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Région de l'Abitibi-Témiscamingue

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norme <strong>de</strong> 30 jours pour l’accès aux services <strong>de</strong>dépistage. Par contre, la norme pour l’accès auxservices d’investigation après une mammographieanormale, fixée à moins <strong>de</strong> 12 jours, était respectéedans <strong>de</strong>ux établissements sur cinq.Le taux <strong>de</strong> participation <strong>de</strong>s femmes au PQDCS est<strong>de</strong> 65 % en 2000-2001 (moyenne provinciale <strong>de</strong>43 %) tandis que le taux <strong>de</strong> mammographie global,selon les données <strong>de</strong> la Régie <strong>de</strong> l’assurancemaladie du Québec (RAMQ), s’élève à 68 % en1999-2000 (moyenne provinciale <strong>de</strong> 63 %). Pour lapério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1998 à 2001, le taux <strong>de</strong> fidélité au programmeà 36 mois, après un premier examen, est<strong>de</strong> 81 %, alors que le taux <strong>de</strong> référence pour investigationaprès la mammographie initiale est <strong>de</strong> 14 %et <strong>de</strong> 12 % après les mammographies subséquentes.La mise en place d’activités régionales concernantl’assurance <strong>de</strong> la qualité n’est pas commencée,mais figure dans le plan d’action régional2003-2004.L’INVESTIGATION, LE TRAITEMENTET LE SOUTIENDans les six territoires <strong>de</strong> CLSC, on offre les servicesd’investigation ainsi que <strong>de</strong>ux <strong>de</strong>s trois grandstypes <strong>de</strong> traitements du cancer, soit la chimiothérapieet la chirurgie. Les personnes atteintesd’un cancer obtiennent les traitements <strong>de</strong> radiothérapieà l’extérieur <strong>de</strong> la région.L’investigationPuisque les principaux moyens d’investigation pourles cancers les plus fréquents – sein, poumon,côlon et prostate – existent en Abitibi-Témiscamingue, peu <strong>de</strong> rési<strong>de</strong>nts ont à se déplacerà l’extérieur <strong>de</strong> la région. Toutefois, les rési<strong>de</strong>nts<strong>de</strong>s territoires <strong>de</strong> Ville-Marie et <strong>de</strong> Témiscamingdoivent effectuer <strong>de</strong> longs déplacements dans larégion même pour obtenir les services. Ceci n’estpas sans leur causer <strong>de</strong>s problèmes d’hébergementet <strong>de</strong> transport, sans compter la fatigue et ladifficulté d’avoir du soutien <strong>de</strong> leurs proches. Lemanque <strong>de</strong> radiologistes et le temps d’attente pourobtenir un ren<strong>de</strong>z-vous avec le mé<strong>de</strong>cin <strong>de</strong> familleen vue d’une investigation sont <strong>de</strong>ux autres problèmesi<strong>de</strong>ntifiés dans la région.L’hospitalisation et la chirurgieLe taux <strong>de</strong> rétention pour les hospitalisations, soitle pourcentage <strong>de</strong>s hospitalisations <strong>de</strong>s rési<strong>de</strong>ntseffectuées dans la région, est en progression : il estpassé <strong>de</strong> 80 à 85 % <strong>de</strong> 1994-1995 à 2001-2002 (voir letableau 88).Pour les sièges les plus fréquents – cancers pulmonaire,digestif bas, urologique et du sein –, cestaux sont très élevés pour une région éloignée,variant entre 91 % et 96 %. Deux territoires <strong>de</strong>CLSC, le Témiscaming et la Vallée <strong>de</strong> l’Or, présentent<strong>de</strong>s taux <strong>de</strong> rétention inférieurs à la moyennerégionale pour l’ensemble <strong>de</strong>s sièges, tandis queceux d’Abitibi et d’Abitibi-Ouest ont <strong>de</strong>s taux plusélevés.Page 242

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