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MARCEL, Henry - Institut National d'Histoire de l'Art

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<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

"Dictionnaire critique <strong>de</strong>s historiens <strong>de</strong> l’art actifs en France <strong>de</strong> la Révolution à la Première Guerre mondiale",<br />

Philippe Sénéchal, Claire Barbillon, dir., Paris, site web <strong>de</strong> l’INHA, 2009<br />

http://www.inha.fr/spip.php?rubrique347<br />

<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

(12 mars 1878, Paris - 1953, Paris)<br />

<strong>Institut</strong> <strong>National</strong> <strong>d'Histoire</strong> <strong>de</strong> <strong>l'Art</strong><br />

Date <strong>de</strong> mise en ligne : 11 septembre 2009<br />

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<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

Profession ou activité principale<br />

Professeur à l'École <strong>de</strong>s beaux-arts, éditeur<br />

Autres activités<br />

Historien <strong>de</strong> l'art<br />

Sujets d'étu<strong>de</strong><br />

Art du XVIIIe siècle, <strong>de</strong>ssin français, arts décoratifs<br />

Carrière<br />

1903 : docteur ès lettres en histoire <strong>de</strong> l'art<br />

Vers 1905-1911 : secrétaire <strong>de</strong> l'École <strong>de</strong>s hautes étu<strong>de</strong>s sociales et collaborateur <strong>de</strong> la revue Athéna dirigée par<br />

Dick May (alias Jeanne Weill) ; chargé d'un cours libre d'histoire du <strong>de</strong>ssin à la Sorbonne<br />

Avant 1910 : directeur <strong>de</strong> publication <strong>de</strong> la collection « Art et esthétique » aux éditions F. Alcan<br />

Août 1911 : après le vol <strong>de</strong> La Jocon<strong>de</strong> au Louvre et le renouvellement d'une partie du personnel, nommé au<br />

musée à un emploi temporaire ; entreprend l'inventaire <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins du Louvre et <strong>de</strong> Versailles avec Jean Guiffrey<br />

Novembre 1911 : rédige un rapport sur les Beaux-Arts pour le Parlement<br />

Juillet 1912 : élu professeur d'histoire générale à l'École <strong>de</strong>s beaux-arts ; quitte ce poste en 1945, année <strong>de</strong> sa<br />

retraite ; appartient à la Société <strong>d'Histoire</strong> <strong>de</strong> <strong>l'Art</strong> français <strong>de</strong> 1911 à 1913 ; prési<strong>de</strong>nt du syndicat <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong><br />

l'enseignement <strong>de</strong>s Beaux-Arts et prési<strong>de</strong>nt du conseil supérieur <strong>de</strong> l'enseignement <strong>de</strong>s Beaux-Arts<br />

Août 1914-1918 : sous-lieutenant du 35e R.I. territorial ; puis, chargé <strong>de</strong> la direction du service photographique et<br />

cinématographique <strong>de</strong> l'armée<br />

1921 : fondateur avec Maurice Caullery <strong>de</strong> la coopérative d'édition et <strong>de</strong> librairie les Presses universitaires <strong>de</strong><br />

France, dont il <strong>de</strong>vint administrateur et codirecteur avec Edmond Schnei<strong>de</strong>r<br />

À partir <strong>de</strong> 1932 : supervise la politique financière et éditoriale <strong>de</strong> la revue Europe, dont les parts viennent d'être<br />

cédées aux PUF et qui appartiennent toutes <strong>de</strong>ux aux éditions Rie<strong>de</strong>r<br />

1937 : n'est plus chargé aux PUF que <strong>de</strong>s relations universitaires et coopératives<br />

1940-1944 : empêché d'enseigner et forcé d'abandonner ses fonctions aux PUF en raison <strong>de</strong>s lois raciales sous<br />

l'Occupation ; vit dans la clan<strong>de</strong>stinité à Lyon ; participe au journal interdit Le Patriote lyonnais<br />

1945 : intente un procès aux PUF et à ses dirigeants <strong>de</strong>vant le tribunal civil <strong>de</strong> Paris pour leur attitu<strong>de</strong> durant la<br />

guerre ; malgré une in<strong>de</strong>mnité pécuniaire, est débouté <strong>de</strong> ses requêtes administratives et morales<br />

À partir <strong>de</strong> 1945 : secrétaire général <strong>de</strong> l'Entrai<strong>de</strong> française (ancien Secours national)<br />

Étu<strong>de</strong> critique<br />

Jeune historien <strong>de</strong> l'art (il obtient, en 1898, une maîtrise à la Sorbonne sur le graveur du XVIe siècle Jean Martin) et<br />

dreyfusard <strong>de</strong> la première heure, Pierre Marcel (né henry Marcel) fut introduit très tôt dans les cercles parisiens<br />

favorables à la révision du procès d'Alfred Dreyfus. Remarqué vers 1901 par Jeanne Weill, directrice d'une école <strong>de</strong><br />

journalisme rue <strong>de</strong> la Sorbonne (l'École <strong>de</strong>s hautes étu<strong>de</strong>s sociales), il occupe à partir <strong>de</strong> cette époque un poste <strong>de</strong><br />

secrétaire auprès d'elle. Là, il côtoie Joseph Reinach, Georges Weill, Clau<strong>de</strong> Casimir-Périer et sa cousine, l'actrice<br />

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<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

Madame Simone, puis Charles Péguy, dont il <strong>de</strong>vient l'ami et le confi<strong>de</strong>nt. Proche <strong>de</strong> Jean Guiffrey, qui l'ai<strong>de</strong> à entrer<br />

au musée du Louvre en 1911, il entreprend avec lui, à partir <strong>de</strong> 1907, le vaste inventaire <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins français du<br />

Louvre et <strong>de</strong> Versailles. Sa thèse, soutenue en 1905 et qui portait sur la peinture française <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Charles Le<br />

Brun à la mort d'Antoine Watteau, lui permet <strong>de</strong> postuler à la maîtrise <strong>de</strong> conférences en histoire <strong>de</strong> l'art à l'École<br />

normale supérieure <strong>de</strong> Sèvres, où il échoue. L'année suivante, il est élu professeur à l'École <strong>de</strong>s beaux-arts et<br />

succè<strong>de</strong> à <strong>Henry</strong> Lemonnier. Dès cette pério<strong>de</strong>, Pierre Marcel, qui a renoncé à son premier prénom pour lui préférer<br />

le second, est attiré par les idées <strong>de</strong> Jean Jaurès, sans pourtant jamais n'adhérer à aucun parti. Il fait également<br />

partie <strong>de</strong>s promoteurs d'une laïcité affirmée, comprise comme une chance d'assimilation définitive <strong>de</strong>s Français<br />

d'origine juive dans la nation française. Sans approuver le retour <strong>de</strong> Charles Péguy à la religion catholique, il fut un<br />

<strong>de</strong> ses rares amis à ne pas se brouiller avec lui pour cette raison, à l'inverse <strong>de</strong> Daniel Halévy, qu'il tenta <strong>de</strong><br />

réconcilier en 1911 avec l'écrivain.<br />

Ces prises <strong>de</strong> position intellectuelles sont essentielles pour comprendre à la fois ses écrits d'historien <strong>de</strong> l'art et son<br />

activité d'éditeur. Il eut, en effet, un rôle fondateur dans la formation <strong>de</strong> la coopérative <strong>de</strong>s Presses universitaires <strong>de</strong><br />

France qui se voulaient à la fois le socle nouveau <strong>de</strong>s publications universitaires, mais aussi un programme <strong>de</strong> «<br />

reconstitution sociale », sans l'appât du gain ni du profit. Si Pierre Marcel fut à l'origine <strong>de</strong> la naissance <strong>de</strong>s PUF en<br />

1921, il en occupa surtout pendant plus <strong>de</strong> quinze ans le poste <strong>de</strong> directeur (qu'il partageait avec Maurice Caullery)<br />

et fut un <strong>de</strong>s artisans du sauvetage <strong>de</strong>s éditions avec Paul Angoulvent et Pierre Schnei<strong>de</strong>r lors <strong>de</strong> leur faillite en<br />

1934. Parallèlement, il présida à partir <strong>de</strong> 1932 à la <strong>de</strong>stinée <strong>de</strong> la revue Europe, qu'il tenta <strong>de</strong> rendre financièrement<br />

rentable et dont les positions antifascistes lui étaient chères. Son rôle dans le choix <strong>de</strong>s écrivains <strong>de</strong> la collection «<br />

Prosateurs français contemporains », liée à Europe aux éditions Rie<strong>de</strong>r, vient d'être remis en lumière par Maria<br />

Chiara Gnocchi et montre qu'il fut un homme polyvalent, attentif à la diffusion <strong>de</strong>s idées qu'il défendait.<br />

Ses premiers écrits reflètent précisément toutes ces idées. Sa maîtrise expose ainsi le travail <strong>de</strong> traduction <strong>de</strong>s<br />

traités antiques par le graveur Jean Martin au XVIe siècle et le présente comme une généreuse oeuvre <strong>de</strong><br />

vulgarisation qui servit « l'éducation <strong>de</strong>s classes ouvrières », enfin armées pour se défendre contre la suprématie<br />

italienne <strong>de</strong> la Renaissance. Cette vision <strong>de</strong>s artistes comme les acteurs d'une classe ouvrière ou artisanale<br />

revivifiant le génie <strong>de</strong> la nation française se retrouve dans son ouvrage sur les industries artistiques en 1904.<br />

Étudiant tous les aspects <strong>de</strong> l'art décoratif sous l'Ancien Régime, même les plus humbles, il démontre la supériorité<br />

<strong>de</strong> l'atelier, creuset d'une oeuvre collective dont les qualités utilitaires ne sont pas les plus négligeables. Cet angle<br />

d'attaque <strong>de</strong> l'art, pour restrictif qu'il soit parfois, n'empêche pourtant jamais Pierre Marcel <strong>de</strong> respecter<br />

scrupuleusement la chronologie, <strong>de</strong> mettre au jour <strong>de</strong>s oeuvres inédites tout en s'appuyant sur les récentes<br />

découvertes d'archives publiées par la Société <strong>d'Histoire</strong> <strong>de</strong> <strong>l'Art</strong> français. Dès le début <strong>de</strong> sa carrière, il se spécialisa<br />

également dans l'étu<strong>de</strong> du <strong>de</strong>ssin, pour lequel il semble avoir eu une véritable prédilection. Ses cours à la Sorbonne<br />

furent peut-être remarqués par Jean Guiffrey, qui lui proposa en 1907 <strong>de</strong> commencer avec lui le vaste inventaire <strong>de</strong>s<br />

<strong>de</strong>ssins du Louvre, selon les métho<strong>de</strong>s scientifiques les plus rigoureuses. Plusieurs attributions <strong>de</strong> la collection<br />

doivent <strong>de</strong> la sorte à l'oeil <strong>de</strong> Pierre Marcel.<br />

Cependant, sa contribution majeure à l'histoire <strong>de</strong> l'art concerne la peinture française du XVIIIe siècle. En choisissant<br />

pour sujet <strong>de</strong> sa thèse, en 1903, la fin du règne <strong>de</strong> Louis XIV et la Régence comme bornes d'une étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la<br />

peinture française, il voulait renouveler l'historiographie, qui séparait alors <strong>de</strong> façon distincte le Grand Siècle et le<br />

Siècle <strong>de</strong>s lumières. En cela, la thèse <strong>de</strong> Pierre Marcel, avant celle <strong>de</strong> Jean Locquin en 1912, apporte une<br />

contribution majeure sur la marche <strong>de</strong>s institutions artistiques, sur l'évolution <strong>de</strong>s styles et sur l'émergence <strong>de</strong><br />

nouveaux genres picturaux au début du XVIIIe siècle. Néanmoins, la mise en perspective historique orientait <strong>de</strong><br />

façon très personnelle l'interprétation <strong>de</strong> l'évolution <strong>de</strong> la peinture. Le règne <strong>de</strong> Louis XIV, compris comme celui <strong>de</strong><br />

l'absolutisme sans nuance, aurait déteint sur les arts, privés d'invention ; ces <strong>de</strong>rniers ne pouvaient se libérer que<br />

débarrassés <strong>de</strong> ce joug, sous la férule d'un Régent plus libéral. Ainsi, le rocaille et la peinture légère du début du<br />

XVIIIe siècle purent-ils s'épanouir, selon l'auteur, à la faveur d'un retournement politique. Ce qui n'empêchait pas en<br />

même temps la « dégénérescence » <strong>de</strong> l'art puisque la peinture <strong>de</strong> grand genre, et notamment la peinture religieuse,<br />

était abandonnée au profit <strong>de</strong> sujets plus aimables et plaisants. Pour outrée qu'elle paraisse résumée ainsi, cette<br />

vision fut pourtant jusqu'à une date récente celle défendue par <strong>de</strong> nombreux historiens <strong>de</strong> l'art. Ils fondèrent souvent<br />

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<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

leurs thèses à partir <strong>de</strong> celle <strong>de</strong> Pierre Marcel, publiée dès 1906 et précisée par quelques articles, parus avant 1914.<br />

Dans son ouvrage sur Le Brun, en 1909, Pierre Marcel nuance quelque peu sa vision dirigiste et absolutiste <strong>de</strong> la<br />

comman<strong>de</strong> royale, tout en considérant le Premier Peintre du roi comme le chef <strong>de</strong> file d'une école <strong>de</strong> peinture<br />

répétitive, sinon uniforme. Toute l'ambition qu'il reconnaît à la génération suivante aura été <strong>de</strong> s'affranchir du style du<br />

maître.<br />

L'activité pédagogique <strong>de</strong> Pierre Marcel à l'École <strong>de</strong>s beaux-arts est encore mal connue, mais il joua certainement un<br />

rôle dans le développement <strong>de</strong>s cours illustrés par l'image. Son directorat du service photographique et<br />

cinématographique <strong>de</strong> l'armée pendant la Première Guerre mondiale le sensibilisa peut-être à cet aspect <strong>de</strong><br />

l'enseignement. Quoi qu'il en soit, il publia avant-guerre une série <strong>de</strong> commentaires sur <strong>de</strong>s monuments<br />

d'architecture espagnole <strong>de</strong>stinée à accompagner les plaques <strong>de</strong> projections lumineuses qui leur correspondaient.<br />

Cette attention portée aux problèmes techniques <strong>de</strong> l'apprentissage <strong>de</strong> l'histoire <strong>de</strong> l'art, son activité débordante en<br />

tant que rédacteur <strong>de</strong> catalogues, d'articles, d'essais, mais aussi en tant qu'éditeur engagé placent Pierre Marcel<br />

parmi les figures les plus intéressantes <strong>de</strong> l'histoire <strong>de</strong> l'art <strong>de</strong> la première moitié du XXe siècle.<br />

Christine Gouzi, maître <strong>de</strong> conférences <strong>de</strong>s universités<br />

Principales publications<br />

• Les Influences italiennes sur la Renaissance artistique française. Un vulgarisateur, Jean Martin. Paris : Garnier<br />

frères, s. d. [1898].<br />

• Les Industries artistiques. Paris : Schleicher, s. d. [1904].<br />

• Inventaire <strong>de</strong>s papiers manuscrits du cabinet <strong>de</strong> Robert <strong>de</strong> Cotte, premier architecte du roi (1656-1735) et <strong>de</strong><br />

Jules-Robert <strong>de</strong> Cotte (1683-1767) [conservés à la Bibliothèque nationale]. Paris : H. Champion, 1906.<br />

• La Peinture en France au début du XVIIIe siècle 1690-1721. Paris : Ancienne Maison Quantin, s. d. [1906].<br />

• Espagne. Séville, Alcazar, la maison <strong>de</strong> Pilate, enseignement sur les projections lumineuses. Notices rédigées<br />

sous le patronage <strong>de</strong> la Commission <strong>de</strong>s vues instituée près du musée pédagogique. Paris : G. Vitry, s. d.<br />

[1908].<br />

• Espagne. Séville, monuments civils et religieux, enseignement par les projections lumineuses. Paris : G. Vitry,<br />

1908.<br />

• Espagne. Séville, vues générales, rues, places, promena<strong>de</strong>s, fêtes, types et scènes populaires, enseignement<br />

par les projections lumineuses. Paris : G. Vitry, 1908.<br />

• Espagne. Grena<strong>de</strong>, l'Alhambra, le Généralife, enseignement par les projections lumineuses. Paris, s. d. [1909].<br />

• Grena<strong>de</strong>. Monuments civils et religieux, enseignement par les projections lumineuses. Paris : G. Vitry, s. d.<br />

[1909].<br />

• Charles Le Brun. Paris : Plon-Nourrit et Cie, s. d. [1909].<br />

• Moreau Jean-Michel. - Carnet <strong>de</strong> croquis par Moreau le jeune. Fac-similé <strong>de</strong> l'album du musée du Louvre, préf.<br />

et <strong>de</strong>scription <strong>de</strong> Pierre Marcel. Paris : J. Terquem, 1914.<br />

• La Peinture française. Le XVIIIe siècle. Paris : Ch. Eggimann, 1914 ; rééd. Paris : A. Morancé, 1921.<br />

• « Les Peintres et le Public en France au XVIIIe siècle ». Mélanges Bertaux. Paris : E. <strong>de</strong> Boccard, 1924, p.<br />

205-213.<br />

• Jean Martin. Paris : F. Alcan (« Art et esthétique »), 1927.<br />

• Guiffrey Jean et Marcel Pierre. - Inventaire général <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins du musée du Louvre et du musée <strong>de</strong> Versailles.<br />

École française, t. I-X, collab. <strong>de</strong> Gabriel Rouchès ; t. X, collab. <strong>de</strong> René Huygue t. XI. Paris : éd. Albert<br />

Morancé/Réunion <strong>de</strong>s musées nationaux, 1907-1928, 11 vol.<br />

• Marcel Pierre et Terrasse Charles. - La Peinture au musée du Louvre, École française, XVIIIe siècle, Jean<br />

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<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

Guiffrey dir. Paris : L'Illustration, s. d. [1928].<br />

• Cervantès chez les pirates d'Alger. Paris : Jules Taillandier, 1933.<br />

Articles<br />

• « Un débat entre les peintres et les poètes au début du XVIIIe siècle ». La Chronique <strong>de</strong>s arts et <strong>de</strong> la curiosité,<br />

1905, p. 182-183, 206-207.<br />

• Marcel Pierre et Guiffrey Jean. - « Une illustration du "Pas <strong>de</strong>s armes <strong>de</strong> Sandricourt" par Jérôme ou Nicolas<br />

Bollery ». Gazette <strong>de</strong>s Beaux-Arts, t. XXXVII, avril 1907.<br />

• « Frantzouskié rissounki » [Les Dessins français I. Le Moyen Âge. La tradition française au XVIe siècle]. Stayé<br />

Gôdy, juin 1911, p. 3-16.<br />

• « Frantzouskié rissounki » [Les Dessins français II. Le XVIe siècle]. Stayé Gôdy, juin 1911, p. 3-17.<br />

• « Deux tableaux <strong>de</strong> Jean-François <strong>de</strong> Troy aux musées <strong>de</strong> Rouen et d'Orléans ». Les Musées <strong>de</strong> France, 1912,<br />

p. 102-103.<br />

• « Une exposition <strong>de</strong> cent <strong>de</strong>ssins anciens et mo<strong>de</strong>rnes à Lyon ». Les Musées <strong>de</strong> France, 1912, n° 1, p. 16-18.<br />

• « Frantzouskié rissounki » [Les Dessins français III. Première moitié du XVIIe siècle]. Stayé Gôdy, novembre<br />

1912, p. 16-31.<br />

• « La Collection <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins <strong>de</strong> Gabriel Lemonnier au musée <strong>de</strong> Rouen ». A.A.F., Mélanges <strong>Henry</strong> Lemonnier,<br />

1913, p. 467-495.<br />

• « Les Peintres et la Vie politique en France au XVIIIe siècle ». Revue du XVIIIe siècle, 1914, n° 4, p. 2-23.<br />

• « Le Vrai Péguy d'après une correspondance inédite ». L'Ruvre, 25 et 26 mars 1926.<br />

Bibliographie critique sélective<br />

• Frizzoni Gustavo. - « L'Inventario generale <strong>de</strong>i disegni nei musei <strong>de</strong>l Louvre e di Versailles ». Rassegna d'Arte,<br />

octobre 1910, p. 147-155.<br />

• Michel André. - « Causerie artistique. Dessins du Louvre, à propos <strong>de</strong> l'Inventaire général <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins du<br />

musée du Louvre par MM. Jean Guiffrey et Pierre Marcel... ». Le Journal <strong>de</strong>s débats, 6 février 1912.<br />

• Simone [Madame]. - Sous <strong>de</strong> nouveaux soleils. Paris : Gallimard, 1957, p. 273.<br />

• Isaac Jules. - Expériences <strong>de</strong> ma vie. Paris : Calmann-Lévy, 1959, p. 308-309.<br />

• Martin Auguste. - Feuillets <strong>de</strong> l'amitié Charles Péguy, juillet 1949, V, p. 7 ; juillet 1954, XXXIX, p. 27-28 ; avril<br />

1957, LXVII, p. 8 ; janvier 1959, LXIX, p. 3-11.<br />

• Riby Jules. - Lettres à Joseph Lotte, cahiers <strong>de</strong> l'amitié Charles Péguy, n° 98, I, 1963, XCIX, CI, CII, CV.<br />

• Guillemin Henri. - « Henri Guillemin ouvre la correspondance <strong>de</strong> Péguy avec Pierre Marcel ». Le Mon<strong>de</strong>, 8<br />

septembre 1972.<br />

• Charles Péguy : [catalogue <strong>de</strong> l'exposition], Paris, Bibliothèque nationale <strong>de</strong> France, 1974, p. 138-139.<br />

• Marcel Pierre et Péguy Charles. - Correspondance : 1905-1914. 398 textes réunis, classés et annotés par Julie<br />

Sabiani. Paris : « Cahier <strong>de</strong> l'amitié Charles-Péguy », n° 27, 1980.<br />

• Caumont J. - « Lévi Pierre, Marcel ». In Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, Jean<br />

Maitron, Clau<strong>de</strong> Pennetier dir., 4e partie « 1914-1939, <strong>de</strong> la Première à la Secon<strong>de</strong> Guerre mondiale », t.<br />

XXXIV. Paris : Éditions ouvrières, 1981, p. 352-353.<br />

• Bouju Marie-Cécile. - « Europe et ses éditeurs 1923-1949 ». In Actes du colloque « Europe, une revue <strong>de</strong><br />

culture internationale 1923-1998 ». Henri Béhar, dir. Paris : Europe, numéro spécial, 1998.<br />

• Gnocchi Maria Chiara. - La Revue Europe et les « Prosateurs français contemporains » <strong>de</strong> Rie<strong>de</strong>r (1923-1938) :<br />

statistiques et commentaires. Paris : Europe, automne 2003.<br />

Sources i<strong>de</strong>ntifiées<br />

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<strong>MARCEL</strong>, <strong>Henry</strong><br />

Orléans, centre Péguy, archives <strong>de</strong>s Cahiers <strong>de</strong> la quinzaine<br />

• Huit lettres (correspondance Pierre Marcel/Charles Péguy)<br />

Paris, archives <strong>de</strong>s Presses universitaires <strong>de</strong> France<br />

Paris, Bibliothèque nationale <strong>de</strong> France, département <strong>de</strong>s Manuscrits<br />

• Fr, n.acq. 16579, 248 lettres (correspondance Charles Péguy/Pierre Marcel)<br />

Archives privées J. Caumont-G. Prache<br />

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