03.01.2014 Views

Biographie de Pierre Anthony Allard, Directeur Artistique du ...

Biographie de Pierre Anthony Allard, Directeur Artistique du ...

Biographie de Pierre Anthony Allard, Directeur Artistique du ...

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

LEONARD DE VINCI<br />

Le Co<strong>de</strong> Atlantique<br />

Du 2 au 24 septembre 2010<br />

Gran<strong>de</strong> Verrière<br />

Grimaldi Forum Monaco<br />

Cette exposition, placée sous le Haut Patronage <strong>de</strong> SAS le Prince Albert II <strong>de</strong> Monaco, est organisée<br />

par l’association Dante Alighieri Monaco et l’Association Monaco Italie, elle présente une sélection<br />

significative <strong>de</strong> planches originales <strong>de</strong> la première édition intégrale <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> Atlantique, mise à<br />

disposition par l’Académie Nationale <strong>de</strong>s Lincei.<br />

Les créations et autres inventions <strong>du</strong> Maître Leonard <strong>de</strong> Vinci ne manqueront d’interpeler un vaste<br />

public assoiffé <strong>de</strong> curiosité et d’intense désir <strong>de</strong> connaissance.<br />

Cet esprit <strong>de</strong> découverte a permis aux hommes d’entreprendre les plus gran<strong>de</strong>s conquêtes et <strong>de</strong><br />

continuer à révéler <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> secrets qui atten<strong>de</strong>nt encore d’être dévoilés.


INFORMATIONS PRATIQUES<br />

L’exposition LEONARD DE VINCI<br />

Placée sous le Haut Patronage <strong>de</strong> SAS le Prince Albert II <strong>de</strong> Monaco, elle est organisée par<br />

l’association Dante Alighieri Monaco et l’Association Monaco Italie.<br />

Lieu : Gran<strong>de</strong> Verrière <strong>du</strong> Grimaldi Forum Monaco<br />

10, avenue Princesse Grace - 98000 Monaco<br />

Site internet : www.grimaldiforum.mc<br />

Horaires :<br />

Du 2 au 12 septembre tous les jours <strong>de</strong> 10h00 à 20h00<br />

Nocturne les jeudis 2 et 9 septembre 2010 jusqu’à 22h00<br />

Du 13 au 24 septembre tous les jours <strong>de</strong> 12h00 à 19h00<br />

Prix d’entrée plein tarif : 8€<br />

Tarifs ré<strong>du</strong>its : Etudiants (-25 ans sur présentation <strong>de</strong> la carte) = 5€<br />

Enfants (jusqu’à 11 ans) = gratuit<br />

Billet couplé = 15€ avec l’exposition « Kyoto-Tokyo, <strong>de</strong>s samouraïs aux mangas »<br />

Du 1 septembre au 12 septembre, la gran<strong>de</strong> exposition estivale <strong>du</strong> Grimaldi Forum Monaco qui<br />

fermera ses portes le 12 septembre.<br />

Billetterie Grimaldi Forum<br />

Tél. +377 99 99 3000 - Fax +377 99 99 3001<br />

E-mail : ticket@grimaldiforum.mc<br />

Catalogue <strong>de</strong> l’exposition :<br />

Une publication trilingue (italien, anglais, allemand)<br />

Format : 24 x 29 cm, 251 pages<br />

L’éditeur : Anthelios Edizioni<br />

Prix public : 45 €<br />

Conférence : « Les envols <strong>de</strong> l’esprit. Le Co<strong>de</strong> Atlantique <strong>de</strong> Leonardo da Vinci » par le Professeur<br />

Carlo Barbieri, Professeur à l’Université Ambrosiano <strong>de</strong> Milan<br />

Le 1 er septembre à 18h30 dans la salle Camille Blanc.<br />

Communication pour l’exposition :<br />

Hervé Zorgniotti Tél. : 00 377 99 99 25 02 - hzorgniotti@grimaldiforum.mc<br />

Nathalie Varley Pinto Tél. : 00 377 99 99 25 03 - nvarley@grimaldiforum.mc<br />

Contact pour les visuels :<br />

Cécile Valentin Tél. : 00 377 99 99 25 25 – cvalentin@grimaldiforum.mc


L’EXPOSITION<br />

Leonardo génie curieux, une exposition pour rêver <strong>du</strong> futur.<br />

Pendant <strong>de</strong> nombreux siècles, les planches <strong>de</strong> Leonardo sont restées dans le mystère,<br />

protégées comme <strong>de</strong>s bijoux dans <strong>de</strong>s palais et bibliothèques <strong>du</strong> mon<strong>de</strong> entier, avec une<br />

connaissance très limitée <strong>de</strong> leur contenu.<br />

Ce n’est qu’à la fin <strong>de</strong>s années 800 qu’a commencé le travail phénoménal d’interprétation <strong>de</strong><br />

ces paroles et <strong>de</strong>ssins qui semblaient avoir été crées par un fantastique magicien et non pas<br />

par un homme, en chair et en os, sans aucun doute génial.<br />

Une <strong>de</strong>s collections les plus importantes <strong>de</strong> planches léonardiennes se trouvait (et se trouve<br />

encore) dans une gran<strong>de</strong> bibliothèque <strong>de</strong> Milano, la Bibliothèque Ambrosiana. Cette collection<br />

était connue comme le Co<strong>de</strong> Atlantique, un nom qui n’a pas été choisi par Leonardo mais par<br />

quelqu’un qui avait comparé ce grand album aux atlantes géographiques <strong>de</strong> l’époque.<br />

Plus <strong>de</strong> 1.200 <strong>de</strong>ssins étaient collés sur les pages <strong>de</strong> cet album et c’est finalement un<br />

passionné, Giovanni Piumati, responsable <strong>de</strong> la plus gran<strong>de</strong> académie italienne, les Lincei, qui<br />

s’est mis à l’œuvre et, après 15 années <strong>de</strong> travail passionnant a conclu la transcription intégrale<br />

<strong>de</strong> toutes les planches <strong>de</strong> l’Atlantique.<br />

Tous les <strong>de</strong>ssins et textes (enfin compréhensibles pour tous !) ont été publiés sur <strong>du</strong> papier<br />

spécial à un nombre limité <strong>de</strong> copies, <strong>de</strong>stinés aux institutions et aux savants qui pouvaient,<br />

après plus <strong>de</strong> 4 siècles, commencer à étudier la pensée d’un <strong>de</strong>s plus grands protagonistes <strong>de</strong><br />

la Renaissance Italienne.<br />

Cette exposition présente une sélection significative <strong>de</strong> planches originales <strong>de</strong> la première<br />

édition intégrale <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Atlantique, mises à disposition par l’Académie Nationale <strong>de</strong>s<br />

Lincei.<br />

Nous trouverons <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ssins dédiés au rêve <strong>de</strong> voler, au projet <strong>de</strong> machines puissantes, à<br />

l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la géographie et <strong>de</strong>s mathématiques, à l’idée d’inventer <strong>de</strong> nouveaux engins <strong>de</strong><br />

guerre. Il y aura aussi un témoignage <strong>de</strong> Leonardo… styliste.<br />

En complément <strong>de</strong>s planches, sont exposés certains modèles d’engins projetés par Leonardo<br />

et réalisés par d’importants modélistes italiens.<br />

Nous verrons <strong>de</strong>s machines <strong>de</strong> guerre, <strong>de</strong> chantier, <strong>de</strong>s machines pour voler et d’autres encore<br />

qui proposent <strong>de</strong>s solutions très mo<strong>de</strong>rnes comme le changement <strong>de</strong> vitesse.<br />

Enfin, sont présentés certains exemples <strong>de</strong> technologies avancées <strong>de</strong> notre époque : ce sont<br />

quelques « héritiers » <strong>de</strong> Leonardo qui ont relevé le défi <strong>du</strong> progrès technologique et<br />

scientifique et qui témoignent le long chemin parcouru après la renaissance.<br />

Les plus petits pourront s’amuser avec <strong>de</strong>s jeux inspirés par Leonardo. Ils découvriront les<br />

<strong>de</strong>vinettes écrites par le génie <strong>de</strong> Vinci, ils pourront inventer <strong>de</strong>s machines fantastiques,<br />

essaieront <strong>de</strong> <strong>de</strong>ssiner les animaux fantastiques décrits par Leonardo, pourront mesurer leur<br />

habilité en démontant et remontant <strong>de</strong>s jeux en bois, comme le Pont <strong>de</strong> Leonardo.<br />

Le message principal que veut passer cette exposition, surtout pour les plus jeunes, est lié à la<br />

gran<strong>de</strong> valeur <strong>de</strong> la curiosité, c’est-à-dire <strong>de</strong> l’intense désir <strong>de</strong> connaissance. Ce n’est que cette<br />

soif <strong>de</strong> curiosité qui a permis aux hommes les plus gran<strong>de</strong>s conquêtes et permettra <strong>de</strong> dévoiler<br />

<strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> secrets qui atten<strong>de</strong>nt encore d’être dévoilés.<br />

La gran<strong>de</strong>ur plus authentique <strong>de</strong> Leonardo est sa curiosité infinie, son désir <strong>de</strong> répondre aux<br />

questions sans réponses, son besoin <strong>de</strong> rêver d’un mon<strong>de</strong> meilleur, sa volonté <strong>de</strong> conquérir<br />

<strong>de</strong>s <strong>de</strong>stinations inatteignables. Sa force est celle d’être capable <strong>de</strong> rêver et <strong>de</strong> croire que<br />

l’intelligence et la volonté peuvent réaliser <strong>de</strong>s rêves.


BIOGRAPHIE<br />

La vie d’un homme génial<br />

Leonardo nait à Vinci, un petit village proche <strong>de</strong> Florence, le 15 avril 1452. C’est le fils naturel <strong>du</strong><br />

notaire <strong>Pierre</strong> et <strong>de</strong> Caterina, une femme dont nous ne connaissons aucune information précise.<br />

Elevé par la famille paternel, dans laquelle il vit une enfance heureuse, reçoit une instruction discrète<br />

et entre ensuite en tant qu’apprenti dans le magasin d’un célèbre peintre e sculpteur Verrocchio, à<br />

Florence, où nous le retrouvons en 1469 en compagnie <strong>de</strong> Botticelli e Perugino. Il reste avec<br />

Verrocchio jusqu’en 1476, lorsqu’il commence à travailler seul.<br />

Les rapports <strong>de</strong> Leonardo avec Lorenzo <strong>de</strong>’ Medici ne sont pas clairs. En outre, son environnement<br />

culturel et les raisons qui le poussent à partir à Milan en 1482 ne sont pas connues. Mais il voit sans<br />

doute dans la cour <strong>de</strong>s Sforza – famille <strong>de</strong> Milan – une ambiance plus adaptée à sa carrière pas<br />

uniquement en tant qu’artiste mais aussi en tant que technicien et ingénieur. A Milan, il travaille<br />

encore principalement en tant que peintre mais réussit à s’occuper aussi d’œuvre hydrauliques, <strong>de</strong><br />

projets architecturaux, d’organisation <strong>de</strong> fêtes <strong>de</strong> cours et un monument équestre, jamais réalisé à<br />

Francesco Sforza, père <strong>de</strong> Ludovico di Moro.<br />

En 1499, les Sforza vaincus et la ville <strong>de</strong> Milan entre les mains <strong>de</strong>s français, Leonardo quitte la ville et<br />

commence une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> pérégrination qui le con<strong>du</strong>ise dans un premier temps à Mantoue, puis à<br />

Venise, dans la région <strong>de</strong> la Romagna, où il entre au service <strong>de</strong> Cesare Borgia en tant qu’architecte<br />

et ingénieur militaire.<br />

Il retourne à Florence en 1503 où il opère en tant que peintre et se trouve impliqué dans une dispute<br />

avec les frères pour la division <strong>de</strong> l’héritage laissée au père. En 1506, il est rappelé à Milan par le roi<br />

<strong>de</strong> France Louis XII, qui le nomme « peintre et ingénieur ».<br />

Il reste à Milan jusqu’à la restructuration <strong>du</strong> gouvernement <strong>de</strong>s Sforza en 1513. Il déménage alors à<br />

Rome, au service <strong>de</strong> Giuliano <strong>de</strong>’ Medici, frère <strong>du</strong> pontife Leone X. L’expérience romaine laisse<br />

Leonardo insatisfait et déçu, notamment à cause <strong>du</strong> succès remporté par <strong>de</strong> grands hommes comme<br />

Michelangelo et Raffaello.<br />

A la mort <strong>de</strong> Giuliano en 1516, il accepte l’invitation <strong>du</strong> nouveau roi <strong>de</strong> France François I e s’installe<br />

au château <strong>de</strong> Cloux, aujourd’hui appelé Clos-Lucé à Ambroise, où il meurt le 2 mai 1519.


COMMENTAIRE DE QUELQUES PIECES<br />

Coque double<br />

Ce projet <strong>de</strong> double coque a parfois été mis en relation avec <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s léopardiennes pour la<br />

navigation sous-marine mais il s’agit sans doute d’un système <strong>de</strong> défense <strong>de</strong>s bateaux<br />

militaires contre l’éperonnement et l’action <strong>de</strong>s scaphandriers mineurs.<br />

Le modèle exposé applique l’idée <strong>de</strong> coque double <strong>de</strong> Leonardo à la structure d’une caraque<br />

atlantique, bateau <strong>de</strong> combat et <strong>de</strong> transport très utilisé <strong>de</strong> 400 à 600.<br />

Il s’agissait probablement <strong>de</strong>s caraques Santa Maria <strong>de</strong> Cristoforo Colombo et <strong>de</strong>s bateaux <strong>de</strong><br />

la flotte <strong>de</strong> Cortez qui se dirigeaient vers la conquête <strong>du</strong> Mexique.<br />

Motrice à palettes<br />

Un <strong>de</strong>s problèmes que se pose Leonardo est celui <strong>de</strong> permettre une navigation plus rapi<strong>de</strong> et<br />

plus facile. Naturellement, la forme <strong>de</strong> la motrice avait une importance fondamentale et<br />

Leonardo prend pour exemple les poissons. En outre, il pense à l’idée d’équiper certains<br />

bateaux <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s aubes qui, actionnées par <strong>de</strong>s manivelles aux pieds ou mains et,<br />

idéalement avec l’utilisation <strong>de</strong> volants, auraient augmenté le rythme et l’efficacité par rapport à<br />

une rame traditionnelle. Aucun <strong>de</strong>ssin ne représente le bateau en entier mais juste certains<br />

détails et quelques parties <strong>du</strong> bateau.


Vis aérienne<br />

Le projet <strong>de</strong>s vis aériennes, un <strong>de</strong>s plus connu <strong>de</strong> Leonardo, est considéré <strong>de</strong> façon commune<br />

comme la plus vieille étu<strong>de</strong> d’hélicoptère. Il se base sur le principe suivant : une vis sans fin<br />

montée en pivot sur un axe <strong>de</strong> rotation, que l’on fait tourner très rapi<strong>de</strong>ment, <strong>de</strong>vrait s’élever<br />

dans l’air. En réalité, ce principe est plus semblable à celui <strong>de</strong> l’hélice <strong>de</strong>s avions mo<strong>de</strong>rnes<br />

plutôt qu’à l’hélicoptère, basé sur <strong>de</strong>s palettes tournantes.<br />

Dans le projet léonardien, la vis présente un rayon d’environ 5 mètres, une structure en roseau<br />

recouverte <strong>de</strong> toile <strong>de</strong> lin amidonnée avec <strong>de</strong>s bords métalliques <strong>de</strong> renfort. La rotation <strong>de</strong> l’axe<br />

survient grâce à la poussée d’hommes qui marchent autour ou <strong>de</strong> par l’enroulage rapi<strong>de</strong> d’une<br />

cor<strong>de</strong> autour <strong>de</strong> la base.<br />

Bicyclette<br />

Pendant la restructuration <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Atlantique qui a eu lieu entre les années 60 et 70 <strong>du</strong><br />

siècle <strong>de</strong>rnier, a été découvert cet incroyable <strong>de</strong>ssin sur une feuille que Pompeo Leoni avait<br />

collée sur un grand album utilisé pour conserver les <strong>de</strong>ssins technico-scientifiques léonardiens.<br />

A ce jour, les chercheurs sont encore partagés quant à l’authenticité <strong>de</strong> cette ébauche, sans<br />

aucun doute d’une beauté fascinante. Pourtant, il modifierait <strong>de</strong> plusieurs siècles le projet <strong>de</strong> la<br />

bicyclette, née officiellement en 1818 avec le brevet <strong>de</strong> la « machine pour courir » <strong>du</strong> Baron<br />

Karl Fredrich Ludwig Drais von Sauerbronn. La distance entre la « machine pour courir » et le<br />

<strong>de</strong>ssin découvert parmi les feuilles <strong>de</strong> l’Atlantique est <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 300 ans.


Il est certain que le <strong>de</strong>ssin n’est pas œuvre <strong>de</strong> Leonardo. La main qui l’a <strong>de</strong>ssinée est en effet<br />

trop incertaine. Il s’agit probablement d’un jeune élève <strong>du</strong> grand Leonardo. Tous les éléments<br />

plus caractéristiques qui constituent la bicyclette sont représentés, en particulier la transmission<br />

avec chaîne avec la roue à <strong>de</strong>nts cubiques <strong>de</strong>ssinée par Leonardo sur une feuille <strong>du</strong> Co<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />

Madrid I, F.10, qui est repro<strong>du</strong>it. Il est évi<strong>de</strong>nt que les étu<strong>de</strong>s et les polémiques concernant le<br />

<strong>de</strong>ssin <strong>de</strong> l’Atlantique ne sont pas conclues.<br />

L’aile mécanique<br />

Un <strong>de</strong>s projets plus célèbres d’aile mécanique qui prouve la volonté méticuleuse <strong>de</strong> Leonardo d’imiter<br />

le plus possible la nature. Les étu<strong>de</strong>s sur l’anatomie <strong>de</strong>s oiseaux se tra<strong>du</strong>isent dans la repro<strong>du</strong>ction<br />

en bois et cor<strong>de</strong> d’une aile pour le vol <strong>de</strong> l’homme.<br />

Une seule annotation <strong>de</strong> Leonardo qui, dans le bois <strong>de</strong> la structure, écrit : « panno » pour rappeler<br />

que tout <strong>de</strong>vra être recouvert <strong>de</strong> tissu pour conclure la construction.


VISUELS LIBRES DE DROIT POUR LA PRESSE<br />

Conditions d’utilisation : légen<strong>de</strong>s et crédits à respecter<br />

L’aile mécanique A<br />

© Anthelios 2010<br />

L’aile mécanique B<br />

© Anthelios 2010<br />

Bicyclette A<br />

© Anthelios 2010<br />

Bicyclette B<br />

© Anthelios 2010<br />

Etu<strong>de</strong>s pour gran<strong>de</strong>s catapultes<br />

© Anthelios 2010<br />

Présumé portrait <strong>de</strong> Leonard <strong>de</strong> Vinci<br />

fait par lui même<br />

© Anthelios 2010


Coque double A<br />

© Anthelios 2010<br />

Coque double B<br />

© Anthelios 2010<br />

Motrice à palettes A<br />

© Anthelios 2010<br />

Motrice à palettes B<br />

© Anthelios 2010<br />

Vis aérienne A<br />

© Anthelios 2010<br />

Vis aérienne B<br />

© Anthelios 2010


LE GRIMALDI FORUM MONACO<br />

Lieu <strong>de</strong> toutes les cultures<br />

Un lieu, <strong>de</strong>s expositions.<br />

Entre ciel et mer, le Grimaldi Forum Monaco est le théâtre d’exception d’une programmation<br />

culturelle, articulée autour <strong>de</strong> trois axes forts : expositions, musique et danse.<br />

Chaque été, le Grimaldi Forum Monaco pro<strong>du</strong>it une gran<strong>de</strong> exposition thématique, consacrée à un<br />

mouvement artistique majeur, à un sujet <strong>de</strong> patrimoine ou <strong>de</strong> civilisation, à tout sujet où s’exprime le<br />

renouvellement <strong>de</strong> la création. Une occasion <strong>de</strong> mettre en valeur ses atouts et ses spécificités : offrir<br />

un espace <strong>de</strong> 4000m 2 pour créer en toute liberté, mettre au service <strong>de</strong> la scénographie les outils<br />

technologiques les plus performants, s’appuyer sur les meilleurs spécialistes dans chaque domaine<br />

afin d’assurer la qualité scientifique <strong>de</strong> ses expositions.<br />

Cette alchimie a déjà fait ses preuves au travers <strong>de</strong>s grands succès rencontrés dans la presse et<br />

auprès <strong>du</strong> grand public :<br />

• « AIR-AIR » en 2000,<br />

• « Chine, le siècle <strong>du</strong> 1 er Empereur » en 2001,<br />

• « Jours <strong>de</strong> Cirque » en 2002<br />

• « SuperWarhol » en 2003,<br />

• « Impérial Saint-Pétersbourg, <strong>de</strong> <strong>Pierre</strong> le Grand à Catherine II » à travers les collections <strong>du</strong><br />

musée <strong>de</strong> l’Ermitage et <strong>de</strong> l’Académie <strong>de</strong>s Beaux-Arts en 2004<br />

• « Arts of Africa » <strong>de</strong>s Arts Traditionnels à la Collection Contemporaine <strong>de</strong> Jean Pigozzi en<br />

2005,<br />

• « New York, New York », 50 ans d’art, architecture, cinéma, performance, photographie et<br />

vidéo en 2006<br />

• « Les Années Grace Kelly, Princesse <strong>de</strong> Monaco » en 2007<br />

• « Reines d’Egypte » en 2008<br />

• « Moscou : Splen<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s Romanov » en 2009<br />

• « Kyoto-Tokyo, <strong>de</strong>s Samouraïs aux Mangas » <strong>du</strong> 14 juillet au 12 septembre 2010.<br />

Le Grimaldi Forum Monaco collabore avec les plus gran<strong>de</strong>s institutions culturelles <strong>du</strong> mon<strong>de</strong> –<br />

musées, fondations et galeries – qui saluent cette réussite par le prêt d’œuvres majeures.<br />

Fort <strong>de</strong> sa double vocation qui en fait sa particularité, le Grimaldi Forum Monaco est à la fois un<br />

centre <strong>de</strong> congrès et d’exposition qui accueille une centaine d’évènements professionnels par an<br />

(congrès, salons, conventions…).<br />

Durant la pério<strong>de</strong> <strong>de</strong>s fêtes <strong>de</strong> fin d’année et pour la <strong>de</strong>uxième année consécutive, le Grimaldi Forum<br />

a installé un ren<strong>de</strong>z-vous thématique « Place <strong>de</strong>s Arts ». Exposition et conférences sont proposées<br />

au public en libre accès. Après la Manufacture <strong>de</strong> porcelaine <strong>de</strong> Sèvres, le Grimaldi Forum a<br />

consacré sa "Place <strong>de</strong>s Arts" à Baccarat.


Au printemps, traditionnellement c’est la photographie qui est à l’honneur. Après Doisneau, Harcourt,<br />

et « Willy Rizzo : photographe et <strong>de</strong>signer » en 2009, c’est « EMILIO AMBASZ : GREEN over<br />

GREY » qui était cette année sous la Gran<strong>de</strong> Verrière.<br />

La scène <strong>de</strong> la Salle <strong>de</strong>s Princes, le plus grand auditorium <strong>de</strong> la Principauté <strong>de</strong> Monaco avec ses<br />

1800 places accueille régulièrement <strong>de</strong>s comédies musicales comme Grease, <strong>de</strong>s ballets<br />

internationaux comme ceux <strong>du</strong> Kirov ou le Bolchoï, le Ballet <strong>de</strong> l’Opéra <strong>de</strong> Paris, <strong>de</strong>s artistes pop<br />

rock, tels que Norah Jones, Mickey 3D, Rokia Traoré, Lou Reed, Black Eyed Peas. Ecrin naturel pour<br />

les entités traditionnelles <strong>de</strong> la culture monégasque : les Ballets <strong>de</strong> Monte Carlo, l’Orchestre<br />

Philharmonique et l’Opéra <strong>de</strong> Monte Carlo qui avec un plateau scénique <strong>de</strong> 1000m², l équivalent <strong>de</strong><br />

l’Opéra Bastille peuvent offrir <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>ctions.<br />

L’agenda <strong>du</strong> Grimaldi Forum Monaco reflète cette diversité et cette ambition intacte <strong>de</strong> rassembler<br />

au- <strong>de</strong>là <strong>de</strong>s clivages toutes les formes d’expression artistique et le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’entreprise, pour<br />

inviter un public toujours plus large à s’ouvrir sur le mon<strong>de</strong> au travers <strong>du</strong> « prisme » <strong>de</strong> la Principauté.<br />

Le Grimaldi Forum Monaco, c’est :<br />

35 000 m² d’espace d’exposition et <strong>de</strong> réunion :<br />

- Trois auditoriums : la Salle <strong>de</strong>s Princes (1800 places), la salle Prince <strong>Pierre</strong> (800<br />

places), et la salle Camille Blanc (400 places).<br />

Dont 10 000m² d’espaces d’exposition<br />

- L’espace Ravel, 4180 m² dont 2 500 m² sans pilier<br />

- L’espace Diaghilev, 3 970 m²<br />

Avec un chiffre d’affaires <strong>de</strong> 13M €, un budget <strong>de</strong> 4M € pour la culture dont 2,5 M € pour<br />

l’« exposition estivale ».<br />

151 collaborateurs permanents, 46 métiers.<br />

Depuis octobre 2008, le Grimaldi Forum est certifié ISO 14001 :2004 (management<br />

environnemental).


Favoriser le développement <strong>de</strong>s relations culturelles entre la Principauté<br />

et l’Italie<br />

L’Association Monaco-Italie, a été créée en septembre 2002 et actuellement présidée par Madame<br />

Marina Grosoli Kerwat, se veut être un véritable trait d’union entre la Principauté <strong>de</strong> Monaco et l’Italie.<br />

Ainsi par ses nombreuses activités, tant sur le plan <strong>de</strong> la culture avec l’organisation d’expositions, <strong>de</strong><br />

conférences, que sur celui <strong>de</strong> l’é<strong>du</strong>cation (l’association octroie, annuellement, <strong>de</strong>s bourses d’étu<strong>de</strong>s<br />

aux étudiants <strong>de</strong> la Principauté ainsi qu’aux élèves <strong>de</strong> l’Ecole <strong>de</strong> Musique <strong>de</strong> Monaco), l’Association<br />

Monaco-Italie contribue au développement <strong>de</strong>s relations entre les <strong>de</strong>ux pays, afin <strong>de</strong> mieux faire<br />

connaitre la Principauté en Italie, et réciproquement.<br />

Afin <strong>de</strong> réaliser pleinement ses activités, l’Association Monaco-Italie a signé, en janvier 2007, avec<br />

l’Ambassa<strong>de</strong> d’Italie à Monaco une convention <strong>de</strong> partenariat et <strong>de</strong> collaboration.<br />

Chaque évènement organisé par l’Association Monaco-Italie démontre le dynamisme <strong>de</strong> la<br />

Communauté italienne en Principauté et son désir <strong>de</strong> participer pleinement à la vie monégasque. Car<br />

tél est le but <strong>de</strong> l’Association Monaco-Italie : rapprocher les <strong>de</strong>ux communautés au travers d’initiatives<br />

communes et <strong>de</strong> concrétiser une amitié historique et institutionnelles déjà très affirmée.<br />

Contacts :<br />

Association Monaco-Italie<br />

"Le Victoria" - 13, boulevard Princesse Charlotte<br />

MC 980000 Monaco<br />

Tel +377.97.77.85.85 Fax +377.97.77.58.99<br />

ami@libello.com<br />

www.monacoitalie.it


La Société Dante Alighieri est un organisme culturel qui a pour but la diffusion <strong>de</strong> la langue et <strong>de</strong> la<br />

culture italienne. Fondée en 1889, elle accueille dans les 95 comités présents dans presque toutes<br />

les provinces d’Italie <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> personnes désireuses <strong>de</strong> perfectionner leurs connaissances<br />

linguistiques, culturelles, artistiques, et ses 423 comités à travers le mon<strong>de</strong> poursuivent les mêmes<br />

objectifs, dispensant un enseignement adapté aux caractéristiques locales. Elle est présente dans<br />

plus <strong>de</strong> soixante pays et réunit plus <strong>de</strong> 200.000 membres étudiants dans 5900 écoles <strong>de</strong> langue et<br />

culture. Elle assure aussi la présence <strong>du</strong> livre italien dans le mon<strong>de</strong> à travers plus <strong>de</strong> 300<br />

bibliothèques où l’on peut consulter plus <strong>de</strong> 500000 volumes <strong>de</strong> tout genre.<br />

Le comité monégasque <strong>de</strong> la Dante Alighieri est installé en Principauté <strong>de</strong>puis 1979. Il a été fondé<br />

par le baron Fabrizio di Giura. S.A.R la princesse Caroline <strong>de</strong> Hanovre en est la prési<strong>de</strong>nte<br />

d’honneur. Depuis sa création, ce comité a ouvert ses classes à plus <strong>de</strong> 2400 « élèves ». Les cours<br />

<strong>de</strong> langue italienne rassemblent <strong>de</strong>s personnes venant <strong>de</strong> très nombreux pays étrangers.<br />

Pour un plus vaste public, le comité <strong>de</strong> Monaco a organisé <strong>du</strong>rant ses 31 années d’activités, <strong>de</strong>s<br />

concerts et <strong>de</strong> nombreuses conférences (avec notamment l’académicien René Huyghe, <strong>de</strong>s écrivains<br />

comme Jean Rémy et les sénateurs italiens Paolo Emilio Taviani, Franco Reviglio, les conservateurs<br />

<strong>de</strong> musées niçois MM. Jean Forneris et Charles Astro, le conservateur <strong>du</strong> musée égyptien <strong>de</strong> Turin,<br />

le directeur honoraire <strong>de</strong>s affaires culturelles <strong>de</strong> la Principauté, M. Antoine Battaïni, <strong>de</strong>s professeurs<br />

<strong>de</strong> la faculté <strong>de</strong> Nice et <strong>du</strong> lycée <strong>de</strong> Monaco, la princesse Maria Gabriella di Savoia, Mme Edmon<strong>de</strong><br />

Charles-Roux, prési<strong>de</strong>nte <strong>de</strong> l’Académie Goncourt et aussi <strong>de</strong>s architectes, <strong>de</strong>s critiques d’art, <strong>de</strong>s<br />

écrivains, etc.). Les sujets ont été très variés : l’Italie au temps <strong>de</strong> Dante Alighieri, l’art sacré dans la<br />

peinture <strong>du</strong> Quattrocento, la préhistoire en Italie, les colosses <strong>de</strong> Riace, le poète Montale, la<br />

Renaissance : peinture et musique, le Maniérisme, le Saint-Suaire <strong>de</strong> Turin, Manzoni, les fontaines<br />

<strong>de</strong> Rome, la Galleria Sabauda <strong>de</strong> Turin, Caravaggio, Piran<strong>de</strong>llo, les Etrusques, Leonardo da Vinci,<br />

Raffaello, Rome baroque, Rome au temps <strong>de</strong> César, l’Italie par les voyageurs <strong>de</strong>s siècles passés, les<br />

mosaïques <strong>de</strong> Ravenne, l’automobile et son in<strong>du</strong>strie à Turin, le Louvre pendant la guerre, l’art italien<br />

en Russie, la peinture toscane, le palio <strong>de</strong> Sienne, la Sicile, ... et beaucoup d’autres thèmes illustrant<br />

l’histoire mais aussi <strong>de</strong>s sujets concernant l’économie, la science et la mé<strong>de</strong>cine qui ont été<br />

présentés par <strong>de</strong>s spécialistes comme Filippo Maria Pandolfi, Antonio Marzano, Antonino Zichichi,<br />

Maurice <strong>de</strong> l’Arbre.<br />

L’activité théâtrale a vu <strong>de</strong> vraies pièces d’auteurs classiques ou mo<strong>de</strong>rnes (Piran<strong>de</strong>llo, Goldoni, les<br />

classiques italiens) jouées par <strong>de</strong>s troupes d’acteurs professionnels <strong>de</strong> Gênes ou <strong>de</strong> Milan.<br />

En collaboration avec d’autres associations culturelles a travers <strong>de</strong>s voyages dans une vingtaines <strong>de</strong><br />

villes d’Italie, à la recherche <strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong> l’histoire, ont été visitées <strong>de</strong>s villes d’art comme Florence,<br />

Pise, Sienne, Crémone, Pavie, Busseto, Perugia, Orvieto, Rome, Palerme, Bergamo ; <strong>de</strong> nombreux<br />

sanctuaires, et encore les villes <strong>de</strong> la Renaissance comme Vigevano, Mantova, Ferrara ; le lac <strong>de</strong><br />

Gar<strong>de</strong>, <strong>de</strong>s régions comme l’Ombrie, la Ligurie, la Sicile et puis les villas <strong>de</strong> Vénitie etc ont été<br />

l’occasion <strong>de</strong> fort belles visites.<br />

Les <strong>de</strong>ux premiers Prési<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> la Dante Alighieri Monaco ont été le Duc <strong>de</strong> Valver<strong>de</strong> et le Comte<br />

<strong>de</strong> Lestrange. Puis le baron Fabrizio di Giura a repris le flambeau <strong>de</strong>puis 1992 et par son œuvre et<br />

son enthousiasme, il a développé et accru les initiatives <strong>du</strong> Comité. Pour le 30 ème anniversaire <strong>de</strong> la<br />

fondation <strong>de</strong> l’Association monégasque, un grand événement a souligné d’importance <strong>de</strong> la<br />

célébration : l’émission <strong>de</strong> trois timbres-poste <strong>de</strong> la Principauté à l’effigie <strong>de</strong> grands personnages <strong>de</strong><br />

la culture italienne : Niccolò Machiavelli, Francesco Petrarca et Giovanni Boccaccio. Cette initiative,<br />

qu’aucun <strong>de</strong>s autres 423 comités <strong>de</strong> par le mon<strong>de</strong> n’a encore imitée, à notre connaissance, a été<br />

possible grâce à la bienveillance <strong>de</strong>s Autorités <strong>de</strong> la Principauté.

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!