d'Ogni- - Bibliothèque de Toulouse

ETU4 D'ANTES 1935
I. - En courant le cachet
Quand on veut amener un sourire sur paitre des laissés pour compte du menu.
'la lippe.austère d'un nota re de province, Et les cours qu'on séchait, car primant
/vieux chevronné de la procédure, ou cor- skese, il fellah assurer M mutée aile en
de sa léthargie un vétéran de la mé- donnant des leçons aux quatre coins de
Becine perclus d'ans et de douleurs, a Paris.
/faut prononcer ces mots magiques Le
[Quartier Latin e.
Ah I les chahuts dans les amphithéâ-
tres 5 demi déserts, les brasseries (seiches
où l'on échallaudait tant de beaux pro-
/jets, qui n'avaient pas plus de consistance
/que la mousse blonde des demis, et les
massifs du Luxembourg si accueillants
aux passagères amours, et le boulevard
Saint-Miche/ où l'on pourchassait les sa-
lutistes, qui tentaient d'acclimater en ce
parages la capeline à la Miss Heiyett.
- C'était le bon temps, soupirent-ils,
en terminant la rétrospective mélancolique
de leur belle jeunesse envolée.
Quand, dans vingt ou trente ans, on
parmi, du Quartier La ru aux tenants
actuels de la colline Sainte-Geneviève,
leurs souvenirs, débarrassés de lem pan.
gus d'amertume, apporteront une molli-
bution pittoresque à l'histoire de la plus
dore des Mses.
Ah tirs belles heures passées dans les
hangars de la S.T.C.R.P. à nettoyer les
autobus. L'eau glaciale crevait /es doigts
gourds, s'insinuant durs /es semelles trop
minces dont elle activait l'agonie. Et oeS
restaurants nauséabonds où on plongeait
des monceaux de vaisselle avant de se re-
Non, les aimées d'études, ce n'est plus
le bon temps c'est l'époque héroïque.
Certes, l'étudiant nécessiteutr ne date
pas d'aujourd'hui, mais le fait nouveau
dam la vie universitaire, c'est que de plus
en plus nombreux sont les jeunes gens
qni
soins.
ou en partie subvenir
O la uts ho
Jadis, en envoyant leurs rejetons
l'aime mater, les familles les doMient d'un
viatique qui leur permet.t sinon d'avoir
leur loge à l'Opéra, du moins de poursui-
vre lems études è l'abri des difficultés.
De nos jours, les parents ont été si soue
vent dévalorisés et convertis, que même
en se saignant aux quatre veines, ils m
peuvent assurer la subsistance du jeune
homme ou de la grande fille qol Studio à
Paris. Alors, ils envoient ce qu'ils peu-
vent, compatnt sur l'ingéniosité de leurs
héritiers pour parfaire la somme. Us ne
mmquent d'ailleurs point de spécifier que
ces conditions nouvelles ne constitueront
pas une excuse, coma d'échec aux ers.
mens.
Ainsi, 0051 0e préparant la carrière de
l'avenir, il faut trouver le métier qui as-
surera le présent. Aux jeunes gens, s'of-
mm.sao ire un choix relativement vaste de pro-
,
fessions aussi 1...lites que mal
LA PRESSE
PRESSE stricte à vivre avec 6o0 fr. par mois. A
ce prix-là, il faut naturellement habiter
dans m foyer féminin, prendre tin repas
L'EHE NOUVELLE ne manque pas, slnir,dediuecc.lamnms zrchienerve jiuraStoiciblez
torial elle déclare que la Franee I juand les mandats familia. n'aiteignern
de philosophie quand dans son édi-
,s pas cette somme pourtant modeste, les
"nn,éj:u,sir
s n1.9-s9 étudiantes n'ont plus qu'a choisir entreea
.11,":.'e'rrn9-e-n.9--,-,19-s
- deux ressources I donner des leçons ou
trouver une place au pair.
La Grande-Bretagne aujourd'hui Tant que les étrangers affluèrent à Pa-
invoque l'autorité de Genève et leeues ne ment gaére en peine M
respect des articles du Cuvenant. trouver des leçons payées rubis sur l'one
'lois qui donc, sinon la France, un gle su tarif fort. Mais cette époque bien-
nesse de défendre cette thèse, sans hearenm os vit plus me dans nos some-
pouvoir obtenir du côté Le Londres nirs Les étrangers ont renoncé aux si-
1 audience quelle mentait.
31. Mussolini, de son côté, affirme
le droit de l'Italie a sauvegarder sa
sécurité 0.. déclare que son PaYs
00,00e que sa légitime sécurité. Soit:
Mais on nous permettra tout de me-
nie de rappeler que lorsque le.ti-
mensent inquiets du réarmement de
l'Allema.gne nous défendions le pria/.
cipe sécurité t'abord 5, Malle nous
répondait (10 février 1932) en s'op-
posant le la thèse française relati-
ve A /a création d'une force internk
tionale au service du droit et en ré
elant.t que l'égalité des droits fel
accordée à l'Allemagne et la e
quation des armements au nive. le
Phis bon >,
DU RENFORT
On fraude partout. L'Etat perd au
Havre sur les primeurs, sur les lam-
pes de T. S. F., dit l'OEUVRE dans
son éditorial. Et on ne sait pu tout.
Combien sur les voitures .aniéri-
mines ? Combien sur les mitrailles-
ses et les canons de tranchée ? Coin-
bien sur/ tes allmaettes suédoises de
ProvenanCe belge.
On en arrive même à se demander
ce qu'attend M. Marcel Régnier pour
prendre les mesures qui s'imposent,
c'est-à-dire pour recruter d'urgence
les effectifs de surveMants dont le
besoin se fait évidemment sentir. Nos
douaniers ont assez du mal, déjà, à
consigner à la frontière les phono-
graphes portatifs, et à s'assurer que
Ion bas de soie des voyageuses ren- 000 0 pape.
trent en France sont bien des bas de L'enseignement était coupé- d'agréables
soie usagéS. Or, il s'agit de rega- intermèdes, peths fours et disques de
uner des milliards et des milliards. musique légère. Toutes précauCons Miles
On ne barguignera donc pas et on étant prises pour éviter le surmenage, no-
accordera aux services visés /es ren- tre étudiante songeait avec ravissement
forts, tous les renfort, indispensm que la ...analyse administrée en doses
bleu ? modérées lui permettait d'équilibrer son
10.000 douaniers de plus f
budget jusqu'à la fin de Pennée. Las 1
, 20.000 ? quand elle retrouva son cénacle ansés les
Connaissant le salaire d'un doum vamaces de PàqmF. os iv Prévint Flee
nier au sortir des demie. décrets- les ménagements d'usage me Freud avait
lois, et les chiffes produits par nos cessé d'intéresser es salons.
plus sérieux confrères sur l'impor- A une autre étudiante, la connaissance
-Mme des fraudes dénoncées, i/ es/ peu reluisante; mais très utile de la dm-
facile de euloulee npve l'Ebt s'y re tylographie. 0010000 poste de secrétaire
trouvera largement.
auprès d'un ancien modèle, qui s'était mis
en tête d'écrire ses mémoires. L'une dim
LA IFEFLATION
tant, l'autm tapant, on était arrivé sans
Pane ilee erferli,,
dlre. encombre h la moitié du manuscrit. Une
alla dciv catastrophe imprévue devait rompre à ja-
générale, üit 11L Maurice Olivier dans --
REPUBLIQUE 1
inam cette parfaite collaboration.
la charmante mémorialiste fut appelée au
La déflation pour être .effective téléphone dans la pièce voisine et In dao'
1000 êtro générale, cela est absolu- tylogrphe mit à profit cette alsenee Pour
ment indispensable; or, justement, faire conmissance du brouillon. Elle put
toutes les industries, services et mo- se convaincre d'un coup //Mil que si le
nopoles qui sont encore à un coef- style en était plat, l'orthographe, par con.
/Méta' etrOnoniique, me sont pas tre, ne manquait pas de qualités bilasse-
encome déflations... par exemple, tes, dant fat la Première vielmo.
les impôts sont augmentésIseto Qua., Fellmmlèle trouva Fa seerealle
d'être diminués, les services publics plrsinaro e nez dam relemelFe
pour une déflation ,presque imper- Bal/ Mm en se F.M.:3mM canton 5
eeptible, se voient octroyer le main- d9M 000,05e n e0000cu'en`
tient de lcur privilège pendant dix- ,t/Mallm
emig9dla
ans, les traamorts ne déflationnent
pas, au contraire, l'a coorliination
rail et de la route, -mmble avom pour compréhension pour l'orthographe phone.
Mt de mettre -le-prix du transport ,is
Par route au prix du transport par 9 Ney FIERTOG.
mil/ les .postes n'on pas déflation-
né. les tabacs non plus; il en est de
lU"". 1".711"lnen. I"" P"ll
il c les au La reconstitution du meurtre
as el tentes tr.
industries abritées ou privilégiées ou de l'huissier Rivière
appartenant à des monopoles prives
a eu lieu à Pouillé
Raire la déHatifirl-ne cdhiete pas
à écraser les salaires et les industries Les deux coupables étaient présents
texpoeides quigravniflent dejkau
t. 1biiS Id 'denten-0005W no. crime Potiieê 0s :leu
Sole -1011S untlire au ineine-roefli. Iller. OIS se souvient me le 0 nen dari
elenti rien. uheolutnent rien ne devra nier. litulmier 00I0e010 Rivière. mit
dépasser le coefficient 5. valcur de venait Présenter una créai. cers
, Taud. P. /an..
eut. ans
vô II péritseplirstêt.
M. Laval "contre" l'usure
purs pro/ongés dans la captal°. Ils y
viennent avec la prétention de voir Paris
en six jours et y réussissent au prix de
telles fatigues qu'ils ne songeant pas a
apprendre none langue par surcroît
Pour les répétitrices, les cancres mê-
mes ne sont plus me source de revems
car, la crise aidant, les parents se rés,
gnent facilement à leur faire doubler leurs
classes. C'est ainsi qu'une leçon estimée
enmre à vo tr. l'heure en 1,24, est tonti.
bée dans le dernier trimestre de to35
auP' d édoni'sere do
minimumo do frais
d .f'a Iode
re ransport,soit
t fr. gode
métro et con-
sidérons le temps perdu en allées et ve-
nues, nous mnstaterons que la rétribution
de l'étudiante est d'environ 5 fr. Chrome.A
m compte-D, on peut tout au plus
donner des leçons de latin. je m'explique.
Les étudiantes ne le savent généralemest
pas, mais elles l'apprennent en Pensel-
10500 sur autres et c'est II qu'il faut
chercher le véntable profit de la leçon.
La grande misère des répétitions, c'est
leur irrégularité. Combien de fois,
aun
moment de partir, reçoit-on le pneumati-
que ment vous invitant ne point
vous déranger car votre élève doit aller
chez le dentiste ou assistera une matinée
dansante? A la fin du trimestre, on exhi-
scolaire curPorni seeta't'a ree
eu ta bu 010
pupille obtient à peine la moyenne dans,
la branche enseignée.
Certaines étudiantes réussissent cepen-
dant I trouver le filon. Une future agM-
gée de philosophie expliqua pendant toute
une saison la psychanalym de Freud, dans
00 00105 d'Auteuil où l'on se piquait dé.
rumb étales( assistés de hue émeu-
Nt Huile, cet se soin Mêlés sur.
oorvs Auer.. idid conire Yiriere. 0000501005 0e 00 'filif:iI0irlidon'.«Siblr5
/m. dit cc tente O (Prend a 1.145 seront sur le tau
v Lorsqu'un Prél a vié Mn F. a. qu'il n'avait pan vorin Mimer mer/
affecte ...ont de plue.. malt. it Mulssier. mais que celni.01 rayait
550e moyen pratiqué. dans les, tuâmes nrovom, nt .s.spsne tempo& 11 tipOlite
d e
dee prêteurs de bonne ems, de unis.. 51. /Me
/m em
iinpidéon, etc...
.e ao .
langted
Duetto part. Andrt ,t/i/.../.1,00., d ls10051.15
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»r:erp,e-
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on
0050000' te,rrsbsOOrer,0,51t1ge
pia la grer.
boSton 000157l
yri.suu de la Pierre Levée, à roulera.
sieur le comte Lara
Les 'lieux du uoiant
réalisent leur Police Auxiliaire
de la Route
Depuis /e mois de mars 1935, les
Vieux du Volant, le Groupement na-
tional officiel des anciens de l'auto-
mobile, ont fait publier dans la
presse plus de 2.000 fois leurs Con-
sous de Prudence.
Ainsi que nos lecteurs ont ph le
voir dam les colonnes de ce jour-
nal 0510m se Malt a aider ainsi une ac-
tion nécessaire et humanitaire, ces
conseils tendent à parfaire l'éduca-
tion des usagers de la route.
Mais cette action édmatrice n'est
pas suffisante pour Mie disparaître
complètement les accidents de la oie-
culation t les e chauffards > n'en
ont cure et restent une minorité né-
faste discréditant la grande masse
des automobilistes.
Ainsi les Vieux du VolaM veulent-
ils je rendre plus utiles encore en
collaborant avec les Pouvoirs Pu-
blies pour assurer une Police Auxi-
haire Bénévole de la Route. D'ores
et dejà leurs 9.055 membres sign,
lent chaque jour les fautes graves,
automobiles ou non, dont ils sont les
I témoins; ces rapports donnent lieu à
des r0000 trances aux intéressés fat-
tes avec le concours de l'Adminis-
tration compétente.
Les Vieux du Volant réalisent ain-
si le principe de leur Police Auxi-
nuire Bénévole de la Route; aussi
tout automobiliste, ayant son permis
de conduire depuis au moins quinze
années, a-t-il pour devoir d'aider /es
Vieux du Volant en adhérant à cette
belle associatiou.
Cette sélection d'automobilistes,
car il ne faut pas avoir eu d'ai.,
dents pour en faire partie, représen-
te donc l'élite des automobilistes,
celle dont la fréquentation, loin
d'être dangere.e est seenble, à
laquelle on est fier d'appartenir.
Tous renseignements complémen-
Outres sur leur programme et les con-
ditions d'admission sont envoyés
gratuitement par retour du courrier
sur simple demande au siège social,
10, rue Pergolèse, à Paris (16me).
Le mystère
de la noyade
du Pecq
n'est pas
éclairci
C'est Joseph Roellands, qui tut
condamné après la mort
Sa royaliste Langlois, qui, au péril
de sa vie, retira la victime
Sa la Seine
-
ROELLANDS EN EST
A SON DEUXIEME SAUVETAGE
Le Populaire a si050I5 hier le mye
tordeur drame survenu au Pecq. Une
artiste, 50110 Carmen Mathieu, était
e tombée à l'eau son ann NI Georges
Levez. était arrète. La victime était
morte peu après avoir été retirée de la
rivière.
Nom sommes heureux de pouvoir dire
aujourd'hui le nota du courageux sau-
veteur Qui rie.. sa vie peur la rame.
ner. Tout habitlé, et bien que venant de
manger - il était 20 11. - il plongea
trois fois dans le fleuve avant de réas-
sir à ramener sur la 00000 celleel,.
cherchait Ce Miros s'appelle Joseph
m
Roellands
doph Roëllands ce nom ne nous
est pas inconnu. En effet t c'est le
jeune travailleur en chômage qui com-
parut devant les assises de. Versailles
o 00 suite.. la mort du camelot du
roi, commissaire d'A. F., Marcel Lm-
glois. tué d'un coup de sa propre ma/
traque.
Roëllands qui, d'après la presse réac-
tionnaire, était un bandit communis-
te > et me Mute dégénérée > mues',
à mn deuxième sauvetage. Déjà il onCm
des eaux un, garçonnet qui, lors du
Yl?el0j le 'ce:C:1.1M 5.Vi'als
'ie.r,Z.
i
, Tom nos mmamdes se Joindront a
(nous pour féliciter RoMands de eon
dévouement. dosas courage elfe sa
modestie.
Par ailleurs le mystère entoure tom
jours le drame dans lequel Roêllands
Le journaliste rots...lin: Georges Le-
yetant a été, amené hier après-midi de-
0000 00 Legris. substitut du Procureur
On la République
au Parquet
de ver-
sailles.
signé jusqu'ici A la disposition de la
justice. sous l'inculpation de vagabon-
dage. Après avoir fourni à M. Legris
Ors explications sur lm derniers atm
ments qu'il passa avm son amie, il a
été remis en liberté.
D'
une information nonce,
muunet mortpart, de la jeune femme a 000
ouverte contre X.
Votre uvre
Monsieur Laval !
Encore 000,5 lettre, bouleversante Amos
sa reaàleue
Ie.-vexe peneê, In1.1, en signant
lee dolerets.lolt exigea Per elle s.ls Si
maitre Mercier et de Wendel, as
gombré de pauvres foyers 00 0000
nom m'a mrembe !
Retraita après 51 ans (le
bonssh'71'5!:
rav's'oZme'tteretrei'ra'ng'.ufe
de plus de 63 ans, malade quatre ou
cinq mois de Panne., fal b ma charge
me fensme. figée fa 60 ans, une fille
de 13 ma ei demi et une petite fine
de le urnisellue de père et de me-
re. Mantoue,roser
ro000000.ser
et it. Voue m
rslaaes 1' ta s000ena. Lu
scene, And st et n min. us. s0s::,;1r5e, Mar'/'
%c-,;na, l'PneOrite'elj
là. Laval et ses acolytes ont trou,
pue cete retraite étals encore beaucoup
"
Il est it croire véritablement que ces
gens-di n'ont rien d'humain dans le sen.
Que relaie faire maInte.nt avec cet
te nominale pou- vIere mol et les mie,
anses mois donné mn jeunesse m val-
sé mon argent it thillidnistratIon mes
dant priée tle aor
Actuel..., je sida réduit, moi et
sià erever de faim sur iE
pa Paris. II est pénible sur se,
virais loups d'etre la victime de tant
dlistmlnation.
/Mendier, disent certains. Ça jamais
LE MIDI SOCIALISTE
llos Faucons Rouges arrivent
'050 DeMAIN VENDREDI
oze danslea eceurs de tous les Faucons
1M dc0000e Fit="Zrt.U.0,2,00,,d'
neuil-l'Etang, arriveront d Toulouse
s HUIT HEURES DU MATIN par
le train de Parts- sg g e.
Les PrldeOPS de Bésiers et de
Perpignan continueront vraisem-
blablement leur route sans descen-
dre du train.
oombb070xé d 10 .00r001 dono lu cour
ode lu g a'éer0fi«Prêse
tstietr vcpton
immédiatement nom aller se relm-
ser des fatigues d'un long voyagd
en p '
par'100"4,':rIr 's ,,,.."gIr..thîît,' 0,s a
eett'e heure' coensakreraret comme
un devoir d'être présents a in gare
pour accueillir nos vaillants gos-
ses rouges, encore illuminés de la
7oie de leurs vacances b000tOéxOr,
LE DERNIER COURRIER
DE VERNEUIL
Mardi 27
Dimanche a eu lieu la derniere
fête de la République 1 la fête de
l'Adieu. Elle n'a pas été triste car
a
De quelques excès
--
Je ne suis pas tin ennemi des au-
tomobnis.s.
Raison de plus pour signaler ati0
conclumems raisonnables et au ser-
vice qualifié tes noces de quelques
hurluberlus dont l'Impunité risque
de devenir alarmante et de déchu-
cher une licence mcirtelle,
jamais, sans (toute, pareil relâ-
chement ne s'est manifesté dahs la
discipline de la circulation elles lm
conducteurs.
Faut-il en incrhnines la noncha-
lence ou 10500000e du service me-
posé â la surveillance 7
Ce n'est pas â nous de le cime.
Mais la constatation publique des
abus tolérés est de notre ressort, A
/a police de voir comment elle peut
y mettre un terme, si toutefois elle
est décidée à faire Observer les re-
g/ements municipaux garantissant
a séeur é.
Combien de fois les agents ver-
balisent-ils contre 101001100m ne
tenant aucun compte de l'arrêt do
tram qui est devant elles ?
Cdrublen de . fois même fontsits
des observations à ces conducteurs
trop presses mn brûlent le tram et
frôlent les montants ou les descen-
dants et parfois les bouSculent Ja-
mais. Pourtant ils constatent
vent de visu cet accroc dangereux
au règlement.
Combien de fois ont-ils attrapé
les voitures qui, le soir, entre 23 h.
et demie et minuit et demie par-
courent toute la rue Lafayette et
toute la rue de Rémusat en sens in-
terdit, manquant d'écraser les pin-
tons qui, croyant à la vertu des pla-
ques indicatrices, se permettent de
marcher sur la chaussée, convain-
cus de leur sécurité s'ils deatnbu-
lent dans le sens interdit aux vol-
.
Jamais. Pourtant, ils ont, h pou-
sieurs reprises, constaté ces infrac-
ions, de visu.
Par quelles mesures, par mima
moyens, /es serviceu. d'exécution
ont-ils essayé de faire exécuter un
arrêté du Maire interdisant les mo-
tos trop bruyantes ?
On tempête contre le bruit, con-
tre les embarras de la rue. C'est
naturel et légitime. Mais, a qui
adresser des reproches ? A la mu-
nicipalité qui s'en est préoccUpé ou
aux agents d'exécution qui ttenBent
les édits municipaux pour lettes
a
A
estreetet olsir sa euxt only optlaisnt tesd,o0bssjsr 0%11/
guement leur voiture, ont-ils fait
une remontrance ?
11.1r05-i4s go' De ne s'en allerMl-
B11111111111 UUUUUU
OUI! Mois la Meilleure éle tontes,
c'est lu BIÈRE DARRIBAU
uaummaananau llllll
Encore ro. N. I, L
Il est à croer que depuis que.-
Il est a croire que depuis quelques
mois, PO. N. I. A. tienne à se signa-
ler 5 l'attention Publique. Il aemiee
même que Ton ne soit pas sûr de
l'attitude à prendre vis-à-vis du
p00000001
Et d'abord l'éternelle question se
Pose au sujet de ce personne!, à qui
Il manque la stabilité de l'emploi.
Est-on ou n'est-on pas Usine d'E-
ME? Depuis 9 ans le personnel se
pose la question ; depuis 9 ans, pas
de répeosp ; ou du moins si, il y a
même a réponses u. doit-on profiter
es avantages 1 Usine PriPée; p a-
t-il des restrictions m
Usine d'Errer
L'O. N. I. A est comme la chauve-
sourm de la fable Voyez mes alles...
Il ne faut pas oublier que ImF
banquet servi aux invités de timoré
leint vanté par la Presse) M. Las'
tronc, président du Conseil 000mO-
ullt0000oo, souligna que Us.r
était dEtat. Suivant la thèse direc-
toriale nous sommes usine privee.
Où est la vérité, qui imPorte tatiF
OU personnel Il faudra blen qu'une
solution intervienne rapidement.
Pour l'Instant nous n'abandonne-
sons pas çe et, nous 0000 een-
tenterons de signaler les divers in-
cidents de ces derniers mois, Inci-
dents dont le personnel fut tou-
jours victime fait d'abord, baisse
de 333 "ô pour le personnel 1200, a
luit l'espérance f' une républigge
prochaine qui /es réunira tous au-
tour du même drapeau rouge. Aussi
ce n'est pas un e Adieu o qu'ils di-
ront jeudi à tous leurs camarades
mais un a Au revoir 0010 Peu enm
car les liens d'am,Itié sont très forts
entre nous.
En effet la vie commune que nous
avons eu pendant un mois n'a fait
que développer l'amitié que nous
ressentions déjà pour tous nos en-
marades français et nous a aPPrM
à connaître et à apprécier tous les
camarades des délégations étran-
ères
Successivement les Anglais nous
ont critté puis les,Belges,tlessuys-
eenülseLsnenucelsessontOnrestes jus'
qu'a aujourd'hui. Nous devons tous
partir demani mercredi et passer la
journée de jeudi it Paris. Nous se-
rons à Toulouse dam la matinée se
vendredi à 8 heures et nous espé-
rons que vous viendrez nombreux
accueillir les Faucons Rouges de
Internatio-
tat ? Mais passons...
Que s'est-il passé ensuite h Paris;
depuis le début du mois, retour an
régime normal pour le pemonnel a
l'heure. Le personne/ au mots est
touché pneus abattement de 5 a
15%.
Mais tple nom réserve l'aVentr.
En ce moment, l'on recherche
parmi le personnel ceux qui sont
titulaires dune pension de guerre.
Pourquoi ? Ils touchent une majo-
ration pour /ours enfants. Est-ce
que cette majoration sera déduite
sur Pallmation familiale que dis-
tribue PO. N. I. A. aux pères de fa-
mille ? Il parait que 017i, elle 11 y di
mime Et tel, nous 050105055s à une
Pho. bien paradoxale, hénetur-
mot... Si ne régime est appliqué, il
sera permts à PO. N. I. A., de cumu-
ler une retraite d'officier supérieur
624 à 30.000 fr.) avec des aPPointe-
monts de 24 à 40.000 Dunes. Mais i/
ne sera pas possible à un pensionné
de guerre de eumMer, sa majora-
tion de 10 fr. par mois avec son al-
location de 45 francs allouée par
Nous faisons /e public juge de ee
procédé, et à chacun de nous dB
réfléchir et d'agir.
ouvrier à rOE N. I. A.
nunusiumemni lllll I lllll 11111111111M
BRASSERIE PERE LEON
(Dégustation Bières WALSHEIM)
A minuit, Soupers
Ouvert toute l'année
2, place Esquire/. Téléph. 220.311
stuqua lllllllllllllllll lllll 1111,
Une belle oeuvre
Dimanche dernier, yers 17 h. 45
débarquait g la gare Matabiau,
groupe de 12 enfants de rugbymen
conduit par MM. Lalaurie et Blanc,
du Comité des Pyrénées.
.C'étaient les douze bénéficiaires
l'oeuvro e Petit rugbyman à la
Montagne et à la Mer » dont le créa-
teur est M. le docteur Ginesty, pré-
sident du Stade Toulousain.
Ils rentraient d'une cure balnéaire
tic 40 jours effectuée au M.ouleau,
près d'Arcachon au bord du bassin
et dans les pins. Cure bienfaisante
s'if en fût, puisque /es huit garçons
et les quatre filles qui descendaient
du train montraient des frimousses
resplendissantes de santé et avaient
augmenté de 1 à 2 kilos pen.dant leur
séjour au bord de l'Océan. Tout
commentaire affaiblirait l'éloquence
de ces chiffres.
Certains, peu au courant deS
ses du rugby, se demanderont com-
ment un tel succès a pu être obtenu;
comment en ces temps de- gêne on a
pu amasser l'argent nécessaire pour
permettre à douze enfants de vivre
pendant. 40 jours au bord de /a tuer.
Disons donc pour ceux qui lôgno-
rent que c'est en utilisant seulement
le produit de la Journee du Souve-
créée par nu autre grand sportif
le docteur Paul Voivenet, qu il
e pare
résultat a pu être atteint.
,C'est pourquoi les sportifs de la
region se doivent d'assister chaque
année phis nombreux aux matches
et,ganmes le 11 novembre. Oints
Tnvelr.'ont111ir en'tere 10'01000 srerlae'ettre
01 cour équipe locale.
Lx bouderie ne saMait être per-
mise quand il s'agit d'aPPorter Ma
obote à des uvres Connue eelle qui
nous occupe et ses encouragements
'u des sportifs de la trempe de ceux
que nous venons de citer.
C'est lima/quoi ums mons espé-
rer que le II novembre prochain, il
tueera la grande foule autour des
ij'irtrelhr," ledes'posr:ete2:=It
service de l'humanité.
TENTATIVE 55E CAMBRIOLAGE
M. Paul Médu, négocian1. demeur
O
ant
rue samteUrsule, a porté plainte au
5, arrondissement contre deux %dim.
(tus qui ont tente de pénètres clans
phgasins à l'aide de fausses clés. mats
ayant été surpris. ils ont pet la fuite
VOL DE LINGE
22.n., marguerite Clément. matelas.
AU PALAIS e±r- cité -ma,
tera. du Pétera, a portptai
tre inconnu, pour vol d'une chemnte ise
d'une combinaison, commis le 20
A la présidence de
rant. entre 22 heures et 22 b. 30. dans
hm, lesüveuse, près de m porte.
la Cour d'appel de Todouse
CURIEUX ACCIDENT
mes. .vers 1/ h. 95, un camion ne
taire de 10Ie
M. GUER.1N REMPLACE M. LOUP
la, brigade d'eh,
NOMME PREMIER PRESIDENT gen Dugue, 00001515 axe l'an
0005e.
HONORAIRE 050000. On 00h 001e 0000505 nvo,o"
31. Lems Bérard, garde des smaux Lors de la carrosserie un mat têtesok
a fait signer par le président de la Pique muni d'un manomètre. A him.
République, un décret aux termes teur de l'immeuble numero 05, le nuit
duquel 51. Guérin, président de a 01000010g01000010g1.5 camionnette appartehant
ec ho 0a me bdr,:pitp a dcomiTro,dil'oaZ
rom'
M.uorcelel cP.01.iena,..di,tatilldoatieourch.. là...
ro:
est Premi'r Pré'id'd de la deLa'/ecamPaiiismn, e5t0telaa7eeelt0
eu
placement de M. Loup, admis à la
retraite et nommé premier président
moral .
111111111111111111111111111111111111IIIII111111111
retour de la République
.
mals hors, nous sommesnUsiine d'E-
- A 1:intersection de la rue Riquet et
O. la nie (ritrannan Son véhicule heurta
:Al°... Pnar:FI:Doinctiii:eü:merer,
,,
'15nd:Pti:ite7pa:sr niuMu.
à.
Périgord.
Pae ente du choc, l'avant de l'autm
une auto qui/ venait de voler au mobtie de M. de Soin50100000fut 010011010,le.
garage en plein air de la rue Cons- Veinent embouti et le véhicule de 59,
tantine, avait causé deux accidents. Dedien eut le marcheparrachéarra. et
Ajrès avoir blessé grièvement unbrisées,
nate
des Faucons Rouges. meton, M. Galion Puera, il t'irai en- 1 a a Molina fut fortement commotion.
Amitié. tré en collision 0x00 000 tram venant needetM... De d...ieu,ffeteuiurasvaie.solr, j.
ODETTE. de la gare.
11 n'avait pu être interrogé, en rai- Une enquête est ouverte au cinquième
Arrêté et mnduit à la permanence ittl
6arresosnde,,,att.Z
3 % ( partir d M
e droit.
, l'heure) et par les cadre3 son de son état d'ébriété,
Cet individu a été intaireerrogd
é hier,
CHU ENC
TE MALONTREUSE
à e .000) . Paraissent
Ion déerets-lois L
11
avai (?) distribu- Hier soir, vers 19 h. 15, place Esqui.
M. !Muet, commisse po-
tins au personnel de 2 circulaires, '0'0 du.'... ars°'di.ement.
chacun, s'il ne nu- pour vol, e fuite, vagabonda-
i]. a ete ensuite déféré au Parqvu:t til:/..,ALini"Até/ebottr.uieîo,rftt,aé: ree.10::tiepsu:
demandant h
'tna,'ir:, sono I °?A., mitillit P-n'' bi'-'''''''oren'a
délit d
'''' ''''' ''
'x'-- et hospitalisée salle Saint-Louis
s'il n'exerce
pb
as un commerce, soit nvitevsesnet,i défait
oo
'...
ck il'pellZse'dee:en&- dol'ill,Z.0..FlZira.didroagrt:llelF a'lle frael3FF
res mou.t our-
kittelêtim:;P:'peirspoar U'nne1.Cte's m édcirculel'al- "Preré s ee tnlié'
1.:V.k?.'l
00011010e, I rif
ge:d1;aus,,: .7.0 114.0ppURr ,,,,,,,,S LESVOLS .11 E VAEuLgO.G
fur t t t si.m0i.e..
rrs lefee d'''orr'slineni PZtériel;
50 ucce, ot i ot rn: irle ma,
arroi,
é pee:t :nu: ris, 0, ..,7 .1.0,,::::7:
gr 4 I son d'
tr'rueuretuslindMet re le,MgerePmarrenat' blen."-set. îr.,..,-:.,net t:57...
,,,,,;e,jchive: 0,...-,
?2......Te.,,ti.::,,,,
Ires trois volés sont venus conter hem
mésaventure a la permanence et ont
porté plainte.
11111111M11111111111111111111111111111111111111
11, COITES, Râ r. de Fileat, 55
P0550555,
1111111111I11111111111111111MIIIIIIIIIIIIIIIIII
L'aventure d'un voleur d'auto
Nous avom relaté hier, que le
nommé Albert Mme, s'enfuyant avec
ANIS MATADORD1
wwwwwJ
UN INCENDIE A VILLAUDRIC
Hier, à 3 h. 30 du matin, le feu a
éclaté, dans la maison de Si, Charon
située le Vi5a05rie,
Avertis par un conseiller munici-
pal, /a Gamme centrale des pom-
piers de Toulouse, envoya un déta-
chement sur les lieux, conduit par
le sergent-major Salas,
Lorsque nos sapeurs arrivèrent,
toute la maison brûlait et la toiture
commençait à s'effondrer.
Malgré que Peau se trouve à une
00000 grande distance, les pinitPiers
purent mettre une lance en batterie
et attaquer vigoureusement Pincen-
Ils durent travailler durant plu-
sieurs heures pour s'en rendre maî-
tres.
Deux pièces de l'immeuble, le
chai, ainsi que les écuries ont pu
etre preserros.
FoC,errant ks dégâts sont très
Douze pièces ont été entièrement
détruites, ainsi que 200 métres mo-
rdu de toiture, et 180 métres carrés
de pkfond et de pl.cher.
Ires pertes, à l'heure actuelle, sont
estimées à 100.000 francs.
Les gendarmes de Fronton assurè-
rent le service d'ordre. Quant à nos
pompiers, ils ne regagnèrent leur
.caserne que hier, vers 15 h. 30,
91111111111111111111111111111111111111111 llllllll
DES VOLS...
500000 Marie-Jeanne Quemener, do-
t au Champ-du-Loup, a porte
niniube contre inconnu au kr
500001, pour vol d'un sac h provisions,
contenant un g teau, deux médailles et
01001000e de ciseaux, commis le 26 cou-
rant, nom 55 bene. place Esquirol.
- M. Théodore Arrms, boulanger.
Mmeurant 89, route de Fronton, a porté
p00 00e contre inconnu au 3e arrondis-
sement, pour vol de sa bicyclette, com-
mis le 25 courant. erF0- 22 h. 30 et
20 h. 30, place du marché aux cochons.
miMmes.
AUTO RETROUVEE
ItHOTEL NEGR'EsCAUT, le lutinée
do cochon es bu meIlleurs
te;Fielt,;,
Hier. à 15 h. 15, M. de Schriver,
goetant, eoes Dupuy, ni000ba,f ,
automobile dans la rue Riquet.
AUX ARTISANS
La Fédération. des Artisans de
Toulouse et de la Région, informe
ses adhérents qui assistaient à la
journée de la Bonne Humeur, k I/
août dernier, ayant pris des photos
de cette Marnée et désirant partici-
per au concours de photos, les prie
de nous faire parvenir au plus Mi,
au Bureau, 1, rue dAstorg, Ire
épreuves qu'ils désirent présenter.
MEDAILLES D'HONNEUR
DES SOCIETES MUSICALES
ET CHORALES
Nous relevons dans le Jour./
Officiel (promotion de juillet), les
noms de MM, G. Abribat, A. Azéma,
E. Cabié, Nr Calme], A. Dedieu, 11,
Manaud.
Toutes nos félicitations aux nm-
veaux médaillés qui se dévouent
Sans compter pour Part chose/ de-
phis plus de trente ans.
Ces récompenses viennent s'ab.-
ter aux succès remportés par l'Ave-
nir Choral la société de chant qui
jouit dans le quartier des Minimes
dune réputation nettement justifiée.
MARCHE A LA VOLAILLE
Poules, 30 à 35 fr.: poulets, 22 a 26 fr.
oies. 55 à 60 fr.; canards, 35 à 40 kt
pintades, 30 I 35 tri pigeons, 10 h 01 50.
ie tout la paire; lapins, 10 à 12 fr.
Inke. oeufs, 4 fr. 25 la douzaine.
MARCHE AUX FOURRAGES
Sainfoin, /re coupe 12 à 13 fr, 5e
coupe, 01 à 02 fr., foin. 9 à, 10 RI
Paille, 5 à 7 fr., le tout les 50 kg-
1111111111111I11111111111111111111111111111111110
Chez nos boulistes
CHALLLNGE DES PHILOSIMIILS
Le dimanche Per octobre. à. 10 Mures.
aura licu la sixième renoonlre du Male
lenge dos PhilOsepheS sur le Bouledisnio
dos AMI, de Raynal, 2 et I, chenil/ de
000erospa
L'automobile de M. Vincent Roques. Cu Mal/once a de organs, i me
dem.eurant à Muret qui avait été volée cies 000! 5005 suivants
le 26 courant devant la gme Matai., 0015 Boulistes Cocudiem, Buil. S100.
a été retrouvée abanonnee devant is the de Montemuse, Amicale Bouliste des
même .re. Trams, Boule Gnsonnalse, Boule Emühe
nie a me placée dans un garage soi- do Gramm., 10 5,05 Amis de 1110t100.
nre âq aad'etrPr''évenn n'in% r lens sUitrs%
Colle
In' es ces srannte°, ncat's ei'''e'snt'l 01.1g1le0
Id. 10 comnt maire de police du 5, ar- du classement du Challenge qui sera die-
rentssement.
tpresuéde ylleatolgr'er S'In n%
IL AimE LA FRANCE
,ompt,
1,1. le eh/ulmaire de ponce du 0e , maitre de points obtenus durant les
an; ,otiusentkenntda,,,d0O00:001O.aull ,paar0.11It. kpsoireerttiesdoexaleiai
Pu' cnn, 10 01x000 Punis Omohue, san,7,,zipip.,000teetedo.,t c.ing.p..txdal ne réel c
Douve dans la nuit du 26 o 27 con. 550400 fin de faciliter la benne ma,
e500, oie do na001, ens. ors ngents et, etto des concours, tous les joueurs 1e9
5'OOlOO douas mue eltilis participants, énumérés plus tom,
son! priês de ee rendre au Mage des Attila
EXECUlgON D'UN MANDAT Me Raynal. a 11 Ileums, où le mellites.
EPARRET lens sore entierehent erses-se, ainsi mi
' nl.nmé
- wu, ceux qui voudront assister à de Pei-t
50010.000
, Wl1GerMFM F,-/ Pis parties de boules, d am Invitée.
0000,1 le Ovo 'o 2:".: ha distrihütion du Challenge '' 7
0.0te appmhenm cond,m au mmmis. 1=s .
dc 00
//1.0.'rirr'1015i
gl?Ide n:;5s:jeem';:elel
lon d, Sarreguemines a été déféré -souri d'autres I OmIt'.
. lama. et écroue a la maison d'arrêt.
P. t.
as
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