VIGILANCE - MIL la droite civique gaulliste et patriote
VIGILANCE - MIL la droite civique gaulliste et patriote
VIGILANCE - MIL la droite civique gaulliste et patriote
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
<strong>VIGILANCE</strong><br />
& ACTION<br />
"Il n'y a qu'une fatalité, celle des peuples qui n'ont plus assez de forces pour se tenir debout <strong>et</strong> qui se couchent pour mourir".<br />
"Le destin d'une nation se gagne chaque jour contre les causes internes <strong>et</strong> externes de destruction".<br />
bull<strong>et</strong>in mensuel de liaison du MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTÉ (M.I.L)<br />
N° 119 DÉCEMBRE 1998 20 F ISSN 09893237<br />
Aujourd'hui,l'opposition:<br />
«en avoir», ou pas ?<br />
par Raoul BÉTEILLE<br />
président du <strong>MIL</strong>, ancien député RPR de SeineSaintDenis<br />
Souvenezvous. Il y a un peu plus d’un an,<br />
un de nos anciens ministres déboulonnés, théoriquement<br />
de <strong>droite</strong>, proc<strong>la</strong>mait haut <strong>et</strong> fort (<strong>et</strong> <strong>la</strong><br />
presse médusée n’en revenait pas à cause de ses initiatives<br />
du temps qu’il était au pouvoir) : « Il faudra<br />
demain oser gouverner à <strong>droite</strong> ».<br />
C’était beau.<br />
Et en même temps, c’était habile. Il n’était<br />
pas question d’hier, sinon par ricoch<strong>et</strong>, <strong>et</strong> ce<strong>la</strong> va<strong>la</strong>it<br />
mieux comme bien on pense. Que ne pouvaiton pas<br />
déplorer, en eff<strong>et</strong>, <strong>et</strong> notamment, en matière de politique<br />
pénale ! Demain, au contraire, on raserait gratis.<br />
Merveilleux ! Par dessus le marché, admirez <strong>la</strong><br />
finesse : il s’agissait d’oser gouverner à <strong>droite</strong>. Danton<br />
aurait été très content. La France serait sauvée<br />
pourvu qu’on eût de l’audace. En somme, l’ancien<br />
ministre exhortait fermement ses amis à « en avoir »<br />
(comprenez <strong>la</strong> chose de <strong>la</strong> façon qui vous p<strong>la</strong>ira le<br />
plus). Mais demain, <strong>et</strong> pour demain.<br />
Il se trouve qu’au <strong>MIL</strong>, nous en avons (nous<br />
en avons toujours eu : c’est de naissance). C’est<br />
pourquoi nous crions, nous, sans fioritures inutiles :<br />
il faudra demain gouverner à <strong>droite</strong>. Point final. De<br />
vous à moi, nous le crions avec d’autant plus de vigueur<br />
que nous le proc<strong>la</strong>mions déjà hier, <strong>et</strong> pour<br />
hier.<br />
Cependant, regardez bien : entre hier <strong>et</strong> demain,<br />
il y a aujourd’hui. Et aujourd’hui, il n’est pas<br />
question pour nous de gouverner, hé<strong>la</strong>s ! Les autres<br />
s’en chargent, trois fois hé<strong>la</strong>s ! Aussi disonsnous<br />
avec <strong>la</strong> même vigueur : il faut aujourd’hui une opposition<br />
de <strong>droite</strong>, résolue <strong>et</strong> fortement affirmée.<br />
Laissons donc les mol<strong>la</strong>ssons essayer d’oser<br />
s’opposer. Nous disons quant à nous : il faut<br />
s’opposer, tout simplement. Et nous l’exigeons.<br />
Pour faire ce qu’il est tout naturel de faire, il n’est<br />
pas besoin d’une audace à <strong>la</strong> Danton. Ça marche<br />
tout seul.<br />
Nous reconnaîtrons que d’assez beaux progrès<br />
ont été faits depuis un certain temps. JeanLouis<br />
Debré, Thierry Mariani, Patrick Devedjian ont plusieurs<br />
fois bien mérité de <strong>la</strong> nation. Mais nous voulons<br />
que l’opposition s’oppose toujours avec <strong>la</strong> pugnacité<br />
<strong>et</strong>, surtout, l’unanimité qui sont indispensables.<br />
Le même ancien ministre, il y a un an, al<strong>la</strong><br />
jusqu’à demander l’indulgence en faveur de c<strong>et</strong>te<br />
pauvre p<strong>et</strong>ite opposition ! Vous avez bien lu :<br />
l’indulgence. Grave, ce<strong>la</strong>, <strong>et</strong> à un double titre.<br />
D’abord, c’est un aveu de culpabilité : on ne quémande<br />
l’indulgence que si <strong>la</strong> culpabilité est évidente.<br />
En second lieu, l’accusée ne méritait aucune indulgence,<br />
tout simplement parce qu’elle ne s’opposait<br />
pas, alors qu’il faut s’opposer à tout ce que<br />
concocte, fricote, mijote <strong>et</strong> impose (. . . le mot vient<br />
sous <strong>la</strong> plume avec sa pleine résonnance fiscale en<br />
même temps qu’autoritaire) notre gouvernement de<br />
gauche.<br />
Car voici l’essentiel. Aucun des actes <strong>et</strong> proj<strong>et</strong>s<br />
de ce gouvernement, strictement aucun<br />
n’autorise l’approbation ni même l’abstention que<br />
chérissent tellement les prudents de l’hémicycle.<br />
Nous n’en dresserons pas <strong>la</strong> liste (des actes <strong>et</strong> proj<strong>et</strong>s).<br />
Nous demandons qu’on nous présente celle<br />
des initiatives de M. Jospin qui seraient louables ou,<br />
à <strong>la</strong> rigueur, tolérables.<br />
Le premier ministre, reconnaissonslui ce mérite,<br />
facilite dès lors singulièrement <strong>la</strong> tâche des élus
de <strong>droite</strong>. Les savants <strong>et</strong> philosophes se p<strong>la</strong>isent à<br />
montrer du doigt l’infirmité fondamentale de <strong>la</strong> politique<br />
en face de <strong>la</strong> science qui est, du moins le disentils,<br />
un monde serein, objectif <strong>et</strong> disposé par<br />
nature à <strong>la</strong> conciliation <strong>et</strong> à <strong>la</strong> réconciliation, alors<br />
que <strong>la</strong> politique serait, elle, le royaume de <strong>la</strong> contradiction<br />
systématique <strong>et</strong> sans intelligence. Or le premier<br />
ministre <strong>et</strong> son gouvernement nous ont dispensés,<br />
à ce jour, de <strong>la</strong> nécessité du moindre tri préa<strong>la</strong>bles<br />
à nos indignations jaillissantes. Vous le voyez<br />
bien, braves gens, osez donc avec nous ! C’est sans<br />
aucun danger.<br />
Et cessez donc, s’il vous p<strong>la</strong>ît, de nous parler<br />
de « pensée synthétique », de « catalyse » <strong>et</strong> autres<br />
fariboles. Notre peuple veut des actes <strong>et</strong> non pas les<br />
mots caractéristiques <strong>et</strong> caricaturaux de <strong>la</strong> <strong>la</strong>ngue de<br />
bois. Le peuple de <strong>droite</strong>, majoritaire dans ce pays,<br />
veut une opposition de <strong>droite</strong> vigoureuse <strong>et</strong> donc<br />
agissante. Prenez garde à sa colère ! C’est sûrement<br />
ce que nous dirait Michel Debré.<br />
SUCCÈS IDÉOLOGIQUE ET ÉCHEC ÉLECTORAL<br />
par Jacques GODFRAIN<br />
ancien ministre, députémaire RPR de Mil<strong>la</strong>u<br />
La <strong>droite</strong> française a au moins un point de<br />
consensus : chercher un Tony B<strong>la</strong>ir français !<br />
Ce<strong>la</strong> prouve deux choses : que <strong>la</strong> <strong>droite</strong> est<br />
pauvre en idées nouvelles <strong>et</strong> que <strong>la</strong> gauche a perdu <strong>la</strong><br />
plupart de ses repères. Quels étaientils il y a encore<br />
peu : <strong>la</strong> dépense publique, fin <strong>et</strong> moyen de <strong>la</strong> politique<br />
économique <strong>et</strong> sociale, <strong>la</strong> puissance du secteur<br />
public, <strong>la</strong> construction d’une société d’économie<br />
mixte, davantage de réglementation sociale.<br />
Aujourd’hui, le gouvernement socialiste se<br />
glorifie de tenter de diminuer les impôts, continue à<br />
céder aux capitaux privés les « bijoux de famille »,<br />
constate que <strong>la</strong> société d’économie mixte est <strong>la</strong> mère<br />
de <strong>la</strong> corruption <strong>et</strong> que le seul moyen de faire digérer<br />
ces volteface à ses troupes est de multiplier les textes<br />
de loi sur <strong>la</strong> gestion sociale des entreprises, notamment<br />
avec les 35 heures.<br />
La gauche se défend d’avoir brûlé ses étendards<br />
<strong>et</strong> explique que <strong>la</strong> mondialisation, le réalisme<br />
économique <strong>et</strong> <strong>la</strong> compétitivité exigent une vision<br />
nouvelle du socialisme.<br />
La vérité est autre : le socialisme ayant échoué<br />
partout où il a été appliqué, ses partisans ont dû rapidement<br />
trouver d’autres raisons à leur ralliement aux<br />
idées de <strong>droite</strong>.<br />
Et, comme ceux qui nous gouvernent excellent<br />
dans le maniement de notre <strong>la</strong>ngue, il ne reste<br />
plus qu’à affirmer que <strong>la</strong> loi du marché vue par <strong>la</strong><br />
<strong>droite</strong>, c’est le libéralisme sauvage, <strong>et</strong> que <strong>la</strong> re<strong>la</strong>tion<br />
sociale est marquée de l’écrasement du faible par le<br />
fort.<br />
A ce rythme, <strong>la</strong> gauche sera toujours gagnante<br />
aux élections, restant à <strong>la</strong> <strong>droite</strong> le seul succès de ses<br />
idées <strong>et</strong> non celui de ses candidats pour les appliquer.<br />
En fait, <strong>la</strong> gauche s’est franchement convertie<br />
parce que ses idées ont été en échec <strong>et</strong> que les nôtres<br />
l’ont emporté dans les faits.<br />
Reste que ce succès idéologique <strong>et</strong> c<strong>et</strong> échec<br />
électoral ne peuvent nous satisfaire. Il y a comme un<br />
goût d’insatisfaction dans ce constat.<br />
En fait, <strong>la</strong> mondialisation fait disparaître une<br />
certaine idée de <strong>la</strong> nation <strong>et</strong> exige l’essor de citoyens<br />
plus responsables.<br />
La société de liberté économique sait vite reconnaître<br />
<strong>et</strong> valoriser les gagnants, les créateurs de<br />
richesse ; par contre, l’État est meilleur pour assister<br />
les moins bons.<br />
Il est temps que <strong>la</strong> <strong>droite</strong> fasse des propositions<br />
cohérentes sur le p<strong>la</strong>n social <strong>et</strong> <strong>la</strong>isse à <strong>la</strong> gauche<br />
<strong>la</strong> simple application de formules dignes de 1936,<br />
comme les 35 heures. Une telle politique ne peut plus<br />
être prise au sérieux si elle s’appuie sur l’idée que le<br />
travail est une punition <strong>et</strong> l’école un lieu de répression.<br />
La <strong>droite</strong> devrait imaginer que le citoyen, depuis<br />
<strong>la</strong> mondialisation, est un électeur sans repère qui<br />
a besoin de r<strong>et</strong>rouver un certain sens à son action.<br />
La participation est l’antidote à ce sentiment<br />
d’irresponsabilité <strong>et</strong> de <strong>la</strong>isseraller compl<strong>et</strong> des<br />
hommes <strong>et</strong> des économies au bon vouloir de règles<br />
qui nous échappent.<br />
Les <strong>gaulliste</strong>s ne devraient pas <strong>la</strong>isser échapper<br />
c<strong>et</strong>te occasion historique de rendre <strong>la</strong> mondialisation<br />
supportable par les hommes uniquement parce<br />
qu’il y a <strong>la</strong> France.
LA GAUCHE VEUT DÉPÉNALISER LA DROGUE<br />
DANGER POUR LA JEUNESSE<br />
Tous les chiffres font apparaître que <strong>la</strong><br />
consommation de stupéfiants dans notre<br />
pays est en augmentation constante. Ce<br />
phénomène est particulièrement sensible<br />
chez les jeunes <strong>et</strong> surtout chez les lycéens.<br />
C’est ainsi qu’en 1977 plusieurs centaines<br />
de jeunes ont payé de leur vie <strong>la</strong> pratique<br />
des paradis artificiels.<br />
C’est donc au moment où les statistiques<br />
s’affolent qu’au plus haut niveau du gouvernement<br />
de <strong>la</strong> France une offensive est<br />
menée en vue de <strong>la</strong> libéralisation <strong>et</strong> de <strong>la</strong><br />
dépénalisation des drogues dites douces.<br />
Au nom d’une pseudoliberté, ces apprentis<br />
sorciers demandent qu’on en finisse<br />
avec des interdits prétendument d’un autre<br />
âge.<br />
Ils réc<strong>la</strong>ment un débat. Chiche. Mais pas<br />
un débat biaisé par les fausses statistiques<br />
<strong>et</strong> les faux bons sentiments, nous voulons<br />
un vrai débat qui s’appuie sur <strong>la</strong> réalité<br />
médicale, sur les conséquences physiologiques,<br />
humaines <strong>et</strong> sociales de <strong>la</strong><br />
consommation des drogues, <strong>et</strong> notamment<br />
du cannabis.<br />
CONSÉQUENCES<br />
PHYSIOLOGIQUES<br />
Sur le cerveau :<br />
Les faits cliniques sont établis depuis<br />
longtemps. On observe, chez les consommateurs<br />
de cannabis, un dérèglement<br />
de <strong>la</strong> vigi<strong>la</strong>nce <strong>et</strong> de <strong>la</strong> conscience, puis de<br />
<strong>la</strong> cohérence, avec des comportements<br />
anormaux échappant en partie au contrôle<br />
volontaire. Il s’agit là, à priori, des eff<strong>et</strong>s<br />
recherchés par celui qui se drogue. Pourtant,<br />
audelà du « p<strong>la</strong>isir » immédiat, il<br />
découle de <strong>la</strong> prise répétée, comme pour<br />
<strong>la</strong> cocaïne <strong>et</strong> l’héroïne, une dépendance<br />
qui, à <strong>la</strong> différence du tabac, induit des<br />
comportements de plus en plus asociaux,<br />
irréguliers, voire violents. Il faut rappeler<br />
que le mot assassin dérive du mot arabe<br />
Haschichins, nom donné aux membres<br />
d’une secte de fumeurs de haschich, autre<br />
nom de <strong>la</strong> marijuana.<br />
Sur <strong>la</strong> fécondation <strong>et</strong> <strong>la</strong> reproduction :<br />
La consommation de stupéfiants, le cannabis<br />
par exemple, peut altérer les « performances<br />
» sexuelles, perturber <strong>la</strong> reproduction<br />
(fécondité diminuée, embryon<br />
mal formé). Ainsi les hommes <strong>et</strong> les<br />
femmes en âge de procréer non seulement<br />
s’infligent un risque de stérilité, mais<br />
soum<strong>et</strong>tent aussi leur progéniture à des<br />
risques de malformation.<br />
CONSÉQUENCES<br />
HUMAINES ET SOCIALES<br />
Les consommateurs de drogue (ou ceux<br />
qui pourraient être tentés de le devenir)<br />
doivent savoir que celleci conduit non<br />
seulement à <strong>la</strong> dépendance mais également<br />
à <strong>la</strong> dégradation, à l’avilissement <strong>et</strong><br />
à <strong>la</strong> marginalité, c’estàdire à <strong>la</strong> mort<br />
sociale quand ce n’est pas <strong>la</strong> mort tout<br />
court. La drogue détruit non seulement<br />
ceux qui l’utilisent mais également, par<br />
contrecoup, ceux qui les entourent (parents,<br />
amis). Plusieurs milliers de familles<br />
sont ainsi irrémédiablement disloqués<br />
chaque année. De plus, <strong>la</strong> consommation<br />
de drogue est l’origine, ou le vecteur, de<br />
problèmes importants pour <strong>la</strong> société <strong>et</strong><br />
les individus : SIDA, marginalité (passage<br />
aux drogues dures), délinquance<br />
(consommateurs devenus à leur tour<br />
« dealers »).<br />
IL N’Y A PAS DE<br />
DROGUES «DOUCES»<br />
A l’heure où le débat va s’engager, il faut<br />
donc refuser <strong>la</strong> séparation que certains<br />
voudraient voir imposer entre drogue<br />
douce <strong>et</strong> drogue dure. Certes il existe une<br />
différence entre le cannabis <strong>et</strong> l’héroïne,<br />
mais ce n’est pas une différence de nature.<br />
Le cannabis est une drogue, une drogue<br />
piège. En eff<strong>et</strong>, il n’est pas un seul<br />
consommateur d’héroïne qui n’ait un jour<br />
commencé par le cannabis. Il faut refuser<br />
<strong>la</strong> dépénalisation qui ne réglerait aucun<br />
des problèmes liés à <strong>la</strong> consommation de<br />
<strong>la</strong> drogue. En faisant tomber un interdit,<br />
elle constituerait au contraire un facteur<br />
incitatif <strong>et</strong> entraînerait notre pays sur <strong>la</strong><br />
voie du <strong>la</strong>xisme <strong>et</strong> de l’irresponsabilité <strong>et</strong><br />
mènerait sa jeunesse sur le chemin de <strong>la</strong><br />
déchéance physique <strong>et</strong> morale.<br />
La drogue est un fléau d’une ampleur sans<br />
précédent. On ne peut accepter de continuer<br />
à livrer chaque jour à l’esc<strong>la</strong>vage de<br />
<strong>la</strong> drogue 100 jeunes de 15 à 18 ans de<br />
tous milieux. La mobilisation de tous <strong>et</strong><br />
notamment des jeunes, qui sont les premiers<br />
concernés, doit donc être à <strong>la</strong> hauteur<br />
de l’enjeu. Unis, nous serons forts<br />
pour nous opposer aux proj<strong>et</strong>s irresponsables<br />
<strong>et</strong> dangereux du gouvernement.<br />
SI VOUS ÊTES CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE LA DROGUE,<br />
ALORS SOUTENEZ NOTRE ACTION !<br />
nom & prénom :<br />
adresse :<br />
profession <strong>et</strong> titre(s) éventuel(s) :<br />
Je, soussigné(e),<br />
o SOUTIENS LA PÉTITION CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE LA DROGUE<br />
o désire recevoir une documentation sur le <strong>MIL</strong><br />
o désire soutenir financièrement l'action du <strong>MIL</strong> <strong>et</strong> verse : o 100F o 200F o 300F o 500F ou plus<br />
o déc<strong>la</strong>re adhérer au <strong>MIL</strong> : o membre : 150 F o membre + abonnement au bull<strong>et</strong>in : 250 F<br />
o membre + cotisation de soutien + abonnement au bull<strong>et</strong>in : 500 F o membre bienfaiteur + abonnement au bull<strong>et</strong>in :<br />
à partir de 1.000F<br />
date signature<br />
à renvoyer au Mouvement Initiative <strong>et</strong> Liberté, BP N°84 92303 LevalloisPerr<strong>et</strong> Cedex Fax 01.47.57.34.24<br />
Conformément à l'article 27 de <strong>la</strong> Loi n°7817 du 6/1/78 re<strong>la</strong>tive à l'informatique, aux fichiers <strong>et</strong> aux libertés, les réponses aux différentes rubriques de c<strong>et</strong>te charte sont facultatives. Les informations qu'elle contient sont à usage<br />
strictement interne <strong>et</strong> ne peuvent être communiquées qu'à des responsables désignés par le Bureau National. Vous disposez d'un droit d'accès <strong>et</strong> de rectification sur justification de votre identité.
LES CAMPAGNES <strong>MIL</strong>ITANTES DU <strong>MIL</strong><br />
Le Mouvement Initiative <strong>et</strong> Liberté (<strong>MIL</strong>) <strong>la</strong>nce plusieurs campagnes nationales. Si vous souhaitez<br />
participer activement à cellesci, nous vous invitons à commander notre matériel de propagande<br />
par courrier. Nous vous fournirons en fonction de nos stocks disponibles.<br />
La gauche<br />
détruit<br />
<strong>la</strong> famille<br />
Affiches (40X60 cm) :<br />
10 x … … … = … … …<br />
c<strong>la</strong>ndestins<br />
expulsion<br />
immédiate<br />
Affiches (40X60 cm) :<br />
10 x … … … = … … …<br />
<strong>la</strong> gauche <strong>la</strong>isse<br />
les c<strong>la</strong>ndestins<br />
envahir <strong>la</strong> France<br />
Affiches (40X60 cm) :<br />
10 x … … … = … … …<br />
Si vous le désirez, il nous reste un peu de matériel de propagande de nos deux précédentes campagnes.<br />
La France<br />
Aimez <strong>la</strong><br />
ou<br />
quittez <strong>la</strong><br />
Affiches (40X60 cm) :<br />
10 x … … … = … … …<br />
Tracts :<br />
10 x … … … = … … …<br />
<strong>la</strong> gauche plurielle<br />
trahit <strong>la</strong> mémoire<br />
des 85 millions de victimes<br />
du communisme<br />
Affiches (40X60 cm) :<br />
10 x … … … = … … …<br />
Tracts :<br />
10 x … … … = … … …<br />
LA NOUVELLE ADRESSE DU M.I.L. :<br />
75 rue LouisRouquier 92300 LevalloisPerr<strong>et</strong><br />
ou BP N° 84 92303 LevalloisPerr<strong>et</strong> Cedex<br />
Téléphone : 0147573444 Télécopie : 0147573424<br />
<strong>VIGILANCE</strong> & ACTION est édité par le M IL Imprimerie spéciale Dépôt légal à parution Commission paritaire 11181<br />
Directeur de <strong>la</strong> publication : R. BÉTEILLE Codirecteur de <strong>la</strong> publication : G. FLICOURT<br />
A DÉCOUPER OU A RECOPIER ET A RENVOYER AU M.I.L. 75 rue LouisRouquier 92300 LevalloisPerr<strong>et</strong>, Tel : 01 47 57 34 44<br />
NOM : PRÉNOM :<br />
ADRESSE : TÉLÉPHONE :<br />
o désire recevoir une documentation sur le <strong>MIL</strong><br />
o désire soutenir financièrement l'action du <strong>MIL</strong> <strong>et</strong> verse : o 100 F o 200 F o 300 F o 500 F ou plus<br />
o déc<strong>la</strong>re adhérer au <strong>MIL</strong> : o membre : 150 F o membre + abonnement au bull<strong>et</strong>in : 250 F<br />
o membre + cotisation de soutien + abonnement au bull<strong>et</strong>in : 500 F o membre bienfaiteur + abonnement au bull<strong>et</strong>in : à partir de 1.000F<br />
o désire s'abonner à "Vigi<strong>la</strong>nce <strong>et</strong> Action" (pour les non adhérents) : 200 F<br />
DATE SIGNATURE<br />
Conformément à l’article 27 de <strong>la</strong> Loi n°7817 du 6/1/78 re<strong>la</strong>tive à l’informatique, aux fichiers <strong>et</strong> aux libertés, les réponses aux différentes rubriques de ce bull<strong>et</strong>in sont facultatives. Les informations qu’elle<br />
contient sont à usage strictement interne <strong>et</strong> ne peuvent être communiquées qu’a des responsables désignés par le Bureau National. Vous disposez d’un droit d’accès <strong>et</strong> de rectification sur justification de<br />
votre identité.