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Aberrations Trinitaires du dieu à trois faces

Le christianisme primitif a repris le Dieu hébreu, mais avec le temps, sous l'influence de dirigeants avides de pouvoir et de gloire personnel, il se développa une forme de christianisme qui sombra dans la mondanité et élabora la fausse notion de trois personnes ou subsistances distinctes en Dieu. La doctrine ou dogme de la Trinité fut élaborée, sous couverture biblique, à partir de notions retrouvés dans les religions à mystères et de principes issus du néo-platonisme et du gnosticisme. Depuis ce temps, tous ceux qui se disent chrétiens (catholiques, orthodoxes, protestants, et sectes évangéliques) croient en Dieu Un et Trine (un seul Dieu en trois personnes, Père, Fils et Esprit). Il s'agit en effet d'un dieu trifrons adoré par les crédules, les cancres, et les zigotos idolâtres, anciens comme modernes. Comme nous allons voir dans ce document, la foi de ces imposteurs ne repose aucunement sur la révélation de Dieu en Jésus-Christ retrouvée dans les Écritures, comme ils l'affirment faussement dans leurs délires chimériques, mais sur des spéculations philosophiques à propos de l'existence de Dieu, de la divinité de Christ, et de la personnification du Saint-Esprit. Au début on cherchait à attribuer à ce dernier une personnalité féminine, la colombe étant le symbole d'une déesse babylonienne, obtenant ainsi une triade de Père, Fils, et Mère, tout comme dans plusieurs religions à mystères du temps. Quoique cette présentation plut à un christianisme paganisé, elle était trop audacieuse et on préféra demeurer sous la duplicité du langage en retenant le Saint-Esprit avec son symbolisme de la colombe, et on déclara qu'en Dieu il y a trois personnes ou subsistances distinctes: le Père, le Fils, et le Saint-Esprit.

Le christianisme primitif a repris le Dieu hébreu, mais avec le temps, sous l'influence de dirigeants avides de pouvoir et de gloire personnel, il se développa une forme de christianisme qui sombra dans la mondanité et élabora la fausse notion de trois personnes ou subsistances distinctes en Dieu. La doctrine ou dogme de la Trinité fut élaborée, sous couverture biblique, à partir de notions retrouvés dans les religions à mystères et de principes issus du néo-platonisme et du gnosticisme. Depuis ce temps, tous ceux qui se disent chrétiens (catholiques, orthodoxes, protestants, et sectes évangéliques) croient en Dieu Un et Trine (un seul Dieu en trois personnes, Père, Fils et Esprit). Il s'agit en effet d'un dieu trifrons adoré par les crédules, les cancres, et les zigotos idolâtres, anciens comme modernes. Comme nous allons voir dans ce document, la foi de ces imposteurs ne repose aucunement sur la révélation de Dieu en Jésus-Christ retrouvée dans les Écritures, comme ils l'affirment faussement dans leurs délires chimériques, mais sur des spéculations philosophiques à propos de l'existence de Dieu, de la divinité de Christ, et de la personnification du Saint-Esprit. Au début on cherchait à attribuer à ce dernier une personnalité féminine, la colombe étant le symbole d'une déesse babylonienne, obtenant ainsi une triade de Père, Fils, et Mère, tout comme dans plusieurs religions à mystères du temps. Quoique cette présentation plut à un christianisme paganisé, elle était trop audacieuse et on préféra demeurer sous la duplicité du langage en retenant le Saint-Esprit avec son symbolisme de la colombe, et on déclara qu'en Dieu il y a trois personnes ou subsistances distinctes: le Père, le Fils, et le Saint-Esprit.

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chair et que le Saint-Esprit ou Sainte Présence de Christ a<br />

fait sa demeure <strong>du</strong> cœur de ses élus qui forment l'Église.<br />

On a parfois voulu trouver la preuve de la doctrine d'une<br />

Trinité dans la distinction entre YHWH (l'Autosuffisant) et la<br />

forme plurielle <strong>du</strong> mot Elohim qui selon Fabre d'Olivet<br />

signifie «l'Être des êtres». Or le premier argument est<br />

injustifié et le second irréaliste. Il est évident que les<br />

passages dans lesquels Dieu parle de lui-même au pluriel<br />

(Gn 1:26, 11:7) contiennent une indication de distinctions de<br />

puissances en Dieu. Cependant, même celles-ci n’indiquent<br />

aucunement une Trinité, mais simplement une pluralité<br />

d'êtres vivants ou consciences d'existences qui formerait le<br />

Conseil Divin. On trouve des indications de distinctions dans<br />

les passages qui se réfèrent <strong>à</strong> l’Ange de l’Éternel (<strong>à</strong> la fois<br />

identifié <strong>à</strong> l’Éternel lui-même et différencié de lui) – Genèse<br />

16:7-13, 18:1-21, 19:1-28; Malachie 3:1 – et dans les<br />

passages dans lesquels la Parole ou la Sagesse de Dieu sont<br />

personnifiées (Ps 33:4, 6; Pr 8:12-31). Dans certains cas,<br />

plusieurs personnes sont mentionnées (Ps 33:6, 45:6,7, Hé<br />

1:8,9). Dans d’autres, Dieu est l’interlocuteur et parle <strong>à</strong> la<br />

fois <strong>du</strong> Messie et de l’Esprit, ou alors le Messie est<br />

l’interlocuteur et parle <strong>à</strong> la fois de Dieu et de l’Esprit (Es<br />

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