Filip dewinter au cameroun - Vlaams Belang Bruxelles

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Enseignement à Bruxelles
Les effets négatifs de la
discrimination positive
«Un incident déplorable, mais peu surprenant dans une école à discrimination
positive» déclare le préfet d’une école, l’Athénée royal
Bruxelles 2 de Laeken, où une enseignante a été menacée de mort par
un élève.
On ne peut être plus clair et plus franc!
Injures et menaces de mort
Un élève, âgé de 20 ans, n’avait pas son
journal de classe. Mal en a pris à la professeurs
qui lui en a fait le reproche! Ce fut
d’abord une avalanche d’injures choisies
et délicates, puis les menaces sont arrivées:
«je vais te crever les yeux» et enfin «je vais
te tuer».
L’enseignante, d’origine marocaine, a très
mal supporté la chose. Elle a dû être transportée
à la clinique du stress Brugmann
où elle resta quelques jours. Elle se trouve
maintenant en arrêt de maladie.
La proviseure de l’établissement en a appelé
à la ministre. Elle relate la quasi-impossibilité
de faire régner la moindre discipline
dans un établissement où les caïds
sont rois. «Ils font la loi, c’est la règle»
dit-elle. Elle ajoute «certains ne viennent
qu’en 2ème heure sans être sanctionnés.
S’ils ne veulent pas d’une interro, ils vont
chez le préfet qui la reporte». Et cela fait
quatre ou cinq ans que cela dure de la
sorte, reconnaît-elle!
Discrimination positive ?
Cet établissement fonctionne sous le régime
de la «discrimination positive». En
quoi consiste cette discrimination dite positive,
nul ne nous l’explique. A voir cette
affaire, il semble qu’il s’agisse plutôt de
discrimination négative!
Il faut d’abord rappeler que le concept est
une invention états-unienne et que l’expérience
a prouvé que ce n’était qu’une illusion.
D’ailleurs, aux États-Unis, la discrimination
positive est de plus en plus
contestée et souvent abandonnée devant
ses piètres résultats. Pourtant, l’expérience
y avait été menée avec sérieux et sincérité.
Ici, on n’en a retenu le vocable, mais on
s’est contenté de singer la chose. Si discriminer
positivement, c’est fabriquer des
écoles dépotoirs où l’on entasse tous ceux
qui n’ont aucune chance de réussir, on ne
peut aboutir qu’à des échecs aussi cuisants
que ceux rencontrés dans cet Athénée royal
de Laeken. Les malheureux enseignants,
souvent au départ pleins d’illusions et
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