bibliographie commentee relative aux verdiers d'europe - vingolato.be

Verdier d'Europe, Carduelis chloris et ses congénères
asiatiques.].
Vaurie, Ch. 1956. Systematic Notes on Palearctic Birds n° 19.
Fringillidae: the genera Fringilla, Serinus, Carduelis and
Acanthis. American Museum Novitates n° 1775. [Taxinomie sur
ces genres et notamment les Verdiers, Carduelis chloris, par
le grand systématicien Charles Vaurie.].
Vaurie, Ch. 1959. The Birds of the Palearctic Fauna.
Passeriformes. Witherby Ltd, London. [Les oiseaux de la
Faune du Paléarctique, ouvrage classique du grand
taxinomiste, lequel fait toujours autorité actuellement.
Le Verdier d'Europe, Carduelis chloris fait l'objet de cette
œuvre parmi d'autres espèces.].
Vaurie, Ch. 1972. Tibet and its birds. H.F. & G. Witherby,
London. [Une des rares oeuvres consacrées à l’avifaune du
toit du monde, par le grand systématicien Charles Vaurie.
Les Verdiers sont concernés par cette œuvre dont Carduelis
sinica, Carduelis ambigua, Carduelis spinoïdes, les Verdiers
de Chine, à tête noire et de l'Himalaya.].
Verbesselt, H. 1985. Groenling (Chloris chloris). De Witte
Spreeuwen 5: 280-281. [Etude sur le Verdier d’Europe,
Carduelis chloris, en captivité.].
Vercauteren, P. 1984. Onderzoek naar predatie bij vrijstaande
nesten. De Giervalk 74: 327-360. [Etude exhaustive parue
dans Le Gerfaut (nom français de l’organe de l’I.R.S.N.B.)
sur la mortalité au nid des pulli lors de la reproduction,
dont le Verdier d'Europe, Carduelis chloris.]..
Verheyen, R. 1941-1942. Etude des formes géographiques de la
Faune Ornithologique belge. Bulletin du Musée Royal
d’Histoire Naturelle de Belgique. Tome XVII, n° 15, 16-17;
33 et 51; tome XVIII, n° 11. Dont le Verdier d'Europe,
Carduelis chloris.].
Verheyen, R. 1955. Over de trek van de Groenvink, Chloris
chloris (L.) in en door België. Le Gerfaut 45: 173-184.
[Cet auteur a déterminé que le couloir de migration ne
dépasse pas 325 km en largeur. Le Verdier d'Europe,
Carduelis chloris, d'origine belge semble appartenir à la
catégorie des migrateurs facultatifs. Les migrateurs, tant
jeunes qu’adultes, s’orientent suivant la direction
N.E./S.O. La plupart des Verdiers indigènes sont
sédentaires et, habituellement, leurs excursions erratiques
à l’arrière saison n’excèdent guère un rayon de 50 km. La
masse des Verdiers d’origine étrangère est de passage en
octobre-novembre, rarement plus tôt. Ces migrateurs
repassent surtout en avril mais aussi en mai. Quelques uns
hivernent dans nos régions. Nos Verdiers indigènes se
reproduisent dans leurs contrées natales que certains
réintègrent dans le courant du mois de mai seulement. Ces
lignes méritent d’être amendées en ce sens qu’elles ont été
rédigées en 1955. C’est ainsi qu’actuellement nos Verdiers
regagnent leur canton de reproduction beaucoup plus tôt.
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