PULPYMAGAZINE Juin 2014

Comment as-tu vécu cette expérience ?
Ces deux rendez-vous m’ont permis de rendre plus visible ma marque. J'y ai rencontré également de nombreux professionnels
avec qui j'ai échangé et avec lesquels j'ai ressenti une possibilité de collaboration. Durant la Pulp’ Fashion
Week, j’ai côtoyé d’autres marques grande taille ça été enrichissant. J’ai pris note de leurs conseils étant novice dans le
métier, c’est toujours important d’avoir tuyaux pour éviter certaines choses ou rectifier des choix peu judicieux. L’ambiance
de la journée était agréable et amicale. Première expérience à Paris venant de Liège…j’ai adoré le fait de découvrir
une autre dynamique et puis c’est la capitale de la mode donc après un an d’existence, c’est juste incroyable pour la
marque et pour moi.
Puis dix jours plus tard, j’ai découvert un autre coin de Paris ; la Cité de la Mode et du Design…encore un rêve réalisé.
J'ai été émue d'avoir été la première marque de grande taille sélectionnée lors du Labo Ethnik. Je suis très reconnaissante
de la confiance que l'on m'a accordée. Avoir été applaudi avant et après la présentation de ma collection…c’est
juste fantastique. Ca restera un moment fort à mes yeux. Je tiens à remercier Yvette Tai, directrice et fondatrice du
Labo Etnik et Laetitia Ngoto, chargée communication et web auprès des créateurs, d’avoir rendu cette expérience inoubliable
possible. Je suis heureuse de vivre tous ces événements et ça grâce à ma passion qui me tient à cœur.
Tu es quand même la première marque à représenter les formes au sein du LABO ETHNIK quels ont été les freins au
départ ?
Oui, la première et je l'espère, pas la dernière. J'ai insisté quant au choix de mes mannequins qui allaient représenter
ma marque. Pour rester dans l'esprit "Deux pouces", je ne souhaitais pas de modèles "standards" mais pulpeuses.
L'équipe organisatrice a respecté mon choix et m'a fait confiance. Je pense qu’ils ont apprécié le résultat.