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H n'y a pas, pour sauver nos Finances - Bibliothèque de Toulouse
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<strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés
a POUR VOS ACHATS D'ALI MICNTR,TION 75; Pue Abacelerraine nedboN Dli LA POTOPIIDE ltiez;71ince inerie&mee: iseinfzur L.Ce e-erereee" Chronique <strong>de</strong> Tou NOS REUNIONS PUBLIQUES A LA COTETPAVEE Le bureau est formé <strong>de</strong>s citoyens 13ranca, t'io<strong>de</strong>nt; Brillas et f °Muter.. êssêN » J041110U, secrétaire. eg une bre,' allocution du prési<strong>de</strong>nt, doyen Froment prend la essuie et, se' 'en ,,on habitu<strong>de</strong>, marque doctrinal...nt la p. 'aies du l'a. socialiste, C'est aven un. ,stree <strong>de</strong> pensée Mune concision indê- Mao le qu'il expose dans le fond ce qu'Il cred être la ventaise pensée marxiste qat anime la S. F. L O. C'est à M base Bonn dan sirs sonmets; c'est à la masse ara travailleurs et non à une poignée <strong>de</strong> dirigeantspd'où qu'ils nous viennent et quelle suit leur ta eut, qu'il appartient <strong>de</strong> prolétariat. C'est /e pruidarist luionètne qui <strong>de</strong>iger a sen action et réalisera sm <strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> tous l'Imité necessamc lien mer<strong>de</strong> en avant. Notre cameradu fait ensuier nue eritlque serrée <strong>de</strong> la gestion municipale actuelle, *éclatement sur la vie chère et femme on assurent les trayante:ms qu'us. muscat !sire contienne au Parti <strong>pour</strong> la Sa. <strong>de</strong> leurs intérêts et <strong>de</strong> leurs Froment a obtenu, b reit, réunion, un gros succès personnel, marqué à différentes reprises par <strong>de</strong> vifs applaudissements. Le mteyen Flynn' qui bu suree<strong>de</strong>, examine dans cf, montases détails le bilan basait <strong>de</strong> la 'municipalité qui va partir, stion financière, question <strong>de</strong> l'usine du ouncer, personnel munietpal, Beaux- Arts luta d dénonce le scandale <strong>de</strong>s dancings qui y ont iii établis), assistance et présoyance sodale, hygiène pUblique, st. dium au Pure Toulousain, boumes-vig. etc., etc., tout y <strong>pas</strong>se et, sur chacun <strong>de</strong>s points, ligots, aVeC une remarquaiele précision, nM aucune peine à faire comprendre les erreurs commises par <strong>nos</strong> adversaires e/ à faire éclater' en même temps que our partis/fié, l'évi<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> leur muon nu ben.ee <strong>de</strong>s privilégiés <strong>de</strong> in fortune, et ce sue le dos <strong>de</strong>s travailleurs. Aprés on aussi substantiel etiPOS6, que l'assemblée a salué <strong>de</strong> vigoureux applaudissements, aigre camara<strong>de</strong> Jean Bleues flélmtêt Prend place Se la tribune et, Mine an ires bean disenare, Hes.on enroueu tous les grands problèmes <strong>de</strong> la politique générale. La situation financière da pars est exposée avec clarté et documents Bannit Le citoyen comuniste, m apnorto la contradiatiOn Craste' en ternies modérés, et en Occlue à regretter presque que l'union <strong>de</strong>s forces socialistes ne suit <strong>pas</strong> fafiot Le citoyen Crase apporte la contradic- Con communiste et, malgré qu'il s'attache I, être particulièrement modéré, il n'arrive <strong>pas</strong> à convaincre l'auditoire. Au mers <strong>de</strong> son exposé, notre camara<strong>de</strong> Ellen précuit, qui arrive <strong>de</strong> la réunion tenue à Lab.. guette, est Poblet d'une véritable ovation. Et après Crete, qui a quelque peu énervé et lassé le public, lu conseiller général du canton Ouest, avec sa compétence e sa force habitnellos, ouaneees d'ironiques autant que spirituelles pério<strong>de</strong>s, nM en' cime difficulté <strong>pour</strong> réduire à néant tontes les questions posées on étudiées par La colonel resta stupéfait, so <strong>de</strong>mandant s'il rêvait, ou si on lui avait change son Brossard. Le patient Senne homme, qui daubait la tête SOUS les sareasmes et SOUS le, import...ces, avait disparu. A en placa, Merlo( voyait un gareu hardi ed geguenaul, prompt à la para<strong>de</strong> et habile à la riposte Cependant il ne se tint <strong>pas</strong> <strong>pour</strong> battu; Il voulut essayer <strong>de</strong> reprintdre son ascendant. Mais, monsieur, 54 PdIrrIds vous man<strong>de</strong>r un compte Sévère <strong>de</strong> édre Dan. <strong>de</strong>tte... Deman<strong>de</strong>z, Colonel. Vous avez usé <strong>de</strong> violenta envers mol. Parfaitement. VO.Ii osez l'avouer Je Tom. J'oserai tout désormais. Pen. stain longtemps, onlonol. J'el eilsaYI <strong>de</strong> Nene Prendre Par 1a douma. Je vous ai oboyd, mirasse, flatté. A touées uses grâces Wh, Mer séPondu Par <strong>de</strong>s bourra.dom L: Crash' et d'autres interpellateurs intormit- I lents. Malgré sa fatigue, Ellen Prévot examine ln situation électorble actuelle et les peupositions communistes ai, avec une farce FEUILLETON DU MIDI tt <strong>de</strong> Permission qui fait en impression énorme, il déclare quo si q Parti communiste est si disposé que cela b voir les intérêts du prMetarist toulousain primés eMre <strong>de</strong> bonnes mains, il n'a donné lui aussi sou effort en faveur <strong>de</strong> la liste tuba. liste S. F. I, 0., Plutôt mu par une lactique ausd légère que désastreuse, mettre un frein, si léger suis-il, à la nouvelle rentre,' <strong>de</strong> la doctrine socialiste au Capitole. Après un vibrant aPPel ana électeurs Présente, Ellen Prévot, dont l'admirable discours a été fréquemment aPplaudi, termine sous <strong>de</strong> nouveaux bravos en esprits ment sa confiance dans le scrutin du 3 mai prechain Un ordre du jour au ce sens est enSu<strong>de</strong> adopté à l'immunité. A LA MOUSSE Trés grog aminé, socialiste Mien ser candidats durs /a salle nivelle, trop petite <strong>pour</strong> restent, les très nombreux thichaturs veaus b BalePel dm Mitants <strong>de</strong> Cette flo- que:hé, n'industrie. Lee communistes °mye.", d'honneur. F.M. ouvre lu séante. Bans une courte el très appréciée allocution il souligne M yigourimse offensive que prend notre Parti dans /a Bataille qui s'engage tontre un adversaire qui est encore dans la Pério<strong>de</strong> du gestation <strong>de</strong> sa liste. Il dit Ms sentiment, qui ont guidn le Parti <strong>pour</strong> désigner les candidats any fonctions municipales. ils ne sont, certes <strong>pas</strong>, tous nantis <strong>de</strong> titres rendants, mais tous décidés à hien fane. Moins <strong>de</strong> discours, moins <strong>de</strong> fêtes, mais plus <strong>de</strong> résultats pratiques uratefilas à la collectent). Linières, <strong>de</strong> sa parole Mu.dn ci peMnasive, brosse un tableau <strong>de</strong> lê politique gris lobule du Parti, do &nt duetto. essentielle, nleab eniptoyes per faire, pré,. CleirS lo sa thèse. En <strong>de</strong>s comparaisons simpliste, il fait loucher du doigt, la plaie qui mine la société admit., et les remè<strong>de</strong>s b y appor. Et naturellement, il ne peut le foire tans délmeher, Dit I très involontairmnUnt, quelques cmps <strong>de</strong> pointes h mea adversaires <strong>de</strong> doute f1I'n" relevés 99 <strong>de</strong> parera gsuc4. <strong>de</strong>rniers. que sssSn'S Saua Lar<strong>de</strong>., dans la salie, <strong>de</strong> cama- ra<strong>de</strong> Lavit, lui fait annoncer qo il va terminer, peur lui cé<strong>de</strong>r la place, ne tioth lent PM daines do l'attention <strong>de</strong>s midi. tours. Il termine, non sans men.er les édiles sortants. Levit est salue par <strong>de</strong>s applaudissements unanimes, qui prouventcombien notre ami est estimé do ceux qui le connarss.t Il que/ill.', comme uleiunoirat, les mons songes étable sur une fouille tirée 4 plus ae 100.000 exemplaires, distribuée à pros fuslon, et dont les Mme seront supporte La Comtesse Sarah F.a.r G-eorgen Alors, comme je ne eau <strong>pas</strong> °néné, rai résolu <strong>de</strong> changer <strong>de</strong> tactique Et désor. mals le compte, dans Mes relations aveu vous, nie montrer aussi <strong>de</strong>sagrésbie gué Pons le serez vous-même. Le colonel eut un dilemiuseshent. C'était hi première fois qu'on lui parlait sur un pareil ton, il ohereha Un do Ces mots écrasants qui tombent Sur un intérim. toue comme MI 00141 <strong>de</strong> massue. I/ ne trouva rien et resta béant te sais bien que Te Sese difficile, <strong>pour</strong>suivit Brossard avec une railleuse mo<strong>de</strong>stie, men avec <strong>de</strong> Pappliestion ut vo. tre exemple, j'y arriverai. Et, flatté du. vair rencontré un obsédan aussi grognon et aussi bourru que vous, vous m'accor<strong>de</strong>rez indabitablement la main <strong>de</strong> matlemol. Selle votre fille... Jamais/ tonna Min<strong>de</strong>t, retrouvant la parole. Nes verrons I., me Contribue>, Cette feuille a <strong>pour</strong> erdEovre enuelpole r Il fait une eegi<strong>de</strong>ees Tc; la gestion <strong>de</strong>s chninistrateurs an fotrisinge. Autant do n'estions, autant <strong>de</strong> seandatm e 11111111111M1111 LE 511DI SOCIALISTE t ont préludé à la campagne électorale. Un plaudissoments, sauf l'approbstion <strong>de</strong> lieus habdant <strong>de</strong> la Jurasse, fait part <strong>de</strong>s communs es qui, culons. d'habitu<strong>de</strong>, Panées do sen concitoyens en ce tint et. filent <strong>de</strong> ms réunions pro- <strong>pour</strong> faire leur ex. ceie l'hygiène, l'eau, l'éclairage, la vol- miel. <strong>de</strong> 'mine et youroir troubler les seu- te es, En fait d'eau, èla sortie, il eu toml done. 'eau, l'électricité, Jet tramways, l'usine du bait pet mal, quant h la voirie nous avons Notre camara<strong>de</strong> Ellen n'avait <strong>pas</strong> une tamier, uvre <strong>de</strong> etre Bed<strong>de</strong>ef piste consted. ! Plus belle ocension peur démenties <strong>de</strong>. cits <strong>de</strong> caner st, mi <strong>de</strong>s Intérêts du Ou- il est 1 lu. Ne lorsque l'ordre du Eue cet les auditeurs leurs idées <strong>de</strong> division lie. Les régies Mtinterpales adom mites b, l'assemblée est voté b Punani. <strong>de</strong>s elggiee prOlfdariennes et /a haine <strong>de</strong>s talent une source <strong>de</strong> bénéfices, sent lern. mité, ear à l'épreuve contraire aucune ' sochilletes. ,'ms dans l'anarchie menpléte. min ne Su R,Ve, <strong>pas</strong> même colles <strong>de</strong>s cuva. Ellen ti.ritilne, salué par <strong>de</strong>s applaudis- Il n'a <strong>pas</strong> <strong>de</strong> peine b démente. que la sements nourris. municipalité socialiste, pendant la périe- Ordre du jour D, cette belle petite réunion, les élec- . <strong>de</strong> guerre, alors qu'il 1715 rentrait pis Les habltanfa <strong>de</strong>n quartiers entrasse/ tmes sauront reermitre leurs véritables i'argent dans la caisse à pu fair, &marnière et Périele, après ne If défenseurs. Confiants dans la marche <strong>de</strong>s e <strong>de</strong>S besolse toujours croissants. A Tou- candidats socialistes sent haireux entendles <strong>de</strong> leur confiance la liste soeialistm ause, Tecribil, on n'a <strong>pas</strong> connu la mes eastater que dans leur programme fie réformes, ils donneront au 3 Mai Mute sêre. or, Il fil se con' as <strong>de</strong> er1110er11, il àle.115- emprise claire:ruent ouvre à laquelle se m l'er eioration as la voirie, <strong>de</strong> Phy. itefortfe les fu.im Mus. re.e <strong>de</strong> l'eau, font eonflance f,a se, ehére sera combattue, la crise du aux eandidate <strong>de</strong> ln liste socialiste et Puer le Pfeeiler 11181 'figement atténuée dans une large mesure. n'emploieront, par toue les moVene, é °eau <strong>de</strong> nouveau considérée, non comme faire triompher le liste du Parti soda. 'blet <strong>de</strong> luge mais <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> nécessité, liste. Vive la République moisie ! In rinne <strong>de</strong> 'la voirie améliorée, Passais nieneduint génère/ résolu par uti proiet Or redsimettion d'Amen °magnesite:nt à 1-hygiène mo<strong>de</strong>rne. Toutes puestims et F. <strong>pas</strong>se d'autree, traites b fond rfoulevnit un tan. nem aleptatuitstetneds. lus goba corn/Muet° se full entendre par le faible organe <strong>de</strong> Remer secondd par les Injures <strong>de</strong> la e <strong>de</strong>me a drui<strong>de</strong>. 14,It d'Oigne vigoureusement, il osent en flagrant délit d'opposition la Mese, sué. tenue eux Minimes par sua correléglom mûre Comte. Sur les questions <strong>de</strong> Pet).que générale <strong>de</strong> ennivernemenft Ingerry reçoit une magistrale leçon; te arguments mesure qu'ils sortaient <strong>de</strong> la burette <strong>de</strong> notre ami étaient autant <strong>de</strong> oeups <strong>de</strong> massue assénés, non seulement sur la tête <strong>de</strong> Béarn., mats du uominnnisme Jans tont ce m'II a <strong>de</strong> plus intégral. Quant à la st dame » en question, nous l'avons bien mument entendue <strong>de</strong> sa claironnante invectiver nes élus; avm la <strong>de</strong>mbe qu'elle a rem, si elle recommece, etre' oncle est un véritable vakan, nous n'insistons <strong>pas</strong>. A part ce numéro, il nous plaît <strong>de</strong> souligner la courtoisie dont font montre les communistes dans toutes les Mutions qui APRÈS LEUR PRÉTENDU ACTIF, VOYONS LEUR PASSIF Leurs emprunts el les notres Les sortants ne font que parler <strong>de</strong> l'habileté <strong>de</strong> leur gestion financière et dit gaspillage <strong>de</strong> leurs prédéces. urs. Un simple tableau <strong>de</strong> la situation <strong>de</strong>s emprunts éclairera le public . EMPRUNTS CONTRACTES PAR LES SOCIALISTES d 1912 à 1919 (c'est-à-dire dans une durée <strong>de</strong> sept ans et <strong>de</strong>rni) novembre 1919 (c'est-à-dire près la guerre) 5.308280 In, user paiement du Crédit Foncier. Et <strong>pas</strong> autre aime,. EMPRUNTS CONTRACTES PAR LES SORTANTS <strong>de</strong> 1920 à 1925 d<strong>de</strong>st-à,dire pendant cinq ans et <strong>de</strong>m) Juillet 1920 8,000.000 Décembre 1921 6.e09,1100 Août 192,1 3.009.000 (Seulement, à la suite d'une campagne vigoureuse du Midi Socialiste, mn dénonça l'irrégularité et l'inutilité <strong>de</strong> cet emprunt, le Crédit l'humer refusa <strong>de</strong> preter les 3 millions. Mais <strong>nos</strong> édiles voulaient bien les encaisser.) Novembre 1921 . , 1.000.000 Soit au total 1$.000.000 Dont . 2.000,601) leur ont été retirés par nous. Donc, en définitive, 16,000.000 A QUEL TAUX Les socialistes ont emprunté 5 0/0. Les sortants ont emprunté : En 1920, à 6 80 0/0, En 1921 h 8 0/0, Ert 1921, à 11 0/0. Ansullés à payer (en 1024 et en chiffres ronds) Pour l'emprunt socialiste. 880.000 emprtnts <strong>de</strong>s sortante. 2.132.000 e ituifftION PLOLIQUE DE LAPOURGUETTE De plus en plus, enthousiasme. général dans ace tournées <strong>de</strong> propagan<strong>de</strong>. Cette .fuoacur,,,doesiosereitttituorgusuericite été doun<strong>de</strong> été i les n contact, as, les camaradm du Ptiorila eociallsto et <strong>de</strong> eon.naître leurs idues. àoire camm<strong>de</strong> LaInée, eamlidat geste les ca e,emig,"f,ild:11t'estée per Ise électeurs. Après avotr Pr& fienté les nouveaux ea.ndi<strong>de</strong>ts désignés par puni, raeleinvoeu <strong>de</strong> /a confiance, il donne e eur7nril met en relief 'stis tof: fee bi:eitr'doteU la population pendant la question municipale menet toutes les drfliculte <strong>de</strong> la guerre, Mireletement détruites par la municipalité Bloc National, ré' Ttem* nh .:bromure suite après, notre camara<strong>de</strong>. Eller °mes son exposé vigoureux et <strong>de</strong> ces belles paroles habituelles a été très apprécié <strong>de</strong>s assistants et non <strong>pas</strong> ménagé limes air Avec un toupet qui frise ou l'inconscience absolue, ou l'effronterie la Oses cynique, ou la stupidité la plus Marne les &I<strong>de</strong>s affirment par voie <strong>de</strong> tracts 4 Par voies d'affiches qu'eu cours ce /ont règne les impôts et les taxes n'eut pus augmenté. Certes, los contribuables ont acres et déjà bondi sors ce mensonge. Eux dol payent, ils savent bien nue la ncto est pl. forte. Mais Pour bar olômms uae idée plue esoefe ce la Prorartfon , rao.eiesement ito leurs &arecs. met, tors sous Ifurs yeux les chiffres official et authentioces, sortis <strong>de</strong>s mopref data, n'enta nommes. ea imoStn généraux IMFOTS D1RECIS ET TAXES DélOs'uéna7 Careurces, La Co Confédération générale a, travail, comme les années précé<strong>de</strong>ntes, invite Isà tmvailleurs à chômer le Premier Mai, et s inspirant dos indications données par la Fédération Syncicale Internationale, a décidé que as. les circonstances ex. celptioPnellers que nous vivons, ICS 11.3/1i festatima <strong>de</strong>vaient tare <strong>de</strong> puie.ntes n'orstrutions populaires ou s'agir/parsi/ l'ar<strong>de</strong>nt elléeir <strong>de</strong> réaliser la paix entre leu,poun/es. Quelmies jours nous séparent <strong>de</strong> la date li,rée. Les organimtions syndicales doivent se, mettre, sans retard, à la pressurer les mussem ouvrières lus'arno, an mrtagen, et les engager a manifester en ce ions oe les Mai. POUR LE PREMIER MAI Les camara<strong>de</strong>s mndiquês se rebiffent! Pans ln matinée à la Pousse du Travail r y faire pointer leur carte et 'ée pou ntam mots. avec leur camards% ele travail. L'sprès.midi. cendre-cuminà 3 heures. IazamIwInslalélelle..afemoRillIma35 ..... MIMIlowwaneas0 Leurs impôts Leurs comptes et les notres administratifs L'exercice <strong>de</strong> 1923 s'est soldé, d'après letps propreG chiffres, par un excé<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> recettes <strong>de</strong> 5.000,000 <strong>de</strong> francs. Pourquoi ? Parce qu'ils ont emprunté plus qu'il ne convenait. Parce qu'ils ont écrasé les Tou/Misai:1s <strong>de</strong> taxes indirectes octielleen et inutiles. Parce qu'ils n'ont <strong>pas</strong> exécuté 16.8 travAaU. MAIS. E CINQ s'INQ MILLIONS, °Te COMMUNALES AS9IM1LEES En 1919 896.000 fr. 1.960.000 En 1919 2,450.000 fr. En 1924 0.200.1300 Sait ur.e majoration <strong>de</strong> 150 p. 100. DROITS' DE PLACE DROITS D'ARATACE SUR LES VLANDES En 1919 200 050 fr En 1924 420000 Sait une majoration die 110 p. 100. DROITS DE VOIRIE En 1919 155100 fr En 1924 290.069 Soit une majoration <strong>de</strong> 87 p. 100. CONCEfSIONS D'EAU En 1919 530.600 fr En 1924 1.900.000 Soit une majoration ale 258 p. 100. VOLATILISES, EN- GLOUT1S dans le budget <strong>de</strong> 1924, puisque celui-ci a été boualé très psteiblrambnieoltd oavec. les cinq millions En 192, Ce qui prouve que les sortants, Soit une augmentation rie pim dg s'ils n'ont <strong>pas</strong> <strong>de</strong>s avances (et ils en double. ont pris suffisamment, comme on I a TAXES MUNICIPALES vu plus haut, dan leurs <strong>de</strong>ux pre- En 1919 g 937 go molène° armées), sont incapables <strong>de</strong> En 1925 12.457.0W boucler un budget. sois une augnentation <strong>de</strong> près Ou dols Et une nouvelle et définitive bic, preuve c'est que, ayant mangé ces CENTIMES ADDITIONNELS 5 millions eu 1924, ils ont aussitôt En 1919 3.000 000 fr voté, à la fin <strong>de</strong> celte méme année, En 1924 4,097.000 un nouvel emprunt <strong>de</strong> 3 millions. Soit une aug-mecitation do 75 p. 100 Ainsi, <strong>de</strong>ux genres d'observations a imposent Me ce oi t Quelques taxes ssécuuts S'il est vrai quep nt la caisse munici- TAXES D'CCIROI pale était riche <strong>de</strong> 5 millions et <strong>de</strong>mi eu mars 1924, les contribuables vont se <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r POURQUOI LA MUNI- CIPALITE LES Si FORTEMENT ETRANGLES. 5.40 00,0 to.j Point n'était nécessaire d'infliger En 1919 En 1924 1.120.000 <strong>de</strong>s impôts si tourds puisque leur Soit une majoration c/e 230 p. 100. montant dort dans la caisse Et, en second lieu, si le budget <strong>de</strong> 1023 laissait un reliquat <strong>de</strong> recettes <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 5 millions, cette somme doit donc être reportée sur le budget <strong>de</strong> 1924. Or, celui-ci, malgré ce magot dont on lui fait ca<strong>de</strong>au dès sa naissance, arrive pénil<strong>de</strong>ment joindre les bouts. N'est-ce <strong>pas</strong> anormal ? Et <strong>pour</strong>quoi nous oblige-t-on à constater que cette anornatie, qui va faire épuiser à l'ano<strong>de</strong> 1921 tou- Et Nus en choeur s'écriaient Ce sera un joli couple I La prèle madame <strong>de</strong> Pomperais regrettait Boutonnent que Sée.... n'eût <strong>pas</strong> <strong>de</strong> naismnee. Madame Silvestre._ Allez au diesle J'y suis, colonel. Et répondant au coup d'el foudroyent o Aterlot par une grad.. révérence, Imossard laissa le colonel complètement tout court C'était un peu sen ... médusé », cennue <strong>de</strong>vait l'avouer plus Mata, ma Mère, dit Gaston, SeveraC lard. Des exclamations joyeuses Panaché- Obtiendra certainement l'aPterisation <strong>de</strong> rent à sa stupeur. Le comte venait d'au- relever le nom <strong>de</strong> sa femme, et il prendra 1 titre <strong>de</strong> marquis... &Sucrais do Cygne, cela sonnera assez bien lm Soyez sûr que Pierre ne relèvera rien du tout, dit Brossard. Nous vivons dans un temps où ln noms ne valent plus que par les hommes mes qui les P..- I. Qu'est-ce qu'un Mrontmoren-ey qui se bore ne h continuer ses aieux7 10e vaut-il <strong>pas</strong> mieux être monsieur n'importe qui, et s'illustreer soimême, que d'endosser ma nom emprunt, comme on revêt un habit d'occasion C'est avois bien peu d'a. mous-propre I Et ma<strong>de</strong>moiselle <strong>de</strong> Cygne ne regrettera <strong>pas</strong> <strong>de</strong> s'appeler, madame Sévrac. Surtout quand mn mari commas. favorable l'ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> °mu <strong>de</strong> son oncle. <strong>de</strong>re im rom d senne. C'était même /a goule raison, disatisil con- Ainsi, tout M mon<strong>de</strong> assit prévu cette fi<strong>de</strong>ntiellement Pomperait, qui avait pu utiles. Elle était dans l'ordre <strong>de</strong>s choses pep,oeher, lui, Le Livinière, <strong>de</strong> se met- Immanquables. Et chacun en délalielt les Me sue les rangs... Mois, avec sou coup avantages. Sarah dut écouter toutes ces d'oeil exercé il s'était aime dès le pre- vorée par une pige indicible. L'opinion pu_ repr,isenteo par quatre d cinq <strong>de</strong>s indifférents et <strong>de</strong>s bavards qui forment habituellement ses éléments constitutifs, se déduirait lavorablo au mariage. Tout le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s gens d la suite, qui acceptent les raisonnements tout faits, <strong>de</strong>vait emboîter lo <strong>pas</strong>. Bien <strong>de</strong> ne qu'on <strong>pour</strong>rait tem nonnes ses anus la nouvelle du maria- ter ne le ferait changer. Il prendrait rége <strong>de</strong> ma<strong>de</strong>moiselle <strong>de</strong> Cygne, et moi, en solûment parti contre ceux qui voudraient troubler cette union, jugée, dès le premier tossant la jeune fille, se répandaient en instant, as.sorlie. félicitations et en louanges. Certes, elle ne pouvait faire un meilleur chuix. Et Et puis, Blanche, c'êtait l'innocence e'dtait la vertu. garah, c'était le elling. En- Pierre itou es tous Points digne <strong>de</strong> Plantre l'une et l'autre 11 <strong>n'y</strong> avait <strong>pas</strong> d'hée/. Le soin avec lequel &ver. avait tesitation pomible. Tout., dans e, que Pierre nu secret son projet <strong>de</strong> départ fut d'un allait dr, liait fait <strong>pour</strong> fs- grand secours en cete circonstairod Maveriser Blanclie et. <strong>de</strong>sservir Sarah. Un dae m Smor<strong>de</strong>u déclara quelle s'était tou- concert d'éloges s'élevait déjà autour <strong>de</strong> jOIMS doutée que les doses tour/mo<strong>de</strong>rn In jeune fille, et chacune <strong>de</strong>s louanges, <strong>de</strong> la sorte. II y avpit as.z longtemps que qui étaient célébrées sur son mmpte, <strong>de</strong>- Serran aimait ma<strong>de</strong>moiselle <strong>de</strong> Cygne, dévait entrelacs dalla la pensée <strong>de</strong> Pierre un clarait La Livinière, et était clair que blâme <strong>pour</strong> la femme. La fiancé, s'offrait, I, jeune fille ne voyait <strong>pas</strong> d'un mi/ do- Parée do toute /es grâce.s, embellie <strong>de</strong> toute lm s4ductions. La mansessa initie:0one banales, approuver <strong>de</strong> la tete , su instant mot <strong>n'y</strong> avait rien à faire... et paraître sc réjouir, quand elle tétait di. paraitrait parce qu'elle s'attachait désespérément b SOU amant, odieuse, parce qu'elle personnifiait le remords. Malgré luettes désavantages, dont elle se rendait 001121041. Sarah s'obstina b résister. <strong>Bibliothèque</strong> municipale <strong>de</strong> <strong>Toulouse</strong> - Tous droits réservés tous lue travailleurs, Louiorbina, me Rombmières L,asile.`,99 jacquet-Mn c'élérm6 oien la CG I exPose du ler ami et d T foc same.... meg,' réalisation c'e la C.G.T <strong>de</strong>voir ele tout /et; synatmg châtrer le ler mai, puis d'ass' leurs fandles à le déroonstratiol' es' Communiant tous clans une Pensée, tous les prolétaires affirrnm-T'susil leur volonté <strong>de</strong> voir cesser les i issu. eSi. isiéeordre mpitaliste. Le É07190i1 d'administration ah Bourse ,lu Travail et <strong>de</strong> tics Sent:Ictus. Los Secrétaires Orner Be<strong>de</strong>l, Julien Foi,g,,%"' Comment on vote ,l_ovis" Comment on est du Tout ce eIll faut savoir <strong>de</strong>s LOI Régi.Mer/19 applicables aux ué,.;:41: &enraies. Gui<strong>de</strong> arctique <strong>de</strong>s F.1.ECT1ONS MUNICIPALES ET CANTONALEs Par M. Jourdan En vente au Midi Sccialist 5 francs Envoi franco contre mandat poste 5 fr,x Bibliographe LA VICTOIRE EN DEROUTE Voici le Superbe livre <strong>de</strong> visions Dra phéliqueg que Marcel Serinai venait d'achever Iorsein fut surpris par la znort et enlevé à gadairahon <strong>de</strong> ses mannes. blet amis. « LA VICTOIRE EN DEROUTE a, vente à la Librairie du « Alidi Socialiste n, Prix : 7 fr. 50. Franco u 8 francs, neeneenezeremen les les économies rte 1923, se produit à la veille du scrutin / Et qu'ainsi les mauvaises langues seront tentées d'en déduire qu'au appauvrit la ville volontairement, avant, partir, puisqu'ou s'entend si ben à Vennichir en pleine gestion. Les <strong>de</strong>ux bilans comparés Soit par affiches soit par tracts, lm sof. mats produisent <strong>de</strong>s eiffres contradnual. ms. Leurs affiches disent que le Pamif caisse <strong>de</strong> la gestion socialiste dé<strong>pas</strong>se selû millions. Nous 0.193 $70,1,...e, Il y s trois jours que ee chiffre était faux. Mais Pd. Thomas hudmélme la ree0110,1 <strong>de</strong>us une lettre Mill Perlait au midi Socialiste e en août <strong>de</strong>rnier, <strong>pour</strong> etre publie, et o° il dit que les social,stes ont laisse one <strong>de</strong>tte .1è 4 million.. Mais ce <strong>pas</strong>sif purement monétaire peut-il constituer un vrai bilan I Tout le mon<strong>de</strong> comprend que torse'« établit un bilan l'actil doit etre mis on regard <strong>de</strong> <strong>pas</strong>sif. L'ancienne tnunicIpslité a-talle laissé <strong>de</strong> Partit 7 'Oui, elte en a laissé. 101 11 était, cal défi aspermes on <strong>pas</strong>sif, RECETTES A RECUPERER Elle a d'abord laisse <strong>de</strong>s re.ttes à Mt MM., As mes <strong>de</strong> la guerre, non cule' ment aucun impôt nouveau ne fut infra." mais encore les impôts, les re<strong>de</strong>vmees Ven.. ne furent <strong>pas</strong> racismees ilion, oeufs qui soutiraient <strong>de</strong> la guerre et qui daims d'immense majorité, La semaine eneo<strong>de</strong> <strong>de</strong>teledor, et que It Thomas fit récupérer farouchement, dé<strong>pas</strong>sa les eePéranees fie M. Thomas lui-mérao qui le reconnut e ente au cours d'un <strong>de</strong> yen reports lus eu séance publique. CHATS FONCIERS Il y avait aussi à l'actif la propriété dce immeubles et terrains achetés par le Cm' seil à <strong>de</strong>s prix exceptionnels <strong>de</strong> ban ms, Cd et dont la valeur avait quintuple ets et <strong>pour</strong> certains décuplée au moment en M. Thonms établissait le bilan. Citons, entre cent autres °genépi., la propriété du Calvaire, qui tut Payée francs par la ramicipalité socialiste et quf mantenant trouverait <strong>pour</strong> un <strong>de</strong>mismillion plus <strong>de</strong> trente personnes. Citons encore les terrains <strong>de</strong> Saint-11.11, achetés à raison <strong>de</strong> è fr. BO le mètre et qui calent bien maintenant 7 à 8 francs le mètre, Et combien d'autres opérations <strong>de</strong> ce genre <strong>pour</strong>rions-nous énumérer qui ont rmdu la rifle propriétaire n tués peu <strong>de</strong> Dais <strong>de</strong> terres et Immn dont on paumes 13Imobe accepta les crompliesents °SN 11ne souriante complaisance. Elle répondit avec mesure et avee tad. Et 11 fut confis. e:istertreali teu ne cee qmpueérmqure.zionuadaig.eoiimegliell ed.ri<strong>de</strong>e, r,Cryrome pou qua le eu <strong>de</strong> Manette cause ee. telle satisfaction la comtesse que la joie dm hnetredl bonhintu s dl:miels:S'Y:: quu sec tFra je"u'dne nfeem"vm tb lalet cl 5e4 telt eette ar<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s ses per<strong>de</strong>s ao,,,,eteure, ,Itioeusurent r<strong>de</strong>ge:::.nu,ePre.r dé eo dmme, Sarah se admirable_,E<strong>de</strong>e <strong>pas</strong>ronelle.wavreecntiteneevmailleaarnehcaisut hie impatience. Elle attendait Séverac. son visage, elle espérait découvrir Ni td" ces d'un trouble et d'une angoissa se.' Mens à ceux ofielhe (+prouvait elledsé- 'dna° ft",:i4' plIsseEtti* s''esutdif"nrepeurier enmesttre'alseee son gym, e entrain in<strong>de</strong>nuParai<strong>de</strong> cemle, charmé, s'anyeedua onsq,
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