DOSSIER DE PRESSE - Danse et continents noirs
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« BOYAKODAH BOYAKODAH »<br />
Cie Cie Georges Georges MOMBOYE<br />
MOMBOYE<br />
Pièce avec danseurs <strong>et</strong> musiciens sur scène<br />
Le spectacle sera suivi d’un bal sur scène animé par les artistes<br />
Vendredi 21 novembre & Samedi 22 novembre à 21h<br />
Odyssud-Blagnac<br />
Du 21 au 30 Novembre 2008<br />
10 ème édition<br />
« Je me sens comme un ambassadeur de ma culture , je suis venu en Occident en 1991 par besoin de la<br />
communiquer. La danse africaine n’est pas seulement une technique mais un art de vivre, une philosophie,<br />
une générosité ; quelque chose qui concilie le cœur, le corps <strong>et</strong> l’esprit ».<br />
Entr<strong>et</strong>ien de Georges MOMBOYE pour le Figaroscope.<br />
Avec 10 danseurs (dont 1 chanteuse danseuse) <strong>et</strong> 4 musiciens<br />
Chorégraphie : Georges Momboye<br />
Assistant chorégraphe : Saul Dovin<br />
Création lumière : Xavier Ferreira de Lima<br />
Création costumes : Erica-Ann Marcus<br />
Durée : 1h15<br />
Regards croisés, rythmes soutenus ou maîtrisés, corps qui fourmillent çà <strong>et</strong> là, « Boyakodah » (qui signifie<br />
bonheur en guéré, langue de l’ouest de la Côte d’Ivoire) est un véritable hymne à la vie. Georges<br />
MOMBOYE en explore toutes les fac<strong>et</strong>tes associant aux talents de ces 17 interprètes, outre la lumière<br />
presque charnelle irradiant les corps en mouvement, deux obj<strong>et</strong>s : le mortier <strong>et</strong> le pilon, symboles sexués de<br />
la complémentarité, de la procréation, de la force <strong>et</strong> de l’harmonie.<br />
Un spectacle qui cherche le point d’équilibre entre corps <strong>et</strong> âme, entre rythme <strong>et</strong> silence, pour évoquer<br />
l’aspiration ultime <strong>et</strong> absolue de l’homme au bonheur, <strong>et</strong> au plaisir.<br />
« Boyakodah » est un incessant va <strong>et</strong> vient entre la tradition <strong>et</strong> une écriture contemporaine. Georges<br />
MOMBOYE n’oppose pas ces deux mondes, il les réunit, en fait une fusion détonante <strong>et</strong> étonnante.<br />
C’est un perpétuel jaillissement d’énergie <strong>et</strong> de couleurs, de sons <strong>et</strong> de rythmes offert sans r<strong>et</strong>enue ; un<br />
hommage sublime d’un homme à ses origines.<br />
La presse :<br />
« Boyakodah n’a pas d’autre ambition que d’opposer le bonheur de la liberté, le dépassement des limites<br />
physiques, à la vilenie du monde. Georges Momboye, chorégraphe <strong>et</strong> magnifique danseur ivoirien a réussi<br />
le tour de force de laisser vivre l’authenticité de la danse africaine, tout en la rendant moderne <strong>et</strong><br />
intemporelle. On entre dans ce ball<strong>et</strong> sans se prendre la tête, le plaisir à l’état pur face à des danseurs qui<br />
pour exprimer leur propre bonheur sont condamnés à le ressentir…. » Sud ouest<br />
« Boyakodah appartient à ces spectacles explosifs capables d’effacer la journée écoulée, de remplacer la<br />
lassitude par l’ivresse. » L’indépendant<br />
“La danse jubilatoire de Georges Momboye fou<strong>et</strong>te les humeurs <strong>et</strong> rem<strong>et</strong> les pendules du plaisir à<br />
l’heure…le chorégraphe ivoirien, bombe chorégraphique à lui tout seul impose l‘idée faussement simple<br />
d’un art viscéral <strong>et</strong> régénérateur, qui trouve son urgence entre tradition <strong>et</strong> contemporain.” Télérama<br />
Co- production : théâtre Romain Rolland de Villejuif, Centre culturel des bords de marne-Le Perreux, Aide à la création<br />
chorégraphique du Conseil général du Val de Marne, avec l’aide à la diffusion de la Biennale nationale de danse du Val<br />
de Marne.<br />
Spectacle organisé en co-réalisation avec Odyssud-Blagnac<br />
www.danses-<strong>et</strong>-<strong>continents</strong>-<strong>noirs</strong>.com