PREVENTION des risques - Ville d'Oullins

DOSSIER
Regard sur...
PREVENTION
DES RISQUES MAJEURS
Inondations,
mouvements de
terrain, rupture de
barrage, risques
industriels...
De l'identification
à la gestion
des risques
LE DICRIM
(Document d’Information Communal
sur les Risques Majeurs)
Ce document permet d'informer
les Oullinois sur :
> les risques naturels et
technologiques de la commune,
> les mesures de prévention, de
protection et de sauvegarde,
> les moyens d’alerte,
> les consignes de sécurité à
respecter.
Disponible sur www.ville-oullins.fr
Comme de nombreuses
communes, Oullins est soumise
à des risques naturels et
technologiques qui peuvent
être plus ou moins dangereux,
plus ou moins fréquents.
Dans un souci de sécurité,
la Ville et ses partenaires
agissent sur deux fronts : la
mise en œuvre de mesures
visant à diminuer ces risques
et l'information des riverains.
Récemment, la Ville a publié un
document destiné au grand public.
La Loi du 22 juillet 1987, précise que
tout citoyen a le droit de connaître les risques
majeurs auxquels il est exposé, les dommages
prévisibles, les mesures préventives qu'il
peut prendre pour réduire sa vulnérabilité
ainsi que les moyens de protection et de secours
mis en œuvre par les pouvoirs publics.
Toutes ces informations sont recensées dans
le Document d’Information Communal sur
les Risques Majeurs (DICRIM) a été publié
par la Ville mais aussi dans le Dossier Départemental
des Risques Majeurs (DDRM)
disponible en préfecture et sous-préfecture.
Si les pouvoirs publics ont l'obligation d'informer
la population, chaque citoyen doit
connaître son environnement de vie et ainsi
adopter un comportement responsable face
aux risques.
Pour notre territoire, l'Etat a élaboré deux
Plans de Prévention des Risques Naturels
(PPRN) qui identifient les zones à risques
sur la commune. Elles s'imposent dans le
Plan Local d'Urbanisme. Par ailleurs, l'Etat
établit actuellement un Plan de Prévention
des Risques Technologiques.
"Les zones concernant les risques industriels
font actuellement l'objet d'un travail mené
par les services de l'Etat. Elles sont redéfinies
en fonction de la distance par rapport
aux sites et diminuent les possibilités de
construction. Le tracé court du TOP soutenu
par le Grand Lyon, et contre lequel nous
nous mobilisons, passerait sur une zone à
risque industriel. Il s'agit d'un ouvrage qui
accueillera 70 000 véhicules par jour. C'est
pour moi une aberration", soutient Marc
Filiu, conseiller municipal délégué à l'environnement
et au développement durable •
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