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Commençons par un beau sourire - L'opinion

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Mardi 23 Mars 2010Laissons les gens s’exprimer librement“L’OPINION DES JEUNES”Pour tous les goûts...Pour tous les âges2 pages le mardi + 2 pagesle jeudi constammentouvertes à tous vos écritsUne véritable caverned’Ali Baba à Kénitra !Quand j’invite les cor<strong>beau</strong>x à réciter les vers de l’espoir...Quand l’azur étale sa robe noireMon esprit, las, invite les cor<strong>beau</strong>xA réciter les vers de l’espoirEt le monde me <strong>par</strong>aît plus <strong>beau</strong>.Quand l’arc-en-ciel décoloré serreMon cœur vidé de sangJe me taîs, je cours et j’erre...Dans le sépulcre de mon être agonisant.Et te voila le Printemps, adieu les mots !Rejouis-toi, danse et pleure ces <strong>par</strong>olesPrés de la marre, chante le rossignolLe refrain lugubre des cor<strong>beau</strong>x.Imane M’tahri(Etudiante en 2ème année à laFaculté polydisciplinaire de Safi)7<strong>Commençons</strong><strong>par</strong> <strong>un</strong> <strong>beau</strong><strong>sourire</strong>La devise de L’ODJ :* Agir d’abord, <strong>par</strong>ticiper de quelque manièreque ce soit, rectifier ensuite s’il y a lieu,recommencer tout à zéro s’il le faut...mais ne jamaisrester inactif, à la recherche du <strong>par</strong>fait.* C'EST UN TYPE qui va chez <strong>un</strong>médecin. Il lui demande :--- Docteur ! J'ai le cafard et desfourmis dans les pieds, pouvezvousfaire quelque chose pourmoi ?Le médecin lui répond :--- Oui. Je vais vous prescrire <strong>un</strong>insecticide !* UN SINGE ENTRE dans <strong>un</strong>restaurant et demande au serveur:--- Monsieur, vous avez desbananes ?L e serveur lui répond : non !Le singe : M'sieur, vous avezdes bananes ?Le serveur : Non.Le singe : M'sieur, vous avezdes bananes ?Le singe : M'sieur, vous avezdes bananes ?Le serveur, énervé lui lance :--- Ecoutez, si vous me demandezencore <strong>un</strong>e fois si j'ai desbananes, je vous cloue la languesur la table !Le singe : Vous avez des clous ?Le serveur : Non.Le singe : M'sieur, vous avezdes bananes ?Chaque jour qui passe...Chaque jour est <strong>un</strong>e vieChaque nuit est <strong>un</strong>e mort.Quand on dort,On ignore notre existence,On vit dans <strong>un</strong> <strong>un</strong>ivers imaginaireOn s’éloigne de la terreOn ne sent plus la souffranceNotre corps est en veilleuseEntre la vie et la mort !Chaque jour, la vie est merveilleuseQuand on ouvre nos yeuxOn quitte les cieuxEt on commence <strong>un</strong>e autre vieLa vie journalière.Chaque matin est <strong>un</strong> débutD’<strong>un</strong> guerrier ou d’<strong>un</strong>e guerrièreSur <strong>un</strong> champ de batailleLes gens heureux récoltent le trésorLes gens malheureux récoltent la paille.Enfin, chaque jour est <strong>un</strong> vœuAux alentours de notre viePour celui qui survit ou qui vit !Jamal Bousselham (Casa)* ENTRE DEUX AMIS :--- Tu sais ce que font les Américainsquand ils traversent laroute dans <strong>un</strong> passage clouté ?--- Non ! Je ne sais pas !--- Ils regardent à gauche, à droitepuis en haut !* UNE FILLE À SA COPPINE :--- Pourquoi à ton avis lesdames peureuses sont toujoursavec leur chat quand elles travaillentsur <strong>un</strong> ordinateur ?--- Je ne sais absolument pas,ma chère. Et toi ?--- C'est pour chasser la souris.* CE SONT DOUZE je<strong>un</strong>essèche-linge qui jouent au footballdans le stade du quartier oùils habitent, puis arrive <strong>un</strong>emachine à laver :---Hé, les je<strong>un</strong>es ! je peux joueravec vous ?!Les sèche-linge se regardentpuis éclatent de rire.--- Tu as déja vu <strong>un</strong>e machine àlaver jouer au foot, toi !?Blagues choisies <strong>par</strong>Mme Samah El Fadili---( ASSILAH )---Adieu petit ange au <strong>par</strong>adis !LES ANGES DU CIEL SE SONT REUNIS POUR T’ACCEUILLIRAU PARADIS, PETITE FLEUR A PEINE EPANOUIE.19 BOUGIES SE SONT VITE ETEINTES. NOS COEURS SAIGNENTDE DOULEUR. MAIS C’EST L’APPEL DU SEIGNEUR.* Dédié a Kenza Squali de Fès à peine êgée de 19ans (étudiante à AlAkhaweyne) décédée le 13 mars 2010 suite a <strong>un</strong> accident de la circulation.“Inna lillah wa inna ilayhi rajioûne”.Mme Nezha Alami Talbi de LaracheLA JOUTIA DE BENAABAD s’étend sur <strong>un</strong>e aire de plusieurscentaines de mètres, non loin du stade m<strong>un</strong>icipal,à la lisière de la forêt Maâmora.Elle a empr<strong>un</strong>té son nom à la vieille Joutia qui se trouveen médina, à proximité d’<strong>un</strong> collège portant le mêmenom.. Contrairement à la vieille Joutia dont les activitéscommerciales s’étalent sur toute la semaine, l’autremarché aux puces ne se tient que le samedi etdimanche de chaque semaine.* LA NOUVELLE JOUTIA est considérée comme l’<strong>un</strong>des plus grands marchés aux puces du Maroc.C’est <strong>un</strong>e véritable caverne d’Ali Baba !Les vendeurs, à quelques exceptions près, déposentleurs marchandises à même le sol. On y trouve toutessortes de produits. Des plus simples aux plus sophistiquéset des plus anciens aux plus récents.DES ACHETEURS, en quête de produits rares et à basprix, viennent des différentes régions du pays. Si certainsvendeurs de la joutia de Benaâbad se frottent lesmains, ce n’est hélas pas le cas pour tout le monde.UN JEUNE VENDEUR qui attend avec impatience l’arrivéed’<strong>un</strong> acheteur ne comprend pas pourquoi il doits’acquitter d’<strong>un</strong>e taxe m<strong>un</strong>icipale de 5 dirhams alorsque les Services m<strong>un</strong>icipaux n’ont rien fait pour aménagercet espace. Il trouve que cette taxe n’est pas justifiée.Fatima-Ezzahrae Haïtof---( KÉNITRA )---* Il n’ y a pas plus durque de vivredans <strong>un</strong> monde pleinde pourriture humaine”Notre petite citéEl Gara rêve dedéveloppement* JE REMERCIE infiniment larubrique «L’Opinion desJe<strong>un</strong>es» de m’avoir acceptécomme l’<strong>un</strong> de ses fidèles lecteurs,d’<strong>un</strong>e <strong>par</strong>t, et aussid’avoir publié mes précédentspoèmes d’autre <strong>par</strong>t.* A CETTE OCCASION, je formulemes vœux de bonne réussiteà cette grande trib<strong>un</strong>e quinous permet d’exposer nosidées en toute liberté et évoquerdes sujets concernant la vie ensociété.Je saisis aussi cette occasionpour écrire sur ma ville natale «El Gara » (appelée Boucherouddans les années 60) et j’en suisfier <strong>par</strong>ce qu’elle fait <strong>par</strong>tie demon enfance, de ma je<strong>un</strong>esse,de ma vie...* EN EFFET, El Gara est <strong>un</strong>epetite ville située dans la régionde Chaouia Ouardigha éloignéede la capitale économiqued’environ 50 km. Mais comme<strong>beau</strong>coup de régions et de villesmarocaines, elle souffre de plusieursproblèmes qui entraventson développement économiqueet social.* Sur le plan social : la pauvretéà cause du manque d’emplois,la marginalisation de certainsquartiers <strong>par</strong> les travaux publicsau niveau de la restauration desrues... le manque de sécurité quiprovoque des agressions sévissanten plein jour, le manque demaisons de je<strong>un</strong>es, etc.* Sur le plan économique : pasd’usines ni d’empois, fortimpact de la corruption, manquede bonne citoyenneté dans lavie administrative.* IL EST VRAI, puisque je suisjaloux et très attaché à cetteville, j’incite sur l’instaurationd’<strong>un</strong>e politique sage, ferme etouverte de la <strong>par</strong>t de tous lespromotteurs sociaux responsablesde sortir El Gara de cesproblèmes.Rachid El Anz(Prof. à El Gara)(Région de Casablanca)Elles sont bienbonnes !* C'EST UNE DAME qui sort de chez le médecin :--- Zut ! je ne me rappelle plus si le docteur m'a dit Capricorneou Balance... Je vais être obligée de retourner levoir...De retour au cabinet médical, elle demande :--- Docteur, vous m'avez dit Capricorne ou Balance ?Le médecin répond : --- Cancer madame, cancer...* C'EST UN JEUNE HOMME qui dit à son vieux père :--- Dès demain je <strong>par</strong>s chercher du travail à Marseille, enFrance.Sur ces mots, le père lui répond :--- Tu verras, mon fils. Là-bas, il y a de l'argent <strong>par</strong>tout, ilsuffit de se baisser pour le ramasser.Le lendemain, le fils prend le bateau et arrive à Marseille.Il débarque et aperçoit sur le trottoir <strong>un</strong> billet de 500euros. Alors il se dit :--- Oh ! hé ! puis non, je ne commencerai que demain...Blagues proposées <strong>par</strong> :Samir El Ahmadi ---( AZROU )---UNE FLEUR ET UNE FEMMEUn taxi et <strong>un</strong>e femmeTous deux nous mènent quelque <strong>par</strong>t.Une fleur et <strong>un</strong>e femmeDeux authentiques œuvres d’art.Une l<strong>un</strong>e et <strong>un</strong>e femmeDeux diamants brillant dans le noir.Un portable et <strong>un</strong>e femmeÇa <strong>par</strong>le, ça <strong>par</strong>le et... ça <strong>par</strong>leUne télévision et <strong>un</strong>e femmeÇa <strong>par</strong>le de la vérité, du bien et du mal.Un oiseau et <strong>un</strong>e femmeLeur présence tellement remonte le moralUn livre et <strong>un</strong>e femmeDeux types d’enchantement qui temballent.Un café et <strong>un</strong>e femmeNi trop amerss, ni trop sucrésUn revolver et <strong>un</strong>e femmeDeux spécialistes de l’art de tuer avec le regardUn chef et <strong>un</strong>e femmeL’<strong>un</strong> commande les hommes,L’autre commande les deux, en formeUne belle petite île et <strong>un</strong>e femmeLe <strong>par</strong>adis... <strong>par</strong>tagé en deux.Abdeslam Slaoui---( KSAR EL-KÉBIR )---


Mardi 23 Mars 2010Halte à la multiplicationdes chiens errants !6FACTEURS ET LECTEURS UNIS JUSQU’A LA DERNIERE LETTRE !L’ODJ : <strong>un</strong>e présence permanente depuis 42 ans,au service de la je<strong>un</strong>esse de l’époque et de celle d’aujourd’huiLettre de MontréalCE N’EST PAS DE MA FAUTESI JE SUIS NÉ PAUVRE !• ON M’APPELLE : l’erreur. Ce n’est pas de mafaute d’être né enfant pauvre étant donné qu’on nechoisit pas ses <strong>par</strong>ents.Si j’avais le choix, je choisirais être fils d’<strong>un</strong> autrepeut-être <strong>un</strong> Cheikh arabe ou <strong>un</strong> baron.Cette maudite guerre injuste pour l’argent et l’ornoir m’a laissé seul sans famille, sans espoir.On me nomme “erreur” et ils disent : au nom dema religion, je serais capable de tuer sans pitié niémotion ! Non messieurs ! Ce n’est pas vrai. Jesuis <strong>un</strong>e erreur de votre propre création.Joignez-vous à moi, enfants pauvres de la terre,d’Asie, d’Afrique, d’Amérique et d’autres régions.En <strong>un</strong>e seule voix, criez : pitié pour ces mères qui,injustement, perdent leurs époux et leurs enfants.Vivez la belle vie, vous, alors que pour nous, c’estla torture. Vous êtes les seigneurs et nous, à vosyeux, sommes <strong>un</strong> tas d’ordures. Alors, cachezvousderrière votre : «C’est pour votre protection»!Sachez qu’<strong>un</strong> jour, vous serez victimes de votreaveugle illusion.Il y a de cela à peine <strong>un</strong> moisUn <strong>beau</strong> jour où s’était dressée devant moiUne princesse, fille d’<strong>un</strong> noble roiUn ange qui, de sa douce voix,Avait pris d’assaut mon cœur, ma foi...Dès lors, aurore, aube, jour ensoleilléCrépuscule ou nuit étoiléeVinrent tous illuminerMa douce et bienveillante destinée.De ton visage, la nuit, je rêveEt <strong>par</strong> ton <strong>sourire</strong> le soleil se lève.Un mois, n’est-ce autre qu’<strong>un</strong> jour, <strong>un</strong> soir ?Moi, vivant à présent éternellementDans <strong>un</strong> monde orné de gloireDans <strong>un</strong> monde fait de miroirsReflétant inlassablement et à tout momentUne seule et <strong>un</strong>ique image :Celle de ton resplendissant visage.Hymne à l’amour, hymne à la joieAinsi eus-je trouvé la voieMe menant vers toiA travers tous ces refletsSamedi dernier à RabatPOUR MON ADORABLEPAYS, LE MAROC* JE PENSE À TOI, ô pays pur, chaque fois que jeme sens seule. Ton océan de couleur bleue azurme sé<strong>par</strong>e de toi et me rappelle le deuil d’<strong>un</strong> êtrecher qui est mon père. Tout ce que je vois maintenantc’est son cercueil.Cher pays, ton soleil chaud me brûle le corps.Je t’aime encore malgré ton orgueil.Pourrai-je survivre sur cette terre loin de toi, desmiens et franchir le seuil du bonheur?Je t’ai quitté pour <strong>un</strong>e aventure.Aimerais-je <strong>un</strong> jour ce pays d’accueil ?Ni l’expérience ni la gloire ne me rendraient <strong>un</strong>jour l’espoir de voir la <strong>beau</strong>té divine de ta nature,ton grand désert et ses merveilles étincelantes.Sans ton <strong>par</strong>don, je vivrais le pire et serontempoisonnées toutes les feuilles qui me nourrissentde joie et de désir de te revoir peut-être <strong>un</strong>jour très proche...Aïcha Ben Al Arabi--- Montréal --- (CANADA)J’entre dans ton royaume en récitant des poèmesTraversant montagnes, collines et valléesArrivé enfin aux portes de ton Royaume.Au cours d’<strong>un</strong>e nuit froide et glacialeLe portail s’épanouit,ouvrant ses rem<strong>par</strong>ts de dédalesJ’entrais alors récitant des poêmesM’approchant de plus en plusDe ma douce bien-aimée.Alors, mes sentiments tel des flotsSe hâtèrent de courir vers cette fleurLes larmes jaillirent de mon cœurLentement, elle m’embrassa.Ainsi n’eus-je ressenti auc<strong>un</strong>e peurSoudain, <strong>un</strong>e main divine nous caressaCelle du Seigneur Tout-PuissantAyant béni notre rencontreEt d’<strong>un</strong> rayon éblouissant, il nous montraLe chemin, la voie du bonheur, de la joie.Hatim Tbaz(Lycée Sindibad / Olympiade)--- KÉNITRA ---Un carnaval afin de sensibiliser les élèvesde l’école Al Hanane à <strong>un</strong>e nutrition saine et équilibrée* DANS LA MATINÉE du samedi 20 mars 2010 etdurant trois bonnes heures, l’espace vert de l’AssociationRibat Al Fath à Rabat a vécu <strong>un</strong> événementhaut en couleurs... et en significations profondes.Il s’agit du Carnaval annuel des élèves de l’école AlHanane du quartier des “Orangers” placé cette fois-cisous l’appétissant thème : “Fruits, Légumes etSanté”. Un thème d’actualité en quelque sortepuisque cet événement-là a coïncidé avec la Journéeinternationale sans viande. Eh oui ! celà ne fait auc<strong>un</strong>mal à l’organisme de devenir végétarien l’espaced’<strong>un</strong> petit jour, en attendant plus !-- A 09h, on a assisté à la cérémonie d’ouverture,marquée <strong>par</strong> <strong>un</strong>e intéressante allocution prononcée<strong>par</strong> Mme Nadia Ouazzani, directrice de l’Ecole qui a<strong>par</strong>ticulièrement mis l’accent sur l’importance del’événement et souhaité la bienvenue aux <strong>par</strong>ents et àleurs enfants ainsi qu’aux personnalités invitées.Elle a tenu à remercier tous les <strong>par</strong>ticipants, les organisateurset l’Association Ribat Al Fath pour son hospitalité.Elle a <strong>par</strong> ailleurs insisté sur l’intérêt de laconsommation des fruits et légumes <strong>par</strong> les enfants.* LE CARNAVAL a débuté ensuite, <strong>par</strong> l’exécution dedanses <strong>par</strong> des enfants (habillés de manière originalearborant différentes couleurs châtoyantes). Les chansons,elles, étaient thématiqument bien choisies, rappelantaux <strong>par</strong>ents présents leur belle enfance, à traversla célèbre : “Savez-vous planter les choux ?”.Il y avait aussi :“Salades et fruits”, “Croquez leslégumes” (des chansons françaises conçues récemmentdans l’Héxagone afin d’inciter les gens à comprendreles incom<strong>par</strong>ables bienfaits de la consommationdes fruits et des légumes).Côté animation et organisation, c’était <strong>par</strong>fait : Oninvitait les <strong>par</strong>ents à <strong>par</strong>ticiper au Carnaval des bambinset à savourer ces délicieux moments de nostalgieen chantant et en dansant en même temps queleurs petits. Quant à Mme Ouazzani, elle avait l’œilouvert sur tous sur les enfants et ne s’est même pasdonné le moindre petit moment de répit et ce, afin deveiller au grain au bon déroulement de toutes lesséquences de ce Carnaval.En passant, j’ai recueilli des témoiganges de <strong>par</strong>entsqui ont fait l’éloge de l’Ecole et de sa formation, ainsique de sa restauration et ses repas dont le choixvarié est minutieusement étudié afin de répondre auxcaprices de notre je<strong>un</strong>e progéniture.* EN CONCLUSION, je dirai que <strong>par</strong>ents et enfantsont terminé la matinée <strong>par</strong> <strong>un</strong>e danse attrayante enreprenant <strong>un</strong> refrain bien connu : “Croque, croque leslégumes”.Ainsi, après avoir croqué la vie à belle dents, l’espaced’<strong>un</strong>e petite matinée, tout le monde a donc reprisle chemin de la maison satisfait et heureux d’avoirpassé <strong>un</strong> moment agréable de divertissement.Souâd Laâzouzi• LES HABITANTS du quartier Ouled Oujih à Kénitra,se sentent menacés <strong>par</strong> la présence de hordes dechiens errants dont le nombre ne cesse d’augmenterau fil du temps. Ce qui présente <strong>un</strong> danger pour lapopulation, <strong>par</strong>ticulièrement les fidèles qui se rendentle matin aux mosquées pour la prière du Sobh.A ajouter à cela tout le désagrément que cela comporte,à travers leurs aboiements incessants quidéchirent le silence de la nuit.A ce que je sache, dans le temps, il y avait <strong>un</strong>e brigadecomposée d’agents m<strong>un</strong>icipaux qui <strong>par</strong>couraienttoute la ville avec <strong>un</strong>e cage attelée à <strong>un</strong> muletpour “attraper” tous les chiens errants.De nos jours, ces derniers se baladent librement...Lahbib Hamdi---( KÉNITRA )---* “La vie est <strong>un</strong> bonet instructif livre mais nuisiblepour ceux qui ne savent pasle lire correctement”LETTRE À MON FILSAide-moi à finir ma viedans la sérénité et le calme...* PATIENCE, MON CHER FILS ! le jour où tu trouverasque je suis devenu vieux, essaie d’avoir de la patiencedans ton comportement avec moi. Si <strong>un</strong> jour, je mesalis en mangeant, sois patient avec moi. Si je ne melave plus aussi souvent, ne me primande pas et ne medis pas que c’est <strong>un</strong>e honte ! S’il m’arrive à l’occasionde manquer de mémoire, laisse-moi <strong>un</strong> peu de tempspour me souvenir.Si <strong>un</strong> jour, je répète la même chose des dizaines defois, ne m’interrompts pas. Seulement, écoute-moi.Lorsqu’<strong>un</strong> jour mes jambes ne me permettront plus dese déplacer comme avant, aide-moi de la même manièreque je tenais tes petites mains pour t’apprendre à fairetes premiers pas et quand <strong>un</strong> jour je te dirai que je veuxmoirrir ne te fâche pas...Un jour, tu comprendras lorsque tu seras aussi dansmon cas.Mon cher fis, aide-moi à terminer ma vie avec amour etsérénité. Je compte sur te patience.Ton père :Omar Bouâzza---( BIR JDID )---* “Le <strong>par</strong>don est <strong>un</strong>e chosecurieuse :il réchauffe le cœuret rafraîchit la blessure”De je<strong>un</strong>es lycéens dénichent<strong>un</strong>e idée pour servir et ne pasgarder les bras-croisés* NOUS SOMMES <strong>un</strong> groupe de je<strong>un</strong>es lycéens (garçonset filles) de Rabat dont l’âge moyen est 16 ans.Nous avons l’ambition d’aider notre société en <strong>par</strong>ticipantaux œuvres sociales à notre manière, et ce, endonnant des cours à des tarifs très symboliques --notre but est loin d’être commercial -- et en aidant lesgens à être servis chez eux, comme cela se fait dansd’autres pays développés.Notre action est axée sur des cours de soutien scolaire(à domicile : 70 dh -- en groupe : 50 dh) à donneraussi à des enfants en bas- âge, organiser <strong>un</strong> anniversaireou tout autre événement, s’occuper de faire descourses ou garder des enfants dans la limite de notretemps disponible.Notre e-mail à l’intention des couples qui veulent faireappel à notre service social est le suivant :j.jesp@yahoo.comGSM : (06)-48-87-75-91Merci de votre soutien à notre action, ce qui nouspermettra à nous aussi d’avoir <strong>un</strong> peu d’argent depoche.Un groupe de je<strong>un</strong>es ambitieux--- RABAT ---* “Ce qui est passé est fini,ce que j’espère est absent...mais le présent est à moi,pleinement à moi”La médisanceSport favori de ceux quin’ont rien d’utile à faire* IL Y A EN SOCIÉTÉ de ces énergumènesqui ne trouvent leur plaisir, voireleur repos moral, qu’en colportant descommérages fabriqués de toutes piècessur les autres.Ces autres-là qu’ils ne connaissent <strong>par</strong>foisni d’Eve ni d’Adam mais qu’ils tiennenttout de même à égratigner de leursflèches empoisonnées et cela, bien entendu,en l’absence de leurs pauvres victimesdu jour !Ainsi, les infatigables colporteurs deragots -- remarquez que ce mot est tiré duvieux verbe « ragoter » qui n’est plus usitéet qui signifie tout simplement : grognercomme <strong>un</strong> sanglier -- font des mains etdes pieds pour nager dans toutes les eauxtroubles disponibles ! mais tout en éclaboussantfroidement des gens honnêteset propres dont le seul crime est de s’êtretrouvés <strong>un</strong> jour sur leur passage ou dansleur ligne de mire.* LES COMMÉRAGES sont donc pour cesindividus plus qu’<strong>un</strong>e mauvaise habitudeou <strong>un</strong> passe-temps maladif.Ils constituent à leurs yeux <strong>un</strong> véritableplaisir auquel ils ont goûté et dont ils nepeuvent plus se passer, tellement ils ensont devenus dépendants à force d’entraînerleur langue à commettre ce «délicieux»et non moins sinistre méfait.Par conséquent, seule <strong>un</strong>e cure de désintoxicationpour ces types, en empr<strong>un</strong>tantle droit chemin de s’occuper essentiellementde ce qui les touche (ce qui lesregarde surtout), est à même de les sortirdu marécage des racontars et de la bouedes bavardages stupides et sans lendemain.En priant aussi pour que le Tout-Puissantles débarrasse au plus vite de cetteenivrante saleté de l’âme qu’ils reniflent àlongueur de journée.Mo<strong>un</strong>ir RAHMOUNI* "Faire des éloges à outranceest flatterie. Taire les méritesd'autrui est incapacité ou jalousie".Citations de Ali Ibnou Abi TalibCertains mendiantssavent se remplir les poches !• PRIER, IMPLORER, SUPPLIER,... tous les moyenssont bons pour soutirer quelques pièces et pourquoipas carrément <strong>un</strong> billet ?!Un flot d’hommes, de femmes et même d’enfants «travaillent»ainsi du matin au soir, chac<strong>un</strong> dans leur secteur.Infatigablement, ils <strong>par</strong>courent comme des ombresindomptables les différentes artères et rues des villesmarocaines.Des enfants, des vieillards et même des personnesmalades, sont également enrôlés pour mieux apitoyerles passants les plus circonspects.Pour faire <strong>un</strong> maximum de bénéfices, les méthodes demendicité se MODERNISENT incontestablement etrégulièrement ; les mendiants utilisent à chaque fois denouvelles techniques.Fatima-Zahra de Kénitra* P. S : : J’espère qu’<strong>un</strong> jour il n’y aura plus de mendiantset que la mendicité dis<strong>par</strong>aîtra à plus jamais denos rues. Elle blesse la vue...CONNAISSEZ-VOUS “LA DERNIERE” ?* DEUX FOUS ERRENT dans le désert depuisplusieurs jours. Ils meurent de soif.--- J'ai <strong>un</strong> truc infaillible pour lutter contre la soif,déclare le premier.--- Ah oui ! c'est quoi, interroge le second.--- Il faut sucer des cailloux.--- Alors c'est foutu ! Ici il n'y a que du sable àperte de vue et pas de cailloux.Un long silence. Et puis les deux naufragés dudésert reprennent leur pénible progression sur lesd<strong>un</strong>es brûlantes.--- On serait sauvés si on trouvait <strong>un</strong>e rivière !s'exclame soudain le second fou.--- Tu as raison, répond le premier. Au fond desrivières il y a toujours des cailloux...Blague proposée <strong>par</strong>Mlle Hakima El Alami---( AL HOCEIMA )---

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