les deux rak'at sounnah apres la priere de al-'asr - Fourqane.com
les deux rak'at sounnah apres la priere de al-'asr - Fourqane.com
les deux rak'at sounnah apres la priere de al-'asr - Fourqane.com
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
Le hadith est un texte explicite <strong>de</strong> l’interdiction <strong>de</strong> se précipiter à prier <strong>la</strong> prière<br />
surérogatoire après <strong>la</strong> prière obligatoire sans avoir ni parlé, ni être sorti. Comme le<br />
font beaucoup <strong>de</strong> non arabes, en particulier <strong>les</strong> turcs, <strong>com</strong>me nous le voyons dans<br />
<strong>les</strong> <strong><strong>de</strong>ux</strong> mosquées sacrées : à peine l’Imam a terminé <strong>la</strong> prière, qu’ils se précipitent<br />
par-ci par-là pour prier <strong>la</strong> <strong>sounnah</strong>.<br />
Et dans ce hadith, il y a un autre important profit : <strong>la</strong> permission <strong>de</strong> prier après sa<strong>la</strong>t<br />
<strong>al</strong>-’Asr. Car, si ce<strong>la</strong> n’était pas permis, il aurait réprimandé cet homme pour avoir<br />
voulu <strong>la</strong> faire. Et ce<strong>la</strong> est évi<strong>de</strong>nt. Et ce<strong>la</strong> est conforme à ce qui a été rapporté du<br />
Prophète -Prières et bénédiction d'Al<strong>la</strong>h sur lui- qui priait <strong><strong>de</strong>ux</strong> rak’at après sa<strong>la</strong>t <strong>al</strong>-’Asr. Et ce<strong>la</strong><br />
prouve que ce<strong>la</strong> n’est pas une particu<strong>la</strong>rité du Prophète -Prières et bénédiction d'Al<strong>la</strong>h sur lui-, et<br />
ce qui a été rapporté du Prophète -Prières et bénédiction d'Al<strong>la</strong>h sur lui- : « Il n’y a pas <strong>de</strong> prière<br />
après <strong>al</strong>-’Asr jusqu’à ce que le soleil se couche. », ce<strong>la</strong> s’applique dans le cas où le<br />
soleil a jaunit, car il y a <strong>de</strong>s hadiths qui le stipulent. Et nous avons déjà parlé <strong>de</strong> cette<br />
question du point <strong>de</strong> vue juridique au hadith 200 et 314.<br />
Source :<br />
« Noudoum <strong>al</strong>-farayd mimaa fi silsi<strong>la</strong>tiy <strong>al</strong>-Albani min fawouayd » Volume 1, page<br />
403.<br />
Traduction :<br />
Abou Abdourrahmane Al Ifranni<br />
3