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Etude phytosanitaire des arbres de certains parcs publics de ...

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Châtaignier : 2<br />

Hêtre : 2 (dont un pourpre jeune)<br />

Sorbier <strong><strong>de</strong>s</strong> oiseleurs : 1<br />

Charme : 1<br />

Bouleau : 1<br />

Ginkgo : 1<br />

Févier : 1<br />

Epicéa commun : 1<br />

Cytise : 1<br />

? : 1<br />

? : 1<br />

Comparé à l’inventaire <strong>de</strong> 1995, on observe une stabilité dans le nombre d’espèces,<br />

dans la répartition et dans l’état <strong>phytosanitaire</strong>.<br />

En 1995, on comptait 23 espèces et les quatre espèces dominantes étaient déjà<br />

l’Erable sycomore, le Frêne commun, le Marronnier d’In<strong>de</strong> et le Tilleul à petites<br />

feuilles.<br />

Rappelons que les <strong>de</strong>ux espèces dominantes, Erable sycomore et Frêne commun, sont<br />

<strong><strong>de</strong>s</strong> espèces locales en Ile-<strong>de</strong>-France et compte tenu <strong>de</strong> leur implantation sur le terrain<br />

il est évi<strong>de</strong>nt que l’immense majorité <strong><strong>de</strong>s</strong> sujets, voire la totalité, n’a pas été planté<br />

mais s’est installé spontanément.<br />

le sont dans les mêmes proportions, aujourd’hui comme en 1995, et représentent<br />

encore à elles seules près d’un arbre sur <strong>de</strong>ux.<br />

Seule modification dans ce classement, il y a aujourd’hui, grâce aux plantations<br />

nouvelles, plus <strong>de</strong> tilleuls (44 contre 27) que <strong>de</strong> marronniers (35 contre 47).<br />

DIAGNOSTIC - PROPOSITIONS<br />

Le passé <strong>de</strong> parc composé se dilue toujours un peu plus et aucun choix clair <strong>de</strong><br />

restauration n’a été pris.<br />

L’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1995 proposait <strong>de</strong> « redonner au parc sa structure ancienne (et <strong>de</strong>)<br />

re<strong><strong>de</strong>s</strong>siner les allées, rénover les éléments structurants, planter <strong><strong>de</strong>s</strong> essences<br />

exotiques, etc… A partir d’une recherche historique et <strong>de</strong> l’intervention d’un<br />

paysagiste spécialiste <strong><strong>de</strong>s</strong> <strong>parcs</strong> anciens. »<br />

Bien plus, <strong>certains</strong> <strong>de</strong> ses éléments structurants, comme le bassin, ont presque<br />

totalement disparu et les gros <strong>arbres</strong> remarquables abattus n’ont pas été renouvelés.<br />

Il ne s’agit pas <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r à une véritable restauration d’un parc ancien car il faut<br />

tenir compte <strong><strong>de</strong>s</strong> moyens, tant financiers qu’humains, mis à disposition pour son<br />

entretien. Il convient aussi <strong>de</strong> tenir compte <strong>de</strong> ses usages actuels et <strong><strong>de</strong>s</strong> possibilités,<br />

évoquées déjà en 1995, <strong>de</strong> liaison avec le parc du château.<br />

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