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Lattara - Montpellier Agglomération

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Lesinvités9 juin>16 septembre 2012DANS LE CADRE DES 30 ANS DU FRAC LANGUEDOC-ROUSSILLONLaurette Atrux-TallauDelphine Gigoux-MartinCécile Hesse et Gaël RomierStephen MarsdenExposition à LattEsSite archéologique<strong>Lattara</strong>Musée Henri PradesTél. 04 67 99 77 20390 avenue de Pérols - 34970 Latteshttp://montpellier-agglo.com/museearcheo


2© Luc Jennepin


ÉditoJean-Pierre MourePrésident de la Communauté d’Agglomérationde <strong>Montpellier</strong>Avec « <strong>Montpellier</strong> terre de faïences. Potiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII ème siècle »,une exposition d’envergure présentée en deux volets au site archéologique <strong>Lattara</strong> -Musée Henri Prades et au musée Fabre, du 28 avril au 23 septembre 2012, <strong>Montpellier</strong>Agglomération fait cette année la part belle à la production potière locale durant plus decinq siècles.De même, la collection archéologique de <strong>Lattara</strong>, qui couvre une période allant du VI èmesiècle avant notre ère jusqu’au II ème siècle de notre ère, témoigne de la prépondérance dumobilier céramique au fil des civilisations antiques qui se sont succédées sur notre territoire.C’est donc très naturellement que le choix de la nouvelle exposition d’art contemporain« Les invités », programmée cet été au musée Henri Prades dans le cadre de l’anniversairedes trente ans du Fonds Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon, s’est portésur une sélection d’œuvres du FRAC en affinité avec les matériaux, les mises en œuvre oules formes très diverses de la céramique.« Les invités » sont en l’occurrence trois artistes plasticiens, Laurette Atrux-Tallau, DelphineGigoux-Martin et Stephen Marsden, qui à travers de nouvelles œuvres spécialementproduites pour la circonstance, témoignent de la vivacité de <strong>Montpellier</strong> Agglomération enmatière de création contemporaine. Qu’ils en soient ici chaleureusement remerciés !Autre témoignage de l’ancrage très dynamique de notre Agglomération dans la culturecontemporaine, le tramway au design résolument actuel qui depuis le 6 avril dernierrelie <strong>Montpellier</strong> à Lattes. Je vous engage à l‘emprunter sans modération, pour accéderà la découverte des pratiques les plus antiques jusqu’aux plus actuelles dans un muséearchéologique reconnu désormais pour ses programmations scientifiques et culturellestransversales et en perpétuel renouvellement !3


© Luc Jennepin4


ÉditoLionel PernetDirecteur du Site archéologique <strong>Lattara</strong> - musée Henri Pradesde <strong>Montpellier</strong> AgglomérationPour la cinquième année consécutive, le site archéologique <strong>Lattara</strong> - musée Henri Pradessoutient et expose la création contemporaine. Les liens étroits tissés entre le musée etdes institutions tournées vers la création contemporaine comme le FRAC Languedoc-Roussillon ou l’École supérieure des Beaux-Arts de <strong>Montpellier</strong> Agglomération enrichissentnotre programmation. Après deux collaborations fructueuses avec le FRAC, il allait de soide célébrer son trentième anniversaire en invitant des artistes présents au sein de sescollections.Loin de céder à une mode ou à la tentation de l’art contemporain comme faire-valoir, notremusée poursuit avec les artistes et les visiteurs une aventure au long cours en les incitant àposer à chaque fois un regard neuf sur nos collections.Cette démarche, inscrite dans le programme scientifique et culturel du musée, a donné lieuen 2011 à un colloque - dont les actes sont en cours de publication - sur le thème de l’artcontemporain au musée d’archéologie, en collaboration avec le musée des moulages del’Université Paul Valéry. Début 2012, la salle d’exposition temporaire - encore aménagéepour l’exposition « Des rites et des Hommes » - a été investie par les étudiants de 4 e annéede l’ESBAMA pour un workshop sur la mémoire et le passage du temps. D’autres projetssont à l’étude avec les mêmes objectifs, le partage, la découverte et le soutien aux créateursd’aujourd’hui.5


Propos d’Isabelle GrassetDirectrice-adjointe du Site archéologique <strong>Lattara</strong> -musée Henri Prades de <strong>Montpellier</strong> Agglomération,Commissaire de l’expositionCet été, le musée archéologique poursuit son ouverture à l’art contemporain avec un éclairageprotéiforme régénéré. Le public est ainsi une nouvelle fois convié à se laisser surprendre parla mise en résonnance d’œuvres issues du Fonds Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon avec l’exposition permanente de <strong>Lattara</strong> ainsi qu’avec l’exposition temporaire« <strong>Montpellier</strong>, terre de faïences. Potiers et faïenciers entre Moyen Âge et XVIII ème siècle ».A l’occasion de l’anniversaire des 30 ans du FRAC, il s’agissait de valoriser la diversité decette grande collection régionale tout en favorisant la vivacité des artistes qui la compose.C’est pourquoi trois artistes en affinité avec l’esprit du lieu, ont été « invités » à créerdes œuvres nouvelles et ont pris la liberté de s’immiscer dans l’espace muséal, réservéd’ordinaire à la mémoire des temps révolus.Laurette Atrux-Tallau suggère diverses temporalités à travers deux photographies d’objetséclatés à l’instant précis de leur chute, ou avec d’étranges petites sculptures expansives,en pleine mutation, qui révèlent les cycles transitoires et inéluctables de toute chose. Parailleurs, elle propose au deuxième étage du musée, la découverte d’un organisme hybridequi surgit soudainet prolifère en unegrappe de celluleslaiteuses, le longd’une poutre duplafond, à plus desix mètres du sol.Ici le mouvementse fixe en un tempssuspendu et révèlel’espace par lesubterfuge d’unematière étrange,entre opaline etporcelaine.Laurette Atrux-TallauSans titre, 2007Sculpture appartenant à la série des sculptures en pâte à modeler durcissante.Pâte à modeler durcissante.8 x 16 x 25 cm© FRAC Languedoc-Roussillon, Collection FRAC Languedoc-Roussillon6


Laurette Atrux-TallauInstallation in situSans titre, 2012Techniques mixtes© Luc Jennepin, Production <strong>Montpellier</strong> Agglomération7


Delphine Gigoux-Martin sollicite nos émotions par le biais de métaphores animalièresoniriques, à la fois enchanteresses et inquiétantes. Elle nous met en présence d’unecolonie de quelques 300 poulpes englués de porcelaine liquide ou d’une demidouzainede terrines en grès porcelainique représentant des volailles, déforméesdès la fin de leur façonnage, par une chute brutale, volontairement provoquéepar l’artiste. D’autre part, un dolium et un empilement d’amphores romaines présentés dansla collection archéologique se retrouvent inexorablement envahis par la projection de dessinsanimés aux motifs animaliers indociles.Delphine Gigoux-MartinLes terrines-oiseauxSculptures-terrines© Luc Jennepin, Production Artelinea8


Delphine Gigoux-MartinLe rêve de la femme du pêcheur, 20082 vitrines superposées présentant300 petits poulpes de porcelaine© FRAC Languedoc-Roussillon© Luc Jennepin9


Stephen Marsden a rassemblé en une même vitrine sa collection de moulages dont la matricen’est autre qu’un préservatif décliné en 108 formes, en fait, les maquettes miniaturiséesde sculptures déjà réalisées. Par ailleurs, « Gadget », sculpture érectile de plus de troismètres de haut, rappelle l’effigie de La Liberté. Après une épreuve monumentale en argile,un moulage en résine colorée a été spécialement produit pour l’exposition. De même, unesculpture en résine parée de milliers de bris de verre, représentant un nu féminin lové etendormi pour l’éternité, renvoie de façon très esthétique à la collection d’urnes funéraires enverre de la collection archéologique.Autant de propositions qui suggèrent avec beaucoup de poésie, d’humour et d’étrangetéun autre rapport au temps, à l’espace et au monde, histoire d’envisager des perspectivesnouvelles à travers les âges, un certain renouvellement du regard en quelque sorte !Madame Rêve (2012)38cm x 70cm x 43cmVerre et résine polyester© Stephen Marsden, Production <strong>Montpellier</strong> Agglomération10


Stephen MarsdenBiblioutil 2, 2002 - 2004Oeuvre en 3 dimensions, Arrangement. Vitrine contenant 108 objets (maquettes constituant les projets de sculptures de l’artiste).Plâtre, alginate, silicone, plasticine, coton, verre, poils humains, pierre, corail, vitrine en bois et plexiglas éclairée par un néon.164 x 74 x 22 cm - © FRAC Languedoc Roussillon, Collection FRAC Languedoc-Roussillon11


Propos d’Emmanuel LatreilleDirecteur du FRAC Languedoc-Roussillon« Les invités »Quel point commun y-a-t-il entre les trésors d’un musée archéologique installé sur un siteantique - ci-dessous dénommé « L’inviteur » - et des œuvres d’art contemporain réaliséespar un triumvirat d’artistes auvergnato-néo belgo-saxon-des-Corbières, ci-dessous dénommé« Les invités » ?...« - Les fantômes !!!! »Les ruines antiques et les reliques des sociétés disparues conservent quelque chose de ceuxqui les animèrent ; le temps n’a pas tout détruit, et ce « pas tout » demeure pour nous commeun chant inquiétant et profond qui vient du fond des âges. A travers les poteries brisées, lesbustes fragmentés, les monnaies élimées, on constate le travail du temps, ce qu’il fait de laréalité des êtres et des choses : des formes de plus en plus ténues, incertaines, mais qui, dansleur effacement même, parlent encore de ceux qui les « habitèrent » et disent dans le présentquel est le long destin des êtres.L’art contemporain fait vivre lui aussi ces « fantômes » qui occupent la matière : les figures qu’ilpropose, les formes qu’il met en œuvre intègrent cette force à la fois créatrice et destructricequi est la loi du monde. « Les invités » - titre d’exposition dans lequel on peut entendre aussil’évocation ironique de quelque film d’épouvante ! -, amènent avec eux une puissance quin’a rien de différente de celle du temps lui-même. Car, tandis que dans le passé les artistess’opposaient à l’entropie, cherchant à fixer des formes durables, résistantes à la finitude, ouà suggérer l’illusion même d’éternité, les artistes contemporains intègrent dans leurs œuvresla dimension temporelle dans toute sa vérité. Les « fantômes » y circulent aussi en toutesimplicité…C’est ce qui explique la rencontre souvent juste des artefacts archéologiques et des œuvresactuelles, qui proviennent bien d’histoires différentes (il ne s’agit pas de confondre leur fonctionoriginelle), mais obéissent à une même « conscience » du Réel, courageusement assumée pardes individus créateurs et, par cela même, conscience heureuse.Heureuses, les sculptures de Stephen Marsden, réalisées à partir de ce symbolecontemporain de la pulsion sexuelle et de son « contrôle », le préservatif ! La« Liberté » - au titre lucide de Gadget - qu’il propose à Lattes n’est-elle pas la plus émouvanteimage de la limite même de notre liberté, lorsqu’il faut bien reconnaître le temps qui passe etle lot fatal de toute vie ?12


Stephen MarsdenGadget(2010-2012)350cm x 130cm x 130cm,Résine polyester, fibre de verre,peinture polyuréthane© Luc Jennepin,Production <strong>Montpellier</strong> Agglomération13


Heureuses, les formesmélangées de LauretteAtrux-Tallau, quiévoquent les mondesanimal et végétal, ladévoreuse croissancedes plantes et desbêtes, belles e tinquiétantes à la fois,parce qu’actrices dece jeu de séductionet de mort qui régitla création, naturellecomme culturelle.Laurette Atrux-TallauSculptures - Sans titre, 2009, 2010 et 2011 - Techniques mixtes© FRAC Languedoc Roussillon, Collection FRAC Languedoc-RoussillonHeureuses, lesprojectionsanimalières en noiret blanc de DelphineGigoux-Martin,ou les répliquesen porcelaine depoulpes minuscules,véritables spectresde ces créaturessensuelles et informes,jolis fantômesapparaissant dansla lumière crue desnéons d’une vitrine…Delphine Gigoux-MartinCe fut une épopéeDessins animés.Installation vidéo projetée sur le dolium du musée Henri Prades© Delphine Gigoux-MartinProduction <strong>Montpellier</strong> Agglomération14


Heureuse la photographie de Hesse et Romier, cette pile d’assiette tenue à bout de bras parune belle qui pourrait bientôt la laisser choir aux pieds d’un amant éploré ! Banquet et vanité,amour et mort n’ont-ils pas toujours fait bon ménage dans les rêves des artistes ?Cécile Hesse et Gaël RomierToujours impeccable, 2008. Série : Duchesse Vanille.Dans le spectre lumineux de deux phares de voiture, une femme nue semble surprise en train de fuir une piled’assiettes dans les bras.Papier photo premium, encre, 1/7166 x 152 cm - Sans cadre 124 x 110 cmPhoto et © : Cécile Hesse et Gaël RomierCollection FRAC Languedoc-Roussillon15


Dans toutes ces œuvres, la forme rend visible et sensible le processus de son apparition, etpar là aussi le processus de sa transformation, suggérant le caractère éphémère des êtresréels qu’elles évoquent, comme des mirages. Car si le monde change, pourquoi les êtres quile peuplent ne changeraient-ils pas avec lui ? « L’inviteur » est donc ce commandeur mêmequi nous ramène à la Connaissance la plus grave, celle du temps qui passe, tandis que « LesInvités » nous interprètent un moment la chanson qui donne à cette connaissance un aspectmoins terrible, comme une couleur de fête !Ainsi se poursuit - pour ceux qui auraient raté les épisodes précédents - le formidable feuilletonscénarisé par le Musée Henri Prades depuis 2008. Commencé avec les troublantes céramiquesde Johan Creten, poursuivi avec les images aux contours indéfinis et les récits qu’engendrentles œuvres vidéos de Nora Martirosyan (2009) ou les souffles miroitants d’EmmanuelleEtienne (2010), prolongés par les sculptures de Medhi Melhaoui (2011), cette aventure de l’artcontemporain dans un musée archéologique connaîtra en 2012 un épisode d’une rare qualité.C’est un honneur pour le FRAC d’avoir été invité par le Musée de Lattes à prêter quelques-unesdes pièces de ses collections, et d’y retrouver les artistes à qui il les avait acquises. Ces œuvresont été les amorces pour « L’inviteur » et « Les invités » à produire des installations inédites,chargées de sens et de beauté. Ainsi cette aventure d’une rencontre renouvelée prend le tempsà son propre piège et le retourne sur lui-même : chaque année s’installe dans les mémoiresde tous ceux qui en sont les acteurs, et bien au-delà, de tous ceux qui en sont les nombreuxamateurs, le sentiment vivant d’une éternité qui avance, d’une éternité qui emporte...16


Stephen MarsdenPiéta (1999)40 cm x 75 cm x 65 cmCiment blanc© Luc Jennepin, prêt de l’artiste17


Laurette ATRUX-TALLAU 1969, France. Vit et travaille à Bruxelles.« Les photographies de Laurette Atrux-Tallau captent le moment fugitif où un objet touchele sol et se brise. Le rapport des objets au temps est l’un des enjeux décisifs de ce propos.Ces étranges instants d’objets captés ont aussi à voir avec les démarches futuristes etcubistes dans leur tentative de « rendre le mouvement ou la sensation physique » parl’éclatement de la figure. C’est en brisant la matière de façon de plus en plus infinitésimaleque les scientifiques traquent les secrets du monde. »« L’axe essentiel autour duquel toute l’œuvre s’articule est l’ambivalence permanente entrefinitude et infinitude, émanant de l’omniprésence du mouvement cyclique et de la formesphérique. Parfait et immuable, sans commencement ni fin et exempt de variations, lemouvement circulaire s’inscrit dans un temps infini. Forme pleine et harmonieuse, le cercleest aussi un vide, un abîme, principe de toute ouverture de la forme sur la non-forme. »Laurette Atrux-TallauSans titre n° 02, 2003. Série : Objets cassésEclats de verre (vert bouteille)Photographie couleur contrecollée sur aluminium, 1/5 - 100 x 152 cmPhoto et © : Laurette Atrux-Tallau, Collection FRAC Languedoc-RoussillonLaurette Atrux-TallauSans titre n° 01, 2003. Série : Objets cassésAssiette blanche photographiée à l’instant où elle se brisePhotographie couleur contrecollée sur aluminium, 1/5 - 100 x 152 cmPhoto et © : Laurette Atrux-Tallau, Collection FRAC Languedoc-Roussillon18


Stephen MARSDEN. Né en 1962 à Sheffield(Angleterre). Vit et travaille à Fontiers Cabardès (Aude).Stephen Marsden maîtrise l’ensemble destechniques classiques de la sculpture : modelage,moulage, taille (de pierres, de bois), fonte, etc.Son travail de sculpteur prolonge un processus decollection. Depuis un peu plus de dix ans, il collectedes objets étranges, souvent petits (qui tiennentdans la main), qui attirent son attention : des jouetsen plastique, des statuettes religieuses, des galets,des outils, etc. Il rassemble ces objets en groupe, ensachant que certains deviendront des maquettes depièces plus importantes.Stephen MarsdenEst Ouest - 15cm x 8cm x 6cm - Matériaux divers© Luc Jennepin, prêt de l’artiste19


Delphine Gigoux-Martin. Née en 1972. Vit et travaille à Durtol près de Clermont-Ferrand.« Enfant je jouais à « l ‘archéologue », je parcourais le jardin de mes parents, une ficelleattachée à la taille d’où pendaient petites cuillères, fourchettes, pinceaux, brosse à dentset autres mini ustensiles qui m’aidaient à retourner la terre. Je n’ai pu localiser que l’ancienpoulailler attenant à la maison et me persuader de trésors incroyables…Bien plus tard, tout en développant ma propre démarche plastique, je me suis inscriteà la faculté en Histoire des Arts et Archéologie à Clermont-Ferrand. Aujourd’hui, dansma méthode de travail et dans mon approche artistique, je me considère comme unearchéologue de l’immédiat et mon approche sensitive et gourmande des lieux danslesquels je vais exposer passe par des strates que je laisse remonter et qui inscriventdans ma « boîte en os » des images mentales, proches de visions évidentes à réaliserensuite dans un espace. »20


Delphine Gigoux-MartinCe fut une épopéeDessins animés.Installation vidéo sur doliumCréation in-situ projetée sur lesamphores du musée Henri Pradesvidéoprojecteurs + lecteurs dvd + vitres© Luc jennepin21


Remerciementsdes artistesExposition produite par le Site archéologique <strong>Lattara</strong>-musée Henri Prades de <strong>Montpellier</strong>Agglomération en partenariat avec le FRAC Languedoc-Roussillon.Commissaire Isabelle Grasset.Le musée Henri Prades et les artistes remercient, la Région Languedoc-Roussillon, la DracLanguedoc-Roussillon, <strong>Montpellier</strong> Agglomération, la Ville de Lattes et le FRAC L.R. pourleur collaboration et leur soutien.L’exposition a été montée et encadrée grâce à l’aimable participation et l’investissementde toute l’équipe du Musée, qu’ils en soient remerciés.Montage : Mario Marco - Antony Alisendre - Hubert Sagliocco. Stagiaire : AlessandroCuratolo.Accueil et animation : Nathalie Cayzac - Florence Mourot - Marie-Laure Monteillet -Caroline Parnot - Norbert Biland.Administration : Martine Colombini , Véronique Laissac, Martine Millet.Un grand merci pour leur accueil et leur écoute attentive à Lionel Pernet, conservateurdu musée et à Isabelle Grasset, directrice adjointe du musée et à Emmanuel Latreille,directeur du FRAC L.R.Les artistes tiennent également à remercier pour leur soutien et leur accompagnementMaurin et La Spesa, Vincent Ravel, Valérie Thomas, Attale Joggers, Céline Cadaureille,Marie Sirgue et toutes les personnes qui ont contribuées (elles se reconnaîtront) àl’organisation et au montage de cette exposition.22


Informations pratiquesSite archéologique <strong>Lattara</strong>-musée Henri Prades390, route de Pérols - 34970 LATTESTél. 04 67 99 77 20 - Fax 04 67 99 77 21Email : museelattes.educatif@montpellier-agglo.comhttp://museearcheo.montpellier-agglo.comRejoignez le musée sur facebook :www.facebook.com/musee.site.lattaraAccès• Parl’autorouteA9(LaLanguedocienne),prendrelasortie30«<strong>Montpellier</strong>Sud»oulasortie31«<strong>Montpellier</strong>Ouest»,suivreladirectionde«LATTES»,puisladirection«Sitearchéologique<strong>Lattara</strong>».• ParletramwayTerminusdelaligne3«LattesCentre».• Parlespistescyclablesentre<strong>Montpellier</strong>,PalavasetPérols.29MONTPELLIERu o ut 9Autoroute A930Route de St Jean de VédasRoute de PalavasLATTESAv. de l’EuropeRoutede Mauguio MauguioLATTESRoutede l’aéroportAvenue de l’EuropeC.E.SMAIRIELA POSTERoute de PérolsARÈNESARRÊT TRAMLATTES CENTRESTADERoute de PérolsRoutede MaurinRoute de PalavasAvenueAvenue dedel’EuropeSITE ARCHÉOLOGIQUELATTARA MUSÉE- MUSÉELATTARAHENRI PRADESRoute de PérolsSITE ARCHÉOLOGIQUELATTARA - MUSÉEHENRI PRADES390, Avenue de Pérols34970 Lattes, FranceHeures et jours d’ouverture•Semaine:10h-12het13h30-17h30• Samedis,dimanchesetjoursfériés:14h-19h• FermélemardiTarifs expositions temporaires•Pleintarif:3,50e•TarifPass’Agglo:3,00e•Tarifréduit:2,00e(étudiantshors<strong>Montpellier</strong>-Agglomération,groupedeplusde10)Entrée gratuite le premier dimanche de chaque mois.<strong>Montpellier</strong> Agglomération50,placeZeus-CS39556-34961<strong>Montpellier</strong>Cedex2TramwayL1:arrêt«léonBlum»Tél. 04 67 13 60 00 - Fax 04 67 13 61 0123


• Direction de la communication de <strong>Montpellier</strong> Agglomération • © Laurette Atrux-Tallau • 06/2012Exposition à LattEsSite archéologique<strong>Lattara</strong>Musée Henri Prades390, route de Pérols - 34970 LATTESTél. 04 67 99 77 20 - Fax 04 67 99 77 21Email : museelattes.educatif@montpellier-agglo.comhttp://museearcheo.montpellier-agglo.comRejoignez le musée sur facebook :www.facebook.com/musee.site.lattaraCommunauté d’Agglomération de <strong>Montpellier</strong>50, place Zeus - CS39556 - 34961 <strong>Montpellier</strong> Cedex 2Tramway L1 : arrêt « Léon Blum »Tél. 04 67 13 60 00 - Fax 04 67 13 61 01

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