Le Châtelain - Onac-erp-soisy.eu

Grande première dans notre
ERP : une stagiaire de la
section ACT1 a effectué son
stage pratique en Espagne.
Comment allier l’utile à
l’agréable…
Voici ses impressions :
Bonjour,
Je suis revenue d’Espagne le
23 mars. J’ai beaucoup aimé
cette expérience. Professionnellement,
j’ai beaucoup
appris dans l’agence de
voyages « Viajes Todotravel
» et aussi amélioré mon
espagnol. Durant mes weekends,
je suis allée visiter
plusieurs sites touristiques
à Séville comme
« L’Alkazar », « La Plaza de
¿ Hablas español ?
Hola, Buenos días.
Acabo de regresar de España
el 23 de marzo. Me gustó
mucho mi experiencia. Profesionalmente
he aprendido
muchas cosas en una agencia
de viajes que se llama
« Viajes Todotravel » y para
hablar mejor español también.
Durante mi fines de
semanas, fuí a visitar algunos
sitios en Sevilla como
« El Alcazar », « La Plaza de
España », « lo archivos de
las Indias » y muchas más
cosas.
Le Châtelain
Holà ESpaña
España », « Les Archives
des Indes » et beaucoup
d’autres lieux.
Pour mon dernier weekend,
je suis allée à Grenade car
tout le monde me disait que
c’était une très belle ville,
et c’est vrai. J’ai vu
« L’Alhambra » bien sûr.
Elle est stupéfiante ! Ainsi
que d’autres places
comme la «place de Saint
Nicolas ». Deux jours
pour visiter une ville c’est
très peu mais j’étais
contente.
Séville et Grenade sont
deux très belles villes
avec beaucoup de monuments,
de musées et surtout,
elles sont chargées
Para mi último fin de semana,
yo fuí a Granada porque
todo el mundo me decía que
era una ciudad muy bonita ;
porque era la verdad. Vi
« La Alhambra » claro. ¡
Esta estupenda ! También
fuí a ver otra plaza como la
« Plaza Sante Nicolás. Pero
dos días para visitar una
ciudad es muy poco, pero yo
era contenta visitar esta
ciudad.
Les actualités de l’ERP
Gabriel et Charlotte Malleterre
de Soisy sur Seine
L’Alhambra de Grenade
L’Alcatraz de Séville
Autres vues de Séville
Numéro 2
Mai 2013
Sommaire :
Holà España !
Bienvenue chez les
Ch’tis
Un grand bain d’esthétisme…
Bonjour Bruxelles !
La maison Horta
Magritte et son
musée
Bruges : la petite
Venise du Nord
Le chocolat dans
tous ses états!
L’ ERP fait son
cinéma
Le grand sabbat
d’Orsay
Une journée bien
tonique !!!
La page des gourmands
1

Belgique une fois !
5h00 du matin : Rendez-vous à l’ERP Malleterre, le jeudi 11 avril 2013.
Dur, dur le réveil…
Nous partirons finalement à 6h30 pour une première étape :
le plus grand musée français de la mine, en région du Nord.
Au Nord c’était les Corons… Un temps
automnal en ce mois d’avril et la projection
du film Germinal, dans le bus
nous mirent en condition car la première
visite de notre périple belge
(organisé par la section ACT) eut lieu
au centre historique minier, situé à
Lewarde (à 8 km de Douai).
Installé sur le carreau de l’ancienne
fosse Delloye (regroupant 8 000 m² de
bâtiments industriels, sur un site de
8 ha) et témoin de 3 siècles d’activités,
(sa fermeture sera effective en 1971)
cet ensemble à l’architecture constructiviste,
réhabilité nous parle d’un
temps pas si lointain où le mineur, figure
emblématique du Nord, était un
Bienvenue chez les Ch’tis….
véritable héros du quotidien.
Mention spéciale pour l’ascenseur et
son effet de descente ultra rapide !
Coiffés de casque de chantier et
avertis d’un risque de claustrophobie
due à la profondeur de la mine
(environ 400 m), nous sommes pourtant
toujours restés en surface…
bluffant!
Un grand bain d’esthétisme...
12h30, nous sommes accueillis à l’ERP de Roubaix pour le déjeuner. Ensuite
nous avons enchainé à 14h sur la visite guidée du Musée De La Piscine à Roubaix
Depuis sa réouverture en
octobre 2001, tableaux, céramiques,
sculptures et autres domaines de création
(design, mode, textiles) ont remplacé
les baigneurs le long du grand
bassin et des coursives de l’ancienne
piscine de style Art Déco et Bains–
douches, inaugurés en 1932 et fermés
en 1985 par mesure de sécurité.
Haut lieu social, cher aux roubaisiens,
cet édifice s’est offert une seconde
vie en devenant le musée d’Art et d’Industrie
Jean Diligent.
Par son décor intérieur caractéristique
des années trente et superbement
préservé, ces immenses verrières représentant
le soleil levant et le soleil
couchant, cet édifice élégant et raffiné
nous a immergés dans un moment
magique teinté d’une certaine nostalgie.
A voir et à revoir absolument si
vous passez par Roubaix.
Centre Historique Minier
Lieu-dit Fosse Delloy
Rue d'Erchin, 59287 Lewarde
03 27 95 82 8
Un peu d’histoire :
En 1922, porté par le mouvement hygiéniste,
le maire de Roubaix Jean-
Baptiste Lebas charge l'architecte
Albert BAEART de construire « la plus
belle piscine de France ». Il faudra dix
ans de travaux pour mener à bien le
projet. Le complexe est organisé autour
d'un jardin, la roseraie. Le choix
de l’architecte n’a pas été anodin,
Albert BAERT est un homme progressiste,
de gauche et franc maçon. L’ouverture
de la piscine apparaitra alors
comme un projet politique et social.
La Piscine,
Musée d'art et d'industrie
23 Rue de l'Espérance
59100 Roubaix
03 20 69 23 60
2

15h30 Départ pour rejoindre notre hôtel à Bruxelles et achever cette première journée.
Vendredi 15 avril
9h00 Départ de l’hôtel pour une visite guidée de la ville en car.
12h15 Temps libre pour le déjeuner
13h30 Visite du parlement Européen
15h30 Visite de la Maison Horta ou quartier libre
des vitraux magnifiques , des murs délicatement
peints , des mosaïques aux motifs esthétiques
, des lampes originales , des miroirs
profonds. Les pièces dans les étages
s'ouvrent sur la cage d'escalier coiffé d'un
lanterneau vitré. Grâce à ces perspectives
époustouflantes, la lumière circule d'une
salle à l'autre. De plus, les pièces ne sont
pas toutes de mêmes étages, elles se cumulent
en faisant le tour d'escalier. Vertigineux,
là je perdais le sens de la réalité,
j'avais l'impression de me baigner dans un
univers onirique.
Une chose est certaine, j'embaucherai
Horta pour construire ma maison. Hélas…
Goeiedag Brussels ! (Bonjour Bruxelles !)
Comment résumer en quelques lignes tant de diversités architecturales, influences divers dues à ces 9 communes dans ce petit
pays qui reste toujours et encore divisé en deux, La Wallonie et Les Flandres. Les richesses que l’on y découvre font honneur à sa
souveraineté encore bien présente et active aujourd’hui.
Si Paris vaut bien une messe, la Maison Horta vaut bien une petite chronique...
Le samedi 12 avril, nous étions
à Bruxelles, nous avions la possibilité
d'aller voir le musée Horta. La journée
était bien remplie, j'étais fatigué et
j'hésitais à la visiter. Finalement, l'occasion
était là, pourquoi ne pas s'en
saisir ? Je n'ai pas regretté d'y avoir
jeté un coup d'œil - en plus l'entrée ne
m'a coûté que la moitié du tarif normal,
si ça doit rassurer des étudiants
radins ! - j'ai été frappé d'émerveillement...
Pour ceux qui ne connaissent pas
Horta, il est l'un des principaux créateurs
du style Art Nouveau, architecte,
professeur à l'Université Libre de
Bruxelles et à l'Académie des Beaux-
Arts de Bruxelles, élevé au titre de
baron en 1932. L'extérieur de la maison
ne me séduisait pas particulièrement,
à part les structures des balustrades
et des encadrements des fenêtres,
en fer ou en acier.
Mais l'intérieur m'a coupé le souffle :
Musée Horta
25, rue Américaine
1060 Bruxelles Saint-Gilles
info@hortamuseum.be
02 543 04 90).
3

Le musée Magritte est implanté dans
un ancien bâtiment de style néoclassique datant
de la fin du XVIIIe siècle et faisant partie d’un
ensemble architectural construit après l’incendie
du palais du Coudenberg en 1731.
La place Royale et les bâtiments qui l’entourent
sont un témoignage historique de la Belgique sous
l’Ancien Régime et de son indépendance.
C’est sur cette place que se déroula la cérémonie
d’intronisation du prince Léopold de Saxe-
Cobourg, roi des Belges, le 21 juillet 1831, cinquante
ans après sa construction.
Le bâtiment se transformera alors en hôtel pour
voyageurs pendant plus d’un siècle où il sera revendu
à un bijoutier au début du XXe siècle.
4
En 1951, les façades et portiques bordant la
place Royale seront reconnus pour leur intérêt
architectural et historique et seront définitivement
protégés de toute modification par
arrêté de classement sur la liste du patrimoine
de Belgique.
Les Musées Royaux des Beaux-arts de
Belgique investiront les lieux en 1962 et
l’hôtel Altenloh sera transformé en musée.
D’importants travaux de rénovation seront
réalisés dans les années 80 et l’intérieur du
bâtiment sera entièrement reconstruit.
L’importance de la collection d’œuvres de René
Magritte et la renommée internationale de
celui-ci méritent un espace consacré à la communication
de l’artiste et de son œuvre.
Petite ville fortifiée en
région de Flandres. Vu le nombre
conséquent des constructions et
l’importance architecturale de ce
joyaux baroque, j’ai délibérément
choisi de vous parler d’un endroit qui
est à la fois une curiosité et un lieu
unique « Les béguinages ».
Les béguinages de Flandre constituent
de petites villes en miniature,
qui ne se sont pas développées organiquement,
comme les villes ordinaires,
mais furent créées d’un seul
mouvement, en tant qu’ensemble, à un
moment précis. Presque tous se trouvaient,
à l’heure de leur fondation
dans la deuxième moitié du XIIIe
siècle, un peu en dehors de l’enceinte
« Ceci n’est pas un musée... »
Musée Magritte
Place Royale 1,
1000 Bruxelles,
Belgique
+32 2 508 32 11
Si Bruges m’était contée...
des villes médiévales.
Si les béguinages ont presque partout
gardé leur plan médiéval d’origine,
ils n’ont conservé que dans quelques
rares cas leur église primitive,
et il ne subsiste rien, ou peu s’en
faut, des autres constructions
(bâtiments conventuels, maisonnettes,
infirmeries, chapelles) érigées
au Moyen-âge. Les habitations des
béguines, qui façonnent pour une
large part l’aspect caractéristique et
pittoresque des béguinages de
Flandre, datent en général du XVIIe
siècle.

Mais on ne pouvait pas terminer cette escapade en « plat pays » sans vous parler du CHOCOLAT!!!
Lors du voyage organisé par l’école,
en Belgique, nous avions la possibilité
de visiter « La Maison du Chocolat ».
Je n’ai pas hésité !
Nous voila donc partis en petit groupe
dans les rues de Bruxelles tranquillement
jusqu’à la Maison du chocolat. Elle est
petite mais néanmoins la visite fut très
intéressante. Le guide a commencé la
visite par une introduction du chocolat. Il
ne vient pas de Belgique mais du Chili et
fut importé en Europe par Christophe
Colomb. Tout cela autour d’une dégustation
de chocolat fondu avec spéculoos.
Nous avons continué la visite dans les
étages de la maison avec notre guide qui
nous a expliqué la fabrication des différents
types de chocolat et comment sa
qualité a évolué à travers les étapes de
fabrication qui sont de plus en plus longues
et donc de plus en couteuses mais
qui rendent un chocolat d’une excellente
qualité. Même si c’est la Suisse qui fabrique
le meilleur chocolat, les Belges sont
en deuxième position et les Britanniques
en troisième position.
La maison du chocolat à Bruxelles
Musée du Cacao et du Chocolat
de Bruxelles,
Rue de la Tête d'Or 9-11
Vendredi 24 mai à 20h00
Ciné –club La Lucarne
« Cartouches » P. de Brocca dans le cadre de la Semaine Enfance et
Jeunesse
Salle de l’ONAC , gratuit pour les stagiaires de l’ERP
Le guide nous a fait goûter les différentes
choses qui sont extraites du cacao,
certaines étaient très amères, presque
immangeables et d’autres un peu plus
agréables, mais aussi quelles parties sont
utilisées pour le chocolat. Par exemple le
chocolat blanc est fait principalement de
beurre de cacao et de sucre.
Ensuite le guide nous a expliqué comment
le chocolat a été commercialisé et tellement
apprécié tel qu’il est aujourd’hui car
avant il était connue en tant que breuvage
très amer. C’est grâce a un pharmacien
que le chocolat a évolué et est devenu
quelque chose de plus doux pour ensuite
évoluer à travers les pays pour enfin devenir
ce délicieux dessert dont plein de
gens raffolent.
Cette agréable visite s’est conclue en
démonstration. : « Comment réaliser un
chocolat fourré et avec quels ustensiles
? ».
Mais le grand moment fut quand nous
avons pu goûter une dragée de chocolat
au caramel beurre salé.
L’ERP fait son cinéma
5

L’un des tableaux les plus impressionnants de
l’exposition du musée d’Orsay, « les Trois Sorcières
», est signé du Suisse Johann Heinrich
Füssli.
Nous sommes là, debout, et
plus ou moins dans une position confortable,
nous regardons. Nous regardons,
nous dit-on, le goût du romantique
noir à l’œuvre et ses avatars, dans
ce que nous sommes censés interpréter,
comme une essentielle évidence,
comme ne pouvant nous échapper, le
« se-montrant-de-soi-même » du bizarre.
L’on nous dit qu’il y a, là, de l’irrationnel,
du fantastique, du surréaliste, que
nous voyons, là, en tant qu’elle se donne
à voir comme telle, et qu’elle ne
peut que nous laisser sans voix. Esquissons
un battement de cil, juste ce qu’il
faut pour rafraîchir l’œil.
Et peut-être aussi pour mieux écouter
la voix de ses peintures qui nous parlent
du bizarre. On ne présente plus le
bizarre, nous dit cette voix qui cherche
à se faire oublier, à nous faire
oublier qu’elle est une voix et que nous
l’écoutons nous parler. La voix nous dit
surtout d’ouvrir les yeux, de garder les
yeux ouverts et donc d’éviter ce que
nous avons déjà fait, à savoir de battre
des cils. C’est à voir, nous dit-elle…
Mais observons tous ces monuments du
Cauchemar de Füssli
noir un instant, ce qui est frappant
dans cette exquise exposition du musée
d’Orsay, c’est : est-ce que ces
peintres avaient-ils du génie ou du
talent ? Le talent, c’est le don qu’on
gouverne. Le génie c’est le don par
lequel on est gouverné. Le génie est
inné, le talent acquis. Le premier jaillit
dès l’adolescence, le second ne s’affirme
que dans la maturité.
Le premier s’abreuve à l’irrationnel, le
second garde mesure en toute circonstance.
Goya, Ernst, Blake, Géricault,
Munch, Hugo, Füssli, Magritte ont du
génie. Le génie les habite, les possède,
les violente, parfois les torture, pour
qu’ils aillent au bout d’eux-mêmes,
voire au-delà de leurs forces. Delacroix,
Moreau, Dali, Redon, C.G. Friedrich,
Bonnard, ont du talent. Ils possèdent
leur talent, ils le dominent, ils
le dirigent, ils l’organisent. On ne dira
jamais d’un génie qu’il est « olympien ».
Si on veut recourir à une métaphore,
on le comparera à un volcan en éruption,
un Vésuve permanent.
Le génie n’est pas supérieur au talent.
La Mort et le fossoyeur, Carlos Schwabe
Le grand sabbat d’Orsay ...
Le talent est quelque fois supérieur au
génie. Moins lâche, moins bavard, plus
exigeant, plus strict. Le talent se donne
tout entier dans l’acte de se montrer.
Le génie s’entoure de mystère
et, dans le mystère, quel qu’il soit, il y
a de l’épate, un risque de trompe-œil
et de mensonge. Le génie peut tricher,
le talent jamais.
Un autre nom pour « talent » serait
« classique » (idée de sagesse, de mesure),
et, pour « génie »,
« romantique » (idée de folie, d’embardé
dans le n’importe quoi).
Bien sûr, jeune, on préfère le génie.
Dans l’âge mûr, le talent. Il arrive que
le talent s’impose comme référence
suprême… Mais pour savoir si vous
êtes un ange de jeunesse ou un archange
de vieillesse je vous invite à
vous délecter dans cette exposition
fort sympathique et fantastique de
tableaux, de statues, ainsi que de
films expressionnistes tous d’une rare
beauté… à voir et à revoir sans modération…
Duvocelle, Crâne aux yeux exorbités
Bus L'ange 24, du 63, bizarre. 68, 69, 73, Le 83, romantisme 84, 94 noir de Goya à Max Ernst
5 mars - 9 juin 2013
Musée d'Orsay, 62, rue de Lille, 75343 Paris Cedex 07
Métro 12 Solferino
RER C Musée d'Orsay
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The winners !!!
Quelques photos
pour illustrer cette journée...
Une journée bien tonique !!!
Dans le cadre du projet
Grundtvig Sport et Nutrition
coordonné par Madame
Proux (responsable des projets
européens de l’ERP de
Soisy sur Seine), mardi 16
avril les stagiaires de préfo,
(toutes sections confondues)
ont été conviés au
stade de Lisses en Essonne
pour une matinée sportive.
Ils ont pu se mesurer dans
différentes épreuves avec
d’autres stagiaires du CRP
Sillery d’Epinay sur Orge,
du CRP Beauvoir d’Evry et
du CRP Jean Moulin de
Fleury Mérogis.
Nous avons assisté et participé
à une compétition d’épreuves
d’athlétisme : lancé
de poids, course d’endurance
et sprint, dans une ambiance
pleine d’entrain malgré
le froid.
A cette occasion, chacun a
pu démontrer ses capacités
à se surpasser. En effet
l'esprit de compétition ainsi
qu'une forte cohésion ont
poussé nos « sportifs du
dimanche » à donner le meilleur
d'eux-mêmes. Cette
compétition s'est déroulée
parfois, c’est vrai, dans une
certaine cacophonie mais
tous ont été très enthousiastes.
La journée sportive s’est
poursuivie à 13h45 dans la
cour de l’ERP où un flash
mob a été organisé. Ce fut
un moment de forte convivialité
très apprécié tant
par les danseurs que les
spectateurs.
Merci à tous les participants
pour leur courage,
leur dévouement et surtout
leur joie de vivre.
Le Flash mob est dans la place ! Un parcours plus que dynamique! 1000 mètres de bonne humeur!
Question d’endurance... Pas besoin de survêt pour un saut! Quelques pas de Madison...
7
7

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Ingrédients
Pour une flamiche de 24 cm de
diamètre
180 gr de farine
40 gr de beurre fondu
40 ml de lait
1 œuf
1/2 sachet de levure chimique
1 belle pincée de sel
200 gr de maroilles
3 cuillères à soupe de crème fraîche
épaisse
Ingrédients :
250 g de pain
1 kg de tomates rouges mûres
1 morceau de poivron vert
1 gousse d’ail
50 g de concombre
10 cl d’huile
1 cuillerée de vinaigre
Sel et 1 pincée de sucre
Eau et glace
Garniture :
½ concombre
½ poivron vert
1 poivron rouge pouillot en
conserve
½ oignon
1 œuf dur
Petits dés de croutons
La page des gourmands
La flamiche au maroilles
Préparation
Commencer par préparer la pâte en versant dans un saladier la farine et le sel.
Ajouter l'œuf légèrement battu et le beurre fondu puis pétrir.
Délayer la levure dans le lait tiède et l'ajouter dans le saladier.
Pétrir énergiquement jusqu'à ce que la pâte soit homogène puis couvrir d'un torchon
humide et laisser lever dans un endroit tiède pendant 30 minutes.
Chemiser de papier sulfurisé un moule à manqué de 24 cm de diamètre.
Dégazer la pâte (quand la pâte a fini de lever, la pétrir une dernière fois rapidement,
pour enlever le surplus d’air à l’intérieur), l'étaler dans le moule et laisser
lever à nouveau pendant 30 minutes.
Préchauffer le four à 200°C.
Étaler la crème fraîche sur la pâte et y déposer le Maroilles coupé en lamelles.
Faire cuire 30 minutes environ.
Servir chaud, bon appétit !
NORD ou SUD : testez les 2 recettes !
Le gaspacho
ERP Gabriel et Charlotte Malleterre / 1 rue de l’Ermitage / 91450 Soisy Sur Seine
Préparation
Mettre la mie de pain à tremper
pendant quelques heures.
Introduire dans le récipient du
mixeur le pain préalablement
égoutté, les tomates, le poivron,
le concombre, l’ail, l’huile et un
petit verre d’eau.
Mixer pendant quelques minutes
jusqu'à ce que l’émulsion soit
consistante.
Passer au presse purée et verser
dans une jatte. Si la crème est
trop épaisse, l’étendre avec un
peu d’eau.
Garniture
Couper tous les ingrédients en petits dés
Servir avec des glaçons
Ont collaboré à cette édition : Malika Ayari, Rodolphe Boudier, Cyrillle Guenebault, Frédéric Lebal,
Claude Leroy, Mary-May Mousset, Arnaud Péatier.
Coordinatrice : Corinne Amghar chatelain.erp@gmail.com