Bibliographie sommaire - vingolato.be

nourriture. Pour plus de détails, voir Ruelle (2002).].
Eytorff, J.-M. 1983. Mutations de couleurs chez les indigènes.
Le Journal des Oiseaux 169 : 23-24. [Mon ami Jean-Michel avait
fait le point sur les mutations de couleurs chez les indigènes,
notamment chez la Linotte mélodieuse, Carduelis cannabina, pour
laquelle il n’y a encore aucune mutation officiellement reconnue
à la date de rédaction de ma bibliographie. Dans sa revue
de septembre 2004, l'Association Ornithologique de Belgique ne
reconnaît aucune mutation à cette espèce].
Faivre, J. 1988. Des oiseaux de chez nous : la Linotte mélodieuse.
Les Oiseaux du Monde 57 : 25-26. [Belle étude tant dans la
nature qu’en volière de la Linotte mélodieuse, Carduelis
cannabina.].
Fallon, F. 1875. Monographie des oiseaux de la Belgique.
Dupiereux, Namur. [Etude d'un pionnier de l’Ornithologie en
Belgique.].
Federazione Ornicoltori Italiani. Commissione Tecnica Nazionale.
Noms italiens des oiseaux indigènes, exotiques et hybrides.
Dossier en date du 13/09/91.
Fernandez-Cruz, M. et al. 1985. Situacion de la Avifauna de la
Peninsula Iberica Baleares y Macaronesia. Sociedad
Espanola de Ornitologia, Madrid. [Situation de l’avifaune
espagnole en 1985 tant sur le continent que dans ses îles.].
Fitter, R.S.R. and R.A. Richardson. 1951. Song-and dislay-flights
in the Linnet. British Birds 44/1: 16. [Tout d’abord une faute
de frappe dans le titre de l’article: dislay pour display, je
présume. Le chant et le vol nuptial chez la Linotte mélodieuse
Carduelis cannabina sont observés à de nombreuses reprises par
les auteurs dans le nord du Norfolk, Royaume, au cours de
l’année 1950 et les auteurs estiment que ce vol nuptial est plus
commun que l’on ne croit généralement. Le chant est souvent
lancé du sommet d’un arbuste, d’une ligne télégraphique, d’un
fil électrique. Je partage entièrement les remarques des auteurs
car, dans les années 1966-1972, j’ai suivi deux colonies de
Linottes mélodieuses dans des ronciers parsemés d’orties. Les
Linottes mélodieuses y nichaient en petites colonies de 15 à 20
couples et il était fréquent que les mâles se livrassent à leur
vol nuptial à partir d’une ronce ou l’autre.]. L’un des
ronciers était situé sur un petit terril abandonné et fait de
résidus d’exploitation de charbonnage, l’autre était abrité sur
les parois d’un ancien chemin de charretier, encaissé entre deux
champs, servant autrefois au charroi de betteraves sucrières
vers la sucrerie de Fexhe-le-Haut-Clocher. Ce chemin encaisse
est largement envahi de végétation où prédominent les ronces et
orties. Il est toujours situé sur le territoire de l’ancienne
commune de Horion-Hozémont, actuellement Grâce-Hollogne,
Province de Liège et est largement comblé d’immondices (!). A
cette époque, j’ai essayé, en vain, de faire protéger le site et
de le faire clôturer afin d’y empêcher le dépôt sauvage
d’immondices. Dans ce site, nichaient également de petites
populations de Bruant jaune et de Tourterelle des bois, de nos
jours considérées comme espèces fort fragiles ou menacées. Cf
sous Godin dans la présente bibliographie. Cf également sous
Ruelle, 1961 dans la présente bibliographie.1].
Fiuczynski, D. 1961. Der Berghänfling (Carduelis flavirostris) als
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