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JEUNES-MAR 5 MARS - L'opinion

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-- L’oDJ : <strong>MAR</strong>DI 7 JuIN 2011<br />

L’Opinion des jeunes... de corps ou d’esprit 4<br />

L’oDJ : une présence permanente depuis 43 ans,<br />

au service de la jeunesse de l’époque et de celle d’aujourd’hui<br />

DéBuToNS<br />

PAR uN<br />

PETIT<br />

SouRIRE<br />

La devise de “l’ODJ”<br />

* Agir d’abord,<br />

participer de quelque<br />

manière que ce soit,<br />

rectifier ensuite<br />

s’il y a lieu, recommencer<br />

tout à zéro s’il le faut...<br />

mais ne jamais<br />

rester inactif,<br />

* uN HoMME ET SoN AMI étaient à moto et tous les<br />

deux ont eu un accident. Le propriétaire de la moto a eu<br />

la jambe fracturée et l'autre, la lèvre supérieure arrachée<br />

donc ses dents étaient dehors.<br />

Son ami paralysé le voit et dit :<br />

--- Alors, on fait accident et toi tu rigoles, quoi !?<br />

* uN GARS RENTRE DANS un café belge :<br />

--- Je voudrais un Chwirzderkilmaskichtmeurk à la<br />

menthe.<br />

Et le serveur, qui a mal compris :<br />

--- un Chwirzderkilmaskichtmeurk à la quoi ?<br />

* C’EST L’ANNIVERSAIRE du père du jeune Merouane,<br />

et le papa demande à son rejeton :<br />

--- Ce qui me ferait le plus plaisir pour mon anniversaire,<br />

c’est que tu travailles bien à l’école.<br />

Ce à quoi Merouane répond :<br />

--- Trop tard ! je t’ai déjà acheté une cravate !<br />

* CoMMENT appelle-t-on quelqu’un qui tue son père ?<br />

--- un parricide.<br />

* Comment appelle-t-on quelqu’un qui tue sa mère ?<br />

--- un marricide.<br />

* Comment appelle-t-on quelqu’un qui tue son beaufrère<br />

?<br />

--- un insecticide, car il tue “l’époux” de sa femme.<br />

* PENDANT L’ETE, un jeune homme s’est fait embaucher<br />

au supermarché du coin pour se faire de l’argent de<br />

poche.<br />

Au début de sa première journée, le directeur du magasin<br />

l’accueille avec une franche poignée de mains et un<br />

sourire, puis il lui donne un balai et dit :<br />

--- Tu vas commencer par balayer toute l’entrée.<br />

--- Mais... j’ai quand même obtenu une Licence à l’université<br />

! répond le gars indigné.<br />

--- oh, pardon, je n’étais pas au courant, répond le<br />

directeur. Allez, donne-moi le balai, je vais te montrer.<br />

Blagues choisies par<br />

Abdou El ouardi de SETTAT<br />

laissons<br />

les gens<br />

s’exprimer<br />

librement<br />

Dur, dur de perdre un ami<br />

* Tu <strong>MAR</strong>CHES, sans un regard en arriére, la tête<br />

bien droite. Tu marches seul, un peu effrayé.<br />

Elle est là, elle te guide, pas à pas. N'aie pas peur<br />

d'elle, elle n'est là que pour t'indiquer le chemin, ne<br />

sois pas effrayé de quitter à jamais cette terre, cette<br />

étoile te guide vers la lumiere. un ultime regard en<br />

arrière, tu dois me laisser deviner à l'avance mon<br />

chagrin mais tu n'as rien pu éviter. on qualifie cette<br />

séparation de “douloureuse”, la décision du destin.<br />

Tu avances avec crainte, je te sens inquiet, imaginant<br />

tes frêles mains crispées sur elles-mêmes. Tu<br />

ne sais pas ce qu'il y a au bout de ce long chemin,<br />

ou brille cette lumière.<br />

* VoIR DISPARAITRE ceux que l'on aime, nous<br />

effraye soudain. on s'accroche à n'importe quoi,<br />

comme à des branches trop frêles qui, parfois,<br />

cédent sous le poids de cette tristesse qui ressurgit<br />

a l'improviste.<br />

* Tu EST PARTI, tu étais pour moi plus qu'un ami,<br />

un frére. Je t'aimais plus que moi-même, tu étais<br />

une partie de moi, et tu l'es encore. Parler de toi au<br />

passé est trop dur pour moi. Comme ta vie fut<br />

brève. Ce chemin de lumière, chaque soir je l'observe,<br />

imaginant cette petite étoile qui brille, toujours<br />

plus belle, comme pour me rassurer. Je sais que tu<br />

es à côté d’elle, tu n'es pas seul comme je l'ai<br />

crains, tu es devenu cette étoile de lumière, illuminant<br />

a ton tour, pour d'autres, ce si long chemin.<br />

* Tu EST PARTI trop tôt, je n'oublierais jamais nos<br />

moments de délire, de tristesse et de complicité. Je<br />

n'oublierai jamais toutes les bêtises qu'on a pu faire<br />

ensemble, les étés passés en ta présence. Tu resteras<br />

à tout jamaismon ami, mon frére, mon âme. J ai<br />

toujours senti ta présence, je savais que tu tiendrais<br />

ta promesse et tu ne me laisserai jamais tomber.<br />

--- “une personne” de KENITRA ---<br />

* Nous avons tous au fond du cœur<br />

un “bon vieux temps” auquel nous nous<br />

accrochons. Nous revenons à lui en rêve,<br />

comme les chats à leur fauteuil favori<br />

pour ressentir plus de chaleur...<br />

Page des jeunes, page de libre expression et de tolérance<br />

L’oDJ : “Vieux Facebook” sur papier d’une jeunesse mûre, consciente et responsable<br />

Nos lions de l’Atlas ont rugi...<br />

Après les déceptions d’un certain malheureux destin,<br />

Après des résultats mi-figues mi-raisins,<br />

Après une perte de confiance<br />

en nos joueurs marocains,<br />

Voilà enfin que nos Lions de l’Atlas ont surgi<br />

De leur tanière pour sortir leurs griffes et ont rugi,<br />

Pour battre lourdement notre adversaire l’Algérie,<br />

Aucun pronostiqueur n’a pensé à pareil score,<br />

Tellement l’autre prétendant se croyait si fort,<br />

Et sans les ratés, le score aurait été plus lourd encore.<br />

Rien à dire ! nos félins ont effacé une certaine guigne,<br />

Par la présente victoire, jugée un heureux signe.<br />

Cette victoire a enthousiasmé jeunes et vieux,<br />

Par une explosion de joie en villes et lointains lieux,<br />

Ne dit-on pas qu’à quelque chose malheur est bon ?<br />

Après la triste défaite d’Annaba,<br />

voilà la revanche pour de bon !<br />

Cela fait bien longtemps<br />

qu’on a pas savouré pareille victoire.<br />

L’ensemble du peuple Marocain attend<br />

Inchallah la prochaine gloire,<br />

Celle de remporter le trophée de la Coupe d’Afrique,<br />

Grâce à la persévérance<br />

et aux efforts des plus énergiques.<br />

Bravo à nos joueurs, staffs, dirigeants,<br />

médias tous si sympathiques,<br />

Ainsi qu’aux Sécuritaires, Autorités ,<br />

uN BouQuET DE PENSéES<br />

* “Les chanceux sont ceux qui arrivent à tout. Les<br />

malchanceux, ceux à qui tout arrive”<br />

* “La beauté est une source inépuisable de joie pour<br />

celui qui sait la découvrir”<br />

* “un beau visage est un avantage préférable à<br />

toutes les lettres de recommandation” (Aristote)<br />

* “Il ne faut pas lier un navire à une seule ancre, ni<br />

une vie à un seul espoir” (épicète)<br />

* “Le cri du pauvre monte jusqu'à Dieu mais il n'arrive<br />

pas à l'oreille de l'homme”<br />

* “Je plains ceux qui ont l'air intelligent ; c'est une<br />

promesse qu'on ne peut tenir” (Alain)<br />

* “Quand on est intelligent, il est plus facile de faire<br />

l'imbécile que l'inverse”<br />

* “L'homme n'est content de rien sauf de son intelligence<br />

; moins il en a, plus il est content”<br />

* “Tout ce qui est injuste nous blesse, lorsqu'il ne<br />

nous profite pas directement” (Vauvenargues)<br />

* “Rêve de grandes choses, cela te permettra d'en<br />

faire au moins de toutes petites”<br />

* “Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie<br />

ne dévore pas votre rêve”<br />

* “Ne te fâche jamais ! Tu pourrais brûler en un jour<br />

le bois amassé depuis longtemps” (proverbe chinois)<br />

* “Ne regrettons pas le passé, ne nous préoccupons<br />

pas de l'avenir : le sage vit dans le présent”<br />

* “La honte n'est pas d'être inférieur à l'adversaire<br />

c'est d'être inférieur à soi-même”<br />

Citations proposées par<br />

Mme Siham Chrifi Sabir<br />

---( ouJDA )---<br />

et autres alliés de Marrakech la mythique,<br />

Cité qui a abrité cette compétition<br />

qui restera historique.<br />

Poèsie de : Ahmed Azza<br />

(retraité) Casablanca)<br />

* N. B : Dommage pour Taârabt qui a transgressé la<br />

discipline de son entraîneur pour s’en aller semble t-il.<br />

Aussi bien dans l’armée qu’en sport, la discipline est<br />

sacrée. S’est-il comporté comme un déserteur ? Quelqu’en<br />

soit le rang social ou le plus haut éloge, on doit<br />

toujours rester humble et modeste .<br />

Soyez leS BieNevuS !<br />

Après une année de pénible et rude labeur,<br />

Les marocains résidant ailleurs,<br />

Viennent pendant la saison des chaleurs,<br />

Passer les vacances chez les leurs.<br />

Quelle joie ! Quel bonheur !<br />

Partout, on leur ouvre grand le cœur.<br />

Ils retrouvent la famille réunie : frères et sœurs,<br />

Dans une liesse de traditions et de mœurs.<br />

Celle-ci leur offre un caftan brodé d'or<br />

Celui-là les accueille avec un bouquet de fleurs<br />

De leur part, ils apportent des objets de valeur<br />

Cet échange de cadeaux les comble de bonheur.<br />

o ! M.R.E ! Soyez fiers et ayez le grand honneur,<br />

De votre pays : le Maroc connu par sa grandeur<br />

D'âme, sa tolérance, son hospitalité, sa splendeur !<br />

Visitez ses beaux paysages :<br />

sites aux diverses couleurs !<br />

Investissez pour le bien-etre de votre pays-tuteur<br />

Inculquez à vos enfants la culture et la pudeur<br />

De leurs ancêtres dont vous êtes les successeurs.<br />

Apprenez-leurs qu'ils sont marocains<br />

et non pas des beurs !<br />

Quand enfin, pour le départ, sonnera l'heure,<br />

Vous nous quitterez, tels ces bels oiseaux migrateurs,<br />

Nous laissant une tristesse trempée de pleurs.<br />

Au revoir ! Soyez, comme d'habitude,<br />

nos bons et loyaux ambassadeurs.<br />

M'hamed Rassam<br />

---( ERFouD )---<br />

Comment battre le silence ?<br />

* LA VIE, uN CoNTE A ECRIRE, une vaste transmutation qui<br />

grandit jour après jour. une vie qui est la mienne ou la tienne,<br />

qui s’écrit dans un journal ou un bouquin. C’est le temps qui<br />

passe à chaque moment de notre plus grande existence, le bruit<br />

de l’horloge : une seconde, une minute, une heure et des heures<br />

qui passent comme un train qui ne s’arrête pas, comme ce rêve<br />

bientôt bientôt souvenir...<br />

* AS-Tu le pouvoir de battre ce silence assourdissant qui te tue<br />

quand tu essaies de sourire ? quand tu cherches à être heureux?<br />

quand tu te lèves le matin et tu te dis que ce jour va être le<br />

plus grand jour de ma vie ? Je veux bien supprimer cette pensée<br />

qui ne veut pas sortir de la tête d’une personne qui a la force<br />

d’en finir avec ses rêves. Je ne veux pas qu’il quitte sa maison<br />

et fuir, prendre le train et partir tout simplement comme si de<br />

rien n’était. Non, ne pars pas je t’en supplie, on fera notre plus<br />

grand effort pour trouver une solution. Ce soir, je ne vais pas<br />

dormir, je passerais mon temps à chercher les réponses à ces<br />

questions.<br />

* DANS MA CHAMBRE, je mettrais les choses en ordre, rien ne<br />

sera mélangé. Je t’en supplie, ces mots ce sont les dernières<br />

chances pour se lever. Levez-vous donc, bonnes gens, je vous<br />

en supplie ! Avez-vous un cœur sensible pour entendre ce discours<br />

? ou bien avez-vous un cœur de pierre ?<br />

Khalid EL Morabethi d’ouJDA<br />

Plus aucun chômeur !<br />

Sur le sommet de notre espoir<br />

une colombe blanche s’est posée ce soir<br />

Sur l’île du naufragé<br />

un bateau a accosté<br />

Sur la tête du petit orphelin<br />

une main tendre s’est posée<br />

Sur le chevet du malade<br />

un médecin est de garde<br />

Notre demain sera meilleur<br />

on le savait depuis hier<br />

on le voit aujourd’hui...<br />

Dansons ensemble<br />

Autour du feu du bivouac<br />

La dance du bonheur<br />

Sur le sommet de notre espoir<br />

une colombe blanche s’est posée ce soir<br />

Espérons qu’au fond de certaines cellules<br />

Il n’y aura plus de tortures<br />

Espérons que dans toutes les demeures<br />

Il n’ y aura plus aucun chômeur...<br />

Ahmed Boud<br />

(notre lecteur a omis de mentionner sa ville)<br />

AH ! CETTE SACREE RETRAITE !<br />

ELLES PARTENT PouR uN REPoS MERITE<br />

* Elèves et professeurs sont venus nombreux, afin de fêter avec<br />

Mesdames El Belghiti lalla Aicha et Rochdi Mbarka leur départ pour<br />

la retraite après avoir servi leur pays avec grand sérieux pendant<br />

40années sans jamais penser un jour à tricher. Elles sont toujours<br />

les premières à participer dans les œuvres d’ordre sociale. Leur<br />

sérieux leur a valu le respect des collègues.<br />

Aujourd’hui, elles partent à la retraite et nous laissent comme<br />

empreinte ces beaux souvenirs rafraichissant nos mémoires. Ce<br />

jour, la famille de l’établissement s’est réunie pour témoigner de sa<br />

présence le soutien moral aux deux professeurs partantes et surtout<br />

fêter ce départ qui va sans aucun doute les libérer pour un repos<br />

bien mérité. Encore une fois félicitation !<br />

ILS SoNT VENuS, ILS SoNT TouS LA !<br />

* C’est l’heure des retrouvailles ! Ils étaient nombreux à retrouver<br />

tous les anciens directeurs et collègues ayant toujours fait de leurs<br />

compétences un ingrédient à positiver la bonne marche du collège<br />

Sidi Mohammed Ben Abdellah, aujourd’hui magistralement dirigé<br />

par Si Thami Loghziel un excellent administrateur et pédagogue.<br />

Lors de cette fête bien organisée et cette ambiance à faire de ce jour<br />

un grand moment de fête, nous avons senti le poids de la force des<br />

liens entre professeurs. Les deux retraitées ont été félicitées pour<br />

leur sérieux et leur amour du travail productif. Les résultats enregistrés<br />

pendant leur service prouvent les éloges présentés que ça soit<br />

par les responsables ou les élèves.<br />

SATISFACTIoN ToTALE<br />

* Nous avons eu l’honneur d’assister vraiment à une après-midi de<br />

gaité de joie et surtout des retrouvailles.<br />

Madame El Belghiti lalla Aicha professeur d’EPS depuis 1974 à El<br />

Jadida a été toujours animée du désir de bien faire. Consciencieuse<br />

elle a appris aux jeunes adolescents à aimer le sport grâce à sa persévérance,<br />

elle a pu aller loin jusqu’a former de grands athlètes. Elle<br />

laisse un vide dans ce groupe homogène d’enseignants performants<br />

dont je cite : Messieurs<br />

Laaguili Hamid inspecteur d’EPS,<br />

Naciri Jaouad, Halaoui Tibari, Khaoua Abdellah, Addi Mahfoud …..<br />

Des hommes de terrain prêts à tout moment pour rendre leur enseignement<br />

attrayant. Madame Rochdi Mbarka professeur d’histoire et<br />

de géographie toujours très calme et autoritaire dans sa classe,<br />

qu’elle dirige avec brio et respect des instructions officielles .Elle<br />

reste par excellence une dame respectée de tous ses collègues.<br />

REMERCIEMENTS<br />

* Elles ont été chaleureusement remerciées, par l’assistance au<br />

moment où deux grasses larmes d’émotion se sont échappées de<br />

leurs yeux pour venir s’écraser sur leurs joues.<br />

Elles quittent le champ de bataille après avoir donné un enseignement<br />

fructueux, et surtout appris à nos enfants de bonnes habitudes.<br />

Encore une fois merci mesdames allez vivre votre retraite<br />

dans la sérénité et la santé.<br />

Par le biais de notre journal ces retraitées remercient très chaleureusement<br />

tous ceux qui ont participé de loin ou de prés à la réussite<br />

de cette fête en citant Monsieur le Directeur, messieurs les professeurs,<br />

les surveillants généraux, tout le personnel administratif<br />

et les élèves du collège Sidi Mohammed Ben Abdellah d’EL Jadida.<br />

Fousi Hassane (professeur retraité)<br />

---( EL JADIDA )---<br />

uN MoNDE IMMoNDE<br />

Je suis là, comme tout le monde<br />

Vivotant dans un monde immonde.<br />

Sans argent, chassé hors du monde<br />

Plein d'argent, mais plongé dans l'immonde.<br />

En bonne santé, exploité par tout le monde<br />

Faible, rejeté, mal-vu dans ce monde.<br />

La mort, fait peur à tout le monde<br />

Tout le monde veut rester éternellement,<br />

sans y penser, dans l'immonde.<br />

Quitte à ce que l'immonde envahit le monde<br />

Dieu refuse l'immonde<br />

et fera disparaître un jour ce monde.<br />

Vers un monde où il n'y a pas d'immonde<br />

Là où l'homme parlera avec amertume<br />

De ce qu'il a vécu dans un monde immonde.<br />

Ahmed ouqchach<br />

--- AÏT ISHAQ --- (par KHéNIFRA)<br />

La cigarette pour oublier...<br />

* il y A uN TeMPS Que je me suis mise à l’écriture, ma plume a vraiment quelque chose de magique. elle me permet de voyager<br />

en des terres lointaines, nouvelles et inconnues. J'y découvre des mondes sans pareil et je peux y vivre aussi longtemps que je le<br />

veux. lorsque je commence une histoire, c'est toute une aventure. on me conseille souvent d’essayer de publier mes écrits<br />

quelque part, alors je viens de tenter ma première chance dans l'opinion Des Jeunes. voilà une partie de l'histoire que j'ai écrite :<br />

* ELLE A PEuR DE CE BoNHEuR soudain, unique car elle sait qu'il est toujours éphémère. Mais elle s'accroche tout de même,<br />

elle y croit même si elle sait qu'on souffre un jour ou l'autre , comme elle le dit " c'est la vie " et on sait que quand la souffrance se<br />

fatigue , le bonheur prend le relais , et réciproquement . Elle a peur du bonheur, mais quand il arrive elle le prend dans ces bras,<br />

mais qui pourrait le rejeter ? Personne. Elle le serre de toute ces forces, mais il ne prévient pas quand il repart, elle sait qu'on sent<br />

juste un grand vide, et elle n'accueillera pas la souffrance de la même manière, mais peut être qu'elle se trompe, elle devrait aussi<br />

lui ouvrir les bras, peut être qu'elle fera mal moins longtemps. Mais elle n'y pense plus, elle profite de l'instant présent, de ce café<br />

chaud, de la main de cet homme sur son épaule et du rayon de soleil qui réchauffe ces joues.<br />

* ELLE A PEuR Du TRAIN, mais elle ne s'ennuie jamais vraiment dedans. Elle ouvre un livre et soulève toujours avec délicatesse<br />

la page suivante, comme si c'était plus précieux qu'un bijou mais pour elle, oui. Elle laisse tomber sa tête et regarde le paysage<br />

qui défile à grande allure, comme le temps d'ailleurs et comme à son habitude elle laisse ces pensées vagabonder, elle pense à la<br />

musique de grand corps malade " les voyages en train ". Puis elle aime beaucoup observer les gens du coin de l'œil, en regardant<br />

leurs visage, leur regards, et les gestes peuvent t'ils nous trahir ? Mais c'est déjà la fin du voyage, elle met un pied à terre, et<br />

revient à la réalité.<br />

* CouCHEE SuR SoN LIT, cigarette à la main, elle pense à arrêter de fumer mais elle qui devait ne jamais devenir accro, c'est<br />

raté. Elle s'est pas si c'est ce début d'année qui l'a rend comme ca, mais elle se pose tout un tas de questions sur son avenir, sur<br />

ce qu'elle veut faire. Elle a fêté le nouvel an, en buvant un petit coup, et le jour d'après tout est déjà redescendu et elle s'est dit :<br />

"le temps passe tu vas faire quoi ". Merde ! Elle chiale, mais ce n'est pas nouveau, elle ne peut pas mentir, quand un truc ne va<br />

pas ca y est les larmes montent. C'est fou elle a tout pour être heureuse et elle trouve encore le moyen d'aller mal, de se faire<br />

chier à penser. un peu sado maso cette nana ! À moins qu'elle se cache derrière tout ça. Elle n’est pas suicidaire mais parfois en<br />

regardant la vie elle se demande si c'est sa place, vu qu'elle n'arrive pas à vivre pleinement.<br />

* ELLE ENVIE CES GENS qui avancent, sans s'arrêter, sans se laisser le temps de respirer. Y a un truc qui cloche là, mais elle ne<br />

sait pas quoi. Tout pour être heureuse, mais elle en veut toujours un peu plus, parce que si on a ça, on peut avoir ça. À peine la<br />

clope écrasée, elle en rallume une, comme si ca l'aidait à penser alors que ça ne fait que l'a tué.<br />

Manal Makhlouf (Lycèenne) RABAT<br />

Le monde a perdu la raison<br />

Au-dessus des laves du volcan<br />

S'étendent les cadavres des combattants<br />

Seuls les derniers survivants<br />

ont pu franchir le pont de Satan !<br />

Celui reliant le monde des humains<br />

A celui des démons<br />

Car sur terre, tout n'était que néant<br />

Dans toutes les conditions<br />

A cause de la guerre, des clans<br />

Des humains et des démons.<br />

C'est la terre maudite qui était devenue<br />

Pour certains une nouvelle Maison !<br />

En entendant les hurlements,<br />

les gémissements<br />

de ces pauvres combattants<br />

on voit que le monde a perdu la raison !<br />

A proximité de là s'étendent<br />

Des terres et des champs<br />

Détruits par les tyrans pleins e sang !<br />

Se trouvent les restes d'un vieux bâtiment...<br />

... transformé en une vaste et lugubre prison<br />

Qui pouvait dire ou se rappeler<br />

Que ces terres autrefois clémentes<br />

Etaient verdâtres et bienveillantes ?<br />

Alae Taryous ---( TETouAN )---


-- L’oDJ : <strong>MAR</strong>DI 7 JuIN 2011<br />

L’Opinion des jeunes... de corps ou d’esprit<br />

5<br />

Une fenêtre constamment ouverte, depuis plus<br />

de 4 décennies, sur les problèmes de la société<br />

<strong>MAR</strong>RAkeCH, l’eTeRNelle...<br />

* Aux mort de l’Argana : musulmans, chrétiens, juifs ou bien sans confession,<br />

à ces hommes et femmes, venus siroter un thé à la menthe, en ce matin printanier<br />

de l’an 2011, à Marrakech la Rouge... je dédie cette poésie :<br />

Criblée de clous<br />

La chair voltige<br />

Corps calibrés<br />

A la stance de l’effroi<br />

Cadavres croisés<br />

Décroisés<br />

Carbonisés<br />

Corps<br />

Chair<br />

Sang épais<br />

Sang brûlé<br />

Armes décharnées<br />

Hachées<br />

Le plasma monte<br />

à la gorge<br />

Les sourires<br />

Eclats de rire<br />

Explosés<br />

Je prie tu pries<br />

Ils prient dieu est un<br />

La vie traverse le corps<br />

Elle traverse<br />

sans choisir<br />

Confession<br />

Ni race ni ethnie<br />

La vie<br />

Ereintée<br />

Vol de corbeaux<br />

Le meurtre est le métier<br />

Des âmes mortes<br />

Argana<br />

Regarde place Lfnaa<br />

L’apocalypse FANA<br />

Habite place Lfnaa<br />

Le meurtre a les mains<br />

Identiques<br />

Le terroriste n’a d’âme<br />

Qu’un cœur désséché<br />

Battant au hasard<br />

Corps criblés<br />

Cadavres de l’Argana<br />

Gisant sur la place<br />

Le sol jonché de pas<br />

Ne chantant pas<br />

Le même concert<br />

La chevelure dorée<br />

De l’adolescente<br />

La grise la noire<br />

La rousse<br />

Fils aériens<br />

Les langues chantent<br />

Dans l’Argana<br />

* LES LITTERATuRES ARABE et berbère, les<br />

légendes, les contes et les chants sont très riches en<br />

amour et en relations amoureuses allant parfois jusqu'à<br />

l'obsession. Mais dans la réalité, dans notre<br />

société, les belles histoires d'amour ne se racontent<br />

pas, ne se disent pas, ne s'expriment pas !<br />

Elles sont rares. Elles se consument dans la monotonie<br />

d'une culture qui condamne toute expression verbale<br />

de la passion. Pourquoi ?<br />

* LA RELATIoN DANS LE CouPLE reste encore une<br />

relation de conflit et de pouvoir, un homme doit avoir<br />

le dernier mot, régner en tyran : comment se faire respecter<br />

par une épouse à qui on va s'abaisser... une<br />

expression d'amour qui dénote une faiblesse ? « Si je<br />

lui dis que je t'aime, elle va se sentir supérieure. Je ne<br />

peux aujourd'hui lui dire que je l'aime et m'imposer<br />

demain ! L'homme doit garder sa force dans le foyer,<br />

sinon, c'est l'anarchie ».<br />

Notre société n'encourage pas l'expression de<br />

l'amour, car ce n'est pas compatible avec la virilité !!!<br />

L'homme, le vrai, le viril, ne doit en aucun cas exprimer<br />

ses sentiments. Encore enfant, sa mère et les femmes<br />

de son entourage l'empêchent d'exprimer sa faiblesse,<br />

ses angoisses...<br />

* LES SENTIMENTS SoNT CoNSIDERES comme une<br />

faiblesse propre aux femmes. Ainsi, l'homme amoureux<br />

est considéré comme faible. on ajoute souvent<br />

«le pauvre» comme si le fait d'être amoureux faisait<br />

pitié ! Quand dans une famille un homme montre<br />

ouvertement qu'il aime sa femme, il risque d'être ridiculisé.<br />

Il se retiendra d'afficher son amour .<br />

Persécuté par la crainte de passer pour un sot, l'homme<br />

se contrôle et étouffe ses sentiments.<br />

Quelle frustration !<br />

* LA SoLITuDE A DEux est le pire des supplices<br />

dans un couple. Pour sauvegarder l'équilibre de la<br />

relation conjugale, il faut l'agrémenter de mots<br />

tendres. Par ailleurs, aucune relation amoureuse n'est<br />

acquise à vie. Il n'y a pas de contrat d'amour de longue<br />

durée sans entretien, sans révision et remise en cause,<br />

sans lui insuffler régulièrement de l'oxygène. Complimenter<br />

son partenaire, c'est reconnaître sa présence,<br />

c'est lui être reconnaissant. Homme et femme ont<br />

besoin de reconnaissance pour s'épanouir. Mais nos<br />

hommes sont avares. Souvent, le mari est très pudique<br />

et ne peut toucher sa femme en présence de ses<br />

enfants « h’chouma ! »<br />

* LES CouPLES MANIFESTENT leur colère et leur<br />

désaccord devant leurs enfants. Il se disputent devant<br />

eux, ce qui peut angoisser les enfants qui pensent que<br />

* “Si nous n'avions point de défauts, nous ne<br />

prendrions pas tant de plaisir à en remarquer<br />

chez les autres” (la Rochefoucauld)<br />

La mélodie de l’amour<br />

Corps et cris<br />

Détonation<br />

Chant de la mort<br />

Le meurtre surplombe<br />

La place de Lefna<br />

La koutoubia<br />

En ce vendredi saint<br />

Dit un autre<br />

Appel à la prière<br />

Celle de l’absent<br />

Les absents survolent<br />

Le ciel de Marrakech<br />

Il pleut du sang<br />

Des clous<br />

Des cadavres criblés.<br />

Siham Bouhlal<br />

CASABLANCA,<br />

le 29 avril 2011<br />

* P. S : 3ème prix du<br />

concours de la Nouvelle<br />

Noire décerné ce<br />

mois-ci à Marrakech<br />

par un jury d’hommes<br />

de lettres.<br />

A l’occasion de la Fête des Mères<br />

LIGNES DE BuS<br />

SuPPRIMES !<br />

• JE VouS ECRIS pour vous<br />

faire part des doléances d'un<br />

groupe de personnes, je sais<br />

que grâce à vos écrits danscette<br />

page leurs soucis<br />

seront peut-être effacés :<br />

-- Dernièrement, un certain<br />

nombre de lignes ont été<br />

carrément supprimés à<br />

Témara, Hay Massira II, ...<br />

Ce qui a perturbé le trajet<br />

journalier d'un grand<br />

nombre de personnes qui<br />

doivent aller travailler.<br />

Pour arriver à la nouvelle<br />

station, ils sont contraints de<br />

marcher longtemps et arrivent<br />

fatigués à leur travail.<br />

La ligne se trouve à Massira<br />

II, Hay Al Maghreb Al Arabi et<br />

Chiga.<br />

Si vous pouviez publier ce<br />

texte. C'était la société Staréo<br />

qui s'occupait de ces trajets<br />

mais je crois que personne<br />

ne l’a remplacée.<br />

J'espère que notre voix<br />

pourra se faire entendre<br />

auprès de qui de droit. Merci.<br />

S. FILALI<br />

---( TE<strong>MAR</strong>A )---<br />

A propos d’une certaine relation dans le couple<br />

* Sur notre photo À gauche : Mme Alaoui<br />

Fadili Hassana ( auteur de l’article), à ses côtés<br />

Mme Nadia ouazzani, directrice d’école.<br />

leurs parents s'entre-déchirent. Mais ces mêmes<br />

couples ne manifestent pas leur tendresse face à leurs<br />

enfants. Ils affichent l'agressivité mais pas l'amour.<br />

Pourtant, il n'y a rien de plus sécurisant pour un enfant<br />

que de voir ses parents paisibles et épanouir.<br />

L'équilibre des enfants passe par l'équilibre de la relation<br />

conjugale des parents.<br />

* JE PRoFITE DE CE PASSAGE pour rendre hommage<br />

à notre grand psychologique : le professeur Mamoun<br />

Moubarak Drebis. (Emission sur Médi 1. Il règle toute<br />

sorte de problème avec de l'amour et de l'affection.<br />

un geste simple de la part de l'homme délicat peut<br />

avoir autant d'effets positifs. un geste méconnu par la<br />

majorité de nos hommes : offrir un bouquet de roses à<br />

sa femme. Quel plaisir que de recevoir des mains de<br />

son bien aimé, de son homme ce précieux cadeau !<br />

* LES PLuS GRoSSES des tensions tombent, colère et<br />

agressivité se dissipent, le sourire s'affiche sur les<br />

faces féminines les plus réticentes. Il n'y a aucune faiblesse<br />

dans ce geste. Il n'y a que de la noblesse. Cela<br />

n'affecte nullement la virilité de l’homme. Au contraire,<br />

il l'entretient. Quelle femme ne fondrait pas face à un<br />

homme qui lui tend un bouquet de fleurs avec douceur.<br />

Messieurs ! Profitez de cette occasion pour faire plaisir<br />

à vos femmes.<br />

Bonne fête à toutes les mamans, à toutes les femmes<br />

Mme Alaoui Fadili Hassana (épouse Trachen)<br />

--- Directrice pédagogique à Rabat ---<br />

* “il vaut mieux aller plus loin<br />

avec quelqu'un que nulle part<br />

avec tout le monde”<br />

La vie est triste, supportons-la !<br />

* IL EST ELEMENTAIRE de dire que l’existence est<br />

une dualité pure et dure, truffée de joliesses tel un<br />

jardin d’Eden de dehors…<br />

or, au plus profond d’elle-même, règne la mélancolie<br />

et la désillusion, qui font de ce périple éphémère, un<br />

univers sardonique et morne.<br />

* LA TRISTESSE de la vie est intense, veule et vicieuse.<br />

Elle nous mène vers l’échafaud, nous guide vers<br />

le désarroi, nous trace un sentier nébuleux et brumeux<br />

qui nous engloutit dans la dépression et l’oubli<br />

de la joie de vivre.<br />

Seul les sages et le gens réfléchis se forcent à devenir<br />

jouisseurs de vie, canner la peine après avoir bu le<br />

calice jusqu’à la lie.<br />

Celle que l’on appelle la vie n’est qu’affronts, qu’un<br />

rébus que l’on doit être prêts à résoudre.<br />

Chers amis ! en conclusion : rédemption auprès de la<br />

vie et résistance avec un soupçon de présomption.<br />

Comprenez-moi et : A bon entendeur, belle vie !<br />

Sophia Méphisto Dahmani<br />

(notre lectrice a omis de mentionner sa ville)<br />

* P. S : en hommage à Aziza, Amar, A.M.i.S, la famille<br />

Bouad... et Sabrina.<br />

MoN PAYS, TERRE DE PAIx<br />

Je naîssais sur le ventre<br />

Dans les sables souriants<br />

Tel un être heureux pour la vie<br />

Et mon beau pays des merveilles<br />

D'où s'est levée mon origine<br />

Me réchauffe dans ses bras si dignes<br />

Aux flancs multicolores<br />

Et ces traces béantes sur mon corps luisant<br />

Boivent l'essence mythique<br />

de son amour vivifiant.<br />

Je m'adresse au ciel éminent<br />

Pour me couvrir de sagesse<br />

Pour allumer le flambeau de la lumière<br />

Dans mon très beau pays, le Maroc<br />

Que Dieu entende mes souhaits à outrance !<br />

Que mon pays soit toujours<br />

Terre de paix et de magnifique tolérance.<br />

Aziz Boumasmoud<br />

---( ESSAouIRA )---<br />

o Taourirt !<br />

« il est des vérités qui ne changent jamais avec le temps.<br />

les plus mauvaises résistent plus que les autres”<br />

Taourirt ! Dans ta terre aujourd'hui salie<br />

Gît à ce qu'on dit quarante quatre oualis<br />

Malgré tout ces saints, que d'odeurs nauséabondes<br />

Se dégagent de tes égouts en causant des ondes !<br />

Et combien de gens malhonnêtes et parvenus<br />

T’ont peuplée, t'ont rendue ville sans contenu<br />

Antique, sous Moulay Ismaïl, cette forteresse<br />

Est la témoin légitime de ta place enchanteresse.<br />

où sont tes jardins, ta bouffée d'oxygène !<br />

où sont ceux qui disaient te rendre un paradis<br />

Non ! tu es atteinte d'une grande maladie<br />

De l’oubli, de la négligence et de l’inertie sans gêne.<br />

oued za serpentant, jadis, tes prairies verdoyantes,<br />

Est las ; et il pleure ta verdure fuyante<br />

o fils de cette ville, faites quelque chose<br />

Pour elle et provoquez la métamorphose.<br />

--- omar Dadi de TAouRIRT ---<br />

* “Ne crains pas d'avancer lentement,<br />

crains seulement de t'arrêter”<br />

(Sagesse chinoise)<br />

Ce jeune<br />

chinois a vendu<br />

son rein<br />

pour s’acheter<br />

un téléphone<br />

portable !<br />

* MAiS, BoN SANg ! Que n’a-t-on fait pour<br />

...faire comme tout le monde, suivre l’air du<br />

temps et briller devant la galerie !?<br />

l’information vient de tomber juste hier et<br />

elle a de quoi donner à réfléchir : un adolescent<br />

chinois de 17 ans, issu d’une famille<br />

pauvre, s’est fait opérer d’un rein qu’il a<br />

vendu à un trafiquant pour la somme de<br />

22.000 yuans (l’équivalent de 25.000<br />

dirhams à peu prés). le but de “l’opération”<br />

-- dans les deux sens du terme -- pour<br />

ce jeune homme, est de s’offrir un iPad 2<br />

afin de s’afficher parmi ses copains !<br />

Si notre ami a couru un risque certain de<br />

mettre sa santé en danger pour de l’argent,<br />

d’autres jeunes, que ce soit en Chine ou<br />

bien chez nous, mettent, eux, la santé de<br />

pauvres passants aussi en péril en les<br />

agressant à l’arme blanche afin de les voler<br />

dans le but de leur soutirer de l’argent et<br />

aller s’acheter des baskets, des jeans dernier<br />

dernier cri et autres fringues de circonstance<br />

! les exemples ne manquent<br />

pas. Des jeunes qui cherchent à être “à la<br />

page” à tout prix, même en suivant le mauvais<br />

chemin de la délinquance, il en existe<br />

un peu partout.<br />

evidemment, l’adolescence passe. Mais,<br />

chez certains, elle laisse des traces douloureuses...<br />

Aussi bien pour les victimes<br />

que pour les auteurs des crimes, après leur<br />

passage un jour derrière les barreaux.<br />

Mounir RAHMouNi<br />

* “La fausse modestie consiste à se mettre sur le même rang<br />

que les autres pour mieux montrer qu'on les dépasse”<br />

N’HeSiTez PAS A SouRiRe<br />

* A NICE, CHEz uN CoMMISSAIRE-PRISEuR : on<br />

vend un perroquet aux enchères.<br />

« 100 euros ! - 200 ! - 500 ! - 1000 ! » (etc...)<br />

Au bout d’un moment, un type gagne les enchères<br />

pour un prix exorbitant. Il s’adresse au commissaire-priseur<br />

:<br />

--- Dites, votre perroquet, j’espère qu’il parle, pour<br />

ce prix-là ?<br />

Et le perroquet de répondre :<br />

--- Hé, imbécile! Qui a fait monter les enchères<br />

d’après toi ?<br />

* ENTRE DEux AMIS :<br />

--- A ton avis, combien de femmes faut-il pour<br />

changer une ampoule ?<br />

--- Trois...<br />

--- Et pour quelle raison ?<br />

--- une pour appeler son mari au bureau en lui<br />

disant de rentrer à la maison en toute vitesse et les<br />

deux autres pour parler dans le dos de celle qui est<br />

partie téléphoner dans la chambre d’à côté...<br />

* uN CHIEN PoLICIER passe l’examen final pour<br />

entrer dans la police municipale.<br />

--- Premier exercice, demande le directeur, vous<br />

devez taper 60 mots à la minute ! Voici la machine<br />

à écrire.<br />

Le chien tape à toute vitesse pendant 5 minutes<br />

un texte débité par un magnétophone : 105,45<br />

mots/min, c’est bon.<br />

--- Deuxième exercice : course d’obstacles. Vous<br />

devez tout passer en 50 secondes.<br />

Le chien torche ça en 35 secondes. Facile.<br />

--- Troisième et dernière condition. Vous devez<br />

être bilingue.<br />

--- Miaaaooouuu ! crie le chien.<br />

DeSeSPoiR D’uN JeuNe<br />

Triste, perdu, désemparé<br />

un envie de s’égarer<br />

Amertume, habitude,<br />

Excuses, routine<br />

Tristesse, je m'évanouis...<br />

Drogue, boussole, tournesol<br />

je m'envole dans l’ivresse<br />

Faible, saoûl, sinistre retour<br />

Enfer, je tourne tout autour<br />

Regard, départ, sans face<br />

Je m'égare<br />

Surface, carapace, terrasse<br />

Ca me dépasse, je me casse<br />

Cigarette, drogue, alcool, cool<br />

Je me noie, je me défoule<br />

Salut ! A plus tard ! Adieu !<br />

Je fais mes derniers aveux<br />

Tourments, slogans, testament<br />

J'ai fait un serment<br />

Tout ça n'a pas de prix<br />

Ma vie'est finie...<br />

Asmae Assini<br />

(ville non mentionnée)<br />

T'oublier ?!<br />

J'avais perdu l'espoir, celui de te croire<br />

Celui de te voir, pour sortir du gouffre noir.<br />

De mes pensées, je t’ai évincé<br />

De mes rêves, je t’ai éloigné<br />

De mes souvenirs, je t’ai chassé.<br />

Tout cela pour pouvoir t'oublier<br />

oublier tout le mal que tu m’as fait<br />

oublier même les heures<br />

où on a été tous les deux<br />

unis par les fibres de nos cœurs.<br />

Najat Mezouar<br />

(Lycée Ibn Sina) --- <strong>MAR</strong>RAKECH ---<br />

* C'EST uN HoMME très très fainéant qui va voir<br />

sont docteur et lui dit :<br />

--- En ce moment, je ne sais pas ce qui se passe<br />

mais j'ai des insomnies terribles.<br />

--- Et vous vous réveillez souvent ?<br />

--- oh mon dieu ! Tous les deux ou trois jours.<br />

Blagues proposées par<br />

Evelyne Duranger de Nice (France)<br />

Les lecteurs désirant partciper à l’oDJ<br />

sont priés d’envoyer leurs écrits<br />

(textes, poèmes, blagues, etc) à l’e-mail :<br />

mounir_rahmouni@yahoo.fr<br />

* “un égoïste est incapale d’aimer un ami.<br />

Mais, il ne peut pas se passer d’amis :<br />

il ne s’aimerait jamais assez à lui seul !”<br />

* “l’homme sage apprend de ses<br />

erreurs... l’homme plus sage apprend<br />

des erreurs des autres”( Confucius)<br />

* “l’argent n’a pas d’odeur... Depuis<br />

peu je le sais, il fait marcher le monde,<br />

et le monde sent mauvais”<br />

* “la monotonie, dans la retraite,<br />

tranquillise l’âme. la monotonie,<br />

dans le grand monde, fatigue l’esprit”.

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