Marie LARRAT - Infirmiers.com
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• une meilleure prise en charge de la douleur<br />
• éviter l’acharnement thérapeutique<br />
• enfant plus souvent près de ses parents<br />
• respecter les croyances religieuses<br />
• que l’infirmier reste auprès de l’enfant<br />
• avoir une vision globale du patient, de la famille et des soins pour réguler les<br />
émotions de chacun<br />
• plus de temps. plus de temps entre la décision d’arrêt thérapeutique et le moment du<br />
décès<br />
• plus de personnel<br />
• un meilleur matériel et locaux adaptés<br />
• écoute entre les personnes d’une même équipe et une meilleure <strong>com</strong>munication<br />
entre équipes<br />
• un groupe de parole pour “ l’après ” ”<br />
• une collaboration plus étroite entre médecins et infirmiers<br />
• que l’infirmière intègre “ l’équipe décisionnelle ”<br />
• conseiller le soignant pour parler à l’enfant, aux parents<br />
• Comment peut on assumer notre incapacité devant la mort ?<br />
• intégration de la démarche palliative dans la pratique infirmière<br />
Parmi toutes les réponses reçues, il est nécessaire de noter leur caractère<br />
hétérogène au niveau de la différence de vécu entre les équipes de jour et de nuit.<br />
Celles de nuit souffrent en effet d’un isolement professionnel souligné par un<br />
manque de <strong>com</strong>munication avec les cadres et un manque de personnel plus<br />
important.<br />
4) Discussion<br />
a) des résultats :<br />
Les résultats énoncés plus haut nous montrent une<br />
b) de la méthode :<br />
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