BONNE FOI ET BONNE VOLONTE - Bibliothèque de Toulouse

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LES MYSTERES DE L'AFFAIRE PRINCE
le parquet dijonnais, en négligeant
certains témoignages
a mené une instruction incomplète
e
Six mois après la mort
du conseiller il se décide
entendre M. Durand
et à désigner
un expert ferroviaire
eembie bien que Mus devions
obtenir eatiefaction sur tonte la li-
gue
Mencredi, Pelnii du Peupür nous
promettait tout ce que noua récla-
mions depuis le loues jours ; hier
s'était le Parquet de Dijon qui, aveu
une spontanéité toute à Son honneur,
semblait vouloir suivre nos Conseils
et abonder dans notre Bene.
Juges plutet, Mercredi, j'écrivaie
« 31. ParOeat générai Durand n'a
pas été entendu par ire enquê-
teurs.
Et hier
Le Pana« de Bijou elet mal
acquitté de se tâche. »
Or M. Rebut vient de prendre la
dérision d'entendre M. l'avocat gé-
mirai Durand, dês que celai-ci sera
rentré de vacances.
C'eet exactement ce que nous de-
tnandiOns I
Mals ot7 M. Barra, prreureur de la
République à Dijon nous comble,
Meet lorsqu'Il annonce sa derniêre
eléelsion : choisir, dune une liste de
blompétences ferroviaire% celle qui
isemblera le plus apte à établir un
'rapport concernant la position do
tores sur la voie.
Que cette idée eût été bonne, mon-
sieur le procureur ee, la Républi-
que, ai vous Paviez prise au /onde-
Main de la mort de M. Prince I
, Six mois après..,
gon° ne vous étes pas mal acquit-
do tu Répolrtiqua de Bijou.
turde
votre tee., monsieur le pre-
eur de la listpu,blique ; vous avec
Irigé l'instruction en dépit du bon
ns I
000 4,
On sait que le commise.. Oeil-
urne, dans son rapport, a relevé
s étranges « anomalies ei tut car
actérieent la besogne .rre.t... per
. magistrats