Le Repas des ainés - a3w.fr
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VIE PRATIQUE<br />
14<br />
La recete de la <strong>Le</strong>tre<br />
A vos tabliers !<br />
Ingrédients<br />
1 kg 500 de potiron<br />
1 très gros poireau<br />
1 cube de bouillon de volaille<br />
1 pot de crème<br />
(ou un peu de crème selon les<br />
préconisations de votre balance !)<br />
Sel et poivre<br />
C’est prêt !<br />
Velouté de Potirons<br />
Vous avez un peu trop abusé <strong>des</strong> bonnes<br />
choses de fin d’année et votre balance se met<br />
à clignoter dès que vous l’approchez ?! Alors,<br />
après la déraison, rien de tel qu’un velouté de<br />
potirons !!!<br />
Préparation<br />
Découper le poireau en morceaux et le faire suer dans une cuillère<br />
d’huile d’olive jusqu’à ce qu’il soit translucide. Ne pas le faire griller !<br />
Ajouter le potiron coupé en lamelle et le faire revenir en mélangeant<br />
bien.<br />
Ajouter de l’eau ; suffisamment pour couvrir au ¾ les légumes.<br />
Ajouter sel, poivre et le cube de bouillon de volaille.<br />
Couvrir et laisser cuire doucement.<br />
En fonction de la variété de potiron, il peut être nécessaire de laisser<br />
s’évaporer de l’eau.<br />
Au moment de servir, mixer puis ajouter le pot de crème.<br />
<strong>Le</strong>s Coups de cœur de la bibliothèque<br />
<strong>Le</strong>s gens de l‘été de Janine Montupet<br />
Louis-Gabriel Commandeur, élevé très tôt dans le monde de l’art parisien, va devenir un « découvreur »<br />
expert d’œuvres d’art anciennes, et à ce titre, va être amené à faire le voyage de Newport pour livrer une<br />
commande, une tapisserie ancienne redécouverte par ses soins. A Newport, il sera introduit dans le monde d’une milliardaire excentrique<br />
et toute puissante et connaitra l’amour.<br />
Pas heureux l’amour, évidement, ce serait trop facile !<br />
Janine Montupet en profite pour se faire plaisir, et à nous par la même occasion, avec ce monde du Newport <strong>des</strong> années 20, à l’époque<br />
de ses fastes.<br />
Pourquoi le ciel est bleu de Christian Signol<br />
« Julien Signol, mon grand père paternel, ne sut jamais lire ni écrire, et moi, son petit fils, je suis devenu écrivain. Grace à lui bien sur, grâce<br />
à mes parents, à leur travail, leur courage, à tout ce qu’ils m’ont légué.<br />
Et pourtant, il a fallu plus de quarante ans à Julien pour oser poser à son fils la question à laquelle sa mère avait répondu d’une gifle cruelle<br />
quand il avait sept ans : « Pourquoi le ciel est bleu ? ». Il en était resté meurtri, comprenant vaguement que l’enfant d’une domestique,<br />
veuve de surcroit, n’avait pas le droit de lever la tète vers le ciel. Cette scène ne s’est pas déroulée au XVIII e siècle, mais à l’orée du XX e …<br />
<strong>Le</strong>s hommes souf<strong>fr</strong>ent, luttent, pour que leurs enfants vivent mieux qu’eux. Julien en est un humble exemple : en échappant à un <strong>des</strong>tin<br />
écrit d’avance, il a réussi à conquérir sa dignité, à of<strong>fr</strong>ir à ses fils tout ce qui lui avait manqué.<br />
N’est-ce pas encore aujourd’hui, malgré les différences de mo<strong>des</strong> de vie, le but de tous les hommes et de toutes les femmes dans un<br />
combat qui demeure et demeurera toujours le même ? » Christian Signol.<br />
<strong>Le</strong> Parisien de Roger Beteille<br />
Ce matin de la fin juin 1955, Jean Vieuroux, bon élève, espère bien réussir au Brevet. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que le Dirlo, le<br />
redoutable recruteur de cerveaux, arrachera Jean à la ferme, pour en faire son champion. Au bout de ce déracinement douloureux : Paris.<br />
Jean tente d’y trouver sa voie, balloté par la dureté, parfois le risque <strong>des</strong> petits boulots précaires, la barrière de l’argent, la guerre en Algérie.<br />
Trois femmes traversent sa vie : Alexa, son premier amour ; Sylvaine, initiatrice de ses sens ; Maguy, la mère de son enfant. Mais qui se<br />
soucie <strong>des</strong> peurs et de la solitude du Parisien ?<br />
Du même auteur : Clarisse ; le mariage de Marie Falgoux