Les Travaux Publics - Informetiers

Coups d’œil sur…
Les Travaux Publics
en Bretagne et Pays de la Loire
Spécial CDI-
Salle des profs
Travailler en plein air ou dans un bureau, concevoir une route ou construire un pont, organiser un
chantier, conduire un engin... Les travaux publics offrent un large éventail d’activités.
Le secteur n’a pas toujours bénéficié d’une bonne image mais aujourd’hui les conditions de travail
se sont nettement améliorées et les métiers ne sont pas sans atouts : pas de monotonie car jamais
deux chantiers ne se ressemblent, le travail se fait toujours en équipe et les possibilités de faire
carrière rapidement sont bien réelles quel que soit le niveau de qualification au départ.
Et côté formations, il y en a également pour tous les goûts, du CAP au diplôme d’ingénieur en
passant par le bac techno et le BTS. Chacun peut trouver une formation à son niveau et dans le
domaine de son choix...
VRAI/FAUX ?
Dans les travaux
publics, le travail est
répétitif ? FAUX
Les travaux publics
sont ouverts aux
femmes ? VRAI
nombreuses entreprises et
centres de formation sont
prêts à les accueillir.
Spécialistes des techniques
de construction,
les professionnels des
TP emploient leurs
savoir-faire pour créer
des ouvrages qui ne se
ressemblent jamais. Le
travail est toujours varié,
un chantier n’est jamais
identique à un autre.
Les configurations sont
toujours différentes, les
imprévus souvent au
rendez-vous : le salarié
TP, quelle que soit sa
fonction, doit à chaque
fois s’adapter, innover. En
plus, les salariés des TP
ont la fierté de pouvoir
montrer à tous l’ouvrage
qu’ils ont construit et la
satisfaction d’avoir participé
à des réalisations
qui vont durer plusieurs
générations.
L’évolution des techniques
fait que les métiers
des travaux publics ne
sont plus réservés aux
hommes. Les engins
rendent le travail sur le
chantier de plus en plus
technique et de moins en
moins physique. L’aménagement
des chantiers avec
par exemple des vestiaires
pour les femmes enlève
un autre obstacle à l’accès
des femmes à ces métiers
longtemps réservés aux
hommes. Aujourd’hui, on
trouve surtout des femmes
dans les fonctions
d‘encadrement (conductrices
de travaux), dans
les bureaux d’études
et dans les fonctions
technico-commerciales.
Parions que demain elles
vont aussi investir les
métiers d’exécution. De
Les métiers sont
durs ? VRAI et FAUX
Il ne faut pas confondre
résistance physique
et force physique. Les
métiers des TP restent
des métiers physiques
et il faut une certaine
résistance physique pour
supporter de travailler
dehors mais il n’est pas
nécessaire d’être grand
et fort pour autant. Les
conditions de travail se
sont beaucoup améliorées
: les équipements
et les vêtements sont de
plus en plus confortables
et protègent efficacement,
les charges lourdes sont
soulevées et déplacées à
l’aide d’engins miniaturisés,
les vestiaires et sanitaires
se sont énormément
améliorés.
Les travaux publics,
un secteur qui
recrute ? VRAI
Actuellement, les entreprises
de TP recrutent
chaque année 30.000
nouveaux collaborateurs.
La bonne conjoncture
n’est pas la seule cause.
Compte tenu du déséquilibre
de la pyramide
des âges (de nombreux
départs en retraite sont
prévus dans les années
à venir), les entreprises
de TP auront besoin de
recruter 7.000 jeunes
chaque année et jusqu’en
2010. Or seulement 4.000
jeunes sortent des formations
aux métiers des
Travaux Publics chaque
année.
ECLAIRCIES N°58
JANVIER
2004
© Onisep Bretagne 1

La topographie : un outil indispensable.
A savoir...
➜ Diversité
Le secteur des travaux publics recrute et
offre toute une panoplie de métiers. On
peut travailler en bureau d’études ou sur
le chantier. On peut conduire une grue,
étudier le tracé d’une route, ou encore
organiser un chantier...
Quant aux chantiers, ils sont variés. Il
y a les chantiers de terrassement, de
canalisations, de voie ferrée, les travaux
maritimes, la construction de routes... Et
chaque projet est différent : les ouvrages,
les délais, le terrain... ne sont jamais les
mêmes, ni les imprévus !
➜ Faire carrière dans les TP
Plus le niveau de formation atteint est
important, plus les responsabilités dans le
futur poste seront également importantes.
Mais la relation entre la fonction occupée
et le diplôme n’est pas automatique. «On
peut évoluer, explique M. Dupont, chef de
chantier à la SACER. (...) J’ai commencé
à la pose de bordures et de canalisations,
puis j’ai travaillé comme régleur fi nisseur,
puis chef d’équipe et maintenant, je suis
chef de chantier.»
Les travaux publics restent un secteur où
l’expérience est un atout important et où
la progression est possible à l’intérieur de
l’entreprise. Un ouvrier embauché avec un
CAP Constructeur de routes peut avec de
l’expérience et s’il a les qualités humaines,
devenir chef d’équipe puis chef de travaux,
voire en fi n de carrière conducteur de
travaux. A l’inverse, un ingénieur INSA peut
débuter sur un poste de chef d’équipe afi n
de s’imprégner des réalités du terrain.
➜ 35 heures.
Dans les travaux publics, il y a des délais
à respecter. Suivant les chantiers et la
météo, certaines périodes peuvent être
plus chargées que d’autres. On ne fi nit
pas forcément sa journée à heure fi xe.
Lorsqu’on rénove un tronçon de route,
par exemple, il faut fi nir le travail tant que
l’enrobé est chaud. Cependant, avec les
35 heures, les journées de travail sont
aujourd’hui moins chargées et les heures
faites en plus sont récupérées.
Des entreprises...
Le service des Grands Travaux
à la DDE
Avant de construire la route que
vous prenez tous les jours, il a fallu
réaliser de nombreuses études. A la
DDE de Rennes, le service des Grands
Travaux gère la construction des
routes nationales dans le département,
de la conception du projet jusqu’à la
fin des travaux. Avant de lancer les
travaux, il réalise une série d’études
et de procédures. Il faut rechercher le
meilleur itinéraire, considérer le site,
rencontrer les riverains... le tout dans
un cadre administratif très précis.
«Le délais de procédure se chiffre en
années. Pour les travaux importants,
cela peut aller jusqu’à dix ans»,
précise Michel Jamet, responsable du
service.
TSO, un entrepreneur de voie
ferrée
L’entreprise TSO est spécialisée dans
la construction, la pose et l’entretien
des voies ferrées. C’est à elle qu’a été
confiée la réalisation d’une ligne de
voie ferrée du tramway Nantais. Une
opération qui fait appel à des savoirs
bien spécifiques et des technologies
avancées. Pour constituer la voie,
des rails en acier profilé sont mis
bout à bout sur deux files parallèles.
Chaque rail mesure 18 mètres de long
à installer d’un seul tenant. Un tour de
force mais aussi une opération délicate
qui exige une précision sans faille.
«Cela se joue à 2 mm près», souligne
Jean-Claude Butstraen, directeur de
projet chez TSO.
SACER : un groupe national qui
réalise des infrastructures routières,
des sols industriels et sportifs,
des aménagements urbains.
L’activité de l’agence de Rennes de la
SACER se partage entre deux grands
types des travaux.
En voirie et réseaux divers, elle peut
installer des réseaux d’assainissement,
par exemple, ou construire un rond
point ou encore créer une plate forme
pour un grand magasin ou un site
industriel.
En mise en œuvre de revêtements
enrobés, il s’agit le plus souvent
de travaux de réfection de routes
existantes. Les chantiers de construction
de routes neuves sont plus rares. Quand
les travaux ont lieu sur des rocades
ou des quatre voies, il faut souvent
travailler de nuit et être très vigilant sur
la sécurité. «A la différence du bâtiment
où les équipes s’installent pour
plusieurs mois, nous, nous bougeons
tout le temps, explique Joël Thomas
chef d’agence .Chez nous, la moyenne
nationale de durée des chantiers est de
sept jours. Organisation et réactivité
sont les maîtres mots de nos métiers.»
EGC : une entreprise spécialisée
dans les canalisations et la construction
de stations d’épuration
Les canalisations représentent un
patrimoine énorme avec pas moins
de 850 000 km de canalisations
d’eau potable et 250 000 km de
réseau d’assainissement d’eaux
usées. Aujourd’hui, on est dans un
phase de rénovation de l’ensemble
du réseau et demain il faudra rénover
les réseaux d’eaux pluviales. L’avenir
semble assuré pour les entreprises
travaillant dans ces spécialités mais la
concurrence est rude. Les délais sont
serrés, il faut que ça aille vite et bien,
dans un contexte environnemental
très contraignant. «Un chantier bien
préparé, est un chantier gagné»
explique M. Laidin, directeur d’EGC
située à Questembert. La visite d’un
chantier de construction d’une station
d’épuration actuellement réalisée
par l’entreprise en apporte la preuve.
Un jeune conducteur de travaux,
Bruno Hay présente le chantier et les
professionnels à l’œuvre. Les mots
clefs : autonomie, responsabilité,
technicité, expérience, savoir-faire…
et un véritable travail en équipe.
CEGELEC Rennes : les travaux
publics sur les réseaux électriques
«Nos vieux métiers d’électriciens de
réseaux remontent à l’après-guerre,
où il fallait reconstruire et électrifier
le pays» explique M. Cadiou directeur
de l’agence de Rennes où 130 salariés
travaillent dans le secteur des travaux
publics électriques.
C’est essentiellement EDF qui produit
l’électricité et assure la distribution
haute tension du courant électrique
© Onisep Bretagne 2

mais elle sous-traite 95% de ses
travaux d’installation, de maintenance
et de réparation à des entreprises
comme CEGELEC. Cette dernière
réalise, à titre d’exemple, la rénovation
et réparation des réseaux électriques,
l’installation d’un réseaux électrique
d’un nouveau lotissement… mais
également l’installation des réseaux
dans les entreprises. Les monteur
de réseaux électriques creusent les
tranchées d’après les plans établis par
les ingénieurs et les techniciens du
bureau d’études, tirent les câbles et
effectuent les raccordements. C’est «un
travail physique même si les travaux
sont de plus en plus mécanisés[…]
les ouvriers sont complètement leur
patron sur le chantier» et ils disposent
de beaucoup d’autonomie, précise M.
Cadiou.
Des métiers...
Constructeur en canalisations
de travaux publics
Cet ouvrier professionnel est capable
de réaliser et d’entretenir les réseaux
de canalisations pour l’apport d’eau
potable, la distribution d’eau industrielle,
la collecte d’eaux usées. Il
réalise de petits ouvrages de génie
civil annexes à ces réseaux. Il assure
la pose d’accessoires de fontainerie et
d’équipements hydrauliques des stations
de captage et de stockage…Il sait
également installer des canalisations
pour le passage de conducteurs électriques,
de réseaux de télé ou de vidéocommunication
et pour le transport du
gaz. Il travaille dans des entreprises
effectuant aussi bien des travaux neufs
que des travaux d’amélioration et d’entretien.
Les possibilités d’évolution
vers des fonctions de chef d’équipe, de
chef de chantier voire de conducteur
des travaux sont réelles. Et le travail
ne manque pas : il y a en France plus
de 800 000 km de canalisations d’eau
potable, soit deux fois la distance de la
terre à la lune !
Conducteur de travaux
Une fonction qui recouvre des réalités
très différentes selon la grandeur et
la technicité des chantiers. C’est un
métier aux multiples facettes : administratives,
techniques et relationnelles.
A partir d’un dossier technique, le
conducteur de travaux peut être amené
à déterminer le prix de l’offre que fera
l’entreprise. Une fois le marché conclu,
c’est lui qui doit le mener à bien dans
les délais et les coûts fixés. Chaque
chantier est ainsi une mini entreprise
dont il a la responsabilité. A lui de préparer
tous les documents administratifs,
à lui de choisir les fournisseurs, à
lui de trouver les solutions techniques
adaptées aux impératifs de la réalisation,
à lui de prévoir les cadences et
le planning… A tout moment, il doit
prendre les décisions qui permettront
la meilleure rentabilité tout en assurant
qualité et sécurité sur le chantier.
En général, il gère plusieurs chantiers
en même temps. Il prévoit les chantiers
à venir et suit ceux qui sont en
cours de réalisation. «Sur le chantier,
il faut vérifier l’avancement et le coût
des travaux par rapport aux prévisions.
Avec le chef de chantier, nous
discutons des points techniques pour
devancer au maximum les problèmes,
précise Pierrick Chaou conducteur des
travaux à la SACER à Rennes, nous
sommes le lien entre nos équipes de
travaux et nos clients.» «C’est un
métier où nous avons beaucoup de
responsabilités, complète Bruno Hay
conducteur des travaux à EGC Ouest
Questembert. Il faut aimer la construction,
voir se réaliser un projet et
rencontrer un tas de gens différents en
sachant s’adapter en permanence.»
Chef de chantier
«Organisation», c’est le maître-mot
du chef de chantier. En amont du
chantier, il met en place les méthodes
avec le conducteur des travaux : progression
du chantier, choix des engins
et des matériels. Puis, il gère chaque
jour tous les détails sur le terrain. Il
distribue le travail, prévoit la quantité
de matériaux nécessaire, organise
la rotation du matériel... Il contrôle
ensuite l’avancement et la qualité des
travaux, veille au respect des délais et
à l’application des règles de sécurité. Il
fait des comptes-rendus réguliers au
conducteur des travaux.
M. Dupont, chef de chantier à la
SACER, dirige ce ballet au quotidien.
«Aucun chantier n’est pareil et ils se
succèdent rapidement, précise-t-il.
Certains peuvent ne durer qu’une
demi-journée. Alors si on perd du
temps à mettre en route, on n’y arrive
pas.»
Voir aussi...
➜ Conducteur d’engins
➜ Canalisateur
➜ Constructeur de routes
➜ Coffreur
➜ Chef d’équipe
➜ Chef de chantier
➜ Conducteur de travaux
➜ Grutier
@Bienvenue
sur les sites des métiers
et des formations
www.nadoz.org
www.onisep.fr
www.onisep.fr/bretagne
www.onisep.fr/nantes
LES SITES INTERNET DE L’ONISEP
➜ Technicien de bureau d’études
(projeteur)
➜ Ingénieur d’affaires
➜ Monteur de réseaux électriques
➜ Scaphandrier
➜ Régleur fi nisseur
➜ Technicien de laboratoire...
Mise en œuvre d’enrobé. A l’arrière de la
machine, le régleur finisseur.
© Onisep Bretagne 3

Les régions de Bretagne et des
Pays de Loire offrent un panel
complet des formations du
secteur. Du CAP aux écoles
d’ingénieurs, chacun peut y
trouver sa voie.
• Le CAP Conducteur d’engins de
travaux publics permet d’utiliser les
différents engins : bulldozers, tombereaux,
fi nisseurs, compacteurs, pelles
hydrauliques… Les titulaires de ce diplôme
connaissent aussi la technologie de ces
engins pour les entretenir et signaler les
pannes.
• Le CAP Constructeur de routes forme
des spécialistes des chaussées. Ils
connaissent les revêtements routiers, les
bordures, les pavages… Ils savent lire
des plans, calculer des niveaux, prévoir un
risque d’éboulement.
• En CAP Constructeur en canalisations
des travaux publics, les élèves
apprennent à enterrer les canalisations,
à les assembler et à les brancher sur
un réseau existant sans interrompre la
distribution d’eau.
• On acquiert les savoir-faire de base du
chantier en BEP Travaux publics : poser
des éléments préfabriqués, réaliser un
coffrage, de la maçonnerie, du ferraillage,
lire un plan…
• Puis en BAC PRO Travaux publics,
on apprend à travailler en autonomie et à
organiser un chantier, pour devenir chef
d’équipe avec un peu d’expérience.
• Le BAC TECHNO Sciences et
technologies industrielles (STI) génie
civil donne une formation générale, une
culture et des compétences technologiques
qui permettent de poursuivre ensuite
vers un BTS ou un DUT du domaine du
bâtiment ou des travaux publics ou en
école d’ingénieurs
• En BTS Travaux publics les
enseignements sont très variés : droit,
gestion, technologie, topographie,
laboratoire, préparation de chantier. Ils ont
pour but de former des responsables de
chantier.
• Le DUT Génie Civil option travaux
publics et aménagement est un diplôme
polyvalent pour travailler en bureau d’étude
ou sur chantier. C’est un tremplin vers la
poursuite d’études.
• L’IUP Génie civil et
infrastructures forme des gestionnaires
et des commerciaux qui maîtrisent les
techniques des travaux publics.
• Les ingénieurs diplômés de l’INSA
savent concevoir les projets ou superviser
des chantiers. Pour cela, ils ont acquis de
solides bases théoriques.
Les formations
Pas de problème après une formation dans les travaux publics pour
trouver du travail dans la région ou même à l’international pour les plus
diplômés.
Du CAP au diplôme d’ingénieur, les travaux publics ont besoin, sur le
chantier et en bureau d’études, de professionnels formés à tous les
niveaux pour concevoir, gérer, organiser, suivre et réaliser les travaux.
La richesse des formations des travaux publics c’est aussi la variété des
domaines d’application. Peu de monotonie dans les chantiers étudiés :
les ouvrages d’art toujours mais surtout les terrassements et chaussées,
les voiries diverses, les réseaux, les canalisations, les stations d’épuration...
Des bases scientifiques et du goût pour le calcul sont des qualités
requises pour progresser dans les formations des travaux publics, mais
les compétences humaines sont primordiales : autonomie, sens des responsabilités,
réactivité, qualités relationnelles. On doit aussi aimer travailler
dehors, accepter des horaires variables et une certaine mobilité.
Le guide ........................................... 5
Les entreprises ................................ 9
• Construire sa route avec Sacer Atlantique .................9
Joël Thomas, chef d'exploitation à l'agence de Rennes.
• Sur la route... ............................................................11
Visite guidée avec M. Dupont, chef de chantier.
• CEGELEC Rennes .....................................................13
Dans l'ombre d'EDF, les électriciens des travaux publics.
• Tracer la route .........................................................16
Le service des Grands Travaux à la DDE.
• EGC Ouest - Questembert .......................................18
Une entreprise spécialisée dans les canalisations et le génie
civil.
• La construction d'une station d'épuration ............. 19
Le gros œuvre en béton, tout un art de précision.
• Travaux immergés ...................................................22
L'entreprise Kerlann Marine.
• TSO, un entrepreneur de voie ferrée ........................25
Les travaux d'une tranche de tram nantais.
SOMMAIRE
Les travaux publics
Les formations ............................... 27
• Les formations dans les travaux publics .................29
Un bon tuyau pour l'emploi.
• Le CFA de Bretagne ..................................................31
Un CFA pour 3 CAP spécialisés dans les travaux publics.
• BEP et Bac pro Travaux publics ................................34
Au lycée Freyssinet à Saint-Brieuc.
• Bac techno Sciences et technologies industrielles
(STI) Génie civil ............................................................36
Fiche diplôme.
• Une formation tout terrain ........................................38
BTS Travaux publics au lycée Freyssinet de Saint-Brieuc.
• DUT Génie civil .........................................................41
Option Travaux publics et aménagement - Fiche diplôme.
• Une formation à Bac+4 à l'IUP de Lorient ...............43
DIM Génie civil et infrastructures spécialité maîtrise de projet.
• Des ingénieurs en travaux publics .......................... 45
La filière génie civil à l'INSA de Rennes.
La liste des lieux de formation ........ 47
Deux sites pour s'informer .............. 48
© ONISEP Bretagne/Pays de la Loire - 01/2004 Regards sur Les travaux publics
3
☛ Le dossier complet «Regards sur Les travaux publics» est rangé dans le casier
D07-10 de l’Autodoc au CDI ou au BDI. On peut aussi le consulter dans tous les
CIO (Centres d’information et d’orientation).
© Onisep Bretagne 4