Pas assez d'ige nordique - Bibliothèque de Toulouse

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$3iDierI01\TSzoIs - Bibliothèque de Toulouse$

Gïandc tercIaîo eU st a tki s raratios e . Pftcar La sa'iCc e1 CUVCFi2 3 h. 30. sous la prcsideiice de M. Leon Bourgoi. Le pré idciit prononce 1'&ioge fUnèbre (le M. Lucieii Cornet, sènateur de 1Yonne. On adopte le irojet ipprouvant la con- -vt:ntiou iI1eriLttionale conclue û Paris, le 3 jui1lc 1921, entrè la France. la l3clgi- Uinnde-Bretagno, la (irêcc, l'italie, (lue, 1 la Ruunmiie, le royaume des serbes, Crotes, Slovènes, la République Tchéco-Slo- \,a(lU(', l'iUleniagne, l'Autriche la Bulgarh3, et la Hongrie, à l'effet d'établir le tatttt (ftIIiùT ihi Daiiube internationalise. L'ordre du jour appelle la discussion de Finh4' pellatioi de MM. de Jouvenel et FfaiiçÔis Albert, sur les coidrtions dans JeuelIes le gouvernement entend poursuivrç tant à a Raye iue dans les divers entreliens avec les alliés la politique 'de réparations fraiçaise et de reconstruc tion européenne. LA THESE DES INTERPELLATEURS M. 1)E JOUViNEL monte à la tribune. Au banc du gouvernement aux côtés du président du Conseil ont pris place : MM. tic Lasteyrie, Straus. Coirat, Rio, Paul- Laffont. iL DE JOUVENEL débute en dis' ml que ïhiterpellatioii n'a pas pour but de combattre le gouverneient IiTOS au contraire dc colborir aec lui. L,orat3ur estine uii a été usqLV psent, trop. enclin à suivre la politique de LIoyd George qui s'est lourdement tioiié en partkulicr dans ses négociati,o13; avec les S'dcts ensorte ju'il donne à ceux-ci l'iiILisitm que c'est d'eux que ttépeud la rtnovation de l'Europe ocpidenlak. I;! y a un an, Lénine aoiig la nécessité pour les Soviéts d'éviuer - s k régine capitaliste. M. Lloyii George lui u don- n d'aues espoirs ii Gnes, is déclaratkns (1*3 Pchitchérinc yiiefituaient un reenl nr ee1ls de Ltnine i'n dernier. M. Lloyd George u rejeté vers Muscou la 'rur- 41ni? (1'Ufle par-t et lAlleniane dutre part. Il a révé dc baser In recnstriiction éconoiibue de ht Russie. M. DE ;IOUVENEL fa$,t ressrljr qu rn'ènic si 4es Loidres sont is CX4OuIiOa, 'i*ou; ie rerGivçirrons pas assez pour i'er nos créanciers. Ii fUut rc'aenit sur îcs ico&rd coiil'rairos. il faut reviser ttait, car erreur nkt pas eompte. Les calcUls iau doivent êii_,eTe4ressé. L'loniugne n tuours adrnis que Pinvacion étaft une opéralion avanhgeuse et elle s'est toujours ineliiue devnnt la force. n I9i, on pouvait lui. iuioser ds ccnditions. On sest taompé eu nagissant pas onime il le fallait. De cette façon d'agir, il en résulte que nos régions dévasts sont nicore i relever. D faut dire ec1a é nos alliés qui discit : « Cniiuerce (l'il)Or(l . II faut que le gouvernement se rappelle que dans la paix coninie dans la guerre, .lavanlag appartient i celd qui preii et goede l'initative. M. lRNÇOlS ALBEBT succède à M.. de Jciuvcnel. Il enouvelle les observations de LE ]iT La s&tne e;t ouverte, i 15 h. 5, sous la pré. skleace de M. Racq.1 Pet. L'ordre du jour appelle la dicion de La piapoaiian de loi de M. Jean Lefabve et p'us:eurs de ses collègues, tendant dégager du secret prfessionne1, -dans crtahis cas déterminés, les foictionnaires des administratjos publiques. Cette loi comprend un rt:cle unique qui est ainsi conçu ; LE SECRET PROFESSmNNEL r Article unique. --- P&r dérogation au dispostions de l'article 18, trcs:èrne alinéa, de la loi du ler juillet 1916, le secrr .profeestcnuel ne pourra éhe apposé par ladininistrati des contrihutoiis directes , ni aux dniiaratians finaueres de lEtat, ni à l'autoiité judiciaire, ni aux commissions parlexnenbes des spéculatiens de guerre, qui dernanderout commumeatio des renseignemexts relatifs à la coniibuton extraordir,.ire sur les bénéfices de guerre. s M. I3OKANOWSKI, rapporeur de la curnissien de5 finances, demaide le vote pat diis1on jusquau mot : S Ni l'autorité judiciaire s indus. Cette première partie de larticic est adoptée. M. BOKANOWSKJ demam alors, au nom de la commission es finances, la suppresaon de la fin de lartiele. M. Louis MARiN. présdent de la commiasion 1es spécuLatoris de guerre, proteste vhémentement contre cette attitude de la commiasion des linances. M. BOKANOWSKI monte la tsi+rjne. li expose qnii est dangereux de donner è la cern- 1ns&ion des spéculations ic pouvoir de délier du secset pefessonnd le personacl des contxibuticns directes. Cela, dit-il, donnerait à cette cornmisiao le pouvotr de peendre d rrnaiasance de toute les déclarations faites par les contruables. ce ii serait un graiid péril pour le lois fiscales. Conibien de fois avons-nous eu ici des noms vlja- ,aTsdés. tramés dans la laoue, sans cue les permomies visées. éfraiigrea i noire assemblée, aient pu se défene. Le pouvoir législat;f nc doit pas empiéter 5ur te pouvoir judkaire. t.'ensemnle de Partde uque du eje et LA LOI MILITAIRE On reprend la dscussion des lois militaires. Le Vapposrmr généra denssnde la C+mazsibe de Voter l'article Y qui avait été réservé, et dont le texte avait té modif pa la .comnission. Cet erticle dis,ose qeme ne pomma êtrs I*etiosumaise qse s avoir rempli ao esï'aUons de la loi miiitaze. M. DAMM)tE1 kvelcspe un amer.deruent tendant modifis rie pargrapbe 3 dc larcje 7. Ce s.araaphe dispose que Le temps passé sous les &mpeami, pa'tir de lcoperaon. des )ime; appart5nsnt i uac darse nntéieure, .er;i compté pemsr iC durée équivalente au ses viçe civil Ai Parkm rt son collègue et se déclare partisan de 1cminternational. Il regrette que l'ac- COE(l de Wieshaden tie sojt pas encore voti. Parlant de l'emprunt allemand, M. François AL1EF'F dit que les créances interalliées doivent açoir un droit de priorité. LA REiONSE DE M. POINCARE M. POJNCABE prend ensuite la parole. Il retrace la situation présepte. Parlant imniédiatiement de la conférence de la Haye. èéclaDe que c'est une réunion d'perts ayant min caractère pureineiit teehlli(ltle. Le gouvernement et le Parlemeitt cons'rveront leur pleine libeité d'application sue les niesures qui y serout sécidées. Sur la q.wstion des réparations, il. parle du travail d la commission des réparaLiOn et de la récente réUuiOTt d banquiers. Ceux-ci sont arrivés i une conelusi)n 111011 trant leur désie d'ohtenir une nouvefle reduction de la dette allemande. Le gouvernement français, on e sait, n'y a pas consenti. Ensuite, le comité des garanties a cherché à établir un contrôle sur les finances allemandes constituant la garantie indispensable du paiement des réparations. Examinant la situation actuelle de l'AI- Iamaiie, M. Poinearé constate que celle-ci trayi1ie d0 toutes ses rorces peur l'csploitatia. il crant que les statistiques qu'elle fournit ne soient truques. L'iiidustrie ailemande sert considérabl'ement enrichie. Ses bénff1ees se sont évadés à l'itrauger, ear les exportateurs se fout payer eÏ devises étrangères, toukifois cet enrichissement des coniinerçants et industriels allemands contraste avec la situation 4es classes ouvrières et populaires. La presse se garde dc signaler cet état 4e choses. L'Allenane gaspille les gages quelée a conserrtis à ses ccéanciers. Elle se livre t des ddpenses sampluaires. Elbe reeonstit icI augmente sa flotte commerciale. Le Reich s'ass&eie à cette oeuvre avec l'argent ju'fl Ievrait donner tux Alliés. Il y a consacré douze milliards. Il rachète ses ha- 'teaux eu An.gIet.erre it construit des bâtiments neufs en qua'ntité considrahle. Peur lits chemins de for, les travaux sont ma&lssi importants. On va ,jnsqu'h .exdcuter tdes lignes ayant un caract&re stsaéégiqi.ie. Les Alliés ne doivent pas accepter ces dépi!es, .L moins que l'Hesnagne ac cernnicrCc ar payer ses dettes. Pour rem&ticr à cs -SIBis, il faudra cxigar1a mise vi vgb&m de véritab1es doua- lites l'eaportaLion et le versement à la IBanque d'Empire des droits ainsi pertis. Si cala ne s.ufflt pas, les devises aneuirnies par les Allemands 4evx'on ètre affceitées aux réparations. En attendant un contrôle sévère est étaa1ir. Il tcrmine en disant : e fl ne dépeitd pas.de nons seuls de prooé4cr 'a un règlement. Il faut établii nn eontrôi sur 1 es finances ai}eandes. o Si l'A;ilemagne Se T*CfUS@ à ce centrôle, ca Iïiauvalse foi sera établie et les Alliés plmrraTIt preitre c.oitecthlernent ou sépaémert les sanctions éoessaires. » L'ordre du jour sie cehivance en iaveur du gcsuvernerncnt est eisuite votd à mains evees. La séance est levée à i19 h .40 Séanct demain matin pour les crédits de i'armée du Levant. fa !i llut!r vo1 la Cftrnbr Cet amendement es adopté. Les psagras}ies suivants son adoptés jusqu'au dernier exclusivement, sur elquel M. Di-\LA- DIET et M. TAURINES font adopter un amendament accepté par la commission. L'ensemble de Vartiole 7 est adopté. La Chazubme re,rexsd ensuite La diecus»jøn des autres articles. Finalement, Pensemble de1 la loi est adopté per 404 voix contre 202. 1 La Cisasnhrc discute ensuite une proposition de loi accordant au ministZxe de l'intérieur un contingent de Croix de la Légion d'honneur, ptmui les admaistrateurs de communes ayant exercé pendant 20 ans. M. REYNALDI déclare que la commission sest pronsn'cée cont5e l'abus des contingents supiplémentaires. L'ensemble es linsilement adopté s main» levées. La discussion sur l'amnistie est fixée à mereredi rntin. La rémcc ,est levée, à 19 heures. IIErc 4o pIli a o roo s VLLIEI)A » Nous avon5 ft connaîtse les interprètes de l'oeuvre de Mauice Magre. qui sera repséscntée sur le Théétre de p'ein air de Nashourre, aprèsdemain 2 juillet : Mt,t RemuaL1djoué, Hensy- \'*je1, Raoui-Henry, Chabrol Miles Lucie l3iIle. Marce'rle Servières, Mare crurCeot, Cécily rdsi,a', F.1se fiaint-just. Il convient d'aouter à catte admirable distihuoa : MM Marys, :Miqel el René Leubié. M i4srys Miquci, blassé de guerre, est un artiste rc-marquahlemont doué, et si le cêle du s êchesen mm ne lui offre par l'occasion de donruse toute la mesrie de son talent, d-u moine sourra-ton app!étier la pureté de sa diction et la justesse de s-on jeu seénque. M René Loubié est un jeune, un trra-jeune, sur laqud on peut fonder de beaex espoirs. Si l'interpeéat 1 ars du poème a été particuliàremnent somgnée, la partie iyrque n'a pas négii5ée la partition de Mairice Celerne, qui sera cxéc-atée e prnmr la preanière fois s à Narbonne, eernperia lIeux cerypisées. Le dractei rtstiquo, M. Josrph Lignemi, e _» La hontes Lertune rie pouvoir s'asrer 1» ts précicase colLabosatica de cieux chanteurs de taleut le ténor Sari». ci Acdémie naiosssle de M.nique. qui joint à n organe admi.tahlerneiu tiaibié de sali.des qsaiiiés 4e chanteur, et m'lLk Cécile Rex. de l'Opés aussi. dont le splendel .-nn&raltc ex.perucu.a en mse 1ravai scosose t'es bra.aés de s rtition. Rape3ns que renfler hméli de ic xesrésenta2iofl est réservé au Monuaient ,a.jx iVIorts et que te pri'c des pisces es ainat 1aé il.ocatiosr dr0t5 ci taxes compris) réser'iée nuir..érotées, 25 h. : psemures n'snmérotées, 21 fr. ; sss,uncles nurr.kotées, 10 fr. ; troisièmes, 6 f. Autre proc à Moscou es ers fflAS Ne-ire ami Martaff expose, clans le Peuple )) de Paris, comirseut ont 1e CC1daflVié. Mosco', jt»r cette mme utcc i&vOlulicnflaire qui juge aujGur- « hui les sociajistes r,vo1uticnares les (, meneurs 1) la iandt grave de Saristcff. C'esile 3 mais 1921 q u , ixur pmvt'utç-r contre une diminution dc a ratmc'r adirncntaiïe, les cheminots de Saratoff prccksmrent la grève gn.rale. 11s tinrerit une réunion où ils réciaiTirent oure une arelicraticn de leor ptye, 11rdépendance des syndicats cuvriers envers l'Etat, j'mviolcbilité de la peisonne et la liberté uc la presse. Le lendeniisin, tou tes les usines la villr sm;vaient leur exemple. Le bloc eniie des cuvrier réclania auri la « déritilti arissen. du travail ». on déoid de pvocéder à de nouvelles électicns pour la oléaignaiton de délégués ct'usines, chaigés de recenser toutes les ressOuvces en vivres qui se trouvaient dans la ville. Sur trcs cents délégués élus, quatre seulement étaient corurnuflirtes. La garnison rouge était peu imperante. Auasi l'aulorité centrale laissa-t-elle faire pendant tout le ten'ps nécessaire pout. rsmbler des troupes. Puis elle ordonna la répression . On arrêta tou les mém1res du comité qui restèrent enfermés six mois dans l'infecte prison kcale. Puis on chcisit parmi eux 35 victimes qui furent envoyées à Mosccu. Leur procès fut annoncé k grand renfort d'articles injuiieux pour le 10 avril, soit après plus t' un an Qe prison préventive. Les accusés ont bien cornparu ce jour-là devant le tribunal révolutionnaire, mais, chcie étrange, après avcir si bruylamtnent annoncé la chose. voici que les jouénatix scviétiques organisèrent la cons piration dii silence. Il ne fut plus question ni des dé}ittts, ni des condamna- tiorrs. - C'est qtve l défcnse des accuaés se plaçant sur le teceain purernient ouvrier, parlant au nons de i.ous les traviailleurs de la ville, socialistes, anarchiste, ccrnnr.n'iirtes, prochiisit une impression pfonø.:e, si bien cpti l'accusateur dut, pour se tirer d'affaire, diéejarer que les vrais copables n'étaient pobablenuent point sur les hanct des accusés. Il n'abandonria pourtant les prsuites que coîitte quatre alcctSséss. Tons les autres furent mdaminés à des peines variables dont lune atteignit cinq ans de prisc.n. Hélag, pendant la longue détentic. n prévcrntive, 4 ds ciétenus étaient mor, 19 étaient devenus invalides ! Tel est le respect des droits du travail, des princ ipes les .pus lémentaires de la liJertié ouvrlére rknt fait pretxve ce tribunal « de caase 1) OUi va juger les secialistes révolutionnaires. -- .---s-o et Là La R.ECEVEUSE des POSTES de WATRELOS Lille, 29 juillet. - Est juillet 1921, le bureau dc poste de Rouan émettait un mandat-carte dc 1.000 francs, payable à Tourcoirrg; un habUe faum,s.a ire, ré5 ari courant du service, le transfornial,t en mandat de 41000 francs, payable poste reante Wa'ctrélos. Sur présenation d'une carte électorale falsifiée, 1a receveuse du bureau de Watrelos, Mile Guerlin de Guer, paya les 4 I .000 francs ; l'eceroquerie fut découverte le lendemain seulement, mais le coupable resta inconnu. La bonne fo de la receveuse sic pouvait iltre mise en doute, mais l'administration lu reprocime une négligence et mit à la charge de Mile Gmserlin de Cuer la somme de 40.000 fraises, augmentée des intérêts de droit à 5 0/0; et, pour aequtter cette lourde dette, 200 francs étaient chaque mois retenus sas son traitement. Les collègues de La receveuse de Vattrelos, émus de la situation pénible qui lui était ains 20.000 Lianes; le ministre des finances vient, à sen tour, d'avoix lin joli geste, en faisant remise gracieuse de la scsmmo reatrnt due au Trésor. S1uaHns d'Avenir s L' Argus de La Presse s (42 ans d'exisionce) peut, sans qu'il soit beoon de quitter sa sésidense, indiquer des situatians de réel avenir à toutes les personnes instruites. Retrait cvils et militais-es, prêtees, iSSstituteurs, secrétaires de maire, médeci ns, sages-femmes, notaires, avossés, huissiers, clercs, etc. . etc. , peuvent tar ement accroïtre leurs- revenus. Ecrire à (I l'Argus s, 37, rue Bergère, Paris. -é Courz, des Chnnges Lommckes, 52.89 50; Madxld, 186.75; Rame, 56; New-Yrk, 12.04; Genève, 22825; l3rmrelles. 95 Berlin, 3.25; Hoélande, 461. Vienne, 0.06; Suède, 308. - VIF: SPORTIVE Le Tour de Fran CHEROURG-BREST L'étape d'aujourd'hui dépésse 400 kiiornètmes. Ce long parGau(6 eSt énad}é 'de .qselques céites et donnera peut-être lieu à mie batstllc jistéressente. La premime partie du parcours qui suit la Manche sera très prbablemeat calme. Le parcours dosient dur airès la trasmersée dc la Rance. Les ro,,tiers emp3unteront alors la :lsssi- que route de Ps.ris-Brest. L'an dernier, l'étape eibourg-est fut go- soie par Scieur, qui arrivait seul au Vélodrome avec 9 inientes dVeflC5 SUT Bartèmélémy. Ve- :imaieflt cri»uiet : Beilenger, H. Hemssghem et Coornans. L'horaire préva est le smsivnt : Cherbourg, départ à 2 h matin, au pied de la cête d'Octev.Ue, Cstaeces (7b kil). 5 b., Granviije l05 kL, 6 h.. .P-oaiorsoa (153 i), T3jnan (199 kiLt. 9 h. 40. int-Rti.eLsc (258 kil). 1 I h. 3, C.ursgsrnis (289 kIl.). 13 1m., MnLaix (343 kiij. 15 h., Bicet (405 kiL], 17 b. 5D. Lartive le Breat sera jugé eau Vé]odrom de ret. L'ARRIVL Brcst, 29 juin. - Vkj l'nsri-.'ée Jes cscl3stes du lur de Fiance : . Jaeqainet : 2. Baç- !' -'T.1Tmy: :. BeîIaner: 4. 1isugshem; 5. Gay; 2. ..,Àr,j; 8. Rnsaus; 9, Le,mnes-s. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés La prcnIitn cxoIitn!e [e tc toc La commission du siifl'rmige universel en fait d i)ClICS... ElIt veut engager les électeurs à voter, ce' qui part d'uts sentiment excellent, ifilLiS iotir iflÎiflX 1mr%enir à .ses fins, clic menace les absieniionnistes de pénalités diverses. Ces ptmns,lités von d'une ainende de Cinq francs. . à la rediation de la liste électorale. M. AUBRIOT - Je suis Opposé au principe du vole obligatoire pour trois raisons, nous dit-il (( 1. Parce qu'en vertu même du suffrage universel, l'électeur est un arbitre souverain et- que la liberté (le l'abstention est tin droit ; (t 2. Parce qu'un grand nombre de bulletins blancs déposés dans l'urne déplaceront considérablement la majorité; e 3, Parce que l'application du vote obligatoire tel qu'elle est conçue par la comiuisisoii du suffi-age universel, permettrait de pratiquer le vote pat' correspondance, ce qui faussertdt certainement le sens de la consultation électorale. M. PAINLEV1 Je suis absolument epuemi du vote obligatoire. Si un homme est indifférent à la politique de son pays, son vo-te ne Veut &tre que nuisible. Un indifféreit4 parvenu à cet état par dégoût ou par lassitude n le droit de s'abstenir. (( D'autre part, on i'a fai'e voter des gens qui voteront au hasard on seront sou mis à des influences corruptrices. » ltL JIJSTIN GODART Je suis partisaii, ilous dit-ii, de tous les inoyelis de persuasion, pont' amener les gens à voter. Mais je suis hostile au vote obligatoire . Le crs Carca$soa ne LE PALMABES (Suite) Pyramider sax's codas. - Troisiàme cst&orie. L'A-venir montréalais, de Montréal, cxcellence. 4e catégorie. -- Avenir montalbanais, Montauhan. excellence ; les Patriotes, de Lézmpn.an, excellastoc ; les Enfants de Saint'Cyprien, Tonlouve, excellence; J'Etoil-e du Nord, Toutouse. excellente. la Tarnaise, Laveur, excellence Pso Patrie, Sint-Juésy. xcèlIence ; la Patriote, de Brm, exceilènce; les Fuxéens, de Foix, esce1lance . 3e catégorie. - La Cettoise, de Cette. excellance; les Vaillants, de Viliardounel, pupilles et adultes, psroellence ; la Jeunesse albigeoise, d'Albi, excellence. 4e cotégore, pupilles. - La Tarnaise, do Lavaur, excellence. 3e catégorie, adoltes. - L'Amicale laique, Cazères, 2e prix. 4e catégorie, pupilles. -- L Hnupouloise., de Maaisnet, excellence Pro Patria, Saint-jué:y, ercellence ; Amicale laïque, Cazères, excellence. Boxe, adsdtes. Patriote5 agenais, Agcn, cxcellente avec f1icitiations . Boxe. pupilles. - Municipale, de romilouce excellence. Bétons. - Les Patriotes agenais. en. excellence ; Union municipale, Casmnaux. excellscc. Concours universitaire. - Division sup&isrme. L'Abeille sportive, MIdZamet, le rprix cxcellence. Sections féminines (leçon cl'éd.uca1on POYS1que). - Le Coquelicot, de Toulouse, et I'Et&le du Nord, de Toulouse, exceliemnce ex sequo. Spéciaux, ensemble avec engins. -- l..'Etemle du Nord, Toulouse , excellence . Ensemble sans engins. - L'Etoiio du Nord, Touirsuse, excellence; le Coquelicot, Toulouse excellence. Fête de nuit. -- Ballets. - La Cettoise, de Cette, excellence ; l'Haupouioise, Mezamet, excellence ; Jeunesse albigoise, Aibi, excellence: Union municipale, Carmaux, pupilles, etcllence ; I'Etoiic du Nord, Toulouse (ballet fillettes) , excellence. Poses plastiques. - L'Amicale laïque. de La Réole, excellence ; I'Etoile du Nord, Touiouse, Travail acrobatique, pupilles. - Pa1ie;es agenais, Agen, excellence. Spéciaux avec cerceaux. - atrtotes, de Bram, ler prix. Pyramides, apothéoses lumineuses. LEtoile du Nord, Toulouse, excellence. - Série d'ensemble avec engins luuineux portatifs. - Vaiillante Toulousaine, de Toulouse. excellence . Tournoi. - La Narbonnaise, de Narl;cane, excellence. Gasseineist 5péciaJ, pyraindes avec artifices. - Vétérans de Toulouse, excellence. Batteries et sonneries. - La Vaillante, de Viilardoninel, les prix ; Patriotes agenais, Agen, 2e prix ; Pro Paria, Saint-Juéry, 3e prix ; I'Etcile du Nord, Toulouse, et l'Amicale Laïque, la Réole, 4e prix ex qu-o; Avenir montréalais, Mantréal, 5e prix; k Coquelicot, Toulouse, 6e prix ; Avenir montatbanais, 7e prix. Aveisir montréalais, 8e paix. Concoues artistique. Ire catégorie. Bouilleau, Ameale laïque. de la Réole, exceilence; Ferrand, Amicale laique, de la Réole, excellence. 2e crtégorie. - Excellence : Rainadjer, de ia Vaillante de Limai ; Cavaillé Lauent, de la NaNrbonnaisc, de Nartson:ne ; Piolet Feançois de la Narbonnaise, de Narbonne; Dcspouy, de i'Amic.ae laïque, de la Réole. 1er prix : Roijand, de l'Amicale laïque de la Réole; Peyre Auguste, de la Narbonajse, de Nzirbonne ; Villepinte, de l'Amicale 'elque, de la Réole ; Arrufat Josepli, de la Narbonnaise, de Narbunne. Concouro olympique - Pautou, de l'Avenir appameen, Paniers, prix cogr000é ; Puel Louis, dc la Nmbonnaige, de Narbonne - Berthe A!- frerd. de 1 .Amicaie laïque, de la R&le. : Lagrsnge, de la Narbonnaise deN4o.nie Une grève à flerlin -- Berlin, 29 juin. - Le ouvriers typograishes Llu s Badiner Tageblat.t s se sont mis en grè'Çe, hier soir Le journaj n'a pas. pu paraître, c matin. :E E:itES i3UV les Jours 1ii Q'tièe paj le Au payu M., Victor et illaglilit, qtlitJjt'jg. I eathousiasl) av l - que l'oit éi-ft ' . plus clèbres scl1es dt' Plf'inr ce, le TIL iii e 's. 111quc il Ui ari°t ci ., ti'e de la Cité de Careassor1110' Voit - daces daauecès. 11c-. s lit d"oimais qui li confi tilt iJij p ut qui 1,-e u c jeune uaîti' suit 545 .sp»" ilvcc un interet passlonnii. - - Ce succès, bien 1jit de satisiairi. i»t Ma1nat et de lui tau-e IiInjt4-1- ses I cricoura g e ' au contraire it se d'armn.e en année. . Aprù avoir dOu à 1a1paitje d son public qui ne voit Pas de salut tIL dola Cc,inddle Française, monsieur Slv1 q dans « Louis XI », voici qu'il tente u dune extrême auclaor. - p Il fait venir à Carcassonne la corn du Théâtre du V1OUXCOloipljr sve tête, M. Copeau, pour jouer. le lj Iuillc - pi-otihairi, ii La Nuit des llois ». PtSrilleuse tentative, certes, et nobl, dl05 sa knirité. La jeune g-loire de la troupe de 1, c l)eau a-t-clic atte;nl, les fi-entières d tj de? Réclamée par le Japon, i'gv inériqiic, est-elle comll';e des antin,5 -j CCSSOII1Ct, qui prospèrent etnr.e Tare e ronfle? -On peut l'espérer. Dans des ville5 nie Lyon, la venue du Vieux-Col cet hiver, un é-\énen-tent auprl's tous les prestiges pâlissaient. -s tTlue! Puis, en petit i-nigincr, l'on connaisse laclmirab10 pcmw pu q dispertiticn lieux qui de la poi'te d'Ad à la bonriase, forrncnt -le plus presti4ci port iiay_' 4éoo qui soit, on jeut, (lis-je, lIigjIr \(,pieIl beauté smguliero 1vêtira I ceu\rç SI11tl(S je.arie. mac. San cliai'rne inèiancottque t1 ;u'tletir bouffonne, son lyrisme et sa touL traversée de musique et de devant le grand iwii' loédiéva! ej tes rasses étagées, sous li plus lutin iie CIBIS de Fiance, voilt qui tormera l le plus spectaui' délicatemout somptueux qui sc piilase voir. L0 lendemain. ta troupe d' iiI. Copeau jouera Les TourhorieS de Sip1 » -et e -La Coupe cpchantde », -et. l'on- -esieiiya sonner sous Le siii: le grand rire enlridianal que 000iPit Moliie-lorsque, avec. iiu. nanih-u!esqtie trouzpe, -il parcouraj s 'inces du Languedoc et les terres °cei.tanos. Soaitaitons que les amateurs éo. bsu th6àtrc, qui foisonne-nt «n ces c,onteiç' i_ nies, l'assent au Vieux-Colombier liigegeji qu'it rnilrittt. Et si le succès justifie eette tenta-trvo.. la mainrn b0 de la C-tné4-ie-Fratati str ces sc-rte rntlmt)d'ti'inèerints . tpuw PC ir l premia' tt fu ' Pn crh# c à sorbe, Ies pluS lsaui espii-s macnt et -lart dra-ma-tij dç plein au eitaaiea IUSO renaissance nirvcilteiiso. Pierre SE1E. ails divers N MARI rJZOMPE SURPREND bA FEM1IE EN FLAGRANT PEUT ET C'EST LUI QUI EST CONDtMN Parb, 28 juin. Honnête journalier- et 'ave père de fairdile, ilevant ceucgeuse. ianf SOPI enfruits, M. E-mile Jeanblaiic rut-rut pu. se COJ1SLGIèS'Cr comme l.1lalivemeIitey11.eix si sa quiétude gonjtiglUc -n'avait 11te anse a ruile éprenve par un° -4potue 'olage dont l'inconstance était nsloic. En avril dernr, exédé djs absences continnel. les dc sa femme cpu, oubliant ses devoirs de mere, désertait pendant des semaines entières son foyer pour se livrer aux oies de l'adultère, M. Jeanbleanc résolut de met tre un f-rein à ces débordements en essayant de prendre sa feimne en flagrant délit. Le 25 avril dernier, la volage Mmc Jeanblanc 'étant sortie sous prétex1'e é11i1( faire des provisions, son mari, celpeOtlaist habitué à ces fugues soudaines, conçut tics doutes; il la suivt, l'épia et la vietat entrer su.breptice'ment cItez un de ses bons amis, M. B. . ., avenue de Snint-OuenS. Le -iaiE nalier, eiuispéi'é de cette visite qiùl t11 geait inopportune à nue heure oà SCS C11 fants a ttendaient impatiemment Je retour de leur mère poiti' se mettre à table, v0U lut suivre- sa femnic. afin dt connaitre te. but de sa visite; niais, à peine franchi le seuil de l'immeuble, pret it geavir l'escalier, que l-e cnCiCrgC, tliW1 stylé, se drrsa tievant lui Cl le mit en daineure de déguerpir au plus vite. Furi (le Cet obstacie imprévu (lui ne tii 1a1$sait plus de do-nie cette îois, u 1 (1flI51 -sa fconme, M. Jeaublane ne Se pas COflifliC Xittti. - Je sais où elle est 15151ntenanJ les aurci tous les deux, déciara-t en J sant mine rie se relire-r. . - On le crtit hient-'4 parti. QaelUt, 59 tants après il revenait armée le. A l'insn du concierge qui ne ,eette eCiiC tait déjà 1)1115 dc lui. il aPPiitT!1» ail vi; le erntre -une des fenêtreS sitUces pour 't1 mies' étage. Ça tic ftit t11'ufl leu de l'escalader et de pénéti'er (i3S genwnt'.de M. B... en brisant ti11C, Spi'pris, les ;Ieux atuants s -rcfit"1 tians une pi'ce vois+itit OU JJ gent clés : tuais dans letu' hale, S gligèreirt d'emperler leni'S vêti i mari s'en saisit. Il nitait ,se reU'Cr P des tnme eenmin; nuds attire parb b1'i CrU. vitres brisées le conc.tergc etait r . . desapponttenieilt fUt grau la crahtte (l'un sca'ndrtte. MCj il t1'' ;'i lernps, luste ail 5(fl1ttflt Où le tie iienx 4('&CC1t41111 le-s derti4crs, CC1IC i'n &bclle. ciii brandissit treOP les vêtements 4e son r}Vai. , ae. - Au volcurl CriC le v}giIat ro1nins fles passants 5'J.oupèrent 4t g tie la rah comyurent et ar etet de '° t.; en dépit de ses pj'oteStCti0ul e lésinneuï rønnu. tri s'i'- - Je les a,i pris en tligna4-iL Cc -rut en 'i,aui. - - Il y 3 surtOut 1k1g1'anl ation (te tomie!te, otrent et on l'anmiens au pOSJCesi . agru1il ua'# , - les s t on la e&51T "-' I.e vc4à tlne t'OU1P, COIUIIUUU risC (lue dit-Ofl, c'est 15 -r*øe sus le i'u'ch et UlS oit1e. .'
j%UI J4aréts 41e iiolrc Ciicu's 'Ce ut hiei une procession ininterrcrnpue drns nOS bucaux Qe l'AdministratiCfl,P'OUT 1eetrrtit ds paix. Tou& les 1auréats cependant ne scn pas encore venUS. 11 nous faut leur dire que nous nOUS tenons à leur disposition de 8 h. 30 àmidietcie 14h. 30à 19h. 30tsles jou.s. [ans ks Commissariats Nous avens appris hier la mise à la retraite de M. P. Franschi, çomissaira de police du 5e arrcnoissement. Cest ave d'unanimes regrets qie le agents sous ses ordres ont: appris cette nouvelle, ainSi que les personnes qui, pour les besoins du service eutent i l'approcher. Son ffabiiité, sa boni, sou hurnexr courtoise cri faisaient un fonctiomiaire des plus sympathiQues et son hcnnte.t& foncière lui valait le respect de tcu. Appel&, comnie doyen de ses colR.. gues, à assurer l'ifltéTin: du conimissariat eentrlal, il le fit avec un tact et une discrétion auxquel il faut renore h mage. Nous ne retraceicns pas ici sa carrière, bonons-.nOus dire seu:lenient q,e cest lui que l'on doit entre autres, alors qu'il était commissaire à Hazebouck, l'arrestatio, en 1906, & la ctlèhre b;nde Pallot, dont ks quatre menr&es qui avaient cOiflflvS les plus gilaves méfait, furent exécutés. Nous profitons de la circonstance pour renouveler à M. Francesdhi notre plus affectueuse sympathie et lui adresser nos voeux les pins sincères de longue - traite ) ( AcIdt ,1ri Un jeune employé ties Fermnneries i rvMi, M. Fabien F'avarro, î8 ans, srjet espagnol, derneuant chemin Lapttade 35, longeant à 1ieyclette, hier si vers 9 h. 30, le canal st acddenteliement tombé à l'eau. Malgré les efforts d'n soldiat, M. Sci, du 17e d'atilierie, le jelme homne ne put &re retira' vivt et il fallut le concours des pompiers de la caserne cciitrle pour ramener ic cadavre sur la berge. Le colps a été Uansporté au domkil Q:U défunt par la voitre d'ambuiaice. T Squares et Jardins publics A partir (lU 1er juillet, les squares et jardins iib1ics seront ouverts i 6 heures et fermés à 23 heures, à l'excepUou du jartiin (tes Plantes et du square1 Ârniand-1)upGrhiI (liii seront fermés à 20 h. 30. Le l'are ro1ousain sei'a fermé à la nuit tOflbw)Le. Concert PJace du Capitole L'Uniofl des ()omrisorçants de la place du Capitol&. encouaéepar l suecés obtenu aux réjouissauces qR'eile offre à la populatioji Toulousaine, organise pour saniedi ler ui1Jet, un giafl(I concert. La niusique niilitaire du I 7e Corps d'Artuée prtteia SOT) COnCOUrS : parti de 9 heures. I.e leudemain dimanche, ran.0 J:tr la société dharnionie s La Tititoiine ». Cheuins ck fer du Snd-Oust Le PUi)liC est infoi'iné qu'à partir de saniedj prochain 1er juillet, les modifications suIajites seront apportées dans la marche 4es trajiis 61, 62, 6E, et 66 te Carama.n à IMLlbefls. Train (32 : départ de Loubens, à h. 55 arrivée à Caramau, A I h. IS. Train tU : départ de Caraman à 8 h. 5, arr)vée à .Loubens à 9 h. 16. î:ra.in 66 : départ de Loubens à 17 h. 30. arrivee à Caranuin i 17 h. 53. l'rji 05 : départ 1ie Caraman i 18 h. 50, arrivée à Loubens à 19 h. 14. Les hjuj, mercjlis et vtndredi, le traie 61 es remplacé par le train 161 : départ (1 Caraman ik 7 h. 50 arrivée à IMUbens h. 13 I A TT1J A - 4 :??,, Tu. 1Oi Tentative tic sjride k Avajit_liici. matin, 'vers .9 b. 30, le iiomné "tielnud (icorges, gé de 57 :uis courtier, eflIeurint place Magc, 32, a tenté dc uettr& fin ses jours en se tirant une balle (k iéyolver à la têt(', l)réS tC l tempe gaucI1 . A'5 avoir reçu t sQiLLi d'un dotenr il, fut transporté à l'Hi'itel4)ieu et admis dtis Cet établissement. L'opera- II (lu ti'épan a été jugée nécessaire Win Cxtis1re le pretjh. on ignore les caus .tC .Ct acte (le dé. e Poii'. Caubriotage 1)aas le couruit Je I'ivanl-krnière nuit (les malfajteers ont tente de sintroduire da5 le nagasin de fourrures de MIle Pit3re Panline, situé iuc lai'vnic 1, Ils ont des psés sur une 'ies rtes e rnuasii. cioi, hlindéc, re- 5Zlt.i aux teatis ik Canhl)rtoteUfS. Lne equète esi ouverte. Arrestation l'tn 1loi M. le Commissaire de police du 2e airondisseineiit n ;nis à la disposition de M. le Proeurur de la flépuhliqii, le nomnié Gardais Jules Joseph, fgé de 47 ans, se (lisant nmelot, niais en réalité sans professions avouable, lepris de, jusbic.e, demeurant rue Arnaud-Vidal 17, SOUS linculpation de vol à i'esbrouffe d'un billet de 100 francs, commis hier soir sur la terrasse d'un café de lattée jean-Jaurès, au préjudice 4e M. Butiety Flector, entrepreneur des Travaux. pul)ijc dômicilié t Pan, 4e passage à Toulouse. Vol on s ouv2r1 Ufl4 ktforru.uUon is&lati e au vol dun portefeuille coriteîiant divers papiers, coninis ce matin au pt'éudice du jeune Daydé Français, âgé de 17 ans, chauffeut' d'automobiles, deretirant rue du Languedos, 30. TouvailIes Réclamer : à M. Malpel, rue Traversière de la alanee, 18, un portebiliet; à Maie Ballet. rue Gamijetta, I , une al1iane ; à M. Ageret, rue Latanne, 25, un collier de chien M. 'JL'ardieu, allée des I)euioiselles, l6, un chien de rhasse ; à ladministration des Tramways, une paire de gants, un parapluie, une trousse en cuir marron, renferniant un poi'te-pl4i1ie, deux i)OUtS de rilyi etc. . ., un portefeuille contenant un livret militaire ;ej autres objets ime clé passepartout ct nu portenionnaje contenaiti une I)etite soiiune. Itéclarner : au Bureau des Epaves, uR livret mililaire et un sac à main: ii M. SÔrue lou1bonne, 4, une nudaill; à M. lfiayssirie, ILIC Lakanal, f0, une montru; t M. l)ur'rieu, place du Fer-à-Cheval, 5, un sac à main; à i\i. Bourmazel, rua Sant.-Mihe. 2 ter, un portemonnaie; au Oouven (le la Sagesse, rue des Bûchers, 14, un trousseau de clés; à M. Chapelle, rue des Vases, Il, un appareil photographique; l'administration des omnibus et tramways, cri angle de livre ou porcfeuilIe en méta' doré et un éventail. Réclamer : à Mile Lapeyrade, 25, rue Lafayeite, chez Mine Roy, un chapelet; i Mli( t'.: S[)LlflC, rue Clievruil, 13, uii inisset romain; à ?it. Vignes, rue du Canou-d'Arcole, 2, une paire ç1e gants; à Mine Vidi, rue A1exandr-l?ourtaaier, 12, lan trous - accu de cls; à MmoSabatier, ru Thices, t une pochette en cuir; à Milu Escoube, rue la Trille, une montre-; à l'admiaist'alion des tramways, une broche, dcs parapluies et une ombrelle. Réelanier : à Mile Espegnac, rue Chevreuil, un missel; à M. Vienes, rue dii Canon-d'Areole, 26, une paire de gants; à M. Vidai, rue Alexandre-Fourtanier, 12, un trousseau de clés; à M. Sahatier, rue Thiers, 1, une pcccette; à Mile Escoubé, rue de la Trille, 19, une montre. RCLME des Samedi j et Lundi 3 taille Eau de Cologne Le litre 10. 90, 1/2 1. 6.40, 1/4 1. 390 Eau de Cologiie 70' Le litre 14.90, 1/2 1. 8.90, 1/4 1. 4.00 Eau de Cologne 80 Le litre 25 fr., 1/2 1. 12.90, 1/4 1. 6.00 I L1DEL [OU LOUSE Cøui' d'appel Présidence de !\î. d'Hauteville ; MinistèTe publi, M. Ducarré ; Greffier, M. Andi'ieux. LE GUERISSEUR D'AVIGNONNET Le guérinaeur 'Avignonnet, M. Béziat qui ré'ceiïsment avait été relaxé par le tribrinal correctionnel de Villelranche-oe- Lauragais vient d'txe traduit sur appel du ministère public et u syndicat des médecins cievant la Çc.ur d Appel ce Toulouse. On se rappelle que Béziat est inculpé d'exercie illégal du la médecine. Il se livrait sur les n:!al?des (lui le consultaient à des pratiques de suggestion confinant au spiXitiSr[e Il se disait détenteur du lL.ouvo.ir de '< condensation du mngnétis- me universel )) et en tirait dans le traitement plus ou moins énuméré et efLcace de ses malades. Il ecerçait sano assistance d'un docteur diplomé et sans titres lé. gaux pol4r exercer la niécecine. A l'audience d'hier, Me Puntous plaidait partie civile pour le syndicat des niédecins et il fjt ressortir que les hcnoraires de Béziat dans un an avaient atteint environ 80.000 francs, ce qui semble corcer le délit d'exercice illégal ce la .médecine. M. l'avocat général exposa très clairement le cas du prévenu et fit une démons tration de ce que Bzit contrevenait pal ses pratiques de (4 guerisseur » laloi d 1892 sur l'exercice illégal de la rriédecine. II fit aursi la critique cu jugement du tribunal de Viilefranche relaxant 13éziat. Enfin, Me Arnal prit la parole pour défendre le guérisseur et déroule de nuitipies arg'.nents pour démontrer qi,e Bé ziat n'exerçait peint la médecine en donnant des conseils ses clients. Il essya aussi on démentrer aux juges que le jugenient de re!ace aiLaqué par voie d'appel est fort logique nu_point de vue du droit. En fin d'audience, la Cour a renvoya le ronOZ1Cé de l'arrêt à huitaine. t i%tlt Tb!rc des Variétés C' LA JUIVE ». Il au faut pas sk)!IL1'i de la foule qui I garnissait Jiier toutes Ie$ places des \ii'i"tés. L'habileté oc l'iinpresariu qu 01)115 l)T,sentat Un « grand op'a » n'y eS ias étrangire. Mais la curiosité .t l'appfil. &t'uii public sevré de gi'ands spectacles r w aussi Poil!' Ufle grande pait dan c stI t -; fin mci (:9, - leut-ôti'e aussi pcut-oii expliqu'i par t 1iaI1î3 motifs, le succès ohteiu pal SeIflI)le (l'une troupe où 1\hrie Stai-da et i\; Jawne brillèreaL tan par la pureté de leur voix ciin par sa sùreLt, et par lcxcellence tic uni' ,jeu. (irâce ces deux tolles et aussi beaucoup k M. Bouchon, un peu à M. Ar[tgaut. on réussit à faire ciicuser le veste : ios étranglements du prince Leopold, les excessifs tronib(ottc-ineats de la princsse, la pauvreté numérique, vestimcutaire et vocaie des choeurs et figurants, l'inexistence du décor. et la ftiitaisisLe prsentation d'un orchestre dont une pt.ite ville ne S'a serait pas contentée. Non pa pour la rn&liocrité des eéeitints, mais puar leUr' petit tiombre. Ceci n'est 1ioint pour dàcoui'agcr Fimpresana. Puisque L3'piiblc enfut satisfait, ou du mojus paru4; l'être, on se deinane pour c1uo les oraii4sataurs fuénageraient les auditeurs de 1922 autant que ceux d'avantguerre. Àssurment, co sont ces derniers -qui avaient tort - ils étaient trop exigeants. INTERIM. Courrier arlisliqtte GUILLAUME TELL » AUFONTON-PARC « Gailiume Teli », qui sei donré dmanche prochar, li 15 h. 30, au- Fronton-Parc (barrilre do Cro-Dduradc). est 1'pira pipolare pr ercellence. C'est pourquoi il a été hoisi pcur iniugurer tte -seèxre de plein air, dcsiine au grand public de iotrc ville, qui ccmpto encore beauccup d'unateurs do ires vieux ouvrages lyr-iqtws. C'est aussi pour donner satisfact;rui à -tous que, islgré les frais d'une interpréation iat4graie et choisie, le prix des places n &é mir rès bas, ainsi qu'on peut sen rendre 'compte sur ies affich5s du jour. (Palces de deux l, -1iuit francs). Nous rappelons que les protagonistes de s Guillaume TelI s se-iont : le ténOr Poggi, la vaix généreuse et sûre ; le baryéon Vileue, chanteur de graad style ; Tartua, basse son-are. Mmcc d'Heilsonn et Gélard, cantatrices epertes. Les moyens -de transport sont las-gernent assurs par La Compagnie des Tiains. Aussi, c'est ci; foule que les toulousains se rendront leur ncwrreau théatre de verdure, parfaitement srné na e et orsibrage Li - lcsation ers curuirt, samedi - matin, au osque des tram de 1 altec Jeasi Jairres i: r GPLD CJNM IY"S &RFN1S t) ann iuiiedi le' Cinunia des Ait-nej fcra son ouvort,ui'e avec ml programme tcmt à -fait scusationuel. Le film elèbre r' 'Quo Vaejjs? », n'buvolle édition, sera préserité, avec les masses ehoi'ales de la r- -pirtée 1ém-ence-lsa-ure, qui écutera les -cboeurs auiapts à l'aoticai -grandiose dc oc film. Avant la- r-eprésgatatàn. -cinémat-ograpi-tique, la-s &uipes férniiiin-es cl la Soiété lérïiit:iiue Clfmence-Isaure Sport donueront un match de wolley--ball, sous la direction de leur professeur, ltt- maître Viguiar. rarid oiohcst,ro sous la dncctiori de N Rivière. Pri d'entrée populaires. Consommations fa1ulta-tives. ervj-ces -l- trams rpcialem-ont réservs. - C'ttr1 et Coiférences HISTOIRE POPULAIRE DE 7'OULOUSE Cours public municipal, aujourd'hui vendredi 30 juin, s i'andenne Faculté des -Sciences, rue Lakanul, 1. -fll.et; lt Concours IIOURSES A LILCOLE DE METIERS Un concours pour l'attribution de douze bourses dépwrtseme-utales à l'Eeole de Md-tiers -de Gourdan--Polignaxi aura lieu le mardi 18 juillet 1922, à la Préfecture. Les inscriptions seront reçues à la 3e division jusqu'au 8 ui!Iat inclus. CONSOM3AIS J)euiasdez tàs-iss ieus le Ca/s le mieux apprécié. u BÈDOUIN Apéritif aux Mandarines. flRU(Frsiriçoisø, Représentant Plji øcialise (S.F,LO.) COMMiSSION EXECUTIVE - Réunion de la Comrn-ssion exçtrtie, ce soir vendredi 30 juin, 21 heures, salle Dene'sn. Ordre du jour Conespoadairce; projet de conférence internationale ; questions diverses. Le secrétaire, E. Berlia. s VIE SOCI4L1STE s Le Bureau Fédéral sina!e aux militants qu'il ne lui reste plus que 30 nuniéros de la s Vie Sodaliste », contenant le compte rendu de la conférence faite par Vincent Auol l "Union des Coopéateurs, li Paris, sur : s Les Réparatioas et la situ.aLion financière de la Fraace s. Le numéro, O fr. 30; les dix. 2 h. 50, franco. En vente au Secrétariat, 36, rue Roqueline. Le trésoiiex, D. Rieu, La Vie Ouvrière Trorrodleurs de j'il nwueu;c,rl. Réunon samedi soir ler juitiet, à 9 lieuses, la l3ouree du Truvail. S5ndicc,t de5 Tonneliers. Réunion gnéxaie dima,cbe 2 juillet 1922, 9 h. 30 du matin, Bo-u-re du Travail. place Saini.Sernin. ON DEMANDE aux Abattoirs Indusui&s de Fenociilet, du personnel nrasculi et lémofl. spaiisé ou non, bon satsire nprs apprentis. sage. Un service de transport automobile est ta-bli matir et sor. entre Toukuse et l'Usine. - Se présenter jeudi 29 et ve,d!edj 30, dc heu. tes à 6 heus. Boucheri d-es Abattoirs 47, rue Riqcet. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés snvoyez vos lettres; allez au [IAROC par AVION Départs de Toulouse et de Casablanca tous les jouIs, saut le Lundi et le Samedi : Prix du voyage : 840 fr. -:-- Surtaxe postale : o ft. o - : LIGNES A[RIENNES LkrI:coi,R.E : - PARIS et TOULOUSE-MONTATJDRAN r 2 Sociéi, dc secours mutuels des Ouvricrs du canton 0005!. - Les membres de la Soité sont prévenus que le versr'ment des coisatiaOs et ainsi que le paement do5 retraites aura ieu le dimanche Ira juillet, de 9 heures à I I heures, au siège de la Société, café du Je:din, pace Fer -es-Cheval. - Assistance Mutuelle .--- L'assemblée mec- sueile du com;té d0 gérance aura lieu e sansadi 1er juilkt, 20 h. 30, d-,rns le li-eu orcliliciTe des éances, rue de Rémusat, et le verseieOts. les dl-manches 2 et 9 juillet, de 8 I I ireus-es. Fétc du Boulingo'r-Moniouilcu. -- Dernière réunion, 21 h. 15, au café du Grand-Rond. Distribution d55 brassards et cocardes. Les -Anojens du 33e Tersitorral. - Réunion samedi soir ter juillet, 9 heuies, café Fize place du Capitale. - Harrnor,,.. dgs Anciens Combattants. Répétil,on -générale. ce soir 30 juin, à 21 heures, au siège social. Concert rio dimanche 2 juillet, au Paie Toulousain. Comité des fêles dc - charité Crmes-SaIin- Trinité. Dimanche 2 juillet, sera c'tébré, en l'église de in Dalbade, , I j heures du matiV, le service funèbre solennel, sous ic présidence l'Oïchestre symphonique Plane et d'artistes qui exécuteront divers morceaux, du c-han-tour Prerre Pujol. basse chantante. qui se fera entendre dsns des morceaux de circonstance, de M. joseph Sanct, que exécutera le célèbre s Necterne ,> pour coide (A. Kuac), avec .acc-ouip.agneinent d'oxchestre, de MM-. Donron, violon- -ceil-iste, et Taverne ; le maître Ravigne tiendra les grandes orgues, ainsi que l'accompagnement de la Chorale, directeur, M. Laffont. L'excellente soci,té la Vaillante Toulousaine, prête-ta sen concours cette solennité. aiflsi que diverses sociétés, où des plices leu-r seront réservées. Amicale du Sud. Ce soir vendeadi, à 9 heures, assemblée générale niecaceule. Fédclrcrfion des Locateircs du Sud-Ouest Il est rappelé aux locataires que la permanence fonctionne, tous les samedis, de 16 à lB h. 3), et le idaranche matin, de 10 à 12 heures, entreol du café Mari-n. Les nic-nibses du bureau sont convoqués pour ce soir vepd-redi 30 juin, an lieu habituel. Le Tcu1osainrs. - Ce soir, répétition génésak - indispnsab-le. Communication ilirportante. Publications de Marisges Du 22 juin I 922 Gary Gabrie-1, cultivateur, à Mont4oirc, et Gerstaine Meaplé, à Croix-Daurade. Crétal Ansehne. journalier, rue Saint-Chartes, 37. et Gouzi Clémence, urnalière, rue Saint- Charles, 37. kéiié Catex. mécanirnien, rue Peyrol-ières, 40, et Jeanne Balard, ouvrière en chaussures, rue -Peytre. 20. Emile Beyneix , ajusteur-mécanicien , rue Pouzonville, 31. et Antonia Cros,, couturière, rue Pouzonville, 31. Desplats Joseph, homme de- peine, rue de l'Aqueduc, 14, et Sevellec Henriette. ménagère, rue- de iAqu-iduc, 14. Aquillain Louis, ébéniste, rue 5aint-Jérme, lf_ et Sasse Antre, mécanicenne, rue de Castres, 24. Gonzaiez Angel , jou-rnaler, rue Saint-Charles, 9. et Aquado John, ouvrière cartonnière, rue Saut-Charles, 9. Bonrf-ous Fernand, négociant, à Toulouse. et Ferran-d Rachel , s. p. , à Saint-Amans-Soult. Maurin Adolphe, raporteur-lithogrzrphe, place Dupuy, 1-2, et Baradel Yvonne, rnarjeuse, rue Saint-Antoine-du-T, 20. Vialate Pierre, employé de commerce, rue Ingres, 30. et Lacroix Yvonne, employée de coca- snesce, rue AlsaceLorrrinc, 4!. Naissan'e* Du 2h juin 1922 Josirp-he Béringuier, rue Courte, 1. Pierre Millet, à Croix-Daurade. Pierre Salies. rue Capus, 35. Herrri Destribats, allée Alphonse- Peyr-at. 5. - EntoIle Maigné, rue Frzac, 23. Smonne Co!cinbie, avenue de Lo-mbez. Anée Roulier, tue Sesquière. 14. - Clrrist-iane Cdtard, rue des Paradoux. 28. Du 22 juin 1922 Germaine Laborde. rue du Canon-d'Arcole, 23. André Saint-Mastic, suc des Pottiers. 26. - jeanne Arnal. rue de s)ardins. 22. Décès Du 21 juin 1922 - - A-mr Raymond. 4 jours, rue Solférno, 15. Verdier Jeanne. veuve Barsacq, 7 ans, rue de l'lnqusition. 13. Bore Marie, veuve Sarrade, 66 ans, allées CI-rarles-de-Fitte, 56. Tatouat Pierre, 2 mois, rue Casascan, 23. -- Béringuier 1 Joràplre, 9 heures. rue Courte . Faugeson Claire, 17 jours, rue de la RépuIique. 9. - Mar-ty V:ctorine. veuve Art-igaut. rue des Ansid onniers, 14. Peyras Augustine. veuve Bassoue, 78 ans, rue ries B-ftchees, 17. - Pech Louis. 54 ans, nie Arnaud-Bernard. 17. -_-- loubons Lsurence. 6 ans, rue Quiini-ry, 6. Hos- .pices : 2. Du 22 juin 1922 Armennud Pauline, épouse Tournier, 47 ans, rue du Béarnais, 42. Comte Germain, 9 ans. quartier Prends-y-Carde. -- Pélissou Jean, 75 ans, rue Frime, 35. --- Aurirc Marianne, 87 ans, allées Char1e-de-Fitte, 87. Cabeza Angk, 5 mois, rue de t'!ndutrie. 4& - Ribo '-arie, écouse Brunet, 41 cor. rue B-iynrd. 58. - Laporte Antre. éperese Espéron, 35 ans, à Lai. eknne 1hii Madet,ne. veuve Coustoud. 75 an,, ailée Saiet-Agne. 83. Hospices : 2. cOIJttQ'ÇES MOR1'I7-HWS VerrerIe paur i.ifltOfl aWer .rfictes Preiirire (Orusultalon A L'IMMORTFLLF., rue 1e fl#nmsat, EN CAS 1F DES 4-anR toite 'démizrdea - 55crzse? dfrch?rne'nt AUX POME FJIE8RES ENERALE$ Qui 'riCCZilefl1 de totrl BcrLkt DJS TOUS LES QUARTIER3 - - - Ti-Âts ,,6 i',! CtEMA3 THE.VÛRE DES NOUVEAUTES. - Ce -soir, par privilège spécial, premè5e du : s Le Ma- nage d'un Tart-rrin r. fantaisie mu.icale de Gorbiiec, l'auteur des mmnenses sucaès s 'L5 Cocarde dc Mini iPirison r et e La Deniosehe du Printemps s. L'irrterprétation, confiée six créateurs. permet d'espérer un succès s-sns précèdent. - - GAUMONT-PALACE. - Soirée, s 9 h. Francesca Bertioi dans s Aine Sauvage s et Vivierie Martn dans s Viviette s, OOS-MOC-RAPH. -- A 8 -h. 45 : e Le Val d'Enfer , ; r Rcaud et l'agent Baitocihe s. LIÂIJTE-GARONNE .%%Efl'fISSEitUNT DENQUiiTE - L'administration d-es Télégraphes n foi - -n pi'oc-édr h l'étai.disutment dun rotspt' de lignes téléphoniques à Toulouse, Saistt- (3audens, l'lsle-en-Dorïon. Un -état de ces lignes indiquant tes -n'o- 'priétés -privées où il dol I être placé *ies supports -ou conduits restera, pendant -trois jours consécutifs, Li partir du 29 déposé -aux mairies des communes ci--dessus désignées, où les intéressés pcuvet% ea ti'eadre oonnai-ssanco -et présnnter 'Fcu-rt' ubservatioas àu réclamations. SÂINT-GAtIOJNS GONSJdIL MUNICIPAL, Le -Censecil s'u nitipal est convoqué -pour enfiredi Zlt ,juit, à huit heures et demin 'du soir, ei vue dt la continuation -de la session or-diuei're. -- - A()TJ;IUVJt: FETE LOCALE DE SAINT-IkWL. - PrOgramine ries Qtes q-ui an-- nont -'ieu -3es 1, 2 't 3 juillet 1922: - Sa:-medi 1er luiRe-- t, -f8 heures; alrtati-Ucrie 'et carillon de oloo-Iies amiortçinit la fête; 22 heures, grande retraite aux i_ 'beaux avec le conoo-s d-e l'Unioi nsieate 1 AuterivaTne et les tambours et- clairons 'de 1 i-a gar'nïson, sérénade aux autoritôs. Dimanche 2 ni-uict, 6 heures : i'éveil -sui uitare et salves d'artillerie; 10 hucs. tour' de 'v-iI-le- en nusiqu-n ; 17 heures, rtuitl cone'rt donné sur la Iromenarle e saint- Paul par l'Union -musicale Art-eri'ttasie -e{. l'Orphéon, sous l'habile direetioft Pale1te, cite-f de mt -'.que. Après le ioselit giand hal. 20 heures, brillant feu 'd'M'ble iuui'-iti et, tiré- par M. Dela'part, artfPscicr ii 'I'w,ilouse; aprè& -le feu 'd'-artïe, &éIPé 'des habitants, musique en t-et-e pour -se 4e-n-tbe à la Promenade Saint.-Paul, brillant-e illit'min-ation et repris0 du ha'i bataille -de confetti, farandole, etc.; 23 h. 30, caae-u-aisrprise offert gracieusement aux jemss ger-s - et je-unes filles. Lundi 3 juillet : heures, réve--il ei'i brs; 10 heures, grand -conceurs de Dêo-ho à la ligne brillamment organisé, ra-sseiement à -la mairie, tIélIlé niusiquc en iète polir' se i'eadre au fleuve; H heures,'l1istribution des i'éconlpeflses, Wfl1ti -des lauréats dans les rues de la vi-lIe; li h. 30 npéri*fconcert sur 'la Promenade Saint-Paul I4 h. jeux divers; 16 heures, 'départ sensationnel du dirigeable e L'Inflammable n, monté par la Colotie o Laealôu u, danses josqt t heures; 22 houons, grand bal, bataille de coufotti; 23 heures, irjterruLion du bah grand concours de iuol'ets (-jeunes gens et jeunes lul}is, rien d'immoral) , do boatix- - pr-ix seront distribués ; -24 heures, rorise du bal jusqu'à i'auroi'e,. Farandole endiabide. 1Fe meilleur accueil erra réservé aux étrangers. Les marchands -forains qta4 dés-iterni-e-nt retenir un-e p1ace sur la Prnieiade, devront s'adresser aux membres 'd-u Cemit-é. - AUCAIt1VJLL1ï COURSE REGIONALE. --- C'est din'nw- - che 2 juillet qu'aura licu l'épreuve cytiliste -organisée par' l'Union Sportive et ouwro à tous les coureurs licenciés (toutes eatgerba). En plus des 800 francs d prix, tl nbreuses primes seront attribuées 1r long du parcours. Le nombre des estg;tgés augment-e c-ha-que jour, et il est rappclé au intéressés -q-ne la liste sera close- to sasïte di ter juillet-, à -18 heures. - - - Les sengagements sont reçus centre ta somme rie t fi-. 50, eti-ez M. Jrtrlier, cia-n, vice-consul de--l'U. V. F.. à Aueam- ville. - ' - Les coureurs devront être rendus à lieu-reg au siège, Café veuve Serres, pourl I-a remise des dossards. Le départ officiEl sera donné à Ifs h-cures à Laeourterrsourl, Café Ouraclou. - IcUes inoices ftI9iilCS i iv, C le got, sayars l'avaïs t ks',sf4 ni at oes METRWRS-VER-IFICATEURS sort demvn' dés au Service d'Architecture des R. L., O, sec de la Paix, à Axas. LA SOCIETE DES GRANITS DU TARN. rue Borrel, Castres, desuande tailleurs de icrrc. granits. Travail assuré toute l'année aux piàces ou à la journée. O-N DEMANDE maçons -et cimentiers, 2 le. 75 et 3 fr, de l'heure. isssaoeuvrea depuis h h. M). -. Ecrtre ce 5e présenter à M Dri;ansi&-1, lôiet d'lsly, à :ronaciss. SITUATiON AGREABLL, LUCRATIVE,, salis aléa. darse tous les pays, même chez soi. pc-us touteS pesonne ds deux sexe, aisnsn le .ornserre. Fci-ie Unioi, 58 bi.,, chausséed'Areo. Pss4. CFlAFtça:TWRS ET M-RMUiS1TRS Oflt .n-'an'dé. lIer> sslaire. S'edrescer à 4',',ei'5'i Arsrd et Ba-rhud C..r,tJ ;NtuJ BR1LLA'TE 5!TUATiON OïFRT!.. d.n chaque can'on. pas> '.,,nd.e *,prè n boa eicis#r s'orsr, ao tu-4-1s au iaiue e'. no rê*,"... enta *ui. rncsue por: 441!nrs 5.1 isir, F,c4ie e-ntrs!issitr, 'i 'sic MiWue, Lion ON DEMANDE 120N OU'!RiIit AJUSTEUR - séYicu3es réfrenees easécs. --- rerscs Itablissenient5 De:rnoat, « Çs sur-Lot, f li
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Pas assez d'ige nordique - Bibliothèque de Toulouse

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