2010|Entre ombre et lumière
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5 ème<br />
EDITION<br />
- 6000 visiteurs en 2009 -<br />
FESTIVAL DES ARCHITECTURES VIVES à MONTPELLIER<br />
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
du 17 au 20 juin 2010<br />
Partenaires de diffusion :<br />
maison<br />
de l’architecture<br />
Organisateur :<br />
Languedoc-Roussillon<br />
2 rue Saint - Côme - 34 000 Montpellier<br />
Tel: 04.67.92.51.17 - Fax: 04.67.92.51.77<br />
a s s o _ c h a m p l i b r e @ y a h o o . f r<br />
Avec le soutien de :
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
EQUIPES SELECTIONNEES<br />
L. BARIAT / F. DOHEN<br />
LYON-FRANCE<br />
Architectes<br />
SPLACE<br />
A. BOSIO / G. CASSINELLI<br />
A. LAVARELLO / K. PERINI<br />
F. VALIDO<br />
GENES-ITALIE<br />
Architectes<br />
BIANCO Studio<br />
G. BURRAGATO / M. BURRAGATO<br />
MILAN-ITALIE<br />
Architectes<br />
VORTEX<br />
N. GRUN / P. LAURENT<br />
STRASBOURG-FRANCE<br />
Architectes<br />
Guillaume GIROD<br />
GRENOBLE-FRANCE<br />
Architecte D.E / H.M.O.N.P<br />
LA MUTUELLE<br />
E. CHIAPPONE-PIRIOU / M. ENRICO<br />
D. ROUSSEL / S. SIFFLET<br />
PARIS-FRANCE<br />
Architectes<br />
ABC - STUDIO<br />
D. BACK / Y. CACLIN<br />
NANCY-FRANCE<br />
SARL Architectes<br />
MoNo<br />
F. NAGASHIMA<br />
M. MARUOKA NAGASHIMA<br />
YOKOHAMA-JAPON<br />
Architectes<br />
E. QUENEY / M. SCHORK<br />
PARIS-FRANCE<br />
Architectes<br />
JMP Land.Art.Scape.Architecture<br />
J. MUÑOZ I PEREZ<br />
BARCELONE-ESPAGNE<br />
Architecte<br />
COLLEGE OF DESIGN<br />
UNIVERSITY OF KENTUCKY<br />
M. MCKAY/ L. SWANSON / M. SPEAK<br />
LEXINGTON-USA<br />
Ecole d’Architecture<br />
| 5ème Edition du Festival des Architectures Vives à<br />
Montpellier<br />
du 17 au 20 juin 2010<br />
Des Architectures Vives à découvrir<br />
Depuis 2006, le Festival des Architectures Vives cherche à sensibiliser le grand public<br />
à l’architecture <strong>et</strong> lui donner des clefs de compréhension de son environnement bâti en<br />
favorisant la rencontre entre ceux qui font la ville <strong>et</strong> ceux qui la vivent.<br />
Ce Festival m<strong>et</strong> en avant le travail d’une jeune génération d’architectes qui propose, invente,<br />
expérimente <strong>et</strong> explore de nouveaux champs de conception de l’architecture en relation<br />
avec la ville classique. La confrontation d’un morceau choisi de la ville, que sont les cours<br />
d’hôtel particulier, à des regards neufs, perm<strong>et</strong> de régénérer <strong>et</strong> d’engager une réfl exion<br />
globale sur l’architecture dans un contexte urbain existant voire de créer un rapport intime<br />
entre une architecture contemporaine <strong>et</strong> un site à fort caractère patrimonial. La ville de<br />
Montpellier <strong>et</strong> la Région Languedoc Roussillon possède un patrimoine architectural riche<br />
dont les habitants sont très curieux. C’est à partir de c<strong>et</strong>te curiosité que le dialogue est<br />
engagé.<br />
Ainsi l’ouverture de ces lieux, qui usuellement sont strictement fermés, <strong>et</strong> leur redéfi nition<br />
grâce à l’intervention de jeunes architectes, est possible à Montpellier car un esprit<br />
d’ouverture est présent, à la fois chez les habitants <strong>et</strong> chez les propriétaires de ces lieux<br />
magnifi ques.<br />
Le Festival propose enfin de parcourir la ville à pied, de prendre le temps de la découvrir<br />
<strong>et</strong> redécouvrir. Les cours des hôtels particuliers ainsi reliées entre elles offrent une<br />
déambulation dans les ruelles qui perm<strong>et</strong> aussi de redécouvrir le plaisir du cœur de<br />
ville. Une redécouverte spécifique, car chaque lieu est revisité par la création de jeunes<br />
d’architectes venus du monde entier.<br />
Pour la 5ème édition, ce sont 170 équipes d’architectes qui ont présenté une candidature<br />
pour participer au Festival. Sur ces 170 équipes, ce sont pas moins de 60% qui répondaient<br />
depuis des pays hors de France ( Espagne, Allemagne, Italie, mais aussi, Etat Unis , Chili,<br />
Chine, Japon, Canada, Brésil, Inde….).<br />
Du 17 au 20 juin 2010, onze interventions conçues <strong>et</strong> rêvées par des architectes viendront<br />
donc prendre possession de cours intérieures d’hôtels particuliers dans l’écusson de la<br />
ville de Montpellier.<br />
Chaque architecture vive spécifiquement conçue pour le festival, répondra à la thématique<br />
r<strong>et</strong>enue pour c<strong>et</strong>te édition du Festival des Architectures Vives 2010 :<br />
«Entre Ombre <strong>et</strong> Lumière».<br />
......................................................................................................................<br />
Sommaire du Dossier de Presse<br />
Présentation de la 5ème édition du FAV p 1<br />
Thématique «entre <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière» p 2<br />
Equipes <strong>et</strong> Université invitée p 3<br />
Des architectures vives p 4<br />
Le Festival en chiffres p 4<br />
Les architectures vives p 5 - 8<br />
Les équipes p 9 - 12<br />
Générique p 13<br />
-1-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
| Thématique de la 5ème Edition du Festival des<br />
Architectures Vives à Montpellier<br />
Entre Ombre <strong>et</strong> Lumière<br />
Pour c<strong>et</strong>te 5ème édition du Festival des Architectures Vives à Montpellier, les lieux choisis<br />
restent en adéquation avec c<strong>et</strong>te ville historique. Une des richesses de la région est la<br />
présence dans le centre de ses villes de n<strong>ombre</strong>ux hôtels particuliers. Montpellier en<br />
compte plus de soixante-dix. N<strong>ombre</strong> de ces hôtels <strong>et</strong> cours intérieures privées, ne sont<br />
pas accessibles au public. Ainsi, l’objectif de ce festival est double. D’une part ouvrir aux<br />
habitants ces sites emblématiques, leur faire découvrir les lieux cachés de leur propre<br />
ville. D’autre part, grâce à l’intervention des équipes de créateurs présentant une œuvre<br />
spécifi que à chaque lieu, il s’agit de révéler une relation intime entre une architecture<br />
contemporaine <strong>et</strong> un site patrimonial.<br />
La ville, théâtre de diverses émotions, nous offre des espaces où nous nous sentons bien,<br />
d’autres qui nous apaisent. Certains nous bouleversent, nous obligent à modifier notre<br />
rapport au temps <strong>et</strong> à l’espace, <strong>et</strong> d’autres encore comme les cours d’hôtels particuliers<br />
attisent notre curiosité. Dans leur histoire les cours, espaces semi-publics semi-privés, se<br />
sont vues attribuer des fonctions très diverses entre lieu de représentation, d’accueil, de<br />
distribution, mais aujourd’hui elles restent inhabitées. Ces espaces qui se cachent derrière<br />
d’énormes portes cochères, interpellent car ils ne se laissent voir que ponctuellement. Ils<br />
ravissent, quand par chance ils laissent entrevoir leur univers. On y devine un jardin, un<br />
escalier majestueux, un pavage d’époque… Le temps d’un regard, ces cours modifi ent<br />
notre relation à la ville <strong>et</strong> invitent notre imagination à complèter les quelques détails<br />
architecturaux entrevus par hasard. Les cours deviennent de véritables curiosités.<br />
Jouons de c<strong>et</strong>te nuance poétique <strong>et</strong> déroutante, révélons ces spécificités le temps du<br />
Festival. Les espaces deviennent confus, ouvrons-les à la lumière. R<strong>et</strong>rouvons, le temps du<br />
festival, le plaisir de parcourir la ville pour déambuler de surprises en surprises. R<strong>et</strong>rouvons<br />
<strong>et</strong> révélons par des jeux d’espaces de couleurs <strong>et</strong> de matières… les qualités de ces cours<br />
<strong>et</strong> leurs particularités. Redonnons-leur vie, grâce au plaisir du lieu, à un imaginaire de ville<br />
habitée <strong>et</strong> non simplement traversée.<br />
L’architecture contemporaine par jeu révèlera <strong>et</strong> réveillera des sites endormis. Entre <strong>ombre</strong><br />
<strong>et</strong> lumière, recherchons simplement le plaisir de l’espace, de l’architecture <strong>et</strong> de la ville.<br />
-2-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
| Equipes de la cinquième édition du Festival des<br />
Architectures Vives<br />
Equipes sélectionnées<br />
Laurent BARIAT / Fanny DOHEN - Architectes<br />
LYON - France<br />
SPLACE- Andrea BOSIO / Giacomo CASSINELLI / Antonio LAVARELLO / Katia PERINI / Fabio<br />
VALIDO - Architectes<br />
GENES – Italie<br />
BIANCO STUDIO - Maurizio BURRAGATO / Giogio BURRAGATO - Architectes<br />
MILAN – Italie<br />
VORTEX- Pierre LAURENT / Nicolas GRUN - Architectes<br />
STRASBOURG - France<br />
Guillaume GIROD - Architecte<br />
GRENOBLE - France<br />
LA MUTUELLE - Sonia SIFFLET / Maxime ENRICO / Emmanuelle CHIAPPONE-PIRIOU / Dimitri<br />
ROUSSEL - Architectes<br />
PARIS - France<br />
ABC STUDIO - Yann CACLIN / Doonam BACK - Architectes<br />
NANCY - France<br />
MONO - Fumiaki NAGASHIMA/ Mami Maruoka NAGASHIMA - Architectes<br />
YOKOHAMA – Japon<br />
Emilie QUENEY / Markus SCHORK - Architectes<br />
Paris - France<br />
JMP LAND.ART.SCAPE.ARCHITECTURE - Josep MUÑOZ I PEREZ - Architecte<br />
BARCELONE - Espagne<br />
Université invitée<br />
College of Design<br />
University of Kentucky<br />
Lexington, Kentucky<br />
USA<br />
Professeurs : Michael McKay <strong>et</strong> Liz Swanson<br />
Dean : Michael Speak<br />
Etudiants : Jordan Hines, Joanna Grant <strong>et</strong> Ricky Sparks<br />
-3-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
| Des architectures vives<br />
Point de manifeste derrière le Festival des Architectures Vives, mais plutôt l’affirmation d’une<br />
évolution de la pratique architecturale qui, intégrant tous les domaines connexes à sa culture,<br />
n’hésite pas à s’affirmer dans ses réalisations. Les Architectures Vives sont mutantes <strong>et</strong><br />
évolutives par nature, elles sont chaque fois ponctuelles, arrachées à l’urgence du présent.<br />
Lassées des apriori formels ou esthétiques, elles se fondent sur l’expérimentation. Alors<br />
forcément elles ont le sens de l’humour, autant que de l’humilité.<br />
Alors que des tendances actuelles souhaiteraient figer l’architecture dans le miroir de<br />
la grande Histoire <strong>et</strong> du Patrimoine, les Architectures Vives préfèrent, pour leur part, la<br />
prérogative de l’usage au droit de l’auteur. Elles sont « copyleft » dans leur attitude <strong>et</strong> se<br />
réjouissent sincèrement de toute réappropriation libre <strong>et</strong> constructive. Car elles s’adressent<br />
au bénéfi ciaire plutôt qu’au propriétaire : à l’habitant, au riverain, au citadin, au citoyen qui<br />
sont invités à créer la fonction architecturale, à se saisir des réalisations pour les vivifi er <strong>et</strong><br />
les transformer.<br />
Le Festival des Architectures Vives à Montpellier en est à sa cinquième édition <strong>et</strong> déjà il<br />
suscite l’adhésion du public, des professionnels de l’architecture, des étudiants <strong>et</strong> maîtres<br />
d’ouvrage, <strong>et</strong> a réuni l’année dernière plus de six mille visiteurs. Serait-il en train de fédérer un<br />
mouvement, de m<strong>et</strong>tre à jour une nouvelle tendance dans l’architecture contemporaine ?<br />
Ce n’est pas l’histoire qui le dira, plutôt l’époque.<br />
| Le festival en chiffres<br />
| FAV 2006<br />
39 candidatures de France<br />
9 équipes d’architectes, designers d’espace <strong>et</strong> plasticiens / 29 intervenants<br />
3000 visiteurs<br />
| FAV 2007<br />
52 candidatures de France, Espagne<br />
9 équipes d’architectes, paysagistes, plasticiens + Studio ADN de l’Ecole Nationale Supérieure<br />
d’Architecture de Montpellier, France / 38 intervenants<br />
3500 visiteurs<br />
| FAV 2008<br />
70 candidatures de France, Angl<strong>et</strong>erre, Etats-Unis, Espagne, Suisse<br />
10 équipes d’architectes, graphistes, designer d’espace + Master d’Architecture de Elisava de<br />
Barcelone, Espagne / 39 intervenants<br />
5700 visiteurs<br />
| FAV 2009<br />
110 candidatures de France, Angl<strong>et</strong>erre, Etats-Unis, Espagne, Portugal, Suisse, Pays-Bas,<br />
Thaïlande, Canada, Japon, Italie, Amérique du Sud, Autriche, Finlande.<br />
10 équipes d’architectes, designers, graphistes, chercheur + Studio de la Tohoku University<br />
de Sendai au Japon / 37 intervenants<br />
6300 visiteurs<br />
| FAV 2010<br />
170 candidatures de France, Angl<strong>et</strong>erre, Etats-Unis, Espagne, Portugal, Suisse, Pays-<br />
Bas, Thaïlande, Canada, Japon, Italie, Amérique du Sud, Autriche, Finlande.<br />
10 équipes d’architectes + Université du Kentucky<br />
-4-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
| Les architectures vives<br />
CRISTALLISATION<br />
Laurent BARIAT / Fanny DOHEN<br />
La lumière, révélatrice de volumes <strong>et</strong> de matières, ne pourrait-elle pas devenir elle-même<br />
matière ?... Son passage à l’état physique ne perm<strong>et</strong>trait-il pas d’en révéler toutes ses<br />
caractéristiques? Sa cristallisation offrirait la possibilité de composer simultanément avec<br />
ces différents phénomènes.<br />
C’est au détour d’une porte, entrée d’un lieu inconnu, que la lumière vient prendre corps,<br />
jouant de toutes ses nuances, afin de développer un parcours sensible menant<br />
progressivement à la découverte d’une cour intérieure. Ce « milieu », où tout est suggéré,<br />
diffus, marque le passage progressif d’un espace s<strong>ombre</strong>, où l’on ne perçoit rien à un<br />
espace irradié par le haut où tout se dévoile. Finalement, ce dernier devient théâtre d’une<br />
mise en scène de réflexions abstraites offrant un regard nouveau sur l’architecture de c<strong>et</strong><br />
instant caché.<br />
TRUTHEHOLE<br />
SPLACE - Andrea BOSIO / Giacomo CASSINELLI / Antonio LAVARELLO / Katia<br />
PERINI / Fabio VALIDO<br />
L’<strong>ombre</strong> <strong>et</strong> la lumière sont les éléments clefs de la perception de l’architecture voire de la<br />
réalité. Nous avons choisi de réaliser une chambre noire à l’échelle de l’homme où l’<strong>ombre</strong><br />
devient une condition nécessaire à la perception optique <strong>et</strong> la lumière, l’élément avec lequel<br />
l’espace prend forme. Ce procédé nous perm<strong>et</strong> d’obtenir une image vive <strong>et</strong> dynamique de<br />
la réalité, créée grâce à la projection de la lumière. Comme l’écrit Platon dans l’Allégorie<br />
de la Caverne, nous percevons la réalité à travers des <strong>ombre</strong>s proj<strong>et</strong>ées. Le lien avec<br />
l’architecture environnante est créé grâce au trou du sténopé. L’enveloppe de la chambre<br />
noire est complètement réfléchissante : l’obscurité à l’intérieur peut être considérée comme<br />
le résultat de la réflexion de la coque extérieure. Les rayons de lumière sont renvoyés, à<br />
part ceux traversant les quelques trous, donnant ainsi vie aux images. La mise en scène<br />
de c<strong>et</strong>te chambre noire peut être perçue comme la métaphore de la relation existante entre<br />
l’architecture <strong>et</strong> ses usagers, souvent influencés par l’illustration faite par les médias.<br />
CHASSEUR D’OMBRE<br />
BIANCO Studio - Giorgio BURRAGATO / Maurizio BURRAGATO<br />
Une bonne architecture se doit d’être composée de deux éléments : les <strong>ombre</strong>s <strong>et</strong> les<br />
lumières. « l’architecture est un jeu savant, correct <strong>et</strong> magnifique des volumes assemblés<br />
sous la lumière » Le Corbusier<br />
L’installation est composée de 150 modules de carton recyclé. Chaque module est une<br />
boite où une face est manquante <strong>et</strong> remplacée par un papier blanc, chaque fois plié d’une<br />
manière différente. En fonction de leur orientation <strong>et</strong> surface, ils produisent différents eff<strong>et</strong>s<br />
de jeu <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière. Les modules, assemblés en une surface rythmique, créent un<br />
espace de circulation qui peut être emprunté. Certaines boites ont des surfaces colorées,<br />
perm<strong>et</strong>tant toute suggestion. Les visiteurs sont invités à interagir avec elles, en pliant ou<br />
modelant les papiers blancs <strong>et</strong> en les installant dans la boite qu’ils désirent. Ainsi, ils peuvent<br />
directement jouer aux « créateurs d’<strong>ombre</strong>s ». Tout le monde peut jouer entre Ombre <strong>et</strong><br />
Lumière. En fin de journée, les lumières finissent par disparaître <strong>et</strong> l’<strong>ombre</strong> avec…<br />
-5-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
VORTEX<br />
Vortex - Nicolas GRUN / Pierre LAURENT<br />
L’installation m<strong>et</strong> en évidence le dialogue entre l’immatérialité de la lumière <strong>et</strong> la présence<br />
physique de l’architecture.<br />
Le proj<strong>et</strong> s’appuie pour cela sur un dispositif qui empêche les rayonnements solaires de<br />
s’en échapper : un trou noir.<br />
La dynamique noire <strong>et</strong> élancée de l’obj<strong>et</strong> entre en résonance avec le lieu. La cour est<br />
plongée dans l’<strong>ombre</strong> du Vortex.<br />
L’installation absorbe la lumière du jour <strong>et</strong> la restitue par l’intermédiaire d’une forme<br />
lumineuse qui travaille au fil des heures les volumes <strong>et</strong> les reliefs de la cour. Vortex propose<br />
un jeu subtil qui possède le pouvoir de dévoiler la beauté de l’architecture en la baignant<br />
d’obscurité.<br />
UP SKY DOWN<br />
Guillaume GIROD<br />
L’installation propose d’aller à la rencontre de la lumière, de la toucher. Elle offre également<br />
de larges zones d’<strong>ombre</strong>s, plus intimes, plus effacées. Elle m<strong>et</strong> face à face ces deux<br />
protagonistes.<br />
Dans la cour, des milliers de ballons noirs matérialisent un nouveau plafond <strong>et</strong> recréent un<br />
ciel, à porté de main. Il est juste là, il ondule doucement au gré des courants d’air, <strong>et</strong> laisse<br />
avec douceur pénétrer quelques rayons de soleil. L’atmosphère rappelle les moments de<br />
tension précédent un orage où l’<strong>ombre</strong> <strong>et</strong> la lumière s’affirment avec la même force.<br />
De légers fils blancs matérialisent les raies de lumière qui viennent impacter le sol <strong>et</strong><br />
dessiner çà <strong>et</strong> là, des zones géométriques. L’installation est physique. Elle se joue du<br />
climat montpelliérain <strong>et</strong> offre une fraîcheur précieuse durant c<strong>et</strong>te période de l’année. Elle<br />
propose un langage simple qui revisite un thème universel qui en appele aux rêveries des<br />
enfants imaginant des formes invisibles en regardant le ciel.<br />
KUB(OR)<br />
LA MUTUELLE - Emmanuelle CHIAPPONE-PIRIOU / Maxime ENRICO / Dimitri<br />
ROUSSEL / Sonia SIFFLET<br />
Réminiscence d’une boule à fac<strong>et</strong>te fragmentée, le proj<strong>et</strong> se présente comme un mobile<br />
éclaté, parsemé dans l’espace de la cour perm<strong>et</strong>tant de créer un jeu lumineux fait d’<strong>ombre</strong>s<br />
<strong>et</strong> de refl <strong>et</strong>s. Des câbles sont tendus à différentes hauteurs <strong>et</strong> des cubes pendent à intervalle<br />
régulier. Leurs faces inférieures sont habillées de miroir formant une surface qui quadrille le<br />
ciel de la cour. Refl<strong>et</strong> / inversion / projection<br />
Tout se répète pour se confondre in fine dans sa propre image pixellisée, que renvoie le<br />
mobile. La démarche se caractérise par la dualité entre un processus génétique complexe,<br />
rendu possible par une utilisation poussée de l’outil informatique, <strong>et</strong> une réalisation des plus<br />
simples, facilitée par la maîtrise globale des informations qu’offre le travail computarisé.<br />
Avec des moyens simples, l’espace de la cour devient ainsi une fabrique de lumière, où – le<br />
temps d’un instant - éphémère <strong>et</strong> impalpable se matérialisent.<br />
-6-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
LUMI-AIR<br />
ABC Studio - Doonam BACK / YannCACLIN<br />
La matière est expression de lumière. Dans l’espace, la lumière se répand à l’infi ni dans<br />
le vide <strong>et</strong> n’existe que par rencontre avec des masses. Son intensité varie, l’<strong>ombre</strong> se<br />
dessine.<br />
Ambiance brumeuse, sous-bois. La lumière devient palpable. Jeu de refl <strong>et</strong>, lignes<br />
d’<strong>ombre</strong>.<br />
Le proj<strong>et</strong> est une expression physique de ce rapport entre lumière <strong>et</strong> matière. La brume<br />
accroche la lumière <strong>et</strong> semble la solidifier. La cour est utilisée comme le contenant de c<strong>et</strong><br />
air lumineux.<br />
L’espace d’une cour d’hôtel est idéal pour accueillir ce proj<strong>et</strong>, pour sa surface ouverte en<br />
contre bas perm<strong>et</strong>tant un la disposition d’une scène de miroirs. La découverte de la cour se<br />
fait comme celle d’une clairière dans la forêt : un instant de calme, ouvert, lumineux.<br />
UKIGUMO - Floating clouds<br />
MoNo - Mami Maruoka NAGASHIMA / Fumiaki NAGASHIMA<br />
Le proj<strong>et</strong> fait appel à une atmosphère de France médiévale répondant à un style ancien<br />
japonais.<br />
Des colonnes fines symbolisent les colonnes des constructions japonaises traditionnelles<br />
<strong>et</strong> répondent aux colonnes françaises de la cour. Une nouvelle relation nait entre l’espace<br />
japonais <strong>et</strong> la cour grâce aux nuages flottants «UKIGUMO», trait de caractère typique des<br />
peintures traditionnelles japonaises, ils servent habituellement de lien entre différentes<br />
scènes dans les tableaux.<br />
La lumière traverse <strong>et</strong> se faufile à travers les ballons, offrant une atmosphère entre <strong>ombre</strong><br />
<strong>et</strong> lumière perm<strong>et</strong>tant une relation intime entre nos deux cultures.<br />
OMBRE EN LUMIERE<br />
Emilie QUENEY <strong>et</strong> Markus SCHORK<br />
Un ensemble d’éléments opaques dispersés dans le volume de la cour fait obstacle à la<br />
course habituelle du soleil, pour produire un motif éphémère.<br />
Chaque jour, une <strong>ombre</strong> abstraite <strong>et</strong> changeante vient glisser sur les surfaces qui constituent<br />
la cour <strong>et</strong> donne durant un instant précis la clé de la signification, reconstituant au sol le<br />
mot «OMBRE»...<br />
Les éléments sont issus d’un plan décomposé en carrés réguliers répartis sur 4 strates.<br />
L’image d’origine devient seulement lisible par la projection qui la reconstitue en totalité une<br />
fois par jour. Une surface vierge marquée au sol vient recevoir c<strong>et</strong>te image.<br />
-7-
LAND.ART.SCAPE.ARCHITECTURE SHADOW<br />
JMP LAND.ART.SCAPE.ARCHITECTURE - Josep MUÑOZ i PEREZ<br />
Ce proj<strong>et</strong> fait appel aux différents concepts que sont l’art, le land art <strong>et</strong> l’architecture.<br />
Il s’agit d’un jeu avec des bougies générant <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière non pas par leur allumage mais<br />
par leur propre couleur, allant du blanc au noir en passant par différentes nuances de gris.<br />
Les bougies, disposées sous l’unique lampadaire du lieu, représentent l’<strong>ombre</strong> <strong>et</strong> la lumière<br />
proj<strong>et</strong>ée au sol lors de l’éclairage de nuit de la cour.<br />
PERFORMA<br />
College of Design - University of Kentucky / M. SPEAK - M. MCKAY, L. SWANSON<br />
Etudiants : Jordan HINES, Joanna GRANT, Ricky SPARKS<br />
Performa est une structure multifonctions jouant avec l’optimisation, l’accumulation <strong>et</strong><br />
l’effi cacité. C<strong>et</strong>te unité se compose d’éléments détachables identiques. La fl exibilité du<br />
système vient de son adaptation au changement de conditions : la structure peut s’étendre<br />
sur un grand espace une fois déployée <strong>et</strong> s’aplatit complètement pour un transport aisé.<br />
La structure a un impact sur l’affect sensoriel de l’espace où elle se situe : elle proj<strong>et</strong>te<br />
une <strong>ombre</strong> parsemée de passages lumineux permis grâce à ses ouvertures plus ou moins<br />
étroites. Ce travail est le résultat de techniques numériques <strong>et</strong> physiques rigoureuses qui<br />
ont permis d’évaluer le potentiel, les limites <strong>et</strong> les stratégies de fabrication.<br />
-8-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
| Les équipes<br />
Laurent BARIAT / Fanny DOHEN<br />
Lyon - FRANCE<br />
Après leurs études à Versailles, Chicago <strong>et</strong> Lyon, Fanny Dohen <strong>et</strong> Laurent Bariat ont<br />
continué ensemble leur parcours dans l’architecture. Au cours de leur apprentissage, ils<br />
ont eu l’occasion de partager des expériences communes perm<strong>et</strong>tant d’appréhender la<br />
création architecturale de différentes manières.<br />
Ainsi, tout au long de ces années, ils ont développé des pensées communes qui les ont<br />
amenés aujourd’hui à vouloir collaborer sur des concours d’idées <strong>et</strong> installations temporaires<br />
en créant l’association Cube-A qui, pluridisciplinaire par essence, a pour vocation de<br />
promouvoir tout type de créations.<br />
Ayant tous deux un intérêt particulier pour le travail de la lumière en architecture, ils ont<br />
choisi très tôt des enseignements spécifi ques perm<strong>et</strong>tant de développer ce thème puis ont<br />
continué à le cultiver au long de leur pratique professionnelle. Le Festival des Architectures<br />
Vives de Montpellier leur a donné l’excellente occasion d’expérimenter, concevoir <strong>et</strong> réaliser<br />
une installation livrant leur interprétation de la lumière.<br />
SPLACE<br />
A. BOSIO / G. CASSINELLI / A. LAVARELLO / K. PERINI / F. VALIDO<br />
Gênes - ITALIE -<br />
Splace, créé en 2009 par cinq architectes de Gènes, est le résultat d’une collaboration<br />
issue d’un parcours de formation commun.<br />
L’idée est de développer les thèmes architecturaux les plus courants : la relation avec les<br />
media, les questions d’espaces publics <strong>et</strong> de transformations, la réutilisation d’immeubles<br />
à l’abandon, la mise en relation avec d’autres arts.<br />
Splace est une organisation ouverte, informelle <strong>et</strong> fl exible où des techniques <strong>et</strong> intérêts<br />
différents <strong>et</strong> complémentaires se mélangent : développement urbain durable, outils <strong>et</strong><br />
langages informatiques au service de l’architecture, investissement photographique,<br />
solutions historiques <strong>et</strong> esthétiques…<br />
Parmi les expériences les plus récentes, il y a « In/comunicazione », une expositionworkshop<br />
interdisciplinaire pour de jeunes artistes ; l’exposition a été mise en place par<br />
Splace à Scalinata Borghese, nouvel immeuble d’art nouveau, à l’abandon depuis 40 ans.<br />
BIANCO Studio<br />
G. BURRAGATO / M. BURRAGATO<br />
Milan - ITALIE<br />
BIANCOSTUDIO est créé en 2009 par Maurizio <strong>et</strong> Giorgio Burragato dans l’intention de<br />
rechercher une conception de haute qualité.<br />
Nous recouvrons tous les travaux d’architecture, de conception d’intérieur <strong>et</strong> de paysages.<br />
Nous nous sommes distingués dans différents concours.<br />
Giorgio Burragato (Architecte, Italie) :<br />
Depuis 1994, il travaille en freelance, en coopération avec différentes entreprises d’ingénierie<br />
<strong>et</strong> d’architecture dans le cadre de construction d’immeubles <strong>et</strong> de maisons privés.<br />
Maurizio Burragato (Architecte, Italie) :<br />
Depuis 2001, il a commencé à travailler en freelance à Milan, en coopération avec différentes<br />
entreprises d’ingénierie <strong>et</strong> d’architecture.<br />
En 2008, après une expérience de six mois en Chine <strong>et</strong> au Kazakhstan en tant que chef de<br />
proj<strong>et</strong> sur de n<strong>ombre</strong>ux proj<strong>et</strong>s privés, il a décidé de créer sa propre entreprise.<br />
-9-
<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
Vortex<br />
Nicolas GRUN / Pierre LAURENT<br />
Strasbourg - FRANCE<br />
Nicolas Grun <strong>et</strong> Pierre Laurent sont tous deux diplômés de l’école d’architecture de<br />
Strasbourg en 2007. Membres du collectif d’ar’t’chitecte strasbourgeois 3RS, ils proj<strong>et</strong>tent<br />
d’ouvrir prochainement leur agence d’architecture.<br />
Ils expérimentent une architecture transversale, à volume zéro dans une recherche d’intensité<br />
plutôt que de densité. L’enjeu est de constituer l’espace sans forcément construire d’édifice.<br />
Leurs interventions libèrent la ligne <strong>et</strong> l’espace en donnant plein pouvoir à la lumière <strong>et</strong> aux<br />
jeux d’échelles.<br />
Leur travail est remarqué lors du concours Minimaouse 3, des info-box des journées de<br />
l’architecture de Strasbourg, du Bostik art trophy du concours Algéco...<br />
Par le biais d’appels à proj<strong>et</strong>s semblables à celui du FAV, ils réalisent régulièrement des<br />
expérimentations à la marge de l’architecture <strong>et</strong> de l’art au travers d’installations éphèmères<br />
lors de festivals.<br />
Guillaume GIROD<br />
Grenoble - FRANCE<br />
Guillaume Girod est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble.<br />
L’habilitation HMONP a été obtenue en octobre 2009.<br />
Convaincu que l’architecture se découvrait hors des murs de l’école, des expériences<br />
diverses <strong>et</strong> variées sont venues enrichir le parcours universitaire. De n<strong>ombre</strong>ux concours<br />
d’idées ont permis de développer une pensée autonome <strong>et</strong> de commencer à structurer une<br />
démarche.<br />
L’agence Guillaume Girod architecte est créée en novembre 2009. La narration est la base<br />
de développement de proj<strong>et</strong>s. C’est l’élément fondateur. Il est le résultat d’une histoire<br />
construite qui se soustrait à toute logique formelle ou de mode, la démarche ne se réduit<br />
pas au champ de l’architecture, elle s’ouvre à des pratiques annexes. Elle est multiple.<br />
LA MUTUELLE<br />
E. CHIAPPONE-PIRIOU / M. ENRICO / D. ROUSSEL / S. SIFFLET<br />
Paris - FRANCE<br />
Issus de l’Ecole d’Architecture de Paris-la-Vill<strong>et</strong>te, nous avons créé La Mutuelle, croisement<br />
de nos quatre personnalités, de quatre pratiques singulières qui, par-delà leurs différences,<br />
se rejoignent dans c<strong>et</strong>te plateforme d’expérimentation qu’est ce collectif.<br />
L’attention que nous portons à l’architecture, à la ville <strong>et</strong> au territoire est le moteur essentiel<br />
de nos ambitions. Au travers de notre pratique, nous explorons la relation que ces champs<br />
entr<strong>et</strong>iennent avec leur environnement, en nous interrogeant sur la place qui peut être la<br />
leur dans une société en perpétuelle évolution.<br />
La Mutuelle se veut être une plateforme : la mise en commun de nos expériences <strong>et</strong> de<br />
nos compétences, tant pratiques que théoriques, nous perm<strong>et</strong> aujourd’hui de mener à bien<br />
plusieurs proj<strong>et</strong>s, à des échelles <strong>et</strong> dans des domaines différents. C<strong>et</strong>te diversité est sans<br />
doute ce qui nous caractérise. Comme l’est également l’énergie qui nous anime <strong>et</strong> nous<br />
pousse à entreprendre, à oser, à inventer <strong>et</strong> ce malgré les contraintes.<br />
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<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
ABC Studio<br />
D. BACK / Y. CACLIN<br />
Nancy - FRANCE<br />
abc-studio est la rencontre de deux architectes de culture <strong>et</strong> de vision différentes.<br />
Doonam BACK <strong>et</strong> Yann CACLIN se rencontrent à l’école d’architecture de Nancy dont ils<br />
sont diplômés en 2008. De r<strong>et</strong>our d’un voyage de 4 mois autour du monde, l’agence est<br />
créée en 2009 à Nancy.<br />
Le travail de l’agence trouve ses racines dans une défi nition de valeurs éthiques en amont<br />
d’une recherche architecturale. La volonté principale est de développer une démarche la<br />
plus juste possible. Pour le parti pris architectural, pour les rapports humains, pour les<br />
choix économiques: Qualité du lieu, dialogue, équilibre, conviction, simplicité.<br />
abc-studio est un lieu d’expression <strong>et</strong> d’échange de compétences variées. Par une<br />
démarche ouverte, nous développons un esprit de travail en évolution permanente.<br />
MoNo<br />
M. Maruoka NAGASHIMA / F. NAGASHIMA<br />
Yokohama - JAPON<br />
MoNo est une agence japonaise d’architecture de première classe basée à Yokohama,<br />
composée de deux architectes, Fumiaki Nagashima <strong>et</strong> Mami Maruoka Nagashima.<br />
L’agence est investie dans l’enseignement de l’architecture sous plusieurs formes <strong>et</strong> dans<br />
l’architecture à différentes échelles : design, architecture urbaine, architecture d’intérieur <strong>et</strong><br />
de produits, l’art de l’installation, le graphisme <strong>et</strong> la vidéo...<br />
En 2009, MoNo remporte un concours d’installation <strong>et</strong> d’exposition artistique en Autriche<br />
«Light and atmosphere in the Japanese Way» dans le cadre du 140ème anniversaire du<br />
jumelage japonais-autrichien. MoNo s’est fait remarqué au cours de différents concours <strong>et</strong><br />
expositions, (Daylight Spaces, TIA Scholarship Award 2007...).<br />
Le travail de MoNo se base sur une atmosphère japonaise unique en utilisant des<br />
technologies contemporaines <strong>et</strong> non pas en se limitant aux méthodes <strong>et</strong> matériaux<br />
traditionnels.<br />
Emilie QUENEY <strong>et</strong> Markus SCHORK<br />
Paris - FRANCE<br />
Emilie Queney fait des études d‘arts appliqués à Besançon, d’architecture intérieure à<br />
l’école Boulle à Paris puis d’architecture à l’ENSAPB <strong>et</strong> l‘ENSAPLV. De 2002 à 2007, elle<br />
travaille au sein d‘agences d‘architecture <strong>et</strong> architecture intérieure à Besançon, Berlin,<br />
Lausanne <strong>et</strong> Paris. De 2008 à aujourd’hui, elle travaille en free-lance dans des agences<br />
d‘architecture à Paris, participe à des concours ouverts d‘architecture <strong>et</strong> de paysage,<br />
dessine dans un atelier de modèles vivants.<br />
Markus Schork est né à São Paulo en 1975. Il fait des études de design <strong>et</strong> de photographie<br />
à l’école InD (Düsseldorf <strong>et</strong> Hamburg) auprès de G. Rothemann <strong>et</strong> V. Heinze. En 2000, il<br />
fonde les Atelierschork avec son frère Francisco. C<strong>et</strong>te collaboration concerne différents<br />
proj<strong>et</strong>s allant de la photographie d‘architecture à des installations numériques, en passant<br />
de 2003 à 2004 par la création de la galerie temporaire galeriepostkarte ayant pour vocation<br />
l‘édition de cartes postales d’artistes locaux. De 2000 à aujourd’hui, il travaille à Hambourg<br />
en freelance dans les domaines du design <strong>et</strong> des media numériques.<br />
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<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
JMP LAND.ART.SCAPE.ARCHITECTURE<br />
Josep MUÑOZ i PEREZ<br />
Barcelone - ESPAGNE<br />
Josep Muñoz i Pérez, architecte de l’Ecole Technique Supérieure d’Architecture de<br />
Barcelone, UPC 2002.<br />
En 2006, FAD (Fostering Arts and Design) reconnait Josep Muñoz i Pérez comme Jeune<br />
Architecte Emergeant. En 2008, L’Ecole d’Architecture de Catalogne lui décerne le prix<br />
du Jeune Architecte 2008.<br />
En tant qu’architecte, Josep Muñoz i Pérez recherche, participe, crée <strong>et</strong> expérimente<br />
différents champs architecturaux. Il est aujourd’hui installé en tant qu’agence jmp.land.<br />
art.scape.architecture.<br />
Ses travaux ont été reconnus, récompensés <strong>et</strong> publiés au niveau national <strong>et</strong><br />
international.<br />
College of Design - University of Kentucky<br />
Michael McKAY / Liz SWANSON<br />
Jordan HINES, Joanna GRANT, Ricky SPARKS<br />
Lexington, Kentucky - USA<br />
Chaque année, le Festival des Architectures Vives invite une Université.<br />
Pour la cinquième édition du Festival des Architectures Vives, l’université invitée est le<br />
College of Design, University of Kentucky, Lexington Kentucky USA, sous la direction<br />
de Michael SPEAK.<br />
Ainsi, c<strong>et</strong>te année, les Professeurs Michael McKAY <strong>et</strong> Liz SWANSON se joignent à nous<br />
avec trois de leurs étudiants.<br />
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<strong>2010|Entre</strong> <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière<br />
| Générique<br />
Le 5ème Festival des Architectures Vives 2010 à Montpellier est organisé par l’association<br />
Champ Libre, présidée par Elodie NOURRIGAT <strong>et</strong> Jacques BRION, architectes à<br />
Montpellier.<br />
Association Champ Libre<br />
2 rue Saint - Côme - 34 000 Montpellier<br />
Tel: 04.67.92.51.17 - Fax: 04.67.92.51.77<br />
a s s o _ c h a m p l i b r e @ y a h o o . f r<br />
R<strong>et</strong>rouvez toutes les informations sur le Festival sur le site intern<strong>et</strong> :<br />
http://favmontpellier.nerim.n<strong>et</strong>/<br />
Entre <strong>ombre</strong> <strong>et</strong> lumière / FAV Montpellier 2010<br />
Avec le soutien de : La Ville de Montpellier, La Direction Régionale des Affaires Culturelles,<br />
Région Languedoc Roussillon, FDI groupe, Crédit Immobilier de France Méditerranée,<br />
L’Ordre des Architectes, La Mutuelle des Architectes Français Assurances, KPMG<br />
Partenaire de diffusion : Maison de l’Architecture Languedoc Roussillon<br />
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Partenaires de diffusion :<br />
maison<br />
de l’architecture<br />
Languedoc-Roussillon<br />
Avec le soutien de :<br />
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