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INTERNATIONALE EGYPTE - ALORS QUE LA MOBILISATION CONTRE LE PROJET DE CONSTITUTION FAIBLIT Les juges de la Cour d’Etat boycottent le référendum Comment fera le président Morsi pour tenir la deuxième phase du référendum sur le projet de constitution après l’annonce de boycott des juges de la Cour d’Etat, qui se joignent au club des juges, déjà défectueux lors de la première partie le 15 décembre ? Les juges égyptiens, qui avaient accepté de superviser la première phase du référendum sur un projet de Constitution controversé ont annoncé en milieu de semaine avoir décidé de boycotter le second tour, accusant les autorités de ne pas avoir tenu leurs promesses. Il ne fait aucun doute que cette décision aura un impact sur la bonne marche d'un vote contesté par de nombreux magistrats et par l'opposition. Les membres du club des juges du Conseil d'Etat «ne superviseront pas la deuxième phase du référendum», a annoncé le président du club, Hamdi Yassine, lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision. Cette association de juges avait annoncé il y a une dizaine de jours qu'elle acceptait de superviser la consultation populaire mais sous conditions, demandant notamment la levée du «siège» de la Haute Cour constitutionnelle par des partisans des Frères musulmans, dont est issu le président Mohamed Morsi. Cette cour avait entamé le 2 décembre une grève illimitée pour protester contre les «pressions» des partisans de Mohamed Morsi, qui ont encerclé ses locaux alors qu'elle entendait examiner la validité de la commission constituante dominée par les islamistes. Or les manifestants investissaient toujours les abords de la cour, «sous l'œil des soldats et des policiers», a déploré cette association de juges. En Egypte, les scrutins doivent se faire sous supervision judiciaire pour être valides. Pour rappel, le Club des juges, un autre syndicat professionnel représentant des magistrats à travers le pays, avait annoncé qu'il boycotterait le scrutin avant son début le 15 décembre. L’autre coup dur pour le raïs égyptien est la valse-hésitation du nouveau procureur général égyptien, Talaat Ibrahim Abdallah, dont la nomination il y a moins d'un mois était contestée notamment au sein de la magistrature. Le nouveau procureur général égyptien, qui a présenté sa démission lundi sous la pression des manifestations et des membres du Parquet qui exigeaient son départ, a demandé jeudi à pouvoir rester à son pos- EN CAS DE POURSUITE DE LA COLONISATION PAR ISRAËL Les Palestiniens iront à la CPI intensification de la colonisation israélienne L’ poussera inévitablement la direction palestinienne à se tourner vers les instances judiciaires internationales, comme le permet le nouveau statut de la Palestine à l'ONU, a affirmé un négociateur palestinien. «L'intensification de la colonisation et l'ensemble des pratiques israéliennes d'assassinats et d'arrestations nous poussent à accélérer notre recours à la Cour pénale internationale (CPI)», a déclaré Mohammad Chtayyeh après l'approbation par la municipalité israélienne de Jérusalem d'un projet de construction de 2 610 logements dans un quartier de colonisation juive. «Le maire adjoint vient de me dire qu'ils avaient approuvé les 2 610 unités de logement» à Givat Hamatos, a déclaré Daniel Seidemann, directeur de Terrestrial Jérusalem, une ONG qui surveille la colonisation israélienne à Jérusalem- Est. Les organisations de défense des droits de l'homme soulignent que Givat Hamatos, situé dans le sud du secteur oriental de la ville, serait le premier quartier de colonisation à Jérusalem à être créé depuis 12 ans. «Officiellement, il s'agit de la décision finale», a affirmé Lior Amihai, un spécialiste du mouvement anticolonisation La Paix Maintenant. Par ailleurs, la commission de planification du district de Jérusalem devrait ces jours-ci se réunir pour examiner la construction de 1 100 logements supplémentaires dans le quartier de colonisation de Gilo, situé également à Jérusalem-Est, selon La Paix Maintenant. Le ministère israélien de l'Intérieur avait déjà donné son feu vert à la construction de 1 500 logements à Ramat Shlomo à Jérusalem-Est, relançant un projet déjà condamné par Washington en 2010. Les Etats-Unis ont fermement dénoncé ces projets, estimant qu'ils allaient «à l'encontre de la cause de Colonie israélienne la paix» et qu'il s'agissait de «gestes de provocation». Ces annonces surviennent alors qu'Israël a essuyé une vague de critiques internationales pour sa décision de relancer un autre projet de colonisation dans le secteur «E1», près de Jérusalem, qui compromettrait la viabilité d'un futur Etat palestinien, à titre de sanction contre l'accession le 29 novembre de la Palestine au statut d'Etat observateur à l'ONU. La direction palestinienne décidera en début d'année prochaine à quelles organisations internationales adhérer grâce à ce nouveau statut, avait annoncé le 13 décembre Mohammad Chtayyeh. «Si Israël continue ses actes de violence contre notre peuple, par ses colons, les sanctions financières et la colonisation, il nous poussera à aller dans cette direction encore plus vite que nous le voulons», a-t-il prévenu, en référence à la CPI et la CIJ (Cour internationale de Justice). Israël considère Jérusalem comme sa capitale «unifiée et indivisible». Mais, la communauté internationale ne reconnaît pas l'annexion en 1967 de Jérusalem-Est, où les Palestiniens veulent établir la capitale de l'Etat auquel ils aspirent. R. B. te, a rapporté l'agence officielle MENA. Sa demande est actuellement examinée par le ministre de la Justice. Le 22 novembre, le président Mohamed Morsi avait limogé l'ancien procureur général Abdel Meguid Mahmoud, nommé sous le président déchu Hosni Moubarak, et l'avait remplacé par M. Abdallah, après s'être attribué des pouvoirs exceptionnels par décret. Cette décision avait provoqué une fronde au sein du pouvoir judiciaire, qui avait dénoncé une atteinte à son indépendance. Des centaines de membres du Parquet général avaient organisé un sit-in pendant plusieurs heures lundi devant le bureau du procureur général pour demander sa démission. M. Morsi a finalement retiré son décret mais maintenu le nouveau procureur général. Le projet de loi fondamentale soumis à référendum, accusé de saper certains droits fondamentaux, est au cœur de la crise politique la plus grave depuis l'élection du président Morsi en juin. L'opposition égyptienne a tenté de maintenir la pression contre ce projet de Constitution mais la mobilisation des manifestants a été faible, à la veille de la seconde phase d'un référendum sur ce texte qui semble en voie d'être adopté. Quelque 2 000 personnes seulement étaient rassemblées devant le palais présidentiel dans la ca- A la suite d'un rapport officiel brocardant le département d'Etat pour la sécurité au consulat de Benghazi, attaqué le 11 septembre par des islamistes, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton «a accepté, avec effet immédiat, la décision de Eric Boswell de démissionner de son poste de secrétaire adjoint chargé de la sûreté diplomatique», la force de l'ordre qui assure la sécurité de tout le réseau diplomatique et consulaire américain, selon un communiqué du département d'Etat. Deux autres responsables de cette même sûreté diplomatique et un fonctionnaire du bureau du Proche-Orient au ministère des Affaires étrangères ont été relevés de leurs fonctions. «Les démissions de responsables du département d'Etat ne closent pas l'histoire car on doit continuer de tenir le gouvernement pour responsable de ses graves échecs, afin d'empêcher à l'avenir un autre Benghazi», a déclaré la présidente de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Ileana Ros- Lehtinen. La diplomatie américaine est épinglée dans un rapport officiel d'un comité «indépendant» qui Alger Hebdo n° 359 - Semaine du 22 au 28 décembre 2012 13 pitale égyptienne, selon un journaliste de l'AFP, loin des manifestations de masse des dernières semaines qui avaient obligé le président égyptien à retirer un décret par lequel il s'était accordé des pouvoirs exceptionnels. Quelques centaines de manifestants se sont aussi rendus place Tahrir dans le centre du Caire, à l'appel de la principale coalition de l'opposition de gauche et libérale qui a demandé à ses partisans de défiler «pour défendre les libertés, empêcher la fraude et rejeter le projet de Constitution» qui divise le pays. Selon des chiffres officieux, près de 57% des quelque 26 millions d'électeurs ayant voté durant la première phase de la consultation le 15 décembre, ont dit «oui» au projet de loi fondamentale. L'autre moitié des électeurs inscrits est appelée aux urnes cette semaine. Les chiffres officiels ne seront communiqués qu'après cette deuxième phase. L'opposition et plusieurs ONG ont affirmé que le scrutin avait été entaché par des irrégularités. Le ministère de la Justice a annoncé avoir délégué des juges pour enquêter sur ces violations présumées. Et la commission électorale a défendu le processus, démentant que des personnes se soient fait passer pour des juges dans certains bureaux de vote comme l'ont assuré les ONG. R. B. ATTAQUE CONTRE LE CONSULAT US DE BENGHAZI Démission et suspension au département d'Etat pointe «des ratés et des carences de deux divisions du département d'Etat qui ont conduit à mettre en place un dispositif de sécurité (au consulat de Benghazi) largement inadéquat pour faire face à l'attaque». Par ailleurs, les Etats- Unis vont envoyer des centaines de Marines supplémentaires pour protéger leurs représentations diplomatiques, a indiqué Hillary Clinton dans une lettre au Congrès. Mme Clinton avait assuré à la mi-octobre qu'elle «assumait la responsabilité» de la gestion et des conséquences de cet attentat terroriste. Dans deux lettres adressées aux commissions des Affaires étrangères du Congrès américain, Mme Clinton écrit qu'elle accepte «chacune» des 29 recommandations faites par l'ARB. Les républicains avaient en ligne de mire Susan Rice, l'ambassadrice américaine à l'ONU, qui avait expliqué le 16 septembre que l'assaut de Benghazi avait été plutôt la conséquence d'une manifestation antiaméricaine. Mme Rice, qui était en lice pour remplacer Mme Clinton en janvier 2013, s'est retirée de la course la semaine dernière. R. B.
22 SPORTS FORMATION DES JEUNES CATEGORIES Les faux-fuyants des présidents de club Certains présidents de clubs de Ligue 1 et 2 affirment, à chaque fois qu’il est question de la formation des jeunes catégories dans les clubs, que leur problème principal est le manque d’infrastructures et donc de centre de formation. Pour saisir l’importance des centres de formation pour le football national, il faut juste se rappeler que les sélections algériennes U-17 et U-20 ont été éliminées récemment dans deux tournois différents. Les U-17 en CAN 2013 et les U-20 en coupe de l’UNAF. Et là, il est très important de signaler les déclarations du directeur technique de la Fédération algérienne de football, M. Boualem Laroum, qui semble se laver les mains de ces contre-performances, voulant coûte que coûte les imputer aux clubs. Jugez-en : «Il faut reconnaître qu'en Algérie, on est très en retard en matière de formation. Ce n'est pas à la Fédération algérienne de football (FAF) de prendre en charge ce dossier», a-t-il dit. «La formation devrait se faire au niveau des clubs. La FAF, à travers ses académies de football, s'est retrouvée contrainte de se déployer dans ce volet après avoir constaté les défaillances des clubs à ce propos», a-t-il ajouté à la presse présente au stade Omar-Hamadi après l'élimination des protégés de l'entraîneur national, Hassen Belhadj. Une élimination qui a vite relancé le débat autour de la formation dans le football algérien, un sujet qui revient au-devant de la scène sportive après chaque échec (et ils sont nombreux depuis plusieurs années) des sélections jeunes. Mais on ne semble pas du tout retenir les leçons. On attend l’Etat Il est utile de rappeler que dans le cadre des mesures d'accompagnement du professionnalisme décidées par l'Etat, il est prévu que les 32 clubs professionnels bénéficient chacun d'assiettes de terrain destinées à la construction de centres de formation. L'Etat s'engage également à financer à hauteur de 80% la réalisation de ces projets. Aussi les présidents des clubs attendentils que l’Etat «bouge». Ils semblent en effet ne vouloir prendre aucune initiative pour aider les jeunes catégories obnubilés qu’ils sont par les seniors et l’obtention de résultats immédiats. C’est ce que le membre de la DTN, Toufik Korichi, dénonce en parlant de «manque de considération» des dirigeants des clubs pour leurs équipes de jeunes. Et c’est ce constat qui avait, d’ailleurs, poussé la FAF à opter pour des académies de football, pour tenter de mettre un terme aux échecs successifs des sélections jeunes, qui perdurent depuis plusieurs décennies. La première expérience de l'instance fédérale dans ce registre avait donné ses fruits avec la deuxième place décrochée par la sélection U-17 lors de la CAN- 2009 organisée à Alger, avec à la clé une qualification pour la première fois de son histoire au Mondial de la même année au Nigeria. A propos du manque d’infrastructure que d’aucuns invoquent pour justifier l’absence de formation de jeunes dans les clubs,, le ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Mohamed Tahmi, avait annoncé le 25 novembre dernier que l’Etat, qui a investi des sommes colossales pour la réalisation d’infrastructures sportives, œuvre actuellement à trouver des partenaires sérieux, capables de partager avec l’administration la gestion de ces infrastructures. Le ministre a affirmé, dans ce contexte, que son département projette d’aller vers «la concession des infrastructures sportives au profit de partenaires sportifs pour permettre une meilleure gestion Les jeunes du Paradou AC. des installations». Il a ajouté, à ce propos, qu’il est «inadmissible de demander aux clubs sportifs de louer les infrastructures comme on louerait des salles des fêtes». M. Tahmi, concédant qu’il «faudrait du temps pour que cette vision fasse son chemin», a précisé que des partenaires «bien organisés» pourraient être trouvés dans un proche avenir. Pour le ministre, «cela devrait commencer par des clubs de football avant que les associations activant dans d’autres disciplines n’intègrent automatiquement cette démarche». Le monde sportif algérien «a besoin de clubs sportifs structurés et d’un mouvement associatif sportif bien organisé, capables de veiller à la préservation de ces acquis et à leur exploitation dans le bon sens», a encore souligné M. Tahmi, rappelant que l’Algérie, qui a parcouru du chemin en matière de promotion du sport, «compte maintenant aller vers le sport de haut niveau». M. Tahmi, qui a révélé que 4 800 opérations d'investissement ont été lancées entre 2000 et 2012, s'est dit «véritablement satisfait» de l'état d'avancement des projets ainsi que du degré d'implication des différents directeurs de la jeunesse et des sports pour la réalisation des nombreux projets en cours. Enfin, il est très important de signaler que selon des documents remis à la presse, le coût total de la réalisation de six grands stades couverts à travers le pays (2 à Alger, Tizi Ouzou, Oran, Sétif et Constantine) est de 97.976.643.000 DA, tandis que la réalisation et la réhabilitation des centres de regroupement et de préparation en Algérie coûtera à l'Etat 14.947.000.000 DA. Des centres de formation Il est tout aussi important de rappeler que les espoirs des jeunes étaient placés dans l’instauration du professionnalisme dans le football algérien, d'autant plus que parmi les missions dévolues aux clubs professionnels, celle de la formation figure en bonne place. Mais le constat est amer : aucun club n'a réussi à créer son centre de formation, comme le stipule le cahier des charges sur la base duquel 32 formations se sont transformées en «clubs professionnels» lors de l'été 2010. «Il est regrettable de constater que les présidents de club se focalisent souvent sur des dossiers autres que celui des centres de formation dans leurs doléances adressées aux pouvoirs publics», avait déploré le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Mahfoud Kerbadj. «Trois ans après le lancement du professionnalisme, pratiquement aucun club n'a encore bénéficié de son assiette de terrain», avaitil également fait savoir En attendant donc que le processus de formation soit enfin enclenché, qu’attendent les présidents des clubs pour aider leurs jeunes catégories ? Et la question qui fuse est : comment ? Pour certains, la réponse est très simple : au lieu de dépenser des centaines de millions pour l’acquisition d’un seul joueur, les BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES… TROPHEE DU MEILLEUR JOUEUR AFRICAIN DE L’ANNEE Yaya Touré récidive La cérémonie de remise du trophée récompensant le meilleur joueur africain de l’année a eu lieu jeudi dernier à Accra, au Ghana. Et pour la deuxième fois consécutive, c’est le joueur de Manchester City Yaya Touré qui a été primé. Le Citizen est récompensé pour sa régularité depuis deux saisons, ainsi que pour son titre de champion d’Angleterre, remporté la saison dernière avec City. L’Ivoirien, qui devance Drogba et Song dans les votes du jury, s’est montré très touché de cette récompense. Il a déclaré : «C'est avec une immense joie que je reçois ce trophée pour la seconde fois». Un autre joueur ivoirien était fortement pressenti pour remporter le trophée, en la personne de Didier Drogba. Il faut dire que l’ancien joueur de Chelsea a fait une fin de saison fantastique, permettant à son (ancien) club de gagner la Ligue des champions, en mai dernier, face au Bayern Munich. Toutefois, celui qui évolue maintenant en Chine s’est montré heureux pour son compatriote : «Yaya, c'est mon frère. Et ce prix est amplement mérité car il a fait preuve de régularité ces deux dernières années» . MONDIAL 2014 Le Niger sanctionné Le Niger a été sanctionné d'une défaite par 3- Alger Hebdo n° 359 - Semaine du 22 au 28 décembre 2012 présidents de club pourraient s’en priver et mettre cet argent au service des jeunes. L’exemple du Paradou AC Le meilleur exemple en matière de formation des jeunes est venu il y a quelques années de la volonté d’un président de club nommé M. Zetchi. En effet, le Paradou AC, relégué en division amateur la saison passée, entend préserver son statut de club professionnel, car «il répond aux critères retenus dans le cahier des charges», a indiqué le président du PAC, Kheireddine Zetchi, en réaction à la volonté de la tutelle de revoir à la baisse le nombre des clubs professionnels en Algérie. «J'estime que mon club remplit les conditions lui permettant de garder son statut professionnel. Mieux, on est le seul club en Algérie ayant créé un centre de formation, soit l'un des critères principaux exigés dans le cahier des charges», a déclaré, le premier responsable du club algérois. Le ministre de la Jeunesse et des Sports a fait savoir que,en plus des 32 formations évoluant dans les deux Ligues 1 et 2, «il y a même un club qui a rétrogradé en division amateur et qui préserve encore son statut professionnel», une allusion claire au PAC. Pour M. Zetchi, «la FAF et la LFP sont souvent clémentes avec des clubs ne respectant pas les règles du professionnalisme», ajoutant qu'une telle attitude «ne contribue nullement à la réussite du projet en Algérie». Faut-il rappeler que le PAC s'est illustré depuis cinq ans par la création de son académie de football. Enfin, il est utile de rappeler également que les terrains de proximité sont nombreux à Alger. Mais a-t-on vu des techniciens roder sur ces terrains pour dénicher des futures perles ?.... Saïd B. 0 contre le Gabon en match du 2 e tour des qualifications pour le Mondial 2014 (Groupe E) par la commission de discipline de la FIFA pour avoir aligné un joueur non éligible. Les deux pays avaient fait match nul 0-0 à Niamey le 3 juin dernier. La vidéo sera sur la ligne Par ailleurs, et s’agissant des mesures prises par l’instance internationale du football concernant l’organisation de la prochaine Coupe du monde de football qui aura lieu au Brésil en 2014, la FIFA a confirmé que la technologie sur la ligne de but (afin de savoir si le ballon est bien rentré), actuellement testée lors de la Coupe du monde des clubs par l’intermédiaire de deux systèmes (Hawk Eye et GoalRef), serait utilisée lors des matchs de cette compétition mondiale. «Nous ne prendrons pas les deux mais l’un des deux systèmes sera utilisé lors de la Coupe des Confédérations et de la Coupe du monde 2014», a indiqué Sepp Blatter à Tokyo.
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