Piché : entre ciel et terre - Festivals
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présentent<br />
PICHÉ<br />
<strong>entre</strong> <strong>ciel</strong> <strong>et</strong> <strong>terre</strong><br />
un film de Sylvain Archambault<br />
écrit par Ian Lauzon<br />
produit par André Dupuy<br />
Sortie en salle le mercredi 7 juill<strong>et</strong> 2010<br />
Durée : 107 minutes<br />
Produit avec la participation financière de Téléfilm Canada, Crédit d’impôt<br />
provincial, Sodec, TVA Films, Productions Pixcom, Crédit d’impôt fédéral, Fonds<br />
Harold Greenberg, Super Écran <strong>et</strong> TVA.
BANDES-ANNONCES ET PHOTOS<br />
disponibles sur le site web de TVA Films : www.tvafilms.com<br />
cliquez sur l’ongl<strong>et</strong> média <strong>et</strong> utilisez ces accès :<br />
nom d’utilisateur : tva0029<br />
mot de passe : media0309<br />
Site intern<strong>et</strong> : www.piche-lefilm.com<br />
Relations de presse<br />
Brigitte Chabot Communications<br />
Mélanie Mingotaud (Montréal)<br />
melanie@bchabotcom.ca<br />
514.861.7871<br />
Mara Gourd-Mercado (régions)<br />
mara@bchabotcom.ca<br />
514.861.7850
Synopsis<br />
Grâce à son instinct <strong>et</strong> à son passé tumultueux, Robert Piché trouve la<br />
force <strong>et</strong> le sang-froid nécessaires pour faire atterrir son avion en panne<br />
d’essence <strong>et</strong> sauver ainsi les 306 personnes qui s’y trouvent. En traitement<br />
dans une clinique de désintoxication pour un problème d’alcool aux<br />
lendemains de c<strong>et</strong> acte héroïque, il doit revivre non seulement ce<br />
moment fort mais aussi son passage en prison. Il ne pourra redonner un<br />
sens à sa vie que lorsqu’il aura assumé son passé.<br />
Le film PICHÉ : ENTRE CIEL ET TERRE vous racontera comment c<strong>et</strong> homme<br />
assoiffé d’aventure a toujours su rebondir. Il montrera aussi que derrière<br />
celui qui a sauvé ces passagers en août 2001, derrière celui qui ne cesse<br />
depuis de fasciner <strong>et</strong> d’attirer les foules <strong>et</strong> qui a vu sa biographie se<br />
vendre à plus de 65 000 exemplaires; derrière ce héros donc, il y a l’être<br />
humain, avec ses sensibilités <strong>et</strong> ses faiblesses qui nous le rendent encore<br />
plus vrai <strong>et</strong> plus fort que nature.<br />
Robert Piché : pour le meilleur <strong>et</strong> pour le pire, mais toujours… <strong>entre</strong> <strong>ciel</strong> <strong>et</strong><br />
<strong>terre</strong>.
Mot de Robert Piché<br />
Au cours des huit années d'attente de financement, j’avoue qu’il m’est<br />
arrivé parfois de douter que ce film se ferait. Mais c'était mal connaître la<br />
ténacité du producteur André Dupuy. Ce délai <strong>et</strong> l’ingénieux scénario<br />
qu’a écrit Ian Lauzon m’ont toutefois permis d’apprendre à vivre avec le<br />
fait qu’une grande partie de ma vie, parfois intime, serait ainsi dévoilée<br />
sur grand écran.<br />
Étant aussi impliqué comme consultant, j’ai eu la chance de côtoyer le<br />
réalisateur Sylvain Archambault qui était vraiment soucieux de la<br />
crédibilité <strong>et</strong> qui a su faire en sorte que je me sente très utile. J’ai d’ailleurs<br />
été impressionné par sa grande sensibilité <strong>et</strong> sa compréhension profonde<br />
de ce que j’ai vécu. C’est certainement pour ça qu’il a su diriger aussi<br />
bien les comédiens, tous excellents d’ailleurs, avec autant de réalisme.<br />
Et que dire de mon rapport avec Michel Côté! Que du bonheur! Son<br />
ouverture <strong>et</strong> sa générosité ont permis d’établir très rapidement une<br />
grande complicité <strong>entre</strong> nous. De l’avoir vu s’approprier si bien ma<br />
personne contribue dans le film à démontrer qu'après tout je suis un<br />
homme bien ordinaire qui a été mis dans une situation extraordinaire. Et<br />
qu'avec mon p<strong>et</strong>it bagage personnel de vie <strong>et</strong> le courage de l'équipage<br />
du vol 236, on a pu sauver la vie de 306 personnes.<br />
À l’écran, le résultat final est impressionnant. Pour moi, Sylvain<br />
Archambault a réussi à faire un grand film racontant le cheminement<br />
d'un homme, parfois en montées parfois en descentes, mais qui<br />
finalement doit réussir l'atterrissage de sa propre vie.<br />
R.Piché.
Mot du réalisateur<br />
Premièrement, je rends grâce au <strong>ciel</strong> de m’avoir mis sur le chemin du<br />
proj<strong>et</strong> de film traitant de la vie du commandant Piché. C<strong>et</strong>te formidable<br />
aventure fut enrichissante autant professionnellement qu’humainement.<br />
Il est, dans une vie, rare de rencontrer un héros, un vrai. Un homme qui a<br />
passé sa vie à se chercher, à fuir <strong>et</strong> à enfin se rencontrer sans artifice ni<br />
défaite, dans la lumière <strong>et</strong> l’obscurité qui le définissent.<br />
Il est encore plus rare de voir, dans le même cadre, la planète Michel<br />
Côté venir s’enligner pour créer un portrait parfait. La destinée, j’en suis<br />
sûr, existe. Jamais je n’avais dirigé pareil acteur. Son énorme talent, sa<br />
sensibilité <strong>et</strong> son instinct redoutable en font le plus digne interprète du<br />
commandant. Le tout galvanisé par le scénario brillant de Ian Lauzon qui,<br />
toujours à l’écoute, a su livrer des textes d’une impressionnante<br />
profondeur <strong>et</strong> d’une r<strong>et</strong>enue tant souhaitée.<br />
Oui je rends grâce d’avoir eu l’insigne honneur de me r<strong>et</strong>rouver parmi des<br />
hommes de c<strong>et</strong>te trempe, d’une équipe <strong>et</strong> une distribution aussi<br />
passionnées <strong>et</strong> talentueuses.<br />
Je me sentais investi d’une mission; j’espère maintenant de tout cœur ne<br />
pas avoir échoué.<br />
Sylvain Archambault
Sylvain Archambault<br />
réalisateur<br />
Sylvain Archambault est détenteur d’un BFA (Bachelor of Fine Arts) en<br />
production cinématographique de l’Université Concordia, promotion<br />
1986. Dès la fin de ses études, il crée Les Productions Wolfpack <strong>et</strong><br />
s’empresse alors de produire des documentaires, des longs métrages, <strong>et</strong><br />
des clips vidéo pour de grands artistes québécois tels que Marjo, Paul<br />
Piché ou The Box.<br />
C’est un peu par accident qu’il tombe dans le monde de la publicité,<br />
d’abord à titre de producteur exécutif où il gère la production d’environ<br />
un millier de films publicitaires <strong>et</strong> ensuite comme réalisateur. Il signe plus<br />
de 200 réalisations tournées à travers le monde (Afrique du Sud, Mexique,<br />
France, États-Unis...), par exemple de grandes campagnes nationales<br />
notamment pour les Jeux olympiques.<br />
En 2004, il passe à la réalisation de dramatiques : Le Négociateur I & II<br />
(2004) pour TVA, Le 7 e round (2006) pour Radio-Canada, Bob Gratton II<br />
(2007) pour TQS, Les Lavigueur, la vraie histoire (2007) pour SRC, Bob<br />
Gratton III (2008), <strong>et</strong> en 2008, il signe son premier long métrage Pour<br />
toujours les Canadiens.<br />
Sylvain Archambault siège au conseil d’administration du «Mel<br />
Hoppenheim School of Cinema» de l’Université Concordia.<br />
Après deux nominations, meilleure réalisation pour une série dramatique<br />
aux Prix Gémeaux en 2005 <strong>et</strong> 2007, il remporte avec la série Les Lavigueur,<br />
la vraie histoire le Prix Gémeaux de la meilleure réalisation, série<br />
dramatique, en 2008.<br />
Il est récipiendaire de multiples prix internationaux dont un Coq d’Argent<br />
<strong>et</strong> un Coq de Bronze du Publicité Club de Montréal <strong>et</strong> fut deux fois<br />
finaliste au London Advertising Film Award.
Ian Lauzon<br />
scénariste<br />
Ian Lauzon a étudié en littérature à l’Université de Montréal. Il a remporté<br />
le Grand prix international de la fiction radiophonique Paul-Gilson en 1995<br />
à Bruxelles <strong>et</strong> le Best Writing Award au Festival Hot Docs à Toronto en 1999.<br />
Scénariste <strong>et</strong> réalisateur pour le cinéma (Bobby, Confession des<br />
masques), il a signé l’adaptation québécoise de la série britannique The<br />
Office (La Job) <strong>et</strong> a coscénarisé la comédie à succès De père en flic. On<br />
lui doit aussi la comédie dramatique Cabotins (réalisée par Alain<br />
Desrochers) qui sortira en salle le 23 juill<strong>et</strong> prochain.<br />
Il scénarise présentement Québec Air Force, un film sur la vie d’Yves La<br />
Roche, célèbre skieur acrobatique québécois.<br />
Pour la télé, Ian Lauzon développe avec Catherine Léger à Radio-<br />
Canada une comédie dramatique, Le Me<strong>et</strong>ing, qui raconte les aventures<br />
tragi-comiques d’un groupe de support pour alcooliques.<br />
André Dupuy<br />
producteur<br />
L’univers des dramatiques ne comporte aucun secr<strong>et</strong> pour André Dupuy,<br />
travaillant dans ce domaine depuis près de 25 ans. Au fil des ans, il a su<br />
faire preuve d’une grande polyvalence en produisant avec succès<br />
autant des longs métrages que des séries lourdes ou mi-lourdes, des<br />
téléromans <strong>et</strong> des documentaires.<br />
Pour les diffuseurs, il a produit plus de 275 heures prime time dont,<br />
récemment, Aveux, Destinées, Le 7 e round, Un tueur si proche <strong>et</strong> Au nom<br />
de la loi.<br />
Côté cinéma, il a mis son talent à contribution dans des longs métrages<br />
comme Octobre de Pierre Falardeau, Le collectionneur de Jean Beaudin<br />
<strong>et</strong> La ligne brisée de Louis Choqu<strong>et</strong>te.
Pixcom<br />
la production<br />
Pixcom opère maintenant depuis plus de 20 ans <strong>et</strong> est un des plus<br />
importants producteurs télévisuels au Québec, voire au Canada. C’est<br />
aussi un des producteurs québécois les plus actifs dans la coproduction<br />
de séries documentaires internationales, dans la production de fiction<br />
pour la télé <strong>et</strong> pour le cinéma, dans la production de séries jeunesse, de<br />
magazines <strong>et</strong> de quiz; sans compter sur ses activités de postproduction,<br />
de distribution <strong>et</strong> de doublage.<br />
Michel Corriveau<br />
compositeur<br />
Michel Corriveau est un compositeur d’inspiration à la fois éclectique <strong>et</strong><br />
éclatée. Au cinéma, il a mis en musique des drames (Le Survenant), des<br />
thrillers (Le Dernier Tunnel) <strong>et</strong> des comédies (Bon Cop, Bad Cop). À la<br />
télévision, il a rythmé l’action de plusieurs séries marquantes comme<br />
Answered by Fire, Les Lavigueur ou The Phantom. À chaque fois, il a<br />
trouvé la note juste. Portrait.<br />
Né dans la ville de Grand-mère en 1962, Michel Corriveau a grandi dans<br />
une famille où la musique était reine, <strong>entre</strong> un grand-père violoniste <strong>et</strong><br />
chef d’orchestre (Philippe Filion) <strong>et</strong> une mère professeure de piano. C’est<br />
donc tout naturellement qu’il suit une formation de pianiste puis qu’il<br />
embrasse, dans les années 80, une carrière de musicien professionnel.<br />
Claviériste, arrangeur <strong>et</strong> programmeur à ses débuts, il accompagne des<br />
groupes <strong>et</strong> artistes sur scène… puis en studio : que ce soit à l’orchestration<br />
ou à la réalisation, de nombreux albums d’artistes québécois, canadiens<br />
<strong>et</strong> internationaux (Julien Clerc, Corey Hart, Richard Séguin, Luce Dufault,<br />
Sylvain Coss<strong>et</strong>te) portent ainsi sa marque.<br />
Ses premières compositions, Michel Corriveau les doit au monde de la<br />
publicité, qui, durant près de dix ans, lui donnera l’occasion d’explorer<br />
tous les sons, tous les rythmes <strong>et</strong> tous les styles. Au total, il ne signera pas<br />
moins de 500 « 30 secondes » pour des grandes campagnes nationales,<br />
récoltant au passage plusieurs récompenses, parmi lesquels deux Coqs<br />
d’or du Publicité Club de Montréal.
Au milieu des années 90, renouant avec une vieille tradition familiale – ses<br />
grands-parents accompagnaient au piano <strong>et</strong> au violon les films mu<strong>et</strong>s des<br />
années 20 – le compositeur se lance dans l’aventure du grand écran. À<br />
l’invitation du réalisateur Érik Canuel, il crée la musique de Hemingway : A<br />
Portrait, un documentaire présenté dans les cinémas IMAX en première<br />
partie du film Le Vieil Homme <strong>et</strong> la mer d’Alexander P<strong>et</strong>rov. L’expérience<br />
sera une révélation. Pour le public d’une part, qui découvre un artiste<br />
capable de décupler le pouvoir des mots <strong>et</strong> des images. Pour Michel<br />
Corriveau d’autre part, qui voit toutes ses passions <strong>et</strong> toutes ses<br />
expériences converger dans un seul art, unique <strong>et</strong> multiple à la fois.<br />
Suivront deux productions américaines – dont Wilder de Rodney Gibbons<br />
– puis Nez Rouge en 2003, pour lequel la SACEM lui décerne un « Coup de<br />
chapeau » au Festival du cinéma québécois à Paris. Depuis, Michel<br />
Corriveau a mis en musique de nombreux longs métrages, alternant <strong>entre</strong><br />
les ambiances intimistes des films d’auteurs <strong>et</strong> l’ampleur symphoniques<br />
des œuvres à grand déploiement. C<strong>et</strong>te polyvalence tous azimuts <strong>et</strong> sa<br />
signature cinématographique unique lui ont d’ailleurs valu plusieurs prix,<br />
nominations <strong>et</strong> distinctions.
Michel Côté<br />
Robert Piché<br />
Diplômé de l’École nationale de théâtre en 1973, Michel Côté s’est<br />
produit sur les plus grandes scènes du Québec : Théâtre du Nouveau<br />
Monde, Nouvelle Compagnie Théâtrale, Théâtre de Quat’Sous,<br />
Compagnie Jean-Duceppe, <strong>et</strong>c. Sans compter la carrière exceptionnelle<br />
de Broue, qui tourne toujours avec la même distribution 31 ans après sa<br />
création (un record homologué au Guiness).<br />
À la télé, les prestations du comédien dans les Bye Bye de Radio-Canada<br />
(de 1984-1986), l’inoubliable Jean-Lou de La P<strong>et</strong>ite Vie <strong>et</strong> le Pierre<br />
Gauthier des téléséries Omertà I, II <strong>et</strong> III lui ont valu plusieurs prix Gémeaux.<br />
Au cinéma, l’acteur se distingue dans plusieurs films dont Au clair de la<br />
lune <strong>et</strong> Le vent du Wyoming (André Forcier), Liste noire (Jean-Marc<br />
Vallée), Dans le v<strong>entre</strong> du dragon (Yves Simoneau), T’es belle Jeanne<br />
(Robert Ménard) – qui lui vaut le Gémeaux du meilleur acteur –, La vie<br />
après l’amour (Gabriel Pell<strong>et</strong>ier), Le Dernier Tunnel (Érik Canuel) – pour<br />
lequel il est en nomination aux Jutra <strong>et</strong> aux Génie – <strong>et</strong> Ma fille mon ange<br />
(Alexis Durand-Brault). Pour son rôle dans C.R.A.Z.Y. (Jean-Marc Vallée), il<br />
reçoit le titre de Meilleur acteur aux Jutra, aux Prix Génie <strong>et</strong> au Vancouver<br />
Film Critics Awards. Michel Côté coécrit avec le réalisateur Robert Ménard<br />
les scénarios de Cruising Bar <strong>et</strong> Cruising Bar 2 (qu’il coréalise), en plus d’en<br />
tenir les quatre rôles principaux. Son immense succès populaire vaut à<br />
Cruising Bar 2 le Guich<strong>et</strong> d’or, remis par Téléfilm Canada, <strong>et</strong> le Bill<strong>et</strong> d’or<br />
décerné par les Jutra. Sorti à l’été 2009, De père en flic (Émile Gaudreault)<br />
devient le plus grand succès de l’histoire du cinéma francophone au<br />
Canada <strong>et</strong> remporte à son tour le Guich<strong>et</strong> d’or <strong>et</strong> le Bill<strong>et</strong> d’or.<br />
Michel Côté r<strong>et</strong>rouvera Louis-José Houde à l’été 2010 sur le plateau du<br />
prochain film d’Émile Gaudreault, tout de suite après la sortie de Piché :<br />
Entre <strong>ciel</strong> <strong>et</strong> <strong>terre</strong> (Sylvain Archambault) dans lequel il tient le rôle-titre.<br />
Pour son apport au cinéma, Michel Côté recevait en 2006 le Prix<br />
Hommage de la Bobine d’Or, remis par l’Association des propriétaires de<br />
cinémas <strong>et</strong> ciné-parcs du Québec (APCCQ).
Maxime LeFlaguais<br />
Robert Piché – jeune<br />
Maxime LeFlaguais a suivi de nombreuses formations théâtrales<br />
notamment auprès des Ateliers Danielle Fichaud. Il fait par la suite<br />
quelques apparitions à la télévision dans L’auberge du chien noir, Laura<br />
Cadieux, Un tueur si proche <strong>et</strong> La galère. Dès janvier 2010, on a pu le<br />
découvrir sur les ondes de Radio-Canada dans la télésérie Trauma où il<br />
incarne Éric Lanoue, résident à l’urgence <strong>et</strong> ardent défenseur de la<br />
médecine sociale.<br />
Côté cinéma, Maxime LeFlaguais participe à C.R.AZ.Y. de Jean-Marc<br />
Vallée, Borderline de Lyne Charlebois, Dans une galaxie près de chez<br />
vous de Philippe Gagnon <strong>et</strong> Le banqu<strong>et</strong> de Sébastien Rose. En 2008, il<br />
interprète Dièse dans Babine de Luc Picard, sur un scénario de Fred<br />
Pellerin. En 2009, nous le r<strong>et</strong>rouvons sous les traits de Jérémie dans le film<br />
Les grandes chaleurs de Sophie Lorain.<br />
Au théâtre, Maxime LeFlaguais a joué dans la pièce Chroniques des jours<br />
entiers <strong>et</strong> des nuits entières de Xavier Durringer <strong>et</strong> mise en scène par<br />
Michel Monty, ainsi que dans Autour de ma pierre, il ne fera pas nuit de<br />
Fabrice Melquiot dans une mise en scène de Jean-François Poirier.<br />
Normand D’Amour<br />
Le thérapeute<br />
Avec plus de 50 grands rôles à son actif, Normand D’Amour poursuit une<br />
carrière exemplaire au théâtre. Au cours de son expérience, il travaille<br />
régulièrement avec René Richard Cyr (Grossière indécence, La langue-àlangue<br />
des chiens de roche, Un monde merveilleux, Le vrai monde),<br />
Serge Denoncourt (Le chemin des passes dangereuses, Rien à voir avec<br />
les rossignols <strong>et</strong> Hosanna), Michel Monty (Antarktikos, La société des loisirs),<br />
Lorraine Pintal (Les sorcières de Salem) ou Claude Poissant (Crime contre<br />
l’humanité). Il s’attaque ainsi aux répertoires les plus variés : Jason Miller<br />
(L’année du championnat par Denis Bernard), Arthur Miller (La mort d’un<br />
commis voyageur par Monique Duceppe), Patrick Marber (Bluff par<br />
Claude Maher) ou Trevor Fergusson (Le pont par Guy Sprung). En 1999, il<br />
reçoit le Masque de l’interprète masculin de l’année pour son rôle dans<br />
15 secondes, un texte de François Archambault qu’il m<strong>et</strong> également en
scène. Récemment, il a de nouveau collaboré avec Serge Denoncourt<br />
pour les créations de Fragments d’un mensonge inutile <strong>et</strong> du Blues d’la<br />
métropole, la comédie musicale basée sur les œuvres de Beau<br />
Dommage.<br />
Du côté du p<strong>et</strong>it écran, son nom apparaît au générique de plus de 30<br />
séries. Il plonge dans les univers les plus cosmopolites: du XVIIIe siècle<br />
(Marguerite Volant de Charles Binamé) au monde de l’<strong>entre</strong>prise<br />
(Caméra Café de Michel Courtemanche), en passant par le quotidien<br />
d’un snack-bar (Casse-croûte chez Albert). Il participe également aux<br />
populaires séries Lance <strong>et</strong> compte – le grand duel, 3 x rien, Les invincibles,<br />
Histoires de filles ou Smash. À deux reprises, il se r<strong>et</strong>rouve en nomination<br />
aux prix Gémeaux, d’abord pour son rôle de gourou dans L’or du temps<br />
de Roger Legault puis grâce au personnage de Carl dans la série Emma,<br />
réalisée par Jean-François Mercier. On peut le r<strong>et</strong>rouver sur les ondes de<br />
TVA dans la série Yamaska.<br />
Le cinéma sourit aussi au comédien. Depuis ses débuts dans Crème<br />
glacée, chocolat <strong>et</strong> autres consolations de Julie Hivon, le comédien a<br />
collaboré avec Guy A. Lepage (Camping sauvage), François Bouvier<br />
(Maman Last Call), François Aubry (Frontières), Francis Leclerc (Mémoires<br />
affectives), Robert Morin (Et que Dieu bénisse l’Amérique) ou Patrice<br />
Sauvé (Cheech). Son interprétation d’un père alcoolique dans Tout est<br />
parfait d’Yves-Christian Fournier lui vaut le Jutra 2009 du meilleur acteur<br />
dans un rôle de soutien. Depuis, on l’a r<strong>et</strong>rouvé dans La chambre noire de<br />
François Aubry, Impasse de Joël Gauthier <strong>et</strong> le succès De père en flic<br />
d’Émile Gaudreault. Après Sur le Seuil, il a r<strong>et</strong>rouvé le réalisateur Éric<br />
Tessier pour 5150, rue des Ormes où il terrorise autant Marc-André Grondin<br />
que les spectateurs !<br />
Sophie Prégent<br />
Régine<br />
Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada, Sophie<br />
Prégent a amorcé une prolifique carrière à télévision. Elle marque<br />
d’abord les esprits des enfants avec la série La princesse astronaute, une<br />
émission qui sera diffusée de 1993 à 1996. Puis après sa participation à la<br />
série KM/H, elle est révélée au grand public par la populaire série Le<br />
r<strong>et</strong>our d’Anne Boyer <strong>et</strong> Michel d’Astous. On la r<strong>et</strong>rouve dès lors au<br />
générique de nombreuses séries comme Cauchemar d’amour,<br />
Catherine, Les aventures tumultueuses de Jack Carter ou Tribu.com IV. En
2005, elle devient Brigitte Caron, la chef du canal M dans le téléfilm Miss<br />
Météo, un rôle trépident qu’elle reprendra dans la série éponyme. Elle<br />
change de registre lors de Nos étés où elle tient le rôle Maria, la<br />
passionnée de piano du clan Desrochers. Elle participe par la suite à deux<br />
nouvelles séries cultes : Rumeurs, dans le rôle d’une mère –légèrement !–<br />
débordée, puis Lance <strong>et</strong> compte : la revanche <strong>et</strong> Lance <strong>et</strong> compte : le<br />
grand duel, en incarnant l’avocate Chantal Fillion. Elle a également été<br />
de la comédie de situation Grosse vie. Elle fut nommée au Gala Artis dans<br />
la catégorie meilleure comédienne dans une télésérie pour son rôle dans<br />
Le R<strong>et</strong>our en 2000 <strong>et</strong> fut nommée à nouveau, c<strong>et</strong>te fois pour son rôle dans<br />
Nos Étés, pendant quatre années consécutives de 2006 à 2009 pour<br />
finalement l’emporter en 2009.<br />
Au cinéma, la comédienne fait ses débuts, en 2001, dans Un crabe dans<br />
la tête d’André Turpin avant d’incarner une femme au foyer, mariée à un<br />
millionnaire, dans la comédie Les 3 p’tits cochons de Patrick Huard.<br />
Parallèlement à sa carrière sur les écrans, elle collabore régulièrement<br />
avec la m<strong>et</strong>teure en scène Alice Ronfard pour les créations de Cyrano de<br />
Bergerac, La seconde surprise de l’amour <strong>et</strong> Tristan <strong>et</strong> Yseult.<br />
Depuis l’automne 2009, Sophie s’est également lancée dans l’univers de<br />
l’animation radio puisqu’elle coanime l’émission quotidienne Tout un<br />
r<strong>et</strong>our sur les ondes de CKOI.<br />
Isabelle Guérard<br />
Louise<br />
Diplômée du cégep Lionel-Groulx en interprétation, la comédienne<br />
Isabelle Guérard se fait d’abord connaître à la télévision. À la suite de ses<br />
premières apparitions dans les téléséries Les Bougon – c’est aussi ça la<br />
vie ! <strong>et</strong> Tag II, elle incarne le personnage de Manuelle Vien dans<br />
Watatatow puis l’infirmière Jeanne Guindon, le temps des trois saisons du<br />
Négociateur. C’est dans le monde de la boxe qu’elle plonge par la suite<br />
à l’occasion du 7 e round. Depuis, elle a rejoint la clinique jouvence de<br />
Destinées pour devenir la psychologue Jane Simard.<br />
Au cinéma, la comédienne débute dans le film La peau blanche de<br />
Daniel Roby où elle campe une prostituée. En 2006, elle enchaîne avec<br />
La rage de l’ange de Dan Bigras où elle fait partie, en compagnie de<br />
Patrick Martin <strong>et</strong> Alexandre Castonguay, du trio déchirée qui tente de<br />
s’en sortir. Puis dans Détour de Sylvain Guy, elle devient Lou, une femme
aussi désirable que vénéneuse, aux côtés de Luc Picard <strong>et</strong> Guillaume<br />
Lemay-Thivierge. Ce rôle lui a valu une nomination aux Prix Jutra en 2010.<br />
Son travail d’actrice a également été reconnu par la Golden Sheaf<br />
Award lorsqu’elle a remporté le prix de la meilleure interprétation féminine<br />
dans un court métrage en 2002 pour son rôle dans La Première Fois.<br />
Au théâtre, Isabelle Guérard a collaboré avec les m<strong>et</strong>teurs en scène<br />
P<strong>et</strong>er Batakliev (Peer Gynt) <strong>et</strong> Robert Bellefeuille (Le comte de Monte-<br />
Cristo, 2 e partie).<br />
Sarah-Jeanne Labrosse<br />
Geneviève Piché<br />
La comédienne Sarah-Jeanne Labrosse apparaît dès son plus jeune âge<br />
dans le téléroman Le volcan tranquille dont l’action se déroule durant la<br />
Seconde Guerre mondiale. Après sa participation à Human Trafficking de<br />
Christian Duguay, elle devient la vénéneuse Sunny Capuduca de la série<br />
15/Love. Dans Nos étés de Lyne Charlebois <strong>et</strong> Francis Leclerc, elle campe<br />
Lison Belzile, à 15 ans.<br />
Au cinéma, elle débute avec Un été avec les fantômes de Bernd<br />
Neuburger, qu’elle tourne en anglais <strong>et</strong> en Autriche. Puis elle revient au<br />
Québec où elle participe à Aurore de Luc Dionne, en incarnant la sœur<br />
de l’héroïne. C’est en fille de Patrick Huard qu’on l’a r<strong>et</strong>rouve dans le<br />
succès Bon Cop, Bad Cop d’Érik Canuel. Pour Promesses de l’ombre de<br />
David Cronenberg, elle compose le rôle bouleversant d’une jeune<br />
prostituée droguée, sous la coupe de la mafia russe. C<strong>et</strong>te année, elle est<br />
également à l’affiche de The Trotsky de Jacob Tierney.<br />
Jules St-Jean<br />
Paul-André Piché<br />
Du haut de ses 14 ans, le jeune Jules St-Jean trouve ici son premier grand<br />
rôle au cinéma après avoir participé aux films L’orpheline de Jaume<br />
Coll<strong>et</strong>-Serra, C’est pas moi je le jure ! de Philippe Falardeau, Un été sans<br />
point ni coup sûr de Francis Leclerc ou 1981 de Ricardo Trogi. C<strong>et</strong>te<br />
année, il a fait partie de la distribution de La dernière fugue, le nouveau<br />
long métrage de Léa Pool.
Gilbert Sicotte<br />
Le président d’Air Transat<br />
Comédien chevronné, Gilbert Sicotte s’est taillé une place<br />
prépondérante dans le paysage culturel québécois, tant par ses<br />
inoubliables performances au p<strong>et</strong>it <strong>et</strong> grand écran que sur les scènes du<br />
Québec. Ses rôles se comptent par dizaines, mais nous pouvons en<br />
souligner quelques-uns.<br />
À la télévision, il a créé de nombreux rôles marquants, notamment Jean-<br />
Paul Belleau dans Des Dames de cœur, Antoine Beauchemin dans<br />
Bouscotte, Gabriel Johnson dans Fortier <strong>et</strong> J.A. Bombardier dans la série<br />
du même nom. Il est aussi Gerry Elliot dans Les Sœurs Elliot <strong>et</strong> Antoine<br />
Légaré dans Trauma.<br />
Au cinéma, soulignons ses performances dans L’Enfant d’eau de Robert<br />
Ménard, Les Pots cassés de François Bouvier, Les Bons débarras de Francis<br />
Mankiewiecz, la narration du film Léolo, Jean-Louis dans Cap Tourmente,<br />
Bernard Dufresne dans La Vie secrète des gens heureux, Marcel dans<br />
Continental, un film sans fusil <strong>et</strong> plus récemment, il a participé au film<br />
L’Instinct de mort, Mesrine.<br />
Au théâtre, il a évolué sous la direction d’Yves Desgagnés dans La Nuit<br />
des rois <strong>et</strong> dans Tchekhov, Tchekhova. Lorraine Pintal l’a aussi dirigé dans<br />
Les Beaux dimanches au TNM, il a été de la distribution dans Nature Morte<br />
ainsi que dans Les Trois Mousqu<strong>et</strong>aires. Sa dernière présence sur scène a<br />
été dans Les Grandes occasions sous la direction de Frédéric Blanch<strong>et</strong>te.<br />
Il est important de mentionner sa participation au Grand Cirque Ordinaire<br />
dans les années 70.<br />
M. Sicotte enseigne l’interprétation au Conservatoire d’art dramatique de<br />
Montréal depuis 1987. Il a été membre du Conseil d’administration de<br />
l’Institut National de l’Image <strong>et</strong> du Son durant plusieurs années.
Vincent Leclerc<br />
P<strong>et</strong>er Hill<br />
Maîtrisant parfaitement le français <strong>et</strong> l’anglais, Vincent Leclerc a participé<br />
à un grand nombre de productions cinématographiques <strong>et</strong> télévisuelles<br />
aussi bien au Québec qu’au Canada anglais : Ni plus ni moi, Tout sur moi,<br />
François en série, Au nom de la loi, The Last Chapter, Seriously Weird ou<br />
Outraged. Sa participation à Science Point Com lui a valu une<br />
nomination au gala des prix Gémeaux 2003 comme meilleur acteur de<br />
soutien.<br />
Au cinéma, on a déjà pu le voir dans See Jane Date de Robert Berlingers,<br />
La vengeance d’Elvis Wong de Pierre Falardeau, Table 13 d’Emmanuel<br />
Hoss-Desmarais ou Ma tante Aline de Gabriel Pell<strong>et</strong>ier.<br />
Plusieurs institutions théâtrales font également régulièrement appel à son<br />
talent dont les théâtres du Trillium, de la Catapulte ou du Nouvel-Ontario.<br />
Il a été particulièrement remarqué dans le rôle d’Austin dans la<br />
production True West d’Octo Productions, compagnie dont il est le<br />
cofondateur. À Montréal, il a participé à Louisiane Nord par Claude<br />
Poissant, Oreste à travers le temps (mise en scène collective), Jouliks par<br />
Robert Bellefeuille <strong>et</strong> Lucidité passagère par Patrice Coquereau.<br />
Michèle Sirois<br />
Julia<br />
Diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Québec, Michèle Sirois<br />
débute sa carrière à la télévision en interprétant la deuxième épouse du<br />
premier ministre du Québec René Lévesque dans la série éponyme,<br />
réalisée par Roger Cardinal. Puis on la r<strong>et</strong>rouve dans de nombreuses séries<br />
populaires autant sur les ondes de Radio-Canada (Les héritiers de Duval,<br />
L’auberge du chien noir, La galère ou Les Lavigueur, la vraie histoire), TQS<br />
(Coroner) que TVA (Histoires de filles). La comédienne officie aussi en tant<br />
qu’animatrice <strong>et</strong> on a pu la découvrir à la tête des émissions Ça me dit<br />
chaud <strong>et</strong> Quizzontario pour TFO, la télévision éducative <strong>et</strong> culturelle de<br />
l’Ontario français. Elle coanimait également Autostop sur TQS.<br />
Côté cinéma, Michèle Sirois a participé aux films Elvis Gratton II : Miracle à<br />
Memphis de Pierre Falardeau <strong>et</strong> La vie avec mon père de Sébastien Rose.<br />
Avec Piché : <strong>entre</strong> <strong>ciel</strong> <strong>et</strong> <strong>terre</strong>, c’est la seconde fois que la comédienne
collabore avec le cinéaste Sylvain Archambault, après Pour toujours les<br />
Canadiens.<br />
Sur les planches, on la r<strong>et</strong>rouve à Québec dans des productions<br />
notamment du Théâtre La Fenière, du Bois de Coulonge, La Bordée ou<br />
Repère. Elle y interprète ainsi les pièces L’auberge espagnole, Fleurs<br />
d’acier, Les papillons de nuit ou Salon de l’antipode.<br />
Frédéric Pierre<br />
René<br />
Frédéric Pierre connaît une prolifique carrière à la télévision où il a<br />
l’occasion de montrer l’étendue de son talent. Car depuis ses débuts<br />
dans Le club des 100 watts ou Virginie, il s’est r<strong>et</strong>rouvé plongé dans les<br />
univers les plus éclatés : le monde des détectives privés (Les aventures<br />
tumultueuses de Jack Carter), le milieu des gangs de rue (Tag) ou celui du<br />
show business (Music-Hall). Il offre une nouvelle fac<strong>et</strong>te de son talent avec<br />
le personnage coloré de Lana Brown dans la série Cover Girl, pour lequel<br />
il obtient une nomination aux Prix Gémeaux, comme meilleur premier rôle.<br />
On le r<strong>et</strong>rouve par la suite dans Miss Météo (téléfilm <strong>et</strong> série), Nos étés III <strong>et</strong><br />
Le 7 e round. 2009 est comme une année bien chargée car il se r<strong>et</strong>rouve<br />
dans quatre séries : il est oncologue dans Annie <strong>et</strong> ses hommes, magicienclown<br />
dans Destinées, entraîneur de soccer dans Tactik <strong>et</strong> enfin, chef de<br />
la section des homicides dans Le gentleman.<br />
Au cinéma, c’est dans Le sexe des étoiles de Paule Baillargeon qu’il fait<br />
ses premiers pas. S’ensuivent Louis 19, le roi des ondes de Michel Poul<strong>et</strong>te,<br />
Pouding chômeur de Gilles Carle <strong>et</strong> La peau blanche de Daniel Roby.<br />
Récemment, il incarnait un leader étudiant dans Le banqu<strong>et</strong> de<br />
Sébastien Rose.
Fiche technique<br />
Un film de<br />
Un scénario de<br />
Producteur<br />
Producteure déléguée<br />
Producteurs exécutifs<br />
Directeur de la photographie<br />
Directeur artistique<br />
Création des costumes<br />
Musique originale<br />
Montage<br />
Son<br />
Superviseur des eff<strong>et</strong>s visuels<br />
Distribution des rôles<br />
Directeure de production<br />
Superviseur de postproduction<br />
Distribution<br />
Sylvain Archambault<br />
Ian Lauzon<br />
André Dupuy<br />
Valérie Allard<br />
Jacquelin Bouchard<br />
Sylvie Desrochers<br />
Carole Dufour<br />
Philippe Lapointe<br />
Ronald Plante<br />
Mario Hervieux<br />
Francesca Chamberland<br />
Michel Corriveau<br />
Yvann Thibaudeau<br />
Patrick Rousseau<br />
Mathieu Beaudin<br />
Luc Boudrias<br />
Hans Laîtres<br />
Olivier Goul<strong>et</strong><br />
Daniel Poisson<br />
Pierre Pageau<br />
Renée Gosselin<br />
Erik Daniel<br />
TVA Films
Fiche artistique<br />
Robert Piché<br />
Robert Piché – jeune<br />
Le thérapeute<br />
Régine<br />
Louise<br />
Le président d’Air Transat<br />
P<strong>et</strong>er Hill<br />
Julia<br />
Geneviève Piché<br />
Paul-André Piché<br />
René<br />
Bones<br />
Johnny<br />
Expert en communication<br />
Dez<br />
Madame Blanc – passagère<br />
Michel Côté<br />
Maxime LeFlaguais<br />
Normand D’Amour<br />
Sophie Prégent<br />
Isabelle Guérard<br />
Gilbert Sicotte<br />
Vincent Leclerc<br />
Michèle Sirois<br />
Sarah-Jeanne Labrosse<br />
Jules St-Jean<br />
Frédéric Pierre<br />
Michel Perron<br />
Antoine Mongrain<br />
François L’Écuyer<br />
Gouchy Boy<br />
Danielle Fichaud