Download - Kiwanis

Athéisme et religion musulmane
Le Coran condamne les « mécréants » ainsi que les « faux croyants »,
nommés les « hypocrites », mais pas spécifiquement les athées. Sur
un plan religieux, les athées sont menacés de finir à la Géhenne, c’està-dire
l’enfer. »
Athéisme ne signifie pas antithéisme
La plupart des athées acceptent sans problème la coexistence avec les
croyants des différentes religions, soit en réalisant que les messages
attribués à Dieu ou aux dieux synthétisent une réalité sociale, et que
même si la cause attribuée à la divinité est absente ou fausse, l’effet
n’en demeure pas moins réel.
Par conséquent les valeurs prônées par les religions sont dignes
d’intérêt ; soit par tolérance : dans un souci de réciprocité afin que sa
propre non-croyance soit tolérée.
«Pour le plaisir des mots»
ETRE LA COQUELUCHE
Après la chute du bloc de l’Est et de l’URSS, les cultes orthodoxes
(Russie, Ukraine), catholique (Pologne), et musulman (Asie centrale,
Caucase) reprirent de la vigueur. L’expression de la religiosité s’accrut
et des personnes nées dans des familles athées se convertirent.
Estimations du nombre d’athées
Diverses estimations du nombre d’athées ont été émises.
Dans une enquête de l’Eurobaromètre en juin 2005, 52 % des
Européens affirment croire en un dieu, et 18 % disent qu’ils ne croient
en aucune forme de divinité, d’esprit ou de force supérieure (le plus
fort taux étant atteint en France, avec 33 % d’athées). Les personnes
indiquant qu’ils croient en un dieu sont minoritaires dans 15 pays
de l’Europe des 25. En outre il existerait une corrélation entre la
croyance en un dieu et l’âge, une corrélation inverse avec le niveau
d’éducation et les femmes auraient plus tendance à croire en un dieu
que les hommes.
Michel Walch
10 octobre 2011.
Chers amis lecteurs,
Ce chapitre de la série « A l’origine des religions et croyances » sera le dernier, à mon grand dam, parce que la direction que prendra
le magazine l’an prochain ne permettra plus de longs articles culturels, historiques ou philosophiques.
Je compte cependant publier la série complète en format livre sous souscription. Vous serez tenus au courant.
Merci à vous toutes et vous tous de vous être intéressés à mes réflexions diverses. Ce fut un plaisir pour moi de les écrire à votre
intention.
Michel Walch
Il est bizarre qu’un nom de maladie fasse partie d’une expression qui évoque la séduction : «être la coqueluche
de quelqu’un » !
Lorsque les enfants contractaient cette maladie, les médecins d’antan prescrivaient aux malades de porter
un capuchon afin de garder la tête au chaud.
Ce capuchon se nommait une «coqueluche».
C’est aussi le nom qu’on donnait à la cagoule que les soldats portaient sous leurs casques.
Avoir la coqueluche, c’était donc être coiffé, avoir quelqu’un en tête, être toqué, être amoureux ...........
proposé par Martine Serwy - Kiwanis Club Bruxelles Iris
25