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Schema der ersten
« Wasserfühler »
Schéma des premiers
« détecteurs d’eau »
der Schalterbedienung gestaltete sich jedoch schwierig.
Die Lösung des Problems wurde in einem Einmachglas
mit umgebendem Styropor gefunden, welches an einem
Scharnier an der Höhlenwand befestigt wurde. Mit
steigendem Hochwasser stieg auch das mit Styropor
geschützte Einmachglas und bei einer gewissen Höhe
kippte der integrierte Quecksilberschalter und stellte so
einen registrierbaren Kontakt her. Entsprechend wurde
der Kontakt bei sinkendem Wasserstand wieder unterbrochen.
Am 15. April 1989 wurden solche Wasserfühler an
den hochwasserkritischen Stellen Sandhalde, Wegscheide,
Keller und Styx installiert. Die Registrierelektronik sollte
alle zwei Minuten die Schalterstellung abfragen und auf
einen nichtflüchtigen Speicher (EPROM) brennen. Von
den vier Messgeräten lieferten nach knapp einem Jahr
leider nur deren zwei Resultate. Bei einer Sonde hatte
die Elektronik gestreikt, die andere ging durch ein Hochwasser
zu Bruch – das schützende Styropor wurde vom
Wasserdruck vollständig zusammengepresst.
Verbesserte Version –
« Feuerlöscher »
Da die Wasserfühler zur Schalterbedienung von « Wasser
– kein Wasser » grossen Bewegungen ausgesetzt und
dadurch entsprechend anfällig waren, wurde bei der
Weiterentwicklung nach Möglichkeiten gesucht, diese
Bewegungen zu eliminieren.
Für die Folgegeneration, welche bereits im zweiten
Messjahr ab März 1990 zum Einsatz kam, setzte Ziegler
daher bei gleicher Registrierelektronik auf einen Magnetschalter.
In einem senkrecht montierten, orangen
PVC-Rohr befand sich im oberen Teil wiederum ein
Einmachglas mit Elektronik und zuunterst am Glasboden
ein Magnetschalter. Ein auf einem Styropor-Schwimmer
montierter Magnet, welcher bei Hochwasser an den Glasboden
gedrückt wurde, löste den gewünschten Kontakt
aus. Die gut sichtbaren orangefarbenen Röhren trugen
den neuen Sonden schon bald den Namen « Feuerlöscher »
ein. Im Sommer 1990 massen elf solcher Stationen an den
vier bisherigen und an sieben zusätzlichen Standorten, vor
allem im hinteren Teil des Basissystems, die Wasserstände.
Der Schwachpunkt dieses Systems war der Schwimmer,
denn die hohen Wasserdrücke komprimierten die Schwimmer,
bis sie ihrem Namen nicht mehr gerecht wurden. So
wurden in den folgenden Jahren verschiedene Materialien
ausprobiert. Die besten Erfolge erzielten Schwimmer
des années quatre-vingts, de développer un système
qui pourrait donner des informations sur la présence
ou l’absence d’eau dans la grotte, simultanément, dans
différents endroits. L’idée de base était simple : la crue ou
la décrue doit actionner un interrupteur et une installation
électronique doit enregistrer les positions de l’interrupteur
à de courts intervalles et avec une consommation de
courant minimale. La réalisation de l’interrupteur s’avéra
difficile. La solution consista en l’utilisation d’un bocal
entouré de styropor, fixé par une charnière à une paroi
de la grotte. Avec la crue, le bocal montait aussi et, à une
certaine hauteur, le contacteur de mercure intégré était
actionné et établissait un contact mesurable. Lors de décrue,
le contact était de nouveau interrompu. Le 15 avril
1989, des détecteurs d’eau de ce type furent installés aux
emplacements critiques en cas de crues de Sandhalde,
Wegscheide, Keller et Styx. Le système d’enregistrement
électronique devait prendre note toutes les deux minutes
de la position du contacteur et l’enregistrer sur une puce
de mémoire morte reprogrammable (EPROM). Après une
année d’expérimentation, seuls deux de ces instruments
sur quatre livrèrent des résultats. L’un a subi une panne
électronique et un autre a été détruit lors d’une crue, le
styropor ayant été entièrement comprimé par la pression
de l’eau.
Version améliorée –
« extincteurs »
Comme les détecteurs d’eau étaient soumis à de grands
mouvements, selon la présence ou non d’eau, pour le
fonctionnement de l’interrupteur, on chercha par la suite
à éliminer ces mouvements.
Pour la génération suivante, qui commença dès la
deuxième année de mesures, à partir de mars 1990, Ziegler
installa, avec la même électronique d’enregistrement, un
interrupteur magnétique. Dans un tube de PVC monté verticalement,
il plaça, dans la partie supérieure, un bocal muni
de l’appareillage électronique, et, dans la partie inférieure
du bocal, un interrupteur magnétique. Un aimant, monté
sur un flotteur en styropor, touchait le fond du bocal en
cas de crue et établissait ainsi le contact. La couleur orange
bien visible du tube de PVC donna l’idée de baptiser ces
nouvelles sondes du nom d’« extincteurs ». En été 1990, des
mesures du niveau des eaux furent effectuées au moyen de
ces nouvelles sondes, dans 11 endroits différents, soit les
4 précédents et 7 nouveaux, principalement dans la partie
« Feuerlöscher »-Sonde
Sonde « extincteur »
Seit 2001
eingesetztes
Drucksonden-
Modell.
Schema der « Feuerlöscher
» / Schéma des
« extincteurs »
Modèle de sonde
de pression utilisé
depuis 2001.
84 Stalactite 57, 1, 2007