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PV CPREFP 12 JUILLET 2012 V2 validé TB - Féderation - La cgt

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COMPTE-RENDU DE LA REUNION<br />

<strong>CPREFP</strong> DU <strong>12</strong>/07/20<strong>12</strong><br />

<strong>La</strong> Commission Paritaire Régionale de l'Emploi et de la Formation Professionnelle (<strong>CPREFP</strong>)<br />

de Picardie s'est réunie le Jeudi <strong>12</strong> juillet à 14 h 30, dans les locaux de l'UIMM Picardie –<br />

22 D rue du Général Leclerc à Amiens.<br />

Etaient présents :<br />

Excusés :<br />

DELEGATION PATRONALE :<br />

UIMM PICARDIE - Thierry BASCHET<br />

- Fabrice BERTRAND<br />

- Thierry BOUCHET<br />

- Xavier DE BENGY<br />

- Fabrice GRELIER<br />

- Stanislas RENAHY<br />

- Christophe HEYMES<br />

- Patricia CAVENNES<br />

- Max de ROQUEFEUIL<br />

- Daniel RAY<br />

- Valérie VILBERT<br />

ORGANISATIONS SYNDICALES :<br />

CFDT - Denis ZUZLEWSKI<br />

- Sébastien CLIN<br />

- Malik CHOUARBI<br />

- Frédéric BRICNET (SYNDEX)<br />

CFE CGC - Cécile DELPIROU<br />

- Marc PETRONIN<br />

CFTC - Pascal CARON<br />

CGT - Eric LALOT<br />

- Denis TOMCZAK<br />

FO - Lucien NOGENT<br />

- Daniel DIDELOT<br />

CFE CGC - Yves BONNARD<br />

CGT - Didier CHOLET<br />

FO - Jean-Louis PION<br />

*<br />

* *<br />

1


1) Approbation du compte-rendu de la <strong>CPREFP</strong> du 8 décembre 2011<br />

<strong>La</strong> CFDT indique que le compte rendu comporte une erreur en mentionnant des propos<br />

tenus par M. DOUCE en séance alors que ce dernier n’était pas présent à la réunion. Après<br />

vérification du dit compte rendu, cette mention n'y figure pas.<br />

Pas d’autres remarques des autres organisations syndicales, le compte-rendu est adopté.<br />

2) Filières, territoires et compétences : Présentation du projet « Filières<br />

Emploi Auto et Aéro » mené par la CFDT (dit « COTEC »)<br />

M. ZUZLEWSKI précise que l’action de la CFDT nécessiterait de poursuivre les rencontres<br />

avec les chefs d’entreprise en assurant, bien évidemment, une totale confidentialité sur les<br />

informations recueillies. Cette démarche permettrait de croiser les visions des salariés et des<br />

directions d’entreprises.<br />

Cette action a également pour objectif d’instituer une démarche de GPEC territoriale afin de<br />

réfléchir aux moyens d’adapter les compétences des salariés aux besoins des entreprises et<br />

de favoriser les mobilités.<br />

Néanmoins, la CFDT rencontre une difficulté : le financement de la suite de ce projet, jusqu’à<br />

présent financé sur ses fonds propres et en partie par l’Etat. Elle s’interroge sur la possibilité<br />

d’obtenir un financement complémentaire, éventuellement via l’EDEC de branche.<br />

Le projet est ensuite présenté, sous forme de diaporama, par M. Frédéric BRICNET du<br />

cabinet SYNDEX. Le diaporama, joint en annexe, est diffusé aux participants.<br />

L’objectif de l’étude réalisée est de produire des réflexions et propositions pour une GPEC<br />

territoriale au sein des instances paritaires et au niveau régional.<br />

Le projet comporte 3 phases :<br />

1. Une phase de repérage de l’existant (notamment par l’utilisation des travaux du GIP<br />

CARMEE) ;<br />

2. Une phase d’analyse de situation et de perspectives sur un panel d’une vingtaine<br />

d’entreprises : diagnostic (activité, métiers, emplois, parcours professionnels, formation)<br />

et analyse des perspectives économiques, celle des métiers, des mutations, des risques<br />

et opportunités pour les activités et emplois ;<br />

3. Une phase d’élaboration d’un diagnostic et de propositions sur les activités, les emplois,<br />

les métiers des 2 filières sur la région, sur les processus et actions de gestion des<br />

mutations ou d’anticipation.<br />

Ce projet présenté en fin 2010 à la DIRECCTE était en demande d’un financement<br />

EDEC/Charte Automobile. <strong>La</strong> première phase a été bien entamée (cf. présentation ci-après).<br />

<strong>La</strong> poursuite du projet et sa forme dépendront des possibilités de financement.<br />

Les constats, effectués à ce jour, sont les suivants (Extraits des éléments dégagés sur la<br />

phase 1 du projet - début 2011) :<br />

2


1) <strong>La</strong> Picardie est une région industrielle :<br />

Avec une part d’emploi dans l’industrie qui reste supérieure à la moyenne nationale ;<br />

Sous dépendance avec une part élevée du poids des groupes étrangers ou hors<br />

région et des centres de décisions en dehors de la France ;<br />

Mais aussi des PME et ETI (Entreprises de tailles intermédiaires) avec un ancrage<br />

local ;<br />

Des salaires et revenus moyens inférieurs à la moyenne nationale : moins d’emplois<br />

qualifiés et de cadres ;<br />

Plus touchée que la moyenne nationale, surtout depuis 2002, avec la fermeture de<br />

gros établissements liés à l’activité automobile.<br />

2) Caractéristiques sociales :<br />

Une pyramide des âges inversée (plus « d’anciens » et moins de jeunes) ;<br />

Les femmes sont plus âgées que les hommes ;<br />

Un enjeu de renouvellement progressif des populations et de gestion des conditions<br />

de travail / parcours des âges ;<br />

Une population plus ouvrière, relativement peu qualifiée ;<br />

Des enjeux de compétences (nécessité du relèvement des pré-requis à la tenue des<br />

postes) ;<br />

Relativement moins de cadres et plus d’ouvriers non qualifiés sauf dans les secteurs<br />

de l’aéronautique, de la sidérurgie et de la fonderie.<br />

3) Ancrage de la filière automobile en Picardie :<br />

Elle représente 5 % des emplois mais il n’y a pas de filière automobile structurée car<br />

pas de constructeurs sur le territoire ;<br />

Mais présence des fournisseurs de matières premières (acier, produits chimiques),<br />

des équipementiers et des sous traitants ;<br />

Ancrage des groupes internationaux en région et de sous-traitants de capacité et de<br />

spécialité dans 2 grands domaines : la moto-propulsion et l’intérieur des véhicules<br />

(domaines essentiels mais en forte mutation) ;<br />

Sous-qualification relative de la population salariée ;<br />

Evolution dégressive de l’emploi assez forte mais relative résistance d’une partie du<br />

tissu : par exemple baisse de 15 % de l’emploi automobile entre 2007 et 2009.<br />

3


4) Filière aéronautique en Picardie :<br />

90 établissements dans la filière ;<br />

En Picardie, près de 3 000 emplois dans le secteur de la construction dont : 1 600 en<br />

aéronautique, 1 000 dans le domaine du ferroviaire et 400 dans le domaine du<br />

moto-cycles ;<br />

Croissance de 1 % de l’emploi entre 2007 et 2009.<br />

5) Présentation du panel :<br />

Dans le panel retenu pour l’enquête, environ 4 000 salariés pour le secteur<br />

automobile et 2 200 pour le secteur aéronautique.<br />

6) Constats sur le panel :<br />

Recours au chômage partiel important dans la filière automobile (multiplié par 2 par<br />

rapport à 2008), pas dans la filière aéronautique ;<br />

<strong>La</strong> population salariée est plus âgée dans le secteur automobile (près de 45% de<br />

salariés âgés de 50 ans et plus) d’où 2 enjeux majeurs identifiés : les conditions de<br />

travail (aménagements des postes en vue du maintien dans l’emploi) et le<br />

renouvellement nécessaire et progressif des compétences ;<br />

Détection de métiers en tension : les techniciens en général et le secteur de la<br />

maintenance. Cela pose la question de l’attractivité du secteur ;<br />

Fort développement de la polyvalence depuis le milieu des années 2000 ;<br />

Quelques accords de GPEC signés mais c’est relativement peu compte tenu des<br />

enjeux. En outre, ce sont surtout des accords de groupe sans traduction concrète par<br />

rapport aux établissements locaux ;<br />

Recours plus massif à la formation dans l’aéronautique que dans l’automobile. Les<br />

chiffres relatifs à la formation nécessiteraient d’être réactualisés car il ya eu un fort<br />

regain depuis 2009.<br />

Il ressort de cette étude :<br />

Des besoins de compétences en amont (R&D, conception, …) et développement de la<br />

polyvalence ;<br />

Des enjeux de formation et de recrutement ;<br />

Des enjeux de sécurisation des parcours professionnels pour les entreprises qui sont<br />

dans des situations difficiles : comment favoriser la mobilité positive ? la VAE ?<br />

Le travail réalisé en 2011 s’est arrêté faute de solution de financement. Ce projet doit<br />

s’inscrire dans une dynamique globale et l’étude doit être approfondie : perspectives<br />

économiques et d’emploi, élargissement du panel, …<br />

4


Fabrice GRELIER, après la présentation réalisée, souligne qu’il y a un point dans l’étude sur<br />

lequel l’UIMM a une perception différente : l’offre de formation existante est, pour les<br />

entreprises, satisfaisante. <strong>La</strong> difficulté se fait plutôt ressentir sur le recrutement des jeunes<br />

qui ne souhaitent pas s’orienter suffisamment dans les filières techniques.<br />

<strong>La</strong> délégation patronale apprécie que les syndicats présentent leurs projets devant la<br />

<strong>CPREFP</strong>. Pour autant, il n’est pas possible de prendre en l’état une décision quant au<br />

financement de cette étude. L’EDEC ne peut pas être utilisé dans ce cadre dans la mesure où<br />

il n’est prévu que pour la GPEC d’entreprise et non pour de la GTEC. Une telle étude relève<br />

plutôt de fonds provenant de l’Etat ou de la Région. Par ailleurs il faudrait que le comité de<br />

pilotage de l’EDEC puisse aussi se prononcer sur cette demande.<br />

Patricia CAVENNES rappelle que l’EDEC ne finance plus d’ingénierie depuis 2 ans et que les<br />

fonds sont désormais dédiés à la GPEC d’entreprise.<br />

M. ZUZLEWSKI indique que leur démarche est également de proposer que le dossier ne soit<br />

plus porté uniquement par la CFDT mais par la Branche et l’ensemble des partenaires<br />

sociaux.<br />

Fabrice GRELIER rappelle qu’il n’est pas possible pour l’UIMM d’être le prescripteur d’un<br />

intervenant plus que d’un autre auprès des entreprises.<br />

Les partenaires sociaux trouvent l’approche globale intéressante et constructive mais ne<br />

peuvent pas s’engager sur une collaboration avec la CFDT sans en discuter au sein de leur<br />

fédération.<br />

<strong>La</strong> CFDT indique que cette démarche ne doit pas s’arrêter à la Métallurgie mais doit porter<br />

sur l’inter-industrie.<br />

Elle interroge la délégation patronale sur la possibilité de parler de cette étude aux<br />

entreprises de leur ressort. Thierry BASCHET indique que cette décision ne dépend pas de la<br />

<strong>CPREFP</strong> ni de l’UIMM Picardie. C’est à chaque territoire de se prononcer. Il demande à la<br />

CFDT de communiquer un exemplaire du questionnaire utilisé. Il invite également les autres<br />

organisations syndicales à se positionner sur ce sujet.<br />

3) Formation professionnelle<br />

3.1) Dispositif CQPM dans la branche<br />

Daniel RAY présente le niveau des CQPM atteint par secteur géographique. Le taux de<br />

réussite au CQPM est très élevé (91 %). Les chiffres sont arrêtés au 30 juin 20<strong>12</strong>.<br />

Le dispositif des CQPM continue à bien fonctionner voire à se développer. Les informations<br />

sont détaillées dans le dossier remis aux participants. Un planning prévisionnel 20<strong>12</strong>/2013<br />

figure aussi dans la documentation remise. Daniel RAY rappelle et insiste sur l’importance de<br />

participer aux jurys de délibération régulièrement organisés sur les 3 départements.<br />

5


Thierry Baschet interroge les OS sur leur ressenti vis-à-vis de ce dispositif. <strong>La</strong> CFE-CGC<br />

constate l’intérêt du dispositif et cite en exemple la qualification « technicien d’usinage »<br />

réalisée dans l’Oise (formation valorisante et bien faite).<br />

<strong>La</strong> CFDT regrette que le délai de retour des CQPM soit trop important. Daniel RAY reconnaît<br />

que des difficultés ont été rencontrées par le passé dans certaines entreprises. Cependant, le<br />

système de traitement a été modifié depuis plus d’un an et après validation par un groupe<br />

technique paritaire national se réunissant chaque mois, ce sont les chambres syndicales qui<br />

éditent les diplômes, aussi les délais sont-ils à présent fortement réduits (maxi 2 mois).<br />

3.2) EDEC : Accord cadre 20<strong>12</strong>-2014<br />

L’objectif de la signature d’un nouvel accord cadre est de poursuivre et amplifier la démarche<br />

partenariale de soutien aux entreprises et aux salariés de Picardie.<br />

3 axes sont retenus : anticiper, professionnaliser et sécuriser les parcours.<br />

Il est rappelé aux partenaires sociaux que l’EDEC s’appuie sur 2 types de conventions : un<br />

accord cadre qui définit les orientations stratégiques de la Branche et une convention<br />

financière qui en permet le déploiement.<br />

Il est important de trouver des cofinancements afin de permettre aux entreprises de faire<br />

des efforts de formation, notamment sur des domaines sur lesquels elles ne s’étaient pas<br />

positionnées.<br />

L’EDEC permet à l’entreprise de s’appuyer, en matière de gestion des compétences, sur une<br />

réflexion stratégique et de trouver un financement complémentaire pour les actions de<br />

formation qui en découlent.<br />

L’EDEC peut intervenir dans de nombreux domaines : remise à niveau, développement des<br />

compétences, nouveaux métiers, cohésion d’équipe, …<br />

L’accord cadre sera signé par la Branche (UIMM Picardie) et l’Etat (DIRECCTE). <strong>La</strong> version<br />

20<strong>12</strong>-2014 ne sera pas cosignée par le Conseil Régional dans la mesure où il ne participe<br />

plus depuis 2011 au financement.<br />

Il est proposé une forte implication des partenaires sociaux dans le cadre du suivi de ce<br />

dispositif. Le projet d’accord cadre présenté et remis aux participants prévoit que les<br />

partenaires sociaux soient membres du comité de pilotage et qu’ils disposent également des<br />

informations dans le cadre de la <strong>CPREFP</strong>. <strong>La</strong> CFDT et la CFE-CGC regrettent que les<br />

organisations syndicales ne soient pas signataires. <strong>La</strong> CGT et FO préfèrent y réfléchir à<br />

l’occasion de la signature d’un prochain accord cadre.<br />

Il est donc convenu, pour ne pas ralentir la signature de l’accord portant sur la période 20<strong>12</strong>-<br />

2014, que les organisations syndicales soient parties prenantes dans le dispositif via le<br />

comité de pilotage et la <strong>CPREFP</strong>. Une réflexion devra être menée si un nouvel accord cadre<br />

devait être conclu en 2015.<br />

6


3.3) Panorama de l’activité Formation du réseau de la Métallurgie<br />

Max de ROQUEFEUIL présente aux partenaires sociaux le réseau des AFPI / CFAI / AFDE de<br />

Picardie (cf. diaporama détaillé remis aux participants).<br />

Quelques chiffres sont à souligner :<br />

8 centres de formation répartis sur les territoires.<br />

Fort investissement sur l’alternance : on devrait dépasser les 3 000 jeunes en formation à<br />

la rentrée 20<strong>12</strong> (disparition des CAP, 10 % niveau BEP, 35 % niveau bac, 45 % niveau<br />

BTS, 10 % niveau ingénieurs).<br />

Sur certaines sections, on constate des difficultés de placement dans les entreprises<br />

mais, a contrario, sur d’autres sections, on souffre d’une pénurie de candidats. Pour<br />

exemple, dans l’Oise, 200 offres non pourvues faute de candidats. Pour remédier à cette<br />

difficulté, un gros travail est réalisé sur des actions de communication (forum de<br />

l’alternance, augmentation du nombre de portes ouvertes, …).<br />

Insertion post-apprentissage : 93 % d’insertion à 6 mois dont plus de la moitié dans leur<br />

entreprise d’accueil.<br />

<strong>La</strong> CFDT s’interroge sur la part de jeunes en contrat de professionnalisation provenant des<br />

missions locales. Max de ROQUEFEUIL indique qu’il ne dispose pas de statistiques sur cette<br />

question mais que le développement des relations avec les missions locales devrait<br />

permettre par l’avenir d’obtenir cette information.<br />

Fabrice GRELIER informe les partenaires sociaux que l’UIMM Picardie s’inscrit pleinement<br />

dans le schéma défini au niveau national et travaille sur la déclinaison en région de la<br />

politique Emploi-Formation de l’UIMM. Un comité stratégique Formation a également été<br />

créé au niveau régional.<br />

<strong>La</strong> coordination régionale se développe. A titre d’exemple,<br />

L’AFDE 8002 est positionnée, au niveau régional, comme l’interlocuteur en charge des<br />

projets concernant les demandeurs d’emploi pour l’ensemble de la Picardie.<br />

Le forum régional a permis de mobiliser 200 entreprises et 6 000 visiteurs (ce qui a<br />

débouché immédiatement sur plus de 500 entretiens de recrutement).<br />

<strong>La</strong> mise en place d’un plan de développement de certaines formations continues par la<br />

régionalisation (ex : école du management).<br />

3.4) Activité des ADEFIM<br />

Les comptes des 3 ADEFIM sont communiqués aux participants.<br />

Une synthèse de l’activité est également transmise et commentée par Patricia CAVENNES.<br />

7


4) Informations partagées sur la situation économique, sociale et de<br />

l’emploi en Picardie<br />

Des informations statistiques sont communiquées sur les projets de licenciement pour motif<br />

économique et qui ont été portées à la connaissance de la <strong>CPREFP</strong> au cours de l’année 20<strong>12</strong>.<br />

<strong>La</strong> CFDT s’inquiète de la situation picarde. Les offres d’emploi ont fortement chuté. Les taux<br />

de chômage sont élevés. Des projets de réduction d’effectif risquent d’être annoncés<br />

prochainement. Grosse inquiétude sur le département de l’Oise également. Quels seront les<br />

impacts sur les équipementiers automobiles ? Que faire sur ces dossiers pour défendre les<br />

bassins d’emploi ?<br />

Thierry BASCHET confirme que la situation est inquiétante. Il est important de travailler sur<br />

l’attractivité et la compétitivité du territoire. Il faut également réfléchir au coût du travail en<br />

France. Ces questions devront être traitées mais ne peuvent pas être réglées par nos<br />

instances. Il nous faut, à notre niveau, travailler sur la promotion des métiers de la<br />

Métallurgie. De nombreuses actions sont menées par la Branche en ce sens (Ex : Propulsion<br />

tour, Exposition Ma place dans l’Industrie).<br />

5) Questions diverses<br />

Les partenaires sociaux demandent que les documents soient communiqués le plus tôt<br />

possible aux participants, dont acte.<br />

<strong>La</strong> séance est levée à 17 H 15.<br />

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