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DU 9 AU<br />
22 FÉVRIER<br />
EXCLUSIVITÉ<br />
JUSQU'AU<br />
2 FÉVRIER<br />
À PARTIR<br />
DE 6 ANS<br />
DU 2 AU<br />
7 MARS<br />
INTERDIT AUX<br />
MOINS DE 16 ANS<br />
À PARTIR<br />
DU 2 MARS<br />
EXCLUSIVITÉ<br />
À PARTIR<br />
DU 4 MARS<br />
Qui a envie d’être aimé ?<br />
de Anne Giafferi. Fr. 2010. 1 h 29.<br />
Avec Eric Caravaca, Benjamin Bioley, Arly<br />
Jover, Valérie Bonneton, Jean-Luc Bideau.<br />
C'est l'histoire d'un homme de 40 ans, Antoine,<br />
marié, deux enfants, brillant avocat, il semble avoir<br />
réussi sa vie !Un jour, un professeur de son fils invite<br />
Antoine à une catéchèse pour adulte. Sans qu'il y<br />
soit préparé, il va faire une rencontre inattendue,<br />
irrationnelle, bouleversante... un peu honteuse aussi.<br />
Antoine va rencontrer Dieu, et il ne s'y attendait pas.<br />
Mais pas du tout ! ... Sa femme non plus.D'après le<br />
roman de Thierry Bizot, "Catholique Anonyme". La réalisatrice, qui a crée avec<br />
Thierry Bizot la série "Fais pas ci, fais pas ça" diffusée sur France 2, ne fait ni la<br />
pub ni l’apologie de la religion catholique et ne cherche pas à convertir. Elle<br />
montre simplement une histoire troublante, arrivée à un personnage ordinaire,<br />
et qui va changer sa vie. "Qui a envie d’être aimé ? parvient, sans aucun<br />
prosélytisme mais avec une tendre ironie parfois franchement drôle, à décrire par<br />
touches impressionnistes le parcours d’un homme vers la foi, et à émouvoir même les<br />
mécréants que nous sommes." (Utopia)<br />
Raiponce<br />
Film d’animation de Byron Howard et Nathan Greno.<br />
USA. 2010. Version française. 1 h 41.<br />
Avec les voix de Maeva Méline, Romain Duris, Isabelle Adjani.<br />
Dans une tour, une jeune fille est maintenue prisonnière depuis <strong>des</strong> années.<br />
Elle rêve de s’échapper et l’occasion se présente sous l’aspect d’un bandit venu<br />
trouver refuge dans sa geôle. Le chevelure de la jeune fille de quelques vingt<br />
mètres de long sera très utile dans leurs aventures. Une adaptation d’un conte<br />
de Grimm. "Romance, aventure, chansons, "Raiponce" est un cocktail irrésistible,<br />
avec une méchante exceptionnellement séduisante et tordue et <strong>des</strong> gags à gogo."<br />
(Le Parisien)<br />
Répulsion<br />
de Roman Polanski. G.-B. 1965. VO. s-t/fr. 1 h 45.<br />
Avec Catherine Deneuve, Yvonne Furneaux, John Fraser.<br />
Une jeune manucure belge, Carole, travaille et vit à Londres avec sa sœur<br />
Hélène. Carole, introvertie, a <strong>des</strong> problèmes relationnels avec les hommes. Elle<br />
repousse Colin, qui la courtise et n’apprécie pas Michael, l’amant de sa sœur.<br />
Quand celle-ci part avec Michael, Carole sombre <strong>prog</strong>ressivement dans la<br />
névrose. Recluse, elle bascule dans la schizophrénie, et devient hantée par <strong>des</strong><br />
bruits… "Avec ce projet totalement fou, le jeune Roman Polanski révélait déjà de<br />
prodigieuses qualités de mise en scène, dirigeant une Catherine Deneuve inhabituelle,<br />
aux antipo<strong>des</strong> de ses compositions habituelles." (Critikat.com). "La mise en scène<br />
épouse les failles de l’héroïne. Les scènes érotiques sont fi lmées comme <strong>des</strong> moments<br />
d’horreur, tandis que la violence devient un suspense sensuel." (Le guide Télérama)<br />
Le roman de ma femme<br />
de Djamshed Usmanov. Fr. 2010. 1 h 40.<br />
Avec Léa Seydoux, Olivier Gourmet,<br />
Gilles Cohen.<br />
Michel disparaît subitement, laissant derrière lui<br />
sa femme, Eve, et <strong>des</strong> dettes énormes. Alors que<br />
la police ouvre une enquête, Eve reçoit le soutien<br />
de Maître Chollet, un ami de son mari, qui l'aide à remonter la pente et<br />
rachète ses dettes. Ils deviennent rapidement très proches, trop proches<br />
même, pour la police qui soupçonne Chollet d’avoir organisé la faillite de<br />
Michel pour les beaux yeux d’Eve… Par le réalisateur tadjik de "L’ange de<br />
l’épaule droite". Film présenté au Festival Premiers Plans d’Angers.<br />
Rosemary’s Baby<br />
de Roman Polanski. USA. 1968. VO. s-t/fr. 2 h 16.<br />
Avec Mia Farrow, John Cassavetes, Ruth Gordon.<br />
Malgré les conseils de leur vieil ami Hutch, Guy Woodhouse et sa jeune<br />
femme, enceinte, s'installent dans un immeuble new-yorkais vétuste, considéré<br />
par leur ami comme une demeure maléfique. Aussitôt, leurs voisins, un vieux<br />
couple d'Europe centrale, imposent leur amitié et leurs services. Si Guy<br />
accepte facilement ce voisinage, Rosemary s'en inquiète... "Le fi lm qui a terrorisé<br />
une génération a aujourd'hui plus de quarante ans. Alors, vieilli Rosemary's Baby ?<br />
Pas le moins du monde ! L'histoire de Rosemary, cette jeune Américaine bon teint qui<br />
porte l'enfant du démon, fait toujours peur bien sûr (grâce notamment à une<br />
extraordinaire séquence de cauchemar), mais elle révèle avec le temps une dimension<br />
comique, de cet humour noir qui fait tout le prix <strong>des</strong> grands Polanski." (Le Point)<br />
À PARTIR<br />
DU 2 MARS<br />
EXCLUSIVITÉ<br />
DU 16 FÉVRIER<br />
AU 5 MARS<br />
EXCLUSIVITÉ<br />
DU 17 AU<br />
28 FÉVRIER<br />
EXCLUSIVITÉ<br />
Sale temps pour les<br />
pêcheurs<br />
Mal Día Para Pescar<br />
de Alvaro Brechner.<br />
Espagne/Uruguay. 2010. VO. s-t/fr. 1 h 40.<br />
Avec Gary Piquer, Jouko Ahola,<br />
Antonella Costa, César Troncoso.<br />
Deux marginaux voyagent hors <strong>des</strong> sentiers<br />
battus. Ils font le tour <strong>des</strong> villes d'Amérique du<br />
Sud où ils organisent <strong>des</strong> compétitions de catch :<br />
Orsini, le businessman qui s'autoproclame "Le<br />
Prince", et son protégé Jacob van Oppen, un<br />
ancien champion du monde et incontrôlable<br />
titan, que seule la douce mélodie de Lily Marlene apaise. Une histoire hors du<br />
temps. "Adapté d’une nouvelle de Juan Carlos Onetti, Sale temps pour les<br />
pêcheurs nous plonge d’emblée dans un univers atypique et décadent, très proche<br />
du western. Il se situe clairement du côté de la fi ction épique, avec une théâtralité<br />
revendiquée, mais aussi avec <strong>des</strong> moyens mo<strong>des</strong>tes, ce qui crée une atmosphère<br />
décalée, burlesque, due au mélange de références convoquées par l’univers du fi lm.<br />
Ce mélange de comique burlesque - disons, proche de Don Quichotte - et de drame<br />
psychologique fait sans conteste le principal charme du fi lm. Une œuvre singulière à<br />
découvrir." (A voir, à lire)<br />
Santiago 73,<br />
Post mortem<br />
de Pablo Larraín.<br />
Mexiqe/Chili/Allemagne. 2010. VO. s-t/fr. 1 h 38.<br />
Avec Alfredo Castro, Antonia Zegers,<br />
Jaime Vadell, Amparo Noguera.<br />
Santiago du Chili, septembre 73. Mario travaille<br />
à la morgue, où il rédige les rapports d’autopsie.<br />
Amoureux de sa voisine Nancy, une danseuse<br />
de cabaret soupçonnée de sympathies<br />
communistes, sa vie va être bouleversée par le<br />
coup d’Etat contre Salvador Allendeet par<br />
l’arrivée de son corps à la morgue... Un film très<br />
remarqué à la 67 ème Mostra de Venise par le réalisateur de "Tony Manero".<br />
"C’est l’histoire du Chili au moment du coup d’Etat militaire, une <strong>des</strong> pério<strong>des</strong> les<br />
plus noires et sanglantes du pays. L’idéal de Mario, conquérir l’impossible amour<br />
d’une femme, est aussi l’idéal d’un pays, qui tente de conquérir un noble mais<br />
inatteignable modèle politique, le socialisme." (Pablo Larraín). "Une observation<br />
clinique de l'abjection humaine, considérée à la fois comme cause et conséquence<br />
d'une situation de terreur politique. Une évocation stylisée, terrifi ante, kafkaïenne, du<br />
coup d'Etat de 1973 au Chili signée d'un réalisateur de 34 ans qui confi rme avec ce<br />
fi lm son statut d'étoile montante du cinéma latino-américain." (Le Monde)<br />
Le soldat Dieu<br />
Caterpillar<br />
de Koji Wakamatsu. Japon. 2010. VO. s-t/fr. 1 h 25.<br />
Avec Shinobu Terajima, Shima Ohnishi, Ken Yoshizawa.<br />
Durant la Seconde Guerre Sino-japonaise, en 1940, le lieutenant Kurokawa est<br />
renvoyé chez lui, en héros de guerre, couvert de médailles…mais privé de ses<br />
bras et de ses jambes, perdus au combat en Chine continentale. Tous les<br />
espoirs de la famille et du village se portent alors sur Shigeko, l’épouse du<br />
lieutenant : à elle désormais de faire honneur à l’Empereur et au pays et de<br />
montrer l’exemple en prenant à cœur de s’occuper comme il se doit du soldat<br />
dieu… Par le producteur de "L’empire <strong>des</strong> sens" d’Oshima. "Le Soldat dieu est<br />
un brûlot rageur, un coup de sabre tranchant dans le militarisme, le nationalisme et<br />
le patriarcalisme." (Les Inrockuptibles). "La force de ce fi lm étonnant est ainsi<br />
moins liée à sa virulence satirique qu'au mélange <strong>des</strong> tons qui la tempère. L'humour<br />
noir, le lyrisme tragique et même la beauté y ont leur part." (Le Monde). "Depuis<br />
ses débuts en 1963, Koji Wakamatsu a toujours conçu ses fi lms comme <strong>des</strong><br />
instruments de subversion. L'âge n'a pas adouci sa colère : "Le Soldat dieu" est une<br />
charge contre la militarisation de la société japonaise. Salutaire !" (Télérama)<br />
Lundi 21 février à 20 h 30, Soirée Koji Wakamatsu : "Cinéma et<br />
Histoire : qu'est-ce que le cinéma peut nous apprendre de<br />
l'Histoire ?" et rencontre avec Dominique Briand, docteur en<br />
sciences de l’éducation, Professeur agrégé d’histoire-géographie à l’IUFM<br />
de Basse-Normandie et Eugenio Renzi, critique et ancien rédacteur aux<br />
"Cahiers du cinéma".<br />
Réservations conseillées à la caisse du Café <strong>des</strong> <strong>Images</strong>.