons les id05 de janvier; à ce mpment nous pourrons compter les équipes claquées. Ce petit prologue terminé entrons catr&ment dans le vi du sujet. ans les yrncs Sadc Tcu!ousciin coure Sporlir.g-Cîrib Sonl- Girons. Les Montagnards possèdent une cx- cellente équipe cr quelques hommes comme Caliuc, Raufaste. Fauroux, Gence sont de classe; n'sii» la valeur des vi&iteuts rést1e beaucoup plus dans leurs qualités défen&ves qui sont rs ran- des que dans leurs vertus offensives qui ont ho- soirs de s'améliorer au contact des grandes équi- pc». Le quinze du Stade, quelque peu fatigué, un peu mixte, privé de Bordes qui sera remplacé par Galau, comme l'avait annon6 notre confràre Lo Midi Sporii. devnst s'employer à fond pour battre les valeureux Saint-Gironnais, mais a vie- toir ne peut pas être mise en oute. IT. O. E. C. contre U. S. Monto1bante. k la batai1le apparaît piliiS serrée. Les Mon- albanis possèdent une excellente ligne d'avants dure et active oà brillent Vogel, Jacquet, Bories, Gardes, mais dans ce département les toécistes peuvent rivaliser avec les meilleurs. A Montau- ban B-art talonnera, c'est un as ; Riviàre toutefois lui rendra la monnaie de sa piàce. En ce qui concerne les lignes arrières, ceilea des Montalba- nais se montrèrent hiert faibles en attaques con- te les Saint-Gaudinais. Le quatuor Faure, Car- ràre, Lavigne, Tissot, bien lancé par Faget var,s-. dra celui den face. De toutceci, il résulte que les Toécistesn'é- tant inférieurs dans aucune de leurs lignes ga- 1gperonit, non sans une énergique résistance des Montaibana'is, gens-assez difficilement mlléabus quand 1 leur rslait. Sfu1c Sdnt-Gcudinnis ccr,tre5; C. Àthgeos. - De plus en plus dfficile à pronostiqueir. Cas- sayet s remanié son équipe qui progrerse à oh».- que dimanche. Je crois que la ligne drvents saint-gaudinoise prendra le meilieur sur sa rivale, quanta aux lignes arrières, alias doivent êtr lé- gàrement supéeures du cêt,î abigeois ; je dis légrrement, car ia nouvelle format i on sainigau dllnoise avec Chaverianges au centre e beaucoup amélioré le quatuor bleu et Waac. Qui aura le hailon en mêlée ? Si Gonnet joue les Abigeois, nIais comirie cette supériorité ne sera pas écre- san'te, les Saint;Gaudinos, mon avis, doivent I empo ter p i un ou deur e» a Dans le: Languedoc t_t. S. Pcrpignenorse contre A . S. Bi(erroie. -. Sur le terrain de la route deThur, 1cc fougueux Sang et Or s'expiiqueontavec leurs vieux amis les Biterrois. Si l'on se base seulement sur les performames aceomiilies cette saison par les Perpignanais et las 13iters&», pronostiquer le vainqueur n'est pas c)ose facile. Les Biterrois pessàdent un paçk exciellent et leurs lignes arruéres impeccables en défense se sont revélées on attaque comme ca- pables de fair de jolies choses. li est possible que les- avants biterrois s'aasureat un léger avan- tage sur leurs rivaux, mas coie supériorté ne sera pas de natur à priiver les lignes arrières ca- talaaeedu heu et comme 1e quatuor Sang et Or est bien supérieur ers attaques à celui d'en face, ii sauna trouver le chemin de buts biterrois. Et puis, il y a autre chese : le Sang et Or galva- niséis par les accents dythirambiques de leur pres- se, se présenterOnt sur leur terrain, dcv e nt leur -public. avec ers moi-al extraordinaire et dans ces conditions il est difficile de ne pas conclure à -une- victoire. Pourvu même qu'ils ne se vengent pas suIe 1e dos des l3tterrois de leur demi-défaite 'de Cateasonne et de Naihonne t Dernià j e heure. On nous annonce en der- niàre heure que Salinié jouerat. M-ais est-ii cern- piètement rétabli ? Re dng-Club Ncrbonnais confie C. A . lfcrrois. - A Maraussan les jeunes gars du C. A. Biter- rois rencontreront (o Racing-Club Narbonnais : évidemment ris ne peuvent avoir d'autres préten- tions que d'opposer une bonne résistance à leurs redoutables rivaux. À. S. Caroassonnaseconi!re S. O. McrntpclltrÇ- ran. - Ls Montpe:Iiiérains qui tinrent tête aux Bitetrois do Mourcer, forceront lea valeureux Car. cessourrais * sempiqyer à fond. Dans 1'Arrnagac-gorre Stacloccsfc Tarbos -contre-F. V. C. Auscftatn.. H- Les Auscitains qui viennent d'être battus par les Bagnérais, ne parivent avoir la préterttion de l'emporter à Sarouilles sur le Stadoceste. lS. O. Lourdais contre StaeTc Baguérofs. Les Bagnérais se !rouvsnt cette fois en face du. quin- xc de Ricar.te devant un rnnrcteu troj coriace pour leur jeune appétit, ils devront s'incliner. Champiotiiiat dans la Côte flasque Bar;i1z-Olympique confra Aviron )3agonnas. - Encore un match sensatorni qui va se li- vraie entre deux équipes qui doivent se tenir de inca près. D'après ies derniers matches, il sem blerain que les Biairots sont légèrement supé- rieurs à leurs dver»aires on avants, les hayon. nais en arrières. Qui sortira vainqueur d ce choc de géants ? Par définition je crois à la difficile victoire de Biarritz. Au demeurant uts math nl de n'étonnerait pas. Uni'Ôn Spofl(dc DIeCqUOISC cone Rcau eau-S iacic. - Encore tin match très SCCté. Les Dacqueis ne devront pas S'aniulICer pour mettre à mal les ne- doutabies for gerons. Section Paloic cchtre Sporz 'A ililéilque Mart- léonrroi». La Secton Paloise l'empeetcra avec assez tic facilité. 'A . S. Raycsnna» contre StaJ Hcndoyais. -. Victoire probable des Bayonnais, mais l'écart de poin:ts sera minime au coup de sifflet final, A Paris A Paris, Te Stade Français et Je Ciul, Alrh1ti- que de la Scciété Générie ; le Racing et le Spor- tin-fi et enfin l'Olympique et le Paris-Université- Club seront aux prises. Le Stade Français, malgr sa vaillance, devra s'incliner devant ses adversaires, qui surtout à cause de laie formidable ligne d'avants cons- tituent pi obablemen t le meilleur quinze parisien. Le Raong gagnera grêce à la goss- de ses tros-qusrts : quant à la victoice d0 1 0- lymntr'o elle 110 peut êtr sérieusement mise en question, G. DuNIL. - ritsdves UN AIARIN TENU POUR MOT RENTrp TRANQUILLEMENT CHEZ ïUi ipj AVOIR ETE PLEURE -'E\fMfvTfi AN' Une chcre curicce -viert d'zrrcr it Ap1De.i. lan» Buscks, où un rnas'n, door le ncmfigure s r le cénotaphe du vi1lae et rentré iranul1ciii. chez lui alors que , a famille le peerrret dé}ij- s x ans. li revint tard ('ansia nu t Les rrionb.05 de la fam;iie donrraiert dja, sarl uns fl1e, du disparu. Quzrrd ccluiri rmuiit ia pors 55 soeur fut telleni'rr.t saisie d titoflnrment ullello resta plusieurs rnin'rtes sans pousrçir prj un mot. Elle appcia i nsuit le iêre et a rnt don' on dev ne la ici:) Vcci l'explicatirn durnystcra:r le'cpton tel est le nom du resea'., partit. t . ttC2C pour fai e son service dan» la 'narine royale La guerre 1e surprit à boçd d'une unité cnbattante li assista à la bataille du Juiland, reçut une bls- sure assez greve à liatête et lesta hospïtalts . sept sema ne Gue r 1 ecnit a ses parent» qui de puis. no reçurent pht d nouvelles. On Crut qu'il avat réri ou bien qu'on l'avait fait prisonnier Comme temps passait, on ei conclut que Le- wingten était btenmort. On le pleura et le maire du village ajouta sen nom à la liste des glc:eu ses victimes de la guerre sur le cénctaphe muni. cipal. Pourquo Lewington n ocrivit I ps e ses p». rentà n ne peut griie l'e».p'liqier. Tout ce quri déclare, c'est qu'i ne se rappelle plus rien, du passé. La mémoire lui fait conpiètement défaut. Entre le moment de sa blessure et les événements '-actuels, il y a un tou. lLcroit cependant qu'Çl est resté mi certan temps aveu-ale, mais ignore tout de la guene. Après avoir pria un peu de repos, le rescsp est parti Pour Port rnorth alla ee prsen l'autcrité militaire; - UN JEUNE CARÇ»4 ASSASSINE DEUX FILLPTTE.S - - - -POUR- LE -PLAISIR DE TUER Nous ayons parié, en son temps, de cette a-f- faire. li s'a-gt de ce- juIne garçonHar Joncs. du pays 4e GaBes(An- gieterj), qui, après avoir ete aqq tte une p cm ccc to cl u e rnculpatroi kI assassinat avàrt etc aflele de nouveau presque raussit6t après ra mise -en lbrté, sous l'inculpa- tien de meurtre d'une -liileitede onze ans, s reconnu -coupabi prie ks arsiss d Monsnàutb e cnndamnéàfladétantioa s pour1 le temps qu'il plaira au roi 5. lI-s'est reconnu en même temps' coupable dupremi,er-criq.re dont iIavait été d elaré innoçnt :le meue rie FredaBuireii, . saSsiP're le 5 fevsi r dcrn or L accuse qui e qu -n zo ans, a pêid- cuépable peur ne pas s'stfi,cseri. à voir »crr j,rccès dtrscr au dlà du 1 I janvier, date à laqucl l atteindra' ses seize ans et partir tie laque-lié il- aurait être condamna mort. - - - ; - Haroiri :Jone e fait mie conÇeariors écl9ta 'de - _.es cnime 11, - reeorte que le 8 jr. et au mo ment o4 Ebra Littie llait quitter n maison de parents de joncs où clic était envisite, ii l'avait rabie. par k cor çtl'avait eatratnée dans la cui sine, où i lui ea-it coupé-la gorge avec un côu- teau. Afin d'éviter de sotiiltier de sang le piar cher de la cU5ne, ii avait ers la présence d e»p-tit rIe tenir l'enfant au-dessu-sde 1'évicr. li tsansor ta ensuite le conpsdanss une des cha.mbçes disi haut et, monaut spr une, table, tenta de le gi(ie.- se par une' trappe dans ie gremer N y panve r-an-t Pas, il chtrr.-ha une cor-de, l'attacha autonr du coips de la buieit et monta dans le grenier peur tenter d'attirer le corps à lui. La corde se trosivant tic-p courte, il y attacha son mouchoir de poche. Après avoir ecpïtscé la trappe. r 1 rede-sceri- dit à la cuitne pour y chetchtr un petit pot' d'eau, afin rie laver le-s tache» de te-n-g sur la table, l'escalier et le plancher. Avec une bougie il ins-necta les mo-iednes coins, faisant disparaître - toute trace du crime. 1! redescendit ensuité POUr se laver. - - li était daans un bain qu and Mmc Little, l-- mère de la' fil-lette, y nt frapper à la porte de Ta maison pour demaitder si l'enfant -n'-était pas là. Joues répondi qu'il ne l'avait pas vue et çon-tinua I ses abltt05. Quelques heure» après, ti prsnat part avec le plus grand sang-froid ai-x recherches faites -par les hab$Lants clin village pour retrouve» - la fillette. - - - Le counabie déclare que le seu motiF de s crin-le- aét&lc-désiz de- çuer.-Les médecins n'on eoO(tat aucune trace de violence sur le cadavre de l'enfant. Ils ont remarqué, ce-perdiant, que se» vêtements dc dessous avaient été déchirés. Pottr le meurtre de Freda Burweii, Hanold Jo- - nes confésse avoir volontairement et d&Iihérérrîerrr - ['Assassinat de M. Haras : LES COfiDOLEANCES D[J'GOUVERNEMENlI - - - FRANÇAiS - Paris - ties qu il ert pris cinas sance e la nouveliede l5assassinatde M. Haras. M. flonpe %ay garde des sceaux et ministre des afrar5, éirangàres par intérïrn, o télégrapihié à Tokie aiS gouveénenrent japonais les c-ondoiéarces d gou - vennement feançaisi - - : LES CONDOLEANCES DE M. BRL4ND- '- Paris. - DIs qu'il ecu -coninaissane ac l'afei tat commis contre le Président du Conseil japad n-si-s, M. Biand a envoyé le lieu atcol0tbdl Vassoigne, de sa naison militaire, présenter se condoléances à "ambassadeur du Japon à Paris.- II a égaie-ment dress un télégrainate à l :;' CONDOLJZANCES DU GOUVERNEMEÎ'ZI AMERIC.41N - - - \Vaahington. Dl» qu'il-suit eonnaisssnc ° le nouvelle de l'assas»nat, M. ljughes, secrétaieC ri Etat a quitté immédiatement son- départemeTt pour aller présenter ses condoléances et celles dts gottviinement américain - k l'ambassadeur du Js - p_on à \Vaehington. .----- . . Cà et L.a (iN rnba»r' -m -.T 't'rrr,',rT - M. YOKATA DE RETOUR A TOKIO \Vasihinton, __ A la suite de l'asSassiflSt M. Haras, on annonce quo M. Yokata, htf bureau de la délégation japonaise à la coaf e senne de Waahinton, va re-tdurner à FOk40, UN MEDECIN ECRIT- 'S r L'enfaué C..., de quatre afl était sujet à j,.----pcsrssées fréquentes d entrt IC s. L-pe»tt xiStada accusait de vives douleurs abuo miosles. 1i subit le seul traitement hydrique pa J e-au SAINT-MARTIAL5 La. guénîsoC fut pale. » - - - - :'-:-----b1leTe ,- - - rr5: _ Le « Jsisnai Officiel s pu - VoIr cn qvh znc p L d05 minr5trea cons dorant que L n:ns oLL rnomb
Au Coséii Mwkpa PMJVRE EMP1U?1T1 . u PARiS NOUS L'AVAIT RENVOVE. - ON LE REEXPEDIE 4 PÀRLS. - MAIS L. LST AU DETR1MEN D U CO\ IR!BUABLL TOUOUSA!N Ul VA P4YER DE NOUVEAUX CENTlM S ,4DD!T!OVNELS (( SPECL4UX POUR POUVOIR EI1PRUNP ER Le Cotsei munIcipal s'est run hier t2t SCU de 17hc.;re a 18 h. 45 peur s'ccupr 1' L'çrnprnt reiozir de Pcis où il àvait c1c Jcft. maItroitc pir !e Conseil d'Etat, comme le swent nos Lecieurs. Ce Jat zinc belle séance, crnow.ante par morneflis, histructivc tcujcurs. MM. Galibert et Tlions s'y iitrni rude cornbt, anus dcpicd cn çcp, de chiffres imptessionnar!s. L'ut-z rotis fit dc acux, 'autrc des rc!tlaiors si gczcs qu il conLleT2t 0e owtincr /jO-1T lazre la ,opulon sur s ygisàemenis de i; édiles dvoiks j:a etix-rnnies. C'est cc q nuS ferons dc:ain. Voici pour ujourd'hu-i lc relation cbçctVcinCnt rêdige: desi d'bas L an d< la session 4 rcit e mbe di consei municipal a eu1ie hier t 11h. 1i L& maiie: pT.sde M Bustier, secrétaire, fait l'appel cs ccn- &1e e it& rLes et 1cc u ccretaIKe \1 Feg lit cnWte te aid3ese (t tctatIOfl U presd nt e oue 1 CC( aiCn e sn paage Mnt çIie et pncseccndçj u. maire dc Mnte1iier. . L )2rnpititt d ri lilIL:Jr1 Le 29 jiiin dernier, M. G1ibert oint tUX Ccnttieux, pot:it au tsei1 picjt lï cmp.nt 9 mIhons 800 ifljile francc Cet en'prn fut copte par k crn , ira 1c docstei ccncer riant la ti che d 3 mi ircr's ciie b3ncs pour la c.cstructiôn d écoles 4Staflt inct. iI.e put &re que par la kELtL fl'C} a la Pacfectu e et a,i cn eii d'htat. Mis e ûnsei1 Etat cit qe crai. n:es flOC{a[its l'aute paTtie ce j'cnz.pïunt .stivcir : C) 1fli*iCfl$ : 3 iout 1 Usine iectncjue 3 pour payer attes no ttrwmt la Ii-nguuf di n-bcire de 'cnpunt q'i vodrait w iii amortir en ctix ans au lieu dc .30. Enfin, COS (J Ett uouvr e ,age c 1 e'n j;m)t inscffieant. et exige1qu'il 'otaian par des centimes ac;ditionnels. leIie tiTit !Cs dem résv:es de la ute aemb6 acm:inistativ:e.; M. GaIbet iapporLeu, it bTi que lernpruni ne er a:ccueilli et ppruvé que si 1e 000.0O0 fr destins à les vieilIeij dette sont anlcntis en dix r , car depenscs couantes dvent &re p yee' rr meciaten' nt eaflt n.. cvt- e'miprWt pour es qUidèr ne tauit entra fliCf aucun fuit d-ni I avunr cela, c'eg de la prccédurt ayiiiist t ve Ft Iore 1a cccnct. tiinche de 3 500 000 fldflCS M Ghbert ve't I IyWtjr euienient eja 40 ans, pciur compener, ce qui est drok, i'effet des regle c'e p cecuie pQes pr la jiJns ,fl Qeflc Li Corseil d Etat C est sir cç point que 'D3lte ej debat cl hier ieerLlre iabrtsseient à I at peur a nhiere tia'he e I CnPTUr t rter a I0 a LLECC ie iernboutsemient ce la secoicte ; fesn-.e les cniirntes , tu a'e 1 crrprunt lie . hs l s évefltues, ccrnme iS avient ét ébi dkrns le projet aumi a Consei d Ltat; mais, ajcute k rappDteur, les centime fetnes ne joueront qie si le essources ci'octroi et c.1d i\eiz1e é'cctrquectu Ram. excnt inuffisantes. Les j licatons de M Gauber Tel pt itat on tie ' cnirunt \Pais M Liakbeit ne veut pas trc en tè ave. Thcras, vieil aoveraire de i-emprunt, drno de expcadons. I iflte pcU jutibx I enpnrnt c!e;a :.té: d'ali'.is et 'zppulie pour Cela SU1 ia néesi de payer eu cifférentes det- prints pr n1tncpat& sC1Ciste cnt été gaspitlts. . (c est soi apprcatici). N'èn e'a-t-1 ps de mpe c emj runt coet il s git ? -(( Noue avon crée 5 mijic;ns 42/.000 francs &: recettes ncr:veIlc s. dit-il en: tncè, jrcutt amottii ck c.ettes et fai des trsux d'édiitéÇ Ces taxes devaient prcduir de ecédetits ce r'ecettes que nous a'îo affectés à payer e cette I:;ur une valeur de I .200.000 francs ». Et, p'r , M. lhems critique le cin dc I em q IL oui cOnistt a echaner pItieùr criaiTc1eTsContre; un seul, et il creit iTintrer qu k ysèma qui ccnsjetc a PY iCS deLtcs i.ui les çette orc.Iinaires pern1eL de cosev e r quelque aent pCur travaux d'édilité. Puj a ji examine les r&ultats de sa pcitq en 22 mcic, I .600.000 frarcs ont t) rib:ours aux ee la ve. ii vaie i yerveiilcs d& sa pchtiqu fi.nancèie. Ic M C1iJ-'cxt ifltivicnt et 'cclare qe Le h dc'ct e 1921 est ct"bl' dar1.. t_ n ormaies r recettes irais aIcrs l se peut (1JC le hU'et 1922 n it pa. anornal et qu los u icit c une cet tude a ct une gaiantre d1eatcIre q e M Tbcpa& cse au" ci&nc.i!eT de laville !... M '1 hctm- leperc eiUicen erit et ic Jiend c dn o'strati.n Il ne restcrat plas, grâce so:ytèmç, que: çe cté C etLCs ertatL O, I emprunt s eleve a 3.000.000 pcux leadetter, u'où gaspillage possible . . . - Mais l'etnprunt x:e dtat ps eir'hu inLerrcmp M. Calibeti, et nou.s p;on les dette sur nec. fon4 dispeiubtes a m;esue que ncus cn avens. et en accCflpte str l'enpin. iv!. Thomac s'ette et (lclarc qu on ne peUL cl vot j -cs centnrcs oc icn nfis pC13 atmL%r les 3 rrilli..ii,s o a o cu 25 juu 1920 icpend empire en 1922 cette C penret au Ccnscu die' ne p45 le'ver te is Jf t'rtn-nes enditicine Aloi s le, rertiTirs vctes gat.crt I p1LPt&qiernfnt de i k ;eupibteïde (.ettC ici &éatcire, ce qui ne. 'L';t pas k y&eire recn ... px M' Thoinas vcM sa dcrnonsnt on h dans ur irt.n t catcire il es Saye d %cçthe ics pertes J leix r»unt en Feui mcntrv-t le frceu cie, t rt1nfes ac tionrelj q.. cnti21ni letur po1itjq9.Ee. : . Ce qu I f ut lt il c est ne as e en g-ger en crpiunL»t U I cci c,'ide c ne ras vcter l'emunt, hieTn que cè derr).1ef ait déjà été; adctpt pai i GcnseiI ur.e penre fcis. Qtésanreaokersotrcs je M Cctcme' t scn tour critique es Lnnies cIe zicheses quc sont 1 sne du Ranier dont il cudrt savcir le mcee d'scmerdrtration. Iccrc j et les centimre acdttic.nnes et iT s'asccie -feir4emnt it M, rhornas. M. Parant :uss se met ltc 1a paite et f:t chorus avec M lvi. Thona et C&!o- M. le prcfesseui Bczy vcudrait concilier tout le mcnde en ne vcLant que la rTroitié. Un jjcirljsoh 1e l'cmf,run1 - M. Porterie se déclare, ki, partisar de enpI ntpou ccde1eriepaieiyent ec_ retits créanciers ce la ville L'c vc1e A'i miiu du chahut auquel participe te 't ier-cn j rroirs sen voix ce les de, MM:. (4Uy, Fhcrna; Castex, Parant, B- 73f, Colorniès et Escaich et trois abstentione lc nouvelics modalites d ancrtusewePt et: de girantie de J en'prunt s rit ncicptées. - L éance est eve 18 h. 4. on .sechama:ilie encore Claris ks cu loirs aprs .a fin da sé arne un; cn 1T3rne rit. . Pic:chajne sance lundi t 9 heures du Soir. rte die la v:iHe. tais, ajoute-t-il. le pssif ' . M v a ét& iduit et M:. hom3 n'y a pas seul .cottri:hué Ccpendnt, il faut aussi dc' avnc.cs et ici, M. Gas'ibert ccirbn:t i thèse c!c M. Thona:s qui n permet pas les avances, car il n'est pas drnsibie de « tirer le diabIe par a que t ce s ïter au cofts de tra- 'vaux c(.u'o.n flouirail ettreprendre totan A I'Un!on des ri tA)t I ('CfltUct on du Thtie du Ca SyRdicals pito. Et d ajcute prntr (tJXI. trc r' Egunent QUESTlOtN DE DIGNITE SYNDICALE ce vI. ficrn . dsant qa svc em1nt 91 ehVre2nt ats adeni&e séance du 21 octobre, der gaspillages, crUe les l'Union des syndicetu de k Haute-(!iat.300.00Ø francs ne setûnt pas gasp:.. 1cr2ne, dar.s nn cr&e du jour, fit paL at Le Rqwsitoiïc 'cL M. Thorn entrc bureau; ccr4F&dér z d l'indigrtjcri Pidgel 2c l'e:nprun que ses azhérets ontéprn uvé, pci de l'agIersion dbnt o &é victin'C M. Thorn:as se desse cemrne avcczt 'de le lundi, le cairarade Rey, délégué à k 1ieiarcire de tcrnp1esion la prcpaganda. EUe déclare que de pa- uvfjl st dep5 deux ans ntt Capitole. îc.liS actes ne se peuvent excuier par dcs Ii tornni:Dce pai cuter d gages réels motifs de querelles de tedances. S d Fenpnmt, n : tamnent de l'usine élec- pareilles Iriccurs se développaient dans tri9ue du Ramiei .. les milieux eyndicaiites, s'en serait bier- il dclr q: 4.000,(;OO d francs cm- tôt fait du syndicalisme et des espoirs _____ GALERIES de L'ÈPARGNE Rue Alsacc-Lorrajne TOULOUSE RÉCLAME 0ES LUNDI 7 ET MARDI 8 NOVEM9 1921 I GARMTURE SEAU ET CROC lei. CIoix, irtérietir pa'eil Le SEAUde c/m.. : ( Le BROC dc litres. Ls 2 PIÈCES. L! s=a élilai I t u r t u o I c OO -.-- - :- - -E": ».--;-= ,,,-.--i-_... -'e; » I MU -e.. : nos UCS -. i C)tiIIfl en jel'sey 4 !e i'a fmme 11u\c1Ie U0U4UI rnaTl&iies e poches col traTisforniatiin, toiti - teiiit5S Lunch i. . . kIIhnn du.'Lun;(ftj L eignors , en belle ]kUI)iC1U5 pjp laoc aec pa renent ci ievers fantaisie ceinLur .fflneau iijJ1e très cl4gaut. TQtit teiites. améJieajH, article chtiu.i pour i)1OU(5 i u i i lUI et peigiioir,iou(cs Lehite moue giande 1aTgeui Lundi t . . . ,- - , - teaux belle liapirjC marine tiiflOii, COI C TT U I ts de manches oinés 1)(fLreC \ aleur 60 rraucs. Eioeptionnel Lindi.. . d'émancipatoi huaine q.'iI renferme. (( Elle adresse ses sentiments de sympathie au ccm:arad Rey et déclare ceux qui I ont frappé, qu'ils se sont rendc rrpii rblc pa c qu 1 acte aucpe1 ils ce cnt lr1e est la ncgatTçp WIT d'es princip-s yndicalistes dopt iJs se réclament. u on sait que dcq ninc,taies yant iencôntïé le camarade Rcy, dél&g de la C G T le frapperentapies lut avcr cherche ccrclle Nous 'ns ' spc i q. e dc prcils f-its ne se icncuvelleront pas. Il importe que çhcun respecte scrupt{li3frePL h diçj ue libiement co &it!é, Car il ne pet Jivàir dans le yrchcat qu une atzon d esenbIe d1crt les buts ont été déterminés pa les, aSCmpl:-ees cc fedéra1e a cauce ieelk d tiitbIc ui reine da-s les oigni.atrcr. yndicals n ..uiïot ders I extrerr2 ccnfi.icn ds rde. 11 ft e chacin ecirure a picrc pereç en la ccrfron tant avec celle dc ses camaa1des. ÀVJS IMPORTANT SUR LE MEETING Mc:m;mousceau, délgué. 4es C. S. R., (]ui se'tvcuvait hier t :Intubin et sera k J i Tales et ic 9 t Carn-aux, asistC4c an' cloi e ai meuing de I Olynipia rurd prhairJ 8. Mtai JOUHAIJX ni DIGA(1 ,i gra'-Àd regret dc la Bourse dL! Travail e s y 110 Vf- eut Le secre Lylat e e1-t 'vxse e u ru dtxwer n'oirent u lcuu ct-t Frck're'r in;c cbe dc rendtc TqIr-i.se E'i coiisequence le meetuw Utra heu' av?O le ccPcr0s sel! dc MRRt-iElM t de LFrEvR1 deL gé cle la C. C. T. U. C. et M-R. Au Printemps Nauveaut5s É1égaritcs £0, Rite I'AJsace TouIoiis Lundi 7 Novembre 1921 Ouverture de la "ezite des e Fourrures Pelleicric - Pàrurcs - Manteaux Noxnbreuse affaires dans tous les Articles 1'actualité. Voir nos Vitrines d'Exposiiiten E'(fflj)oisBIilttfl' ul A1iAS C I JiisEe : Nous rivone rnonc i;ne piste sur le point de copduire ii l'arrestation de l'auteur du crime de bcnhois empoisoané -et cette piste a ab.ti clans la fin de I jornée de vendredi. femme Allr!rdit. dcmeura Paris, était gardte la -iipc;iticn de la jusce et n'a été axrêt& cre lorsque lagent porteurdu jianunt d arrêt lancé par M. Sipncxi e t rive a Piis C'ct siace au as.rd, cu est vraime1 ieditr dts roliciers, qte ccux»ci cnt ans le 1u:in sur l'cmpircnnenuc. ,t. Allai-dit decIara spOntenmcnt5pi'Lne Lrite de bonLkrs, smblaie à celle rcçueipsr Mni Olivot, lui aait setciun-&, n'yanV pu tcuc:hr a detiriatai. le Mirc OI1ot Mis 1 nechre ne pas I CVCsJ C5lC.3TLC 0f cttt Lcite %ait ete ei;voyç par sa ii Paris, au bu- 2C"1 dc la ru c rli' rd r E11e eU dO &re rercisTà cn cxpiditrice, mis ce fut M illadit ci i l icçu c-t li xrit de c6te san. i; dcachcter. ?Vltnie Allarjit, demeurant rue de Cli- ;chy, j, ftt appeherid;e par den agents de la: sûiêtc et gir.de . leuc' ciape;uticn. Ln des pciciers n .té envyé '1 oucl»sc avec la bltc rvélatrice et !\ M. Alcv et M iliw ricEc eLr- a la I ailte de ndecire cuuvgirent : bcte et y apexçurent fruit confit et Ces bonbons sem Llzhies à cevx trouvés clr la boite reçu pur Mmc 9llivct Lesde'x exierts 1- r.ticaeiert 1 çq:e1ieruce d p'-i.o--n &ui n ccb e e-t cette c'oeti3rice preL%a qu le fruit récclait un ioison voteflt. Lautcpie et l'cxuieit :4.,.sqiitei-it 0eS J \1 CCiçS dc I infiimicie 1W ra, n C pas tout ci'aboid eri dé ccnnaître la naturc d. poicf dont était satUre le fruit. li serrbIe c'u'ot soit zn présence d un cnpoieonnement au cyanue. lvi. Guilht, inspeeteui de la sûrete, est arriVé hier matin à Paris et s mis la femn-Le Allai-dit en état îarrstatiC L'inculpée sera transfén'e ii 1 oulOuse pour l'instruction de l'affaire. - d' Lundi . . 49 f. Cpitoe OS ngIO PlotZU1rtrUed5T0Urr'?U . .1ci_Ql, ?zot;:e T , a
Page 1: MENtsTRT1 & 6et 8, R;4e. Roque1at ?

Le Socialistes . au Pouvoir - Bibliothèque de Toulouse

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