Juin 2013 - Hôpital général juif

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Pulse 8 Pour tout savoir sur le Pavillon K Voici quelques statistiques impressionnantes relatives à notre nouvelle aile Le talent artistique des étudiants donnent du zeste à la cafétéria De gauche à droite : Tanisha Mapp; Nelson Duchastel de Montrouge, étudiant; Monica Paraghamian, professeure à l’école MIND; et les étudiantes Gabrielle Lo Dico, Jessy Bokser et Jessica Fantinic. L’exposition MIND a été présentée à la cafétéria du 21 mars au 9 mai. Pendant une bonne partie du printemps, les œuvres d’environ 60 étudiants de l’école MIND (Moving in New Directions) ont coloré et égayé les murs de la cafétéria de l’HGJ. « Les étudiants qui nous ont prêté leurs œuvres – et plusieurs nous ont même aidés à aménager l’exposition – étaient ravis de cette occasion, a commenté Mona Rutenberg, artthérapeute à l’HGJ. Cela leur a donné la chance d’exposer un aspect d’eux-mêmes en dehors du milieu scolaire. Leurs créations nous ont donné accès à leurs idées et leur perspective d’adolescent sur la culture, à leur passion pour la musique et leur réflexion sur la conception artistique. » Les professeurs de MIND étaient tout aussi enthousiastes à propos de l’exposition. « Nous espérons que ce montage artistique a pu apporter un élan de vie et d’énergie positive à l’hôpital, affirme Tanisha Mapp, professeur d’art à l’école MIND. Les travaux des jeunes sont très expressifs et tellement remplis d’émotion. Je suis heureuse pour eux que le personnel de l’hôpital, les patients et les visiteurs aient eu la chance de voir leurs œuvres. » Plan d’action terminé ! La touche finale vient d’être apportée au plan d’action du projet « Entreprise en santé », mais ses activités et ses initiatives sont déjà en cours depuis un bon moment. À partir des réponses aux sondages remplis par les employés au début de l’année 2012, et des commentaires recueillis lors des groupes de discussion, le comité s’est lancé dans le feu de l’action en introduisant une série de projets d’amélioration qui en sont au stade de la planification. Voici d’ailleurs quelques exemples des changements les plus récents. Habitudes de vie • Conférences offertes aux employés sur la gestion du stress et les signes avant-coureurs de problèmes de santé mentale Environnement de travail • Évaluation de la qualité de l’air et présentation des résultats aux employés • Programme de prévention des blessures au dos Conciliation travail-vie personnelle • Services visant à favoriser un sain équilibre entre travail et vie personnelle. Par exemple, la cafétéria offre des repas qui peuvent être commandés pour apporter, comme du poulet barbecue et de la pizza. Des mets chauds et des salades sont aussi disponibles pour apporter sans avoir à les commander à l’avance Pratiques de gestion et communication • Politique de civilité au travail, qui inclut la résolution de conflit et la gestion des situations de harcèlement et de violence (voir l’article à la page X) • Programme de retour au travail pour les employés qui ont dû s’absenter pour une longue période et qui réintègrent le travail La première Journée Entreprise en santé La première Journée Entreprise en santé de l’HGJ, le 9 mai dernier, a donné au personnel l’occasion d’apprendre à améliorer leur santé, de participer à des activités physiques animées par des professionnels, et de voir le plan d’action pour la première fois. Bev Matadin, technicienne en administration au Service des ressources humaines, profite d’un massage sur chaise gratuit donné par la massothérapeute Dee Pacifici de Siscoe Gym.
Une suggestion d’un employé fait fondre les dépenses L ’HGJ compte plus de 5 000 employés qui connaissent intimement leur environnement de travail et ses activités quotidiennes. Qui donc serait mieux placé pour proposer des améliorations susceptibles de leur faire gagner du temps et d’épargner de l’argent à leur service tout en améliorant l’expérience des patients ? Le Changement transformationnel accepte les propositions d’amélioration des employés partout dans l’hôpital. Basé sur ces idées, le programme est conçu de façon à soutenir le développement du projet, mettre en oeuvre une version expérimentale et analyser les résultats. En fin de compte, le service concerné et le Changement transformationnel détermineront ensemble si le projet peut devenir permanent et même être appliqué à d’autres secteurs. Elizabeth Botelho, superviseure au Service de stérilisation et distribution de l’HGJ depuis cinq ans, a pensé à une façon de stériliser les instruments chirurgicaux qui pourrait faire « Les fous, les marginaux, les rebelles, les antiformistes, les dissidents. Tous ceux qui voient les choses autrement, qui ne respectent pas les règles et le statu quo. Vous pouvez les admirer ou les désapprouver, les glorifier ou les montrer du doigt. Mais vous ne pouvez pas les ignorer, puisqu’ils changent les choses. Ils font avancer l’humanité. Là où certains ne voient que folie, nous voyons du génie. Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent. » gagner du temps et de l’argent. Même si l’idée n’est pas tout à fait nouvelle (elle est déjà en place dans d’autres hôpitaux et l’HGJ y a déjà eu recours), il serait peut-être bon d’y revenir. L’idée ? Au lieu d’envoyer immédiatement les instruments chirurgicaux souillés pour les faire nettoyer et stériliser, les infirmières de la salle d’opération devraient d’abord les vaporiser pour les garder humides. - Apple « Au début, nous le faisions pour faire notre travail plus rapidement, explique Mme Botelho. « Plus vite nous nettoyons les instruments, plus vite nous pouvons les renvoyer aux salles d’opération. Sans le vaporisateur, il fallait tremper les instruments de 20 à 30 minutes avant de commencer à les brosser. En effet, un brossage trop fort peut endommager les instruments, ce qui signifie des coûts de réparation. » Quand Mme Botelho a fait part de son idée au Changement transformationnel et que les choses ont commencé à bouger, elle Benoit St-Denis arrose des instruments chirurgicaux avant leur désinfection. a vu que le projet prenait forme rapidement. Les employés de la salle d’opération ont tout de suite adhéré au projet. « Nous avons presque perfectionné le processus pour qu’il convienne mieux à notre personnel, précise Benoit St-Denis, infirmier-chef adjoint au bloc opératoire. Nous gagnons du temps et nous songeons même à impliquer les préposés aux soins des patients pour qu’ils participent au processus de vaporisation des instruments. » Trois mois après le début du projet, le processus fait maintenant partie des activités quotidiennes du personnel et ne requiert plus l’encadrement du Changement transformationnel. « Tireur dans l’hôpital ! » Sauriez-vous quoi faire ? La police offre au personnel de l’HGJ une formation en cas d’événement impliquant un tireur actif Ce printemps à l’Hôpital général juif, on met l’accent sur la sécurité et l’état de préparation. En avril et mai, des présentations ont été données dans plusieurs secteurs de l’hôpital sur ce qu’il faut faire en présence d’un tireur actif, par les agentes Anna Pallotta et Elizabeth Kraska de la Police de Montréal et Neil Michaels, Coordonnateur des mesures d’urgence et de la planification pandémique à l’HGJ. Des conférences interactives ont permis d’aborder les moyens de tenir les employés et les patients hors de danger en cas d’intrusion d’un tireur actif dans l’hôpital. « Nous espérons que cela n’arrivera jamais, bien sûr, mais nous tenons à nous assurer que les employés sont préparés le mieux possible, explique M. Michaels. Les participants ont pu noter plusieurs conseils simples et utiles à mettre en pratique. » En voici quelquesuns : • À l’aide de ruban-cache et d’un marqueur, noter le numéro de chaque local à l’intérieur des portes de bureaux et de salles de conférence. Cela vous indiquera rapidement où vous êtes si vous voulez appeler à l’aide et que vous devez rester barricadé. • Repérer les sorties les plus près de votre bureau et vous familiariser avec leur emplacement. • Repérer les endroits dans votre bureau ou votre service où vous pourriez vous cacher, si nécessaire. Neil Michaels avec des policières de la Ville de Montreal Elizabeth Kraska (à gauche) et Anna Pallotta (à droite). • Localiser des articles, meubles ou autres, qui pourraient être utilisés pour barricader la porte au besoin. • Afficher le Guide des mesures d’urgence de l’HGJ dans un endroit bien éclairé et visible. • Vous assurer de transmettre ces conseils à vos collègues. Pulse C’est mon hôpital 9
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