Nuit Blanche 2012 : le programme
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80. ÉGLISE<br />
SAINT-LOUIS-EN-L’ÎLE<br />
BENJAMIN ALARD<br />
MARATHON BACH IMPROVISÉ<br />
PERFORMANCE MUSICALE<br />
Lors de ce marathon improvisé, Benjamin Alard fait résonner<br />
<strong>le</strong> grand orgue de l’église Saint-Louis-en-l’Î<strong>le</strong> avec des<br />
transcriptions et improvisations autour d’œuvres de<br />
Johann Sebastian Bach.<br />
www.saintlouisenli<strong>le</strong>.catholique.fr<br />
PROJET ASSOCIÉ<br />
Avec <strong>le</strong> soutien de Art Culture et Foi<br />
19 bis rue Saint-Louis-en-l’Î<strong>le</strong> | Paris 4 e | M° Pont-Marie |<br />
de 22 h à 2 h |<br />
81. PAVILLON DE L’ARSENAL<br />
À l’intérieur, « l’Atlas nocturne participatif » présente une<br />
cartographie interactive et en trois dimensions des 200<br />
lieux de <strong>Nuit</strong> <strong>Blanche</strong> alimentée en temps réel par <strong>le</strong>s<br />
photos publiées par <strong>le</strong>s promeneurs de <strong>Nuit</strong> <strong>Blanche</strong> sur<br />
<strong>le</strong>s réseaux sociaux. Participez en publiant vos photos via<br />
Twitter avec <strong>le</strong> hashtag #nuitblanche.<br />
www. susplugas.com www.pavillon-arsenal.com<br />
Avec <strong>le</strong> soutien de EDF, Goog<strong>le</strong>, JCDecaux, Ultranoir.<br />
Remerciements Bibliothèque de l'Arsenal (BNF) et Pavillon de l'Arsenal.<br />
21 bou<strong>le</strong>vard Morland | Paris 4 e | M° Sully-Morland / Bastil<strong>le</strong> |<br />
de 19 h à 7 h | accès « Atlas nocturne participatif » :<br />
21 bou<strong>le</strong>vard Morland : | accès « Light House II » place<br />
Teilhard de Chardin :<br />
82. GARDE RÉPUBLICAINE -<br />
CHŒUR DE L'ARMÉE FRANÇAISE<br />
LA FANFARE DE CAVALERIE, LES TROMPES DE<br />
CHASSE, LA MUSIQUE DE LA GARDE RÉPUBLICAINE<br />
PERFORMANCE MUSICALE<br />
PARCOURS INVISIBLE<br />
E. HOMMAGE À ARAGO<br />
JAN DIBBETS, 1994<br />
De l’avenue de la Porte Montmartre à la Cité universitaire,<br />
l’artiste Jan Dibbets a suivi la ligne du méridien de Paris pour<br />
créer une œuvre anti-monumenta<strong>le</strong> à l’échel<strong>le</strong> de toute une<br />
vil<strong>le</strong>, disposant dans <strong>le</strong> sol 122 médaillons de bronze.<br />
F. LA POMPE<br />
DE LA SAMARITAINE<br />
Sur <strong>le</strong> Pont-Neuf se trouvait jusqu’en 1813 la principa<strong>le</strong><br />
pompe alimentant <strong>le</strong>s Parisiens en eau. El<strong>le</strong> avait été baptisée<br />
Pompe de la Samaritaine à cause de son décor sculpté<br />
représentant la rencontre de Jésus et de la Samaritaine au<br />
Puits de Jacob.<br />
I. L’ÉLÉPHANT<br />
DE LA BASTILLE<br />
Pour orner la place de la Bastil<strong>le</strong> après la Révolution,<br />
Napoléon envisagea une fontaine surmontée d’un éléphant<br />
géant en bronze doré, devant mesurer plus de 24 m de haut<br />
et peser près de 170 tonnes. Le projet disparut avec l’Empire.<br />
Jeanne Susplugas, Light House II, 2011. Aluminium, LED, dimensions 1 m 84 x 2 m 36<br />
(1 m 70 diamètre). Pièce unique. © Jeanne Susplugas, 2011<br />
JEANNE SUSPLUGAS<br />
LIGHT HOUSE II, 2011<br />
INSTALLATION<br />
ATLAS NOCTURNE PARTICIPATIF<br />
INSTALLATION NUMÉRIQUE<br />
Sur <strong>le</strong> parvis, la « Light House II », une cage monumenta<strong>le</strong> de<br />
lumière, symbolise un lieu intime, où l’on se tient soi-même<br />
en otage de ses propres addictions (médicaments, drogues,<br />
comportements compulsifs).<br />
Concerts des différentes formations musica<strong>le</strong>s de la Garde<br />
Républicaine et visite de la sal<strong>le</strong> des Traditions (musée).<br />
www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/garde_republicaine<br />
PROJET ASSOCIÉ<br />
18 bou<strong>le</strong>vard Henri-IV | Paris 4 e | M° Sully-Morland / Bastil<strong>le</strong> |<br />
de 20 h à minuit | performance musica<strong>le</strong> de 20 h à 22 h |<br />
G. LES MOULINS FLOTTANTS<br />
DU PONT AU CHANGE<br />
Tout juste en amont du pont au Change se trouvaient au<br />
Moyen Âge plusieurs dizaines de moulins flottants rattachés<br />
à la rive par des passerel<strong>le</strong>s. Utilisant <strong>le</strong> courant de la<br />
Seine pour moudre <strong>le</strong> blé, ils fournissaient ainsi <strong>le</strong>s<br />
Parisiens en farine.<br />
H. LE PONT<br />
NOTRE-DAME HABITÉ<br />
Jusqu’à la fin du XVIII e sièc<strong>le</strong>, la plupart des ponts du centre<br />
de Paris, comme <strong>le</strong> pont Notre-Dame, étaient couverts de<br />
maisons, si bien que l’on pouvait alors traverser la vil<strong>le</strong> du<br />
nord au sud sans même s’apercevoir que l’on traversait<br />
un f<strong>le</strong>uve.<br />
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