Rapport de la 7ème réunion biennale du CEN ... - Africa Rice Center

Afr caR ceCGIARRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des expertsnationaux d’AfricaRice (CEN VII)Cotonou, Bénin13–15 septembre 2010GRiSP et redynamisation des Groupes d’actionsCollaboration entre le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice)Et les systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA)des pays membresRapport N o 7 de la réunion biennale du Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice)et du Comité des experts nationauxRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)3

© Copyright Centre du riz pour Afrique (AfricaRice) 2012AfricaRice exhorte les lecteurs à faire un bon usage de cet ouvrage. Une citationcorrecte est requise.Citation :Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII).13–15 septembre 2010, Cotonou, République du Bénin : Centre du riz pour l’Afrique(AfricaRice). 145 pp.Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice)BP 2031, CotonouBéninTél. : 21 35 01 88Fax : 21 35 05 56Courriel : AfricaRice@cgiar.orgSite Web : www.AfricaRice.orgiiRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

TABLE DES MATIÈRES1. Introduction ............................................................................................................ 12. Rapport de synthèse, principales conclusions et recommandations ..................... 12.1 Cérémonie d’ouverture ........................................................................................ 12.2. Adoption de l’agenda et élection des rapporteurs .............................................. 22.3 Point saillants des principales activités présentées par le DG d’AfricaRice ........ 22.4. Statut des activités menées au siège d’AfricaRice en Côte d’Ivoire ................... 52.5 Partenariat mondial de la science rizicole ........................................................... 52.6 Rapport des États membres ................................................................................ 62.7. Décisions et recommandations ........................................................................... 93. Cérémonie de clôture ...........................................................................................12Annexe 1 : Programme provisoire et plan de travail .................................................13Annexe 2 : Rapport du DG d’AfricaRice – Point saillants des principales activités ..15Annexe 3 : Mise à jour sur le siège d’AfricaRice, Côte d’Ivoire ............................... 34Annexe 4 : Partenariat mondial de la science rizicole (GRiSP) et Groupes d’ac tiond’AfricaRice .......................................................................................... 48Annexe 5 : Rapport sur le projet de statistiques rizicoles ........................................ 56Annexe 6 : Mise en œuvre des recommandations du CEN 6................................ 130Annexe 7 : Liste des participants ............................................................................137Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)iii

viRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

1. IntroductionRapport de la 7 e réunion biennaleDu Comité des experts nationaux (CEN VII)Cotonou, Bénin13–15 septembre 2010La 7 e réunion du Comité des experts nationaux d’AfricaRice (CEN VII) a été tenue du13 au 15 septembre 2010 à Cotonou, Bénin. Y ont pris part les Directeurs générauxdes Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) ou leurs représentants despays suivants : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Congo, Égypte, Gabon, Gambie,Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Liberia, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger,Nigeria, Ouganda, RCA, RDC, Sénégal, Sierra Leone, Tchad, et Togo. Le Camerounn’a pas été représenté. Les Conseil Ouest et Centrafricain pour la recherche et ledéveloppement agricoles (CORAF/WECARD) et le Conseil consultatif des riziculteurs2. Rapport de synthèse, principales conclusions et recommandations2.1 Cérémonie d’ouvertureLe Directeur général adjoint (DGA) de l’Institut national de recherche agricole (NARI)de la Gambie, Dr Mustapha Ceesay, a présidé la cérémonie d’ouverture de la réunionactuel du CEN, Dr Babou Jobe, Directeur général de NARI de la Gambie. Dansson allocution d’ouverture, il a adressé ses remerciements à AfricaRice pour avoirDirecteurs généraux des SNRA a permis de passer en revue les réalisations du Centreet les contraintes rencontrées au cours de l’atteinte des Objectifs du millénaire pour ledéveloppement. Le DG de NARI a félicité le DG d’AfricaRice pour le renouvellement Gambie a été fortement consolidée après la visite de courtoisie effectuée par le DGState Housein en janvier 2009.Le DGA de NARI a félicité le DG d’AfricaRice pour un premier mandat bien réussi à ladans la promotion de la sécurité alimentaire rizicole du continent, ii) la contribution duCentre dans la production de semences dans les États membres, iii) la contribution duRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)1

Centre au renforcement des capacités des SNRA avec le démarrage du programme conclu son allocution en exhortant au renforcement continu du partenariat privilégiéentre AfricaRice et les SNRA des États membres, et a souhaité des discussionsfructueuses aux participants.2.2 Adoption de l’agenda et élection des rapporteursLe programme préliminaire a été amendé (voir annexe 1) puis adopté à l’unanimité. LeMali et le Cameroun ont été nommés rapporteurs de la réunion.2.3 Point saillants des principales activités présentées par le DG d’AfricaRiced’informations sur les activités de recherche et de développement d’AfricaRice et deses SNRA membres. Il a souligné 14 principales réalisations du Centre au cours desdeux années écoulées :i) e État membre ;ii)La fourniture et l’utilisation des technologies rizicoles, et services d’AfricaRicel’organisation ; de recherche du CG, l’Institut international de recherche sur le riz (IRRI), letropicale (CIAT) ;2 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

mondiale sur la recherche et le développement agricole (GCARD) tenue àMontpellier, France, en mars 2010. Dr Jonne Rodenburg, malherbologue àAfricaRice, a reçu le prix 2009 du CGIAR pour jeune chercheur prometteur systèmes d’innovations, le prix pour communication exceptionnelle.du CORAF/WECARD et à la table ronde ministérielle tenue en mai à Cotonou,Bénin. la 5 e Assemblée générale du FARA tenue à Ouagadougou, Burkina Faso enjuillet 2010. d’excellence dans la recherche et le développement rizicoles par l’UnionAfricaine.Modibo Sidibé, représentant le résident malien Amadou Toumani Touré etx) Les plaidoyers aux plus hauts niveaux des gouvernements nationaux avec lesrencontres entre le Directeur général, le ministre et le ministre de l’Agriculture du Gabon, et les ministres éthiopiens,rwandais, mozambicains, libériens et burkinabés.xi)Les semences de variétés de riz améliorés ont été distribuées dans 20 payscouverts par le projet d’urgence sur le riz ; d’administration d’Agreenium, France) en vue du plaidoyer pour une importanceet des investissements accrus dans l’agriculture en général et la riziculture enparticulier ;Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)3

xiii)Le renforcement du partenariat AfricaRice et les SNRA avec l’accroissementSNRA 43 % en 2007 contre 67 % en 2009.xiv) Une appropriation plus importante du Centre par les États membres avecun accroissement des contributions depuis 2007. La cotisation annuellemoyenne des États membres a été multipliée par 30 au cours de la périodeRésumés des discussions des dernières années, ii) le solide plaidoyer d’AfricaRice en faveur de l’accroissementde la production rizicole africaine a fait des contributions importantes pour la visibilitépour la production rizicole doit être mieux exploité.Les DG des SNRA ont émis une série d’observations pour la revue d’AfricaRicecomme suit :i) Que l’approche chaîne de valeur soit adoptée pour renforcer le partenariatentre AfricaRice et ses acteurs ;ii)iii)Qu’il y a lieu de former davantage les techniciens des SNRA, notammentsur la production de semences, la transformation post-récolte et lla commercialiser au mieux le riz africain avec la production rizicole croissantedans plusieurs pays africains.iv) Que les Groupes d’action soient revitalisés car ils permettent de focaliserles chercheurs d’AfricaRice et des SNRA sur la recherche collaborative ;v) vi)examiné de plus près ;En termes de perspectives, les membres du CEN ont suggéré l’établissement d’uneconfronté dans un futur proche.4 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

2.4. Statut des activités menées au siège d’AfricaRice en Côte d’IvoireLe représentant d’AfricaRice en Côte d’Ivoire, Dr Sitapha Diatta, a présenté lesANADER) et ONG dans les villes de Divo et Danané.2010.Résumés des discussionssuivantes émises par les membres du CEN.i) AfricaRice devrait signer un protocole d’accord avec les pays membres portantgratuitement distribuées par les gouvernements en cas d’urgence et venduespendant les périodes sans crises ;ii)iii)pour établir des systèmes semenciers viables et durables, des subventions etl’institutionnalisation des systèmes semenciers en capitalisant les expériencesdes autres pays.les structures pertinentes précédemment basées en Côte d’Ivoire soientet les Nations Unies) et les résultats présentés au Conseil des ministres pourconsidérations.2.5 Partenariat mondial de la science rizicoleDr Marco Wopereis, Directeur général adjoint de la recherche pour le développementpremier programme de recherche approuvé par le Consortium. Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)5

(AfricaRice) et le Centre international pour l’agriculture tropicale (CIAT), et unepartenaires des SNRA, le secteur privé, les organisations de la société civile, lesassociations de producteurs et les organisations régionales et sous-régionales.au point de variétés améliorées et d’autres technologies tout le long de la chaînede valeur, 2) la création de systèmes de production à base-riz, 3) et l’améliorationsur le continent africain. À travers les Groupes d’action, les chercheurs d’AfricaRice etRésumés des discussionsLes DG des SNRA lors des discussions ont demandé des éclaircissements sur les comparatif. Un exercice de hiérarchisation des priorités sera mené conjointement ses partenaires SNRA devra inclure les termes de référence, le montant des fonds2.6 Rapport des États membres minutes sur le statut de la recherche et développement rizicole dans leurs paysrespectifs. Les présentations des DG ont : i) fourni des informations et des mises à6 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

jours sur les activités de recherche actuelles dans les pays et leurs priorités, ii) permisrizicoles dans les États membres, et iii) ont fourni des informations sur la contribution Gabon, Ghana, Guinée, guinée-bissau, Liberia, Madagascar, Mali, Mauritanie,Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Gambie, Togo, et Ouganda) ont suivi unensemble de directives préparées, et ont fourni des informations générales sur lestatut de la recherche et du développement rizicoles dans les pays membres, l’état dupays, les priorités de recherche rizicole, les variétés de riz homologuées, l’impact dupartenariat avec AfricaRice et les principales réalisations.Résumés des discussionspays comme suit :i) ii) focalisation sur la privatisation et cela a donné lieu au démantèlement desinfrastructures du secteur semencier. La situation a été aggravée par laguerre civile et cela a mené à l’accroissement des importations de riz ;iii) L’Égypte a en moyenne noté des rendements rizicoles de 9,9 tonnespar hectare avec l’utilisation de variétés à haut rendement. Le pays a un producteurs. L’Égypte a organisé la formation des chercheurs d’autresnotamment avec la mise au point de riz hybride en collaboration avec laChine. Les principales contraintes de l’Égypte ont été la diminution desterres allouées à l’agriculture et les maladies ;iv) a initié une campagne nationale (GOANA) pour accroître la productionalimentaire ;v) Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)7

vi) En Ouganda, il y a peu de mécanisation et les travaux champêtres manuelsgraves ;vii) viii) sont faibles et se situent entre 1,5 et 2 tonnes par hectare. Il y a un potentielterres propices à la riziculture.ix) existe un marché porteur pour le riz produit localement au Togo ;x) Au Ghana, le gouvernement a accru la mécanisation à travers la chaîne Les présentations de la plupart des pays membres suggèrent les conclusions Les DG des SNRA ont suggéré les actions suivantes en vue de répondre auxobservations susmentionnées.La création d’un Groupe d’action semences par AfricaRice en vue d’assurerDes études seront menées sur l’impact des subventions sur la productionrizicole dans les pays membres pour déterminer s’il y a des effets positifsou négatifs ;Les variétés de bas-fonds et la riziculture de bas-fond doivent être promues.8 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

2.7. Décisions et recommandationsRecommandation 1 : Réalisations du DG d’AfricaRice et de son équipeLe CEN est impressionné par les nombreuses et importantes réalisations du DGi) ii) l’augmentation du nombre de publications et projets conjoints avec lesSNRA,iii) iv) approuvé par le Conseil d’administration du Consortium du GCRAI à cejour,v) au Mali,vi) le fort plaidoyer pour les pays membres d’AfricaRice dans les forainternationaux et locaux, et lors de diverses rencontres avec les autoritésde ces pays et,vii) et encourageRecommandation 2 : Partenariat global de la science rizicole (GRISP)Le CEN note avec satisfaction l’approbation par le Conseil d’administration duRecommandation 3 : Renforcement de la capacité de recherche et dedéveloppement dans les États membresEn vue de renforcer la capacité de recherche et développement dans la plupart desÉtats membresRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)9

Le CEN exhorte AfricaRice à rétablir le mécanisme de Groupes d’actions sur lariziculture en vue de construire une recherche collective pour le développement dansde la connaissance par les systèmes nationaux de recherche agricoles.Recommandation 4 : Renforcement des liens avec les Communautéséconomiques régionalesl’harmonisation des législations semencières, ii) l’inscription des produits du nouveauGroupe d’action sélection (lignées ARICA) aux catalogues variétaux régionaux, et iii)développe des stratégies régionales de développement rizicole.Recommandation 5 : Siège d’AfricaRice M’bésont parfaitement entretenues et totalement en place. Recommandation 6 : Adhésion au Temperate Rice Research Consortium(TRRC)Le CEN remercie l’Égypte pour avoir fortement souligné l’importance du TRRC enmatière de recherche rizicole.Temperate RiceResearch Consortium (TRRC). l’ÉgypteLe CEN apprécie les performances de l’Égypte dans le domaine de la recherche sur10 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

L’objectif de ce projet est de rassembler l’expertise de l’Égypte et d’AfricaRice dans lessystèmes rizicoles irrigués en vue de combler les écarts de rendement considérablesformation des SNRA en Égypte.Recommandation 8 : Technologies post-récolte et chaîne de valeur du rizLe CEN note avec satisfaction les travaux réalisés dans le domaine des technologies davantage au plaidoyer en faveur de la riziculture, mais aussi des partenariats avectous les acteurs de la chaîne de valeur en vue de contribuer à l’atteinte des Objectifsdu millénaire pour le développement.Recommandation 9 : Proposition de Projet à l’ACDIAyant pris note du projet régional intitulé « Amélioration de la sécurité alimentairele développement de nouveaux produits issus de la riziculture » soumise à l’Agencecanadienne pour le développement international (ACDI) et couvrant le Cameroun, laGambie, le Ghana, le Mali, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone et l’Ouganda.et développer la chaîne de valeur du secteur rizicole.Recommandation 10 : Intégration des banques de gènes du CGIAR sous laConvention pour la diversité Biologique (CBD)sous le CBD. Cela constituera un goulot d’étranglement pour l’échange de ressourcesEt recommande :Que les États membres d’AfricaRice initient un plaidoyer auprès de leurs ministères deactuels pour l’agriculture africaine issus du Traité international sur les ressourcesRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)11

Recommandation 11 : Reconnaissance de la contribution des SNRA à la miseau point des produits de la rechercheLe CEN approuve parfaitement la redynamisation des Groupes d’action sous unesein, en vue d’une reconnaissance de la paternité des variétés de riz mises au pointRecommandation 12 : Secteur rizicole renforcé dans les États membresconduire à la baisse de la dépendance aux importations rizicoles.Le CEN encourage les États à poursuivre leurs efforts dans le cadre de la promotionde la recherche rizicole pour le développement et la formation pour atteindre leursMotion de remerciementLe CEN adresse ses sincères remerciements à l’endroit du gouvernement et du étendue à tous les participants. Des remerciements sont également adressés augouvernement de Côte d’Ivoire pour avoir préservé l’intégrité du siège d’AfricaRice àM’bé malgré la crise ivoirienne.3. Cérémonie de clôtureAu nom du DG de NARI, président du CEN Dr Mustapha Ceesay a déclaré e réunion du CEN. Il a félicité la réunion hautement participativeet a exhorté au renforcement des capacités des chercheurs-riz, producteurs et capacités.12 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

ANNEXE 1Programme provisoire et plan de travailProgramme provisoire et plan de travailLundi 13 septembre 2010Directeur général d’AfricaRiceSitapha Diatta, représentant d’AfricaRiced’action d’AfricaRiceMarco Wopereis, DGA-RRapports des États membres (15 minutes/pays) BurkinaCameroun 5 h 00 Fin du jour 1Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)13

Mardi 14 septembre 2010Rapports des États membres (suite) 15 minutes/pays Côte d’IvoireÉgypte GabonGambieGhanaGuinéeDiscussionsGuinée-BissauLiberiaMadagascarMaliNigerNigeriaSénégalTchadTogoOuganda 6 h 00 Fin du jour 2Mercredi 15 septembre 2010 10 h 00 Fin du CEN VII14 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

ANNEXE 2Rapport du DG d’AfricaRice – Points saillants desprincipales activitésI. Principales réalisations et activités esession ordinaire du Conseil des ministres tenue en septembre 2009 à Lomé, Togo.1.1 AfricaRice obtient pour la première fois la note « Exceptionnelle »suite à l’évaluation de la Banque mondialeDans le cadre de l’évaluation annuelle des 15 centres internationaux du CGIAR surde la performance 2009. Il s’agit de la catégorie la plus élevée en termes de troisexceptionnelle. institutionnelle des centres et les perceptions des acteurs. aux Centres.En félicitant chaleureusement le personnel d’AfricaRice pour leurs engagements etperformance, le Directeur général a déclaré « Il s’agit d’une grande réalisation, mais devons donc pas nous reposer sur nos lauriers. » Il a exprimé sa profonde appréciationà tous les donateurs et aux partenaires de R & D d’AfricaRice, particulièrement les Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)15

Le Directeur général a souligné les facteurs suivants comme étant à l’origine de cesréalisations : Le développement d’une culture d’entreprise au Centre ;La restructuration de notre structure de recherche et la décentralisation denos activités ; L’utilisation d’un nouveau type de plaidoyer pour nos preneurs de décision ; Le renforcement de l’appropriation par les SNRA ; L’application de mesures de contrôle rigoureuses ; L’établissement d’une stratégie pour accroître la visibilité ; Le renforcement des capacités internes pour le développement réussi depropositions ; La tenue régulière des réunions des structures de consultation/de supervision(le Conseil d’administration, le Conseil des ministres et le Comité des experts1. 2 Le méga programme riz « GRiSP » approuvé par le Consortium du Conseild’administrationstratégie complète mise au point par AfricaRice, le CIAT et l’IRRI sur les systèmesà base-riz synchronisant la recherche rizicole internationale sur le plan mondial. Il apour mission la réduction de la pauvreté et de la famine, l’amélioration de la santé etnutrition humaine et le renforcement de la résilience des écosystèmes à travers la1.3 L’expansion géographiqueafricains, y compris les pays non-membres. Dans plusieurs pays non-membres, leschercheurs d’AfricaRice travaillent déjà en partenariat, et certains de ces États ontsoit formalisé leur partenariat en devenant des États membres soit sont en train demembres d’AfricaRice à 24.Madagascar est l’un des plus grands consommateurs de riz par habitant au monde.Le riz fournit plus de 50 % des calories consommées dans le pays et la production 16 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

désespérément à redynamiser sa production, car il importe près de 200 000 tonnes outils d’apprentissage ont touché au moins 40 000 producteurs. La Fondation AgaMadagascar.En décembre 2009, le gouvernement de Madagascar a envoyé une délégationde haut niveau comprenant le Directeur de cabinet du ministère de l’Agricultureet le Directeur du programme national (FOFIFA) accompagné d’un représentantde JICA pour explorer les possibilités de collaboration sur le riz. La délégationa apprécié les discussions exhaustives avec la direction d’AfricaRice et leschercheurs. Deux semaines plus tard, le ministre de l’Agriculture a envoyé une États membres et des réactions positives ont été reçues. Le gouvernement de ministres d’AfricaRice pour avoir accepté sa candidature à l’adhésion au Centre.Accueillant chaleureusement le nouvel État membre, le Directeur général a Le ministre de l’Agriculture a invité le Directeur général à prendre part à unecérémonie de don de semences dans le cadre de l’initiative d’urgence sur le délégation de haut niveau d’AfricaRice représentant le Directeur général.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)17

EGYPTEMAURITANIEMALINIGERTCHADSENEGALGAMBIEGUINEEBISSAU GUINEESIERRA LEONE COTED’IVOIREGHANALIBERIABURKINA FASOTOGOBENINNIGERIAREPUBLIQUEDU CENTRAFRIQUECAMEROUNCarte des États membres du(AfricaRice)GABONCONGOREPUBLIQUEDEMOCRATIQUEDU CONGOOUGANDAMADAGASCAR1.4 Accroissement du niveau de recouvrement des cotisations des Étatsmembresrecouvrement des cotisations des États membres. Mais depuis 2007, des améliorationstangibles ont été faites. En 2009, la moyenne des cotisations annuelles des Étatspremière fois ou après un non-paiement de plusieurs années. Les cotisations se sontégalement accrues du fait du paiement de nouveaux membres.Le Directeur général a adopté une nouvelle stratégie pour le recouvrement desvisite en 2009, le Directeur général a rencontré des chefs d’États et 15 ministres desÉtats membres. Il continue d’utiliser cette stratégie en 2010.1.4.1 GambieConseil d’administration M. Momodou Ceesay, le DG et le DGA de l’Institut national derecherche agricole (NARI) et du Directeur de cabinet du Département de l’Agriculture.18 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

22 dernières années. Il a félicité AfricaRice pour son leadership dans le secteur rizicole, NERICA pendant la bonne saison. La visite et les interviews du Directeur général ontété largement couvertes par la télévision et la presse écrite nationale. Conseil des ministres à partir de septembre 2009. Le portefeuille de l’agriculture estde la Gambie en présence de tous les membres du gouvernement. M. MomodouCeesay, membre du Conseil d’administration d’AfricaRice y a également pris part. obtienne le statut d’observateur de l’Union africaine, conformément à la résolutionadoptée lors de la 27 e session du Conseil des ministres du Centre tenu enseptembre 2009 à Lomé, Togo.1.4.2 Gabon et le secteur rizicole local au Gabon. Le Gabon a rejoint AfricaRice en 2009. LeNdong Sima. Le Directeur général a également rencontré le ministre de la RechercheLe Directeur général a été invité à présenter un exposé d’intérêt majeur lors d’un mention spéciale au Gabon. Le ministre de l’Agriculture, l’ambassadeur du Japon, lesreprésentants de l’ONADER, les professeurs d’universités, les directeurs d’institutsDirecteur général a été largement couverte par les médias.1.4.3 Maliau nom du président, Son Excellence M. Amadou Toumani Touré.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)19

1.4.4 Autres pays (Éthiopie, Rwanda, Mozambique, Liberia, Burkina Faso)Le Directeur général a eu des sessions de travail avec le ministre de l’Agriculture et lebureau des affaires étrangères de l’Éthiopie, le ministre de l’Agriculture du Rwanda, leLiberia et le ministre de l’Agriculture du Burkina Faso.1.5 L’accroissement du nombre de projetsCette réalisation notable en termes de budget restreint montre l’accomplissementde notre vision déclarée en 2007 sur la nécessité pour AfricaRice d’accroîtreProjets importants lancés en 2009 & 2010Projet Donateur MontantrizicoleJapon8 ml USD USAID 5.2 ml USDInitiative d’urgence sur le rizJapon4.8 ml USDGreen Super Rice CAAS/BMGF 3.4 ml USD Japon 3.1 ml USD 3 ml USD CE 1.05 ml € GTZ 1.2 ml €Adventices parasites 700 000 €Formation en GIR pour l’ASS BADEA 320 000 $/anAppui semencier au Liberia 300 000 $AfroWeeds CE 226 000 €Développement rizicole au Tchad ESSO 193 317 $Tous ces projets d’AfricaRice couvrent les États membres et dans certains cas d’urgence sur le riz du Japon couvre 20 pays d’ASS.20 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Le projet d’urgence sur le riz a été lancé par AfricaRice avec l’appui du Japon au producteurs vulnérables. Au total, 73 institutions y ont pris part y compris 20 SNRA,production rizicole. Le projet a donné lieu au renforcement des systèmes semenciersdans la plupart des pays et dans certains cas, à leur reconstruction (Liberia, SierraLeone, et Côte d’Ivoire).Le projet a été en mesure d’aider un total de 58 226 producteurs vulnérables àsemencier en vue de la production de variétés nouvellement homologuées, y comprisles NERICA de plateau et de bas-fond. En moyenne, le nombre d’hectares à couvrirvarie de 350 (Soudan) à 1 000 hectares (Côte d’Ivoire, Madagascar) et la majorité despays (plus de 75 %) couvriront au moins 600 hectares.Dans le cadre du projet, les dons de semences ont été faits à l’endroit des producteursles participants suivants : le ministre de la Recherche, l’ambassadeur du Japon, leDirecteur général d’AfricaRice ou son représentant, le DG des SNRA, les producteurs/associations d’ONG.1.6.1 Accroissement des projets qui couvrent les Étatsces projets couvrent largement les États membres, les retombées se sont égalementaccrues en termes de collaboration et de transfert de technologies.vues de l’impact tangible fait dans les pays pilotes et de l’intérêt certain d’autres payssubsahariens, soit inclue dans le projet rizicole de la BAD. Le Directeur général a faitun fort plaidoyer à l’endroit de la BAD pour appuyer la seconde phase de l’ARI et pourson extension à d’autres pays, et les retours de la BAD sont positifs.La première phase du projet de 5 ans, d’un montant de 35 millions de dollars USSierra Leone et Gambie.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)21

été appuyé par plusieurs partenaires et donateurs, y compris la BAD, la Fondation 1.6.2 Accroissement des bourses de formation initiées/facilitées par le Centre Le programme post-master au Bénin et au Nigeria est bien apprécié Les programmes annuels de renforcement des capacités du Japon àl’endroit des SNRA Le programme annuel CGIAR-IFAR pour les SNRA femmes chercheur africaines1.6.3 Accroissement du nombre d’ateliers techniques pour les SNRAparticipants et de formation à l’intention des techniciens, producteurs et transformateursa également augmenté. À titre d’exemple, lors du récent cours de formationd’AfricaRice-IRRI sur la production de semences de riz hybride, les chercheurscours de formation ont été organisés à travers des projets d’urgence appuyés par leJapon et l’USAID et d’autres projets majeurs appuyés par la BAD, JICA, l’UE, le FIDA,Esso-Tchad, le FARA et la BADEA.Nombre d’ateliers organisés par AfricaRice et de participantsAnnée Ateliers Participants 20 602 59 1 304Nombre d’étudiants diplômésAnnéeÉtudiants 64 1341.6.4 Appui en communicationAfricaRice a commencé à appuyer les partenaires nationaux dans l’élaboration de22 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

AfricaRice a une forte obligation d’assister les États membres et cela restera l’une despriorités majeures de notre Centre.1.7 Des alliances stratégiques plus fortesl’utilisation des ressources communes et d’obtenir des impacts plus tangibles.1.7.1 Alignement AfricaRice-IRRIDepuis 2007, il y a eu un échange continu de réunions de haut niveau entre lesmembres du Conseils d’administration ; DG, DGA et chercheurs respectifs des deuxinstitutions rizicoles dans le CGIAR. Une stratégie complète conjointe IRRI-AfricaRiceIRRI-AfricaRice-SNRA basé sur le projet sur le riz tolérant au Stress pour l’Asie du Gates, un autre projet de plusieurs millions de dollars « Green super rice pour les(CAAS), IRRI et AfricaRice a démarré en 2009 avec l’appui de la Fondation Bill etMelinda Gates. Le projet vise à mettre au point et disséminer les variétés « GreenLe volet africain des deux projets est coordonné par AfricaRice et mené en partenariatavec IRRI et les programmes nationaux des pays du projet, les organisations nongouvernementales, les associations de producteurs et le secteur privé. IRRI et à AfricaRice de reconstruire la capacité de sélection rizicole des SNRA en prochaine génération de variétés de riz dans ces deux régions du monde.1.7.2 Coalition pour le développement de la riziculture en Afrique (CARD) partenaires au développement bilatéraux et multilatéraux et des institutions africainesà son démarrage en 2008, en passant par son adhésion au Comité de pilotage de laCARD.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)23

AfricaRice a participé activement à toutes les activités de la CARD. Le Directeurgénéral, accompagné du DGA et du Coordonnateur de l’ARI ont participé à la secondepremier Groupe de 12 pays de la CARD ont été présentées et discutées.1.7.3 Partenariat AfricaRice – Institutions de recherche françaisesÀ travers notre partenariat avec les institutions de recherche françaises (le CIRAD,l’IRD, et l’INRA se sont regroupés sous l’égide d’Agropolis), de nouvelles opportunitésde collaboration ont été créées avec d’autres pays européens en plus de la France1.7.4 Partenariat AfricaRice-FAOAfricaRice a établi une alliance spéciale avec la FAO, suite à la première visite de signé avec la FAO.divers donateurs (USAID, BOAD, BAD, JICA…) pour appuyer l’Initiative. L’USAID Dans le cadre de l’appui global à l’initiative d’urgence sur le riz d’AfricaRice, JICA améliorées dans les pays choisis en ASS. La plupart de ces pays font partie duGroupe de 21 pays candidats à l’adhésion à la CARD. Le projet aborde également ledéveloppement de la riziculture.L’Alliance FAO-AfricaRice va au-delà de l’initiative d’urgence, couvrant d’autresdomaines de collaboration : renforcement des capacités, semences, transfert detechnologies, biosécurité et publications conjointes. Il s’agit d’une connexion souhaitée essentielle pour la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté. En 2009, leDirecteur général a représenté le CGIAR lors de la 21 e session du comité de la FAOsur l’Agriculture à Rome.24 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

1.7.5 FIDA1.7.6. EMBRAPA nouveaux projets conjoints, AfricaRice s’est employé à établir un partenariat avec conduite par le Directeur général adjoint d’AfricaRice a récemment visité le Brésil en1.7.7 Alliances stratégiques avec d’autres institutions soeurs (IITA, Biodiversity,CIP)en socioéconomie. Cela a donné lieu à un accroissement du nombre de publicationsconjointes. De nouvelles opportunités continueront à être exploitées. IITA et AfricaRiceont également appris à partager les rares ressources, notamment l’espace pour leset du personnel. Notre collaboration avec notre Centre frère, Bioversity international,en vue d’abriter son bureau régional ici et ce partenariat progresse bien.1.7.8 Organisations économiques régionales avec ces organisations. À titre d’exemple, un représentant de l’UEMOA a été invité àparticiper au Conseil des ministres d’AfricaRice à Lomé, Togo. L’UEMOA et la CEDEAORapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)25

1.8 Niveau croissant de reconnaissance En 2010, le gouvernement du Sénégal a décerné au Directeur général le titredu Lion. En 2009, il a été honoré par le gouvernement français avec l’octroi duChevalier de l’Ordre du Mérite Agricole.Lors de l’Assemblée générale du CGIAR (GCARD), AfricaRice a reçu deuxCentres : un pour communication exceptionnelle et l’autre pour jeune chercheurprometteur exceptionnel.Le prix 2009 du GCRAI pour communication exceptionnelle a été décerné systèmes d’innovation pour l’initiative d’apprentissage rural sur le riz baséaméliorées.Le prix 2009 du GCRAI pour jeune chercheur exceptionnel a été décerné àDr Jonne Rodenburg, malherbologue à AfricaRice, pour sa détermination àaider les producteurs pauvres, notamment les femmes, à travers la mise aupoint d’approches intégrée en vue de la gestion des adventices parasites, uneM. Amos Onasanya, assistant de recherche sous Dr Séré a remporté le prix2009 japonais international pour les jeunes chercheurs agricoles.1.8.2 Participation de haut niveau CORAF/WECARD et à la table ronde ministérielle tenue en mai à Cotonou, Bénin. eAssemblée générale du FARA tenue à Ouagadougou, Burkina Faso en juillet 2010.en vue de donner une importance accrue et de renforcer les investissements dansl’agriculture en général et le riz en particulier. Cela inclut sa participation à : 26 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

1.8.3 PA avec l’Union africaine pour reconnaître AfricaRice comme Centred’ExcellenceComme mentionné précédemment, la Gambie assurant la présidence du Conseil desde l’Union africaine, conformément à la résolution adoptée lors de la 27 e session dul’Union africaine pour reconnaître AfricaRice comme Centre d’Excellence est en train1.8.4 Couverture dans les médiasLa couverture d’AfricaRice dans les médias progresse constamment. En 2009, leConseil des ministres a été amplement couvert par la presse. En 2010, le Centre etses technologies ont été mentionnés dans 591 rapports de presse contre à 483 en2009.70060050040030020010002006 2007 2008 2009 20101.9 Organisation du second Congrès du riz en Afrique au Malien vue de réaliser le potentiel rizicole africain » a été a été organisé en mars 2010 àBamako, Mali en collaboration avec le programme national du Mali, (IER), sous l’égideCongrès a enregistré la participation de riziculteurs, de producteurs de semences, deRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)27

systèmes nationaux de recherche et de vulgarisation agricoles, de représentants desministères de l’Agriculture, d’instituts de recherche internationaux et avancée, d’ONG,et de la communauté de donateurs et d’autres partenaires au développement.Les invités d’honneur étaient le président du FIDA, le représentant du DG de la FAO,le représentant du secrétaire exécutif du CGIAR du Conseil du Fonds, le présidentdu Conseil d’administration d’AfricaRice, le secrétaire exécutif du CORAF/WECARD,l’ancien Directeur général d’AfricaRice Dr Eugene Terry, le Directeur général de l’IRRIet le DG de l’IER.Lors de la cérémonie d’ouverture, au nom du résident Amadou Toumani Touré Dr Getachew Engida, président du Conseil d’administration d’AfricaRice a présentépar son gouvernement pour accroître la productivité rizicole à travers l’initiativerizicole dans le pays.Les participants ont saisi cette opportunité pour échanger sur les stratégies en vue decommerce régional. rizicole nouvellement approuvé, une initiative d’AfricaRice, de l’IRRI et du CIAT visantà harmoniser les programmes de recherche nationaux et internationaux sur le riz à riz ; le développement de chaînes de valeur compétitives, de nouvelles alliances etgestion intégrée des ravageurs, des maladies et des adventices dans les systèmes àbase-riz, la physiologie et la modélisation du riz.28 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Une partie principale du Congrès a pris la forme d’un forum sur « l’investissementl’amélioration des infrastructures rurales, et l’introduction de l’agriculture mécaniséeproduits rizicoles.le secteur rizicole africain. Les prix pour les meilleures présentations par thème, lemeilleur poster, et celui du jeune chercheur le plus prometteur ont été décernés.II. Conclusionpermanente, nous devons continuer à redoubler d’efforts, particulièrement dans lesdomaines suivants : Le renforcement de l’appropriation institutionnelle ; La poursuite du recouvrement des arriérés ; Le plaidoyer continu avec les donateurs traditionnels et les autresdonateurs ; La poursuite de la réhabilitation des stations de recherche ; La constitution d’une capacité endogène d’élaboration de propositions derecherche.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)29

ANNEXEDéclarationCongrès du riz en Afrique 2010 anciennement ADRAO) sous l’égide du gouvernement malien et en collaborationavec l’institut national de recherche malien « Institut d’économie rurale » du 22 Amadou Toumani Touré et avait pour thème « Innovation et partenariat en vue deréaliser le potentiel rizicole africain ». Le Congrès a enregistré la participation deplus de 500 acteurs, notamment des riziculteurs, des producteurs de semences, de des systèmes nationaux de recherche et de vulgarisation agricole, des représentantsdes ministères de l’Agriculture, d’ONG, et la communauté de donateurs et d’autrespartenaires au développement. Terry et à Dr Kanayo Nwanze pour leurs contributions exceptionnelles à la recherched’appréciation au président du Mali, Son Excellence M. Amadou Toumani Touré pourles efforts considérables fournis par le gouvernement malien en vue d’accroître laproductivité rizicole à travers l’initiative présidentielle sur le riz au Mali.Le Congrès lors de ses délibérations a noté : forte volatilité des prix du riz, aux déclins des stocks de riz et aux interdictionsd’importation rizicole ; capacité de production dans les principaux pays producteurs de riz en Asie etde la demande croissante ;30 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

et le continent africain importe déjà près de 10 millions de tonnes de riz mondial et se chiffrant à 4 milliards de USD en terme de devises étrangèresen 2009. L’écart considérable entre les rendements obtenus par les producteursafricains et le rendement potentiel sous de meilleures conditions de gestion ; de production favorables pour combler l’écart entre la consommation et 10 % de leurs budgets nationaux dans l’agriculture d’ici 2010, et a félicité lesautres à suivre cet exemple ; provient des investissements dans l’agriculture ; le continent ; valeur du riz menace les progrès vers le développement d’un secteur rizicole Le besoin d’adopter une approche d’investissement globale et de partenariatspublic-privé pour développer le secteur rizicole africain à travers toute la chaînesemences à l’assiette. Que la dépendance sur le marché mondial pour s’approvisionner en riz pour leset pourrait conduire à une grave insécurité alimentaire et à l’instabilité civile ;Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)31

Que le secteur rizicole africain dépend premièrement des efforts des petitsproducteurs pauvres, notamment les femmes ;A formulé les recommandations relatives aux investissements dans les domainesclés suivants appartenant au secteur rizicole africain :Investissements dans le secteur rizicole africain1. des taches des femmes, et la transforme en industrie agroalimentaire viableet attrayant pour les jeunes.2. gagnant-gagnant pour tous les riziculteurs et consommateurs africains.3. riz sont nécessaires pour répondre à la demande de la population africaine.4. Les structures nationales de régulation semencière doivent être établies et/ou renforcées pour cartographier et répondre à la demande de semencesde riz pour les écosystèmes cibles et les préférences des consommateurs. rapprocher les producteurs semenciers du secteur public et privé et établirdes systèmes de contrôle semenciers opérationnels et décentralisés.5. Les petites entreprises auront besoin d’appui pour créer et pérenniser uneentreprise semencière stable. Les compagnies semencières privées degrande et moyenne taille devront jouer un rôle de plus en plus important dansles systèmes à fort apport d’intrant, notamment pour les semences de rizhybrides.6. contribuer dans de tels domaines à savoir l’harmonisation de la législationsemencière, les tarifs d’importation et la régulation des importations de riz,7. Les gouvernements nationaux doivent ouvrir la marche et promouvoir lespartenariats public-privé à travers la chaîne de valeur du riz en vue d’uneproduction, du stockage, de la transformation et les infrastructures deafricain.8. aider les producteurs africains à adapter à limiter les effets du changement32 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Investissements dans le renforcement des capacités9. la formation et la rétention du nouveau personnel, tout en mettant à jour lesprogrammes de formation agricoles dans les écoles de formation vocationnelleretenir une capacité effective en agriculture.10. de Groupe d’action, un effort de recherche pour le développement collectif surpar les systèmes nationaux, et a demandé à AfricaRice de faciliter et d’animerces Groupes d’action.11. rizicole, une initiative d’AfricaRice, IRRI et CIAT dans le cadre des poolsde ressources du CGIAR redynamisé, renforcer les capacités et aligner lesprogrammes de recherche nationaux et internationaux, permettant une plusLes participants ont félicité les organisateurs du Congrès pour les efforts fournis.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)33

1. IntroductionANNEXE 3Mise à jour sur le siège d’AfricaRice, Côte d’Ivoireà M’bé, Côte d’IvoireEn 2009 et 2010Depuis la crise du 19 septembre 2002, l’administration et la recherche ont ététemporairement délocalisés à Cotonou, Bénin sur décision du Conseil des ministresentretenir les principales infrastructures, notamment les bureaux, les laboratoires etde liaison et 33 employés au siège à M’bé. Le retour de tous les employés à M’béLa première partie de ce document portera sur l’entretien des infrastructures debureau et des sites de recherche, et la seconde partie sur les activités de recherche etpartenariats menées au siège en collaboration avec les SNRA. Il y a lieu de soulignerde sécurité. Cependant, au cours de ces deux dernières années, certaines activitésde recherche ont été menées par deux unités de recherche, l’Unité des ressources(Côte d’Ivoire) et AfricaRice.2. Maintenance des Infrastructures à Abidjan et M’bé2.1 Abidjan personnel d’AfricaRice à Cotonou et dans d’autres stations (c.-à-d. Saint-Louisau Sénégal, Ibadan au Nigeria et Dar-es-Salam en Tanzanie) en transit à Abidjan.34 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

services d’appui (GSS) et un membre du personnel recruté au niveau internationalet de services pour Cotonou.2.2 Bouaké et M’bé en Côte d’Ivoire et trois membres du personnel. La maison d’hôte est utiliséePhoto N°1. Maison d’hôte et bureau de liaison à Bouaké.Site de M’bé parcelles expérimentales. 400 ha avaient été alloués aux expérimentations, dont30 ha sont aménagés pour l’irrigation en utilisant un barrage construit en amont.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)35

Photo N°2. Entrée principale du siège d’AfricaRice, MbéTrois bâtiments (A, B, et F) abritent respectivement le bureau du Directeur général,le département de la recherche et les infrastructures de recherche et l’administration6, 7 et 8 montrent respectivement : l’entrée principale du bâtiment A, le bureau duDirecteur général et celui du Directeur de la recherche, l’entrée principale du bâtimentLe bâtiment abrite les laboratoires des sols et eau, de sélection, de biologie moléculaire, Les photos 9, 10 et 11 donnent un aperçu de l’état des laboratoires de pédologie,sélection et phytopathologie.36 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Photo N°3. Entrée principale du bâtiment APhoto N°4. Bureau du Directeur généralRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)37

Photo N° 5. Bureau du Directeur général Adjoint, RecherchePhoto N°6. Entrée principale du bâtiment B38 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Photo N°7. Bâtiment F (Administration et Finance)Photo N°8. Bureau du Directeur de l’Administration et des FinancesRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)39

Photo N°9. Vue partielle du laboratoire de pédologiePhoto N°10. Vue partielle du laboratoire de sélection40 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Photo N°11. Vue partielle du Laboratoire de phytopathologiePhoto N°12.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)41

Photo N°13. Étagères de livresPhoto N°14. (photo 16) sont également bien entretenues.42 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Photo N°15.Photo N°16. Serres pour les expérimentations en condition contrôléeLes photos 17 et 18 montrent respectivement des bâtiments de l’unité de ressourcesau siège.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)43

Photo N°17. Photo N°18.Les photographies donnent un aperçu de l’entretien parfait de tous les bureaux,laboratoires et autres infrastructures. Les bureaux et laboratoires peuvent être utilisés44 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

3. Les activités menées au siègeL’activité principale entreprise en 2007, 2009 et 2010 est la multiplication de semencesde riz. Les photographies 19 et 20 montrent respectivement la performance de l’une desenvoyés au Liberia.Photo N°19. Variété NERICA-L 19Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)45

Photo N°20. Les semences stockées avant leur expédition au LiberiaLiberia.4. Activités de recherche menées Unité de5. Partenariats avec les SNRAsur les semences. Le projet d’un an a été coordonné par Dr Amadou M. Beye,de NERICA1 et WITA9 ont été produites. Une cérémonie en vue du don de semencesa été organisée en présence des ministères de la Recherche et de l’Agriculture, et desDG du CNRA et d’AfricaRice.AfricaRice a également pris part à la troisième édition de la Semaine de la promotion46 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

6. ConclusionIl est important de noter l’engagement d’AfricaRice Côte d’Ivoire dans l’entretien desinfrastructures au siège conformément aux recommandations du management. Lepartenariat avec les SNRA et ONG est en cours.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)47

ANNEXE 4Partenariat mondial de la science rizicole (GRiSP)et Groupes d’action d’AfricaRice de Groupe d’action, un effort de recherche pour le développement collectif sur les nationaux et a demandé à AfricaRice de faciliter et d’animer ces Groupes d’action.recherche actuels d’AfricaRice et des Groupes d’action associés/Consortiums (dontcertains doivent être créés) et des coordonnateurs.Thème GRiSPProgrammeactuelGroupes d’action/Consortium(projets de recherche)et découverte2. Améliorationvariétale et adoption3. Systèmes deproductionnovateurs1 Groupe d’action sélection et amélioration variétale12 Groupe d’action agronomie rizicole avec desGroupes d’action sur les adventices, l’eau et lafertilité du sol (explorer les liens avec AGRA)Groupe d’action sur la santé des plants de riz(MICCORDEA explore les liens avec l’initiative sur lasanté des cultures de CABI)4. Transformation etvalorisationévaluation d’impact3 + 4 Groupe d’action post-récolte du riz et chaîne de4 (EURO3B, CIDA)6. Appui au secteurrizicoleRiceTime + 3Groupe d’action Genre (UE)Groupe d’action connaissance rizicole, systèmes48 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

la poursuite d’établissements de partenariats avec les SNRA. L’ établissement dumécanisme de Groupe d’action est primordial dans ce sens. e anniversaire d’AfricaRice en2011.Les Groupes d’action permettront de canaliser les efforts de recherche sur le continentle renforcement des capacités de recherche rizicole des SNRA. Un réseau d’anciensces derniers feront partie du mécanisme de Groupe d’action. Idéalement, les effortsdirect aux diplômés universitaires. Les liens peuvent également être établis avec lesuniversités du Nord mais toujours en partenariat avec les universités locales. Les Les réunions du Groupe d’action seront tenues au moins une fois par an et sefocaliseront lors des deux journées sur les progrès faits dans le cadre de projetsconjoints et le jour suivant ou les deux jours suivants sur le renforcement des capacitésd’action.par les SNRA. Tous les pays membres d’AfricaRice seront invités à adhérer aumécanisme de Groupe d’action.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)49

Partenariat mondial de la science rizicole (GRiSP)Résumé exécutif discussions sur l’alignement de leurs programmes de recherche rizicole. Le processusa été considérablement accéléré par le processus de changement du CGIAR,notamment les consultations régionales organisées par la Conférence mondiale surla sécurité alimentaire mondiale) de la nouvelle stratégie et du cadre de résultats.Trois organisations de recherche de plus travaillant sur le riz dans un contexte global,avec de nombreux acteurs, notamment les systèmes nationaux de recherche et de développement aux niveaux régional, national et local. Cette proposition réorganiseles activités actuelles de recherche pour le développement et rajoute de nouvellesdans la recherche et le développement, et rapproche les institutions de rechercheavancées, les systèmes nationaux, le secteur privé et les organisations de la sociétéL’urgence de réorienter et d’aligner les principaux efforts de recherche du monde surle riz illustre l’importance de cette culture pour la population mondiale croissante.Sans aucun doute la sécurité alimentaire mondiale dans le futur et les moyensd’existence précaires des populations pauvres du monde dépendront du maintiende croissance des rendements ont stagné du fait de décennies de négligence de labrutal et sur le long terme des prix va avoir un impact nocif sur les vies des populations50 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

les régions les plus peuplées du globe. En vue de répondre à la future demandetempérature ; élevée et basses, les sécheresses, les inondations et la salinité. Lesparticulièrement sensibles à l’augmentation du niveau de la mer et aux tempêtes aborder certaines contraintes actuelles relatives au rendement. L’extrême variabilité duclimat pousse les jeunes hommes à l’exode laissant derrière eux les personnes âgéeset les femmes avec plus de charges de travail, car ils entreprennent plus de travauxchampêtres et de responsabilités relatives à la gestion de la ferme. Les technologiespour l’amélioration de la riziculture conçues avec et pour les rizicultrices vont sansde l’impact considérable sur l’environnement de plus de 150 millions d’hectares dechamps de riz, tout effort en vue de limiter l’impact de l’agriculture sur l’environnementmondial doit inclure les systèmes à base-riz. associées à la capacité de télédétection offrent des opportunités sans précédent des moyens d’existence des riziculteurs et des consommateurs. L’entrée très récentedu secteur privé dans la mise au point de produits pour les producteurs rizicolesdans les pays en développement offre des opportunités additionnelles d’étendre lespartenariats au-delà du secteur public. À la base, plusieurs organisations de la sociétécivile effectuent d’excellents travaux avec les producteurs, petits entrepreneurs etRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)51

de la pauvreté, l’amélioration de la santé et de la nutrition humaine, le renforcement deet le leadership. et 2035. Ces objectifs seront atteints par un ensemble de thèmes de recherche et dedéveloppement interconCENtés.Objectif 1 : Accroissement de la productivité et valorisation du riz dans le contexte d’unaxées sur la demande et d’autres technologies tout au long de la chaîne de valeur(abordés par les thèmes 1,2,3,4 et 6).Objectif 2 : Davantage de promotion de systèmes de production durables à base-rizl’environnement (abordés par les thèmes 3,4, et 6).Objectif 3 : développement agricoles améliorées, et des mécanismes de livraison renforcés(abordés par les thèmes 5 et 6).Dans la poursuite des objectifs, l’accent sera mis sur la réduction de la pauvreté capacités en science rizicole et l’accent sera mis sur la vulgarisation pour l’obtentionet affamées et l’environnement. L’évaluation ex-ante base d’hypothèses conservatives sur les contributions en termes de productivitédonnera lieu en 2035 aux éléments suivants : inclut près de 600 millions de personnes sur la population mondiale des pluspauvres.52 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

de pauvres de 15 %.tout en préservant les écosystèmes naturels.Les systèmes de production et les chaînes de valeur constitueront le principeprimordial d’organisation du partenariat. Tous les travaux de recherche utiliserontune approche interdisciplinaire basée sur une compréhension claire des différentsenvironnements, systèmes de gestion, et segments de marché ciblés. D’autre part,la dissémination et du feedback. Le résultat sera la mise au point accélérée de bienspublics internationaux tout le long du secteur rizicole. Sur la base de ces considérationsarticulés en six principaux thèmes de recherche et de développement rizicoles, avecun total de 32 lignes de produits de R & D globales et régionales. Thème 2 :Thème 3 :Thème 4 :Thème 6 :Accélération de la mise au point, de la livraison et de l’adoption deAccroissement de la productivité, durabilité et adaptation dessystèmes de production à base-rizValorisation de la récolte du riz à travers les systèmes améliorés detransformation, de commercialisation et les nouveaux produitspour permettre la production et la commercialisation de riz amélioréAppui à la croissance du secteur rizicole mondial agroalimentaires, les petits entrepreneurs, les consommateurs et bien d’autres acteursde produit R & D sont des familles de produits ou Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)53

Les activités interdisciplinaires orientées produits sont menées avec les partenaires envue de mettre au point des produits novateurs et de faciliter leur adoption. L’utilisationciblée des produits peut avoir une portée mondiale ou régionale mais ils doiventreposer sur des preuves en termes de large impact potentiel. Les interactions entred’ordre local, national ou régional et rapprochant les diverses activités et partenairesliens avec les autres mégaprogrammes. plans d’activités de 5 ans abordant les six thèmes de recherche et de développement approches reposant sur la preuve d’impact potentiel et réel, se focalisant sur commela R & D internationale pourra faire les plus importantes contributions à la mise aupoint de systèmes de production rizicoles et de chaîne de valeur et contribuant ainsien vue de rechercher un alignement plus opportun et aussi des contributions avectous les principaux systèmes de recherche et de vulgarisation nationaux, les ONGde développement mondiales et nationales, les communautés de recherche dansles principaux pays développés et le secteur privé. Le renforcement des capacitésau secteur de la recherche et du développement rizicoles (252 SNRAV, 54 secteursprivés, 31 OSC et associations de producteurs, les programmes challenge et lesdes partenariats. se fera principalement à travers les systèmes de gestion de la recherche et d’appui54 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

457,5 millions de USD. En vue de démarrer le programme et plusieurs activitéshautement prioritaires avec les partenaires, un budget de 98,6 millions de USD pour fonds engagés non restreints, des subventions restreintes bilatérales, et d’autresrevenus d’IRRI, d’AfricaRice et du CIAT (sur la base des plans de mi-parcours 2010de 10 %, atteignant 131,3 millions de USD en 2013 (un accroissement de 33 % sur2010).la recherche et développement agricoles. Les investissements conjoints annuels pardevront dépasser 20 millions de USD. se focalisent sur une large gamme de denrées, de systèmes de production et decontraintes sanitaires et environnementales, tout en incluant souvent le riz. À traversses propres activités et projets collaboratifs, investissements conjoints de/et dansd’autres mégas programmes, et la participation active de l’IRRI, d’AfricaRice etpleinement intégré dans la stratégie et le cadre de résultats du Consortium du CGIAR.ILRI, IWMI, ICARDA, ICRISAT, IITA, et WorldFish et les programmes à l’échelle duRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)55

ANNEXE 5Rapport sur le projet de statistiques rizicoles7 e Réunion consultative biennale du Comité des experts nationaux13 au 15 septembre 2010Cotonou, BéninContribution au projet d’urgence sur le riz d’AfricaRice-Japon56 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

NARI.Afr caR ceSystème de données rizicoles pour l’Afrique subsaharienne :Contribution au projet d’urgence sur le riz d’AfricaRice-JaponRapport de synthèse préliminaire30 avril 2010Tél. +229 21 35 01 88 Fax +229 21 35 05 56www.AfricaRice.org‘De la part du peuple japonais’En collaboration avecLes Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) et les Services nationaux deBénin, Burkina-Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Kenya, Liberia,delaService Service National NationaldesStatistiques Statistiques Agricoles AgricolesRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)57

REMERCIEMENTSdes Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) et des Services nationaux d’AfricaRice est menée par Dr Aliou Diagne, économiste d’évaluation d’impact et chef Akahoua S. N’ CHO, Assistant de recherche, AfricaRice, Cotonou - Bénin AfricaRice Cotonou - BéninAfricaRice, Cotonou - Bénin Cotonou - BéninLes Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) et les Services nationaux deles remercions grandement pour leur contribution. Les points focaux des pays sont :Bénin : Gilbert G. AHOUASSOU, Laurent OLOUKOIBurkina Faso : Richard S. GUISSOU ; Mathieu OUEDRAOGO58 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Côte d’Ivoire : Sekou DOUMBIA ; Youssouf TRAORÉGambie : Faye MANNEH ; Adama JAWO ; Ebrima CHAMGhana : John NORTEY ; Alexander Nimo WIREDUGuinée : Diawara SEKOU ; Aly CONDEKenya : Winfred KORE ; Thuranira Elias GITONGALiberia : Jobson A. MOMO ; Reginald W. FANNOHMali : Bocar Dit Sire BA ; Boubacar MAIGANigeria : S. B. ADEBAYO ; Dr (Mme) Vivian OJEHOMON ; Dr O. OGUNDELEOlivier KINZAMBARwanda : Chantal INGABIRE ; Justine MUKAYIRANGASénégal : Alioune DIENG ; Mamadou SAGNASierra Leone : Mahmood ; Ahmed NAZIR ; Mohamed Ajuba SHERIFFTanzanie : Malemi NYANDA ; Elisha Martine MKANDYATogo : Tsogli EZI ; Tsatsu K. DOMENYOOuganda : Benard ODUR ; Mary Frances NAKAKAWAdes activités.Delphin O. KOUDANDE ; Assogba HODONOU. HEMA ; Dr Blaise K ; Bakary BELEMOU ; Sibiri YAMEOGO ; Besolbié, BATIONO ; YOuambi AMEOGO ; Bila KOUMTOUBRE Ngninbeyie ; Jean MFOUANDOU.Côte d’Ivoire : Dr Alphonse BOUET, Ernest Depieu Karidioula GABÉHONRY ; KouaméGambie : Mary MENDY ; Famara KOLLEY ; Bakary SanyangGhana: Alexander Nimo WIREDU et John NORTEYGuinée : Mamadou Billo BARRY ; Sékou KEITA ; Thierno Saïdou DIALLOKenya : Chercheurs de KARI-Kibos, KARI-Mwea, KARI-Matuga, KARI-NARL etKARI-Kissii.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)59

KORTEE ; Joseph K.F. JORKEAH ; Abibatou T. KROUMAH ; James S. DOLO ;Joseph JOCKEH.Madagascar : Raymond RABESONMali : Dr Mbaré COULIBALY ; Diakité KOTIÉNigeria : Bandele OGUNLANA ; Dr Olupomi AJAYI ; NGOUANDJI ; Arnaud Bertrand NOUDJEO ; Serge NZENGOYU ; SamsonNGARASSEM ; Géneviève YATANGBANDO.Rwanda : Innocent Ndikumana ; E.René GASORE ; Joseph MUTWARESénégal : Dr Abdoulaye FALLSierra Leone: Mahmood Ahmed Nazir et Mohamed Ajuba SheriffTanzania: Elisha Martine Mkandya et Malemi NyandaLABAREOuganda : Stella Adur ; Godfrey ASEALes auteurs et collaborateurs adressent leurs remerciements à tous les acteurs Le management d’AfricaRice a fourni un appui indéfectible au projet, en preuve deen partenariat avec les Systèmes nationaux de recherche agricole et de vulgarisationsecteur rizicole. L’appui solide des 21 Directeurs généraux des SNRA et de NASS a60 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

du gouvernement du Japon est très appréciée. Nous adressons nos sincèresremerciements à Messieurs Fujimura et Kobita et à l’ambassade du Japon en Côted’Ivoire pour leur appui indéfectible.AvertissementLe présent rapport de synthèse est un document de travail préliminaire évolutif.rapport ont été nettoyées et le traitement des données se poursuit. Deuxièmement, générées à partir des ensembles de données au niveau village et non pas à partirdes bases de données des producteurs. De ce fait, ces résultats ne doivent pas êtreRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)61

ABRÉVIATIONS CGIARGroupe consultatif sur la recherche agricole internationaleERIInitiative d’urgence sur le rizJICAAgence japonaise de coopération internationale SNDRStratégie nationale de développement de la rizicultureSNRASystèmes nationaux de recherche agricoleSNRAVSystèmes nationaux de recherche agricole et de vulgarisationTICADConférence internationale de Tokyo pour le développement de62 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Résumé exécutifSystème de données rizicoles pour l’Afriquesubsaharienne :Contribution au projet d’urgence sur le rizd’AfricaRice-Japon au niveau national par les points focaux nationaux du projet. Au cours de la mise endes pays. Les points focaux nationaux des pays proviennent des Systèmes nationaux pays, un réseautage intensif a été établi comprenant les progrès d’étape trimestrielsenvoyés par les pays.engagées dans la saisie, le traitement et l’analyse intensive de données en étroitemis à jour par la suite et révisés par les pays. Cependant, certains pays n’ont pas encoreenvoyé leurs rapports révisés il s’agit du Liberia, de la Tanzanie, de l’Ouganda et deet a été l’occasion de démontrer la viabilité des relations de travail collaborativesà long terme entre plusieurs acteurs nationaux sur la constitution de systèmes dedonnées rizicoles à objectif multiples. Au niveau de la coordination régionale abritéeles activités du projet évoluent. Les diverses expériences sur le terrain des différentsRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)63

pays ont fourni des aperçus solides en vue d’un futur projet de collecte de donnéesrizicoles couvrant plusieurs pays.accessibles. En effet, dans le cadre des futures perspectives des activités du projet, lesle cadre de ce projet pour mettre à jour les Stratégies nationales de développementde la riziculture (SNDR), conduiront des exercices de hiérarchisation des priorités etcollectées se poursuive après le 30 avril 2010 en vue de leur publication sur Google Certains retards dans le processus de collecte de donnée ont été relevés (Liberia descriptives et les données pays agrégés sur la base des ensembles de données auélaboré, tous les pays sont en train d’achever le développement de bases de donnéescomplet et actualisé sera soumis plus tard. Ce rapport est aura deux volets. Lapremière partie comprend trois chapitres. Le premier chapitre fourni des informations les réalisations du projet. La partie II expose des résultats préliminaires découlant desdernière section présente les annexes.64 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Introduction le gouvernement du Japon s’est engagé à aider les pays africains à doubler leurle gouvernement du Japon à travers l’Agence japonaise de coopération internationaleCARD est un Groupe consultatif de donateurs, d’institutions de recherche et d’autres d’informations, la coordination et l’harmonisation des initiatives et projets existants,de la première Assemblée générale de la CARD tenue à Nairobi, un Groupe de 21Ces pays ont reçu un appui en vue d’élaborer leur propre Stratégie nationale ded’Initiative d’urgence sur le riz (ERI) dans ce contexte. ERI comprend deux volets :de données rizicoles, le projet travaille avec les Systèmes nationaux de recherche Sierra Leone, Tanzanie, Togo, et Ouganda) en vue de collecter d’importantes donnéesnational. Le processus de collecte de données est actuellement achevé dans tous lespays. Ces bases de données servent de fondation pour la création d’un système decontribuer au renforcement des capacités des États membres d’AfricaRice en termede génération, analyse, dissémination, et accès à l’information sur les technologies etévaluer les impacts des investissements faits dans le secteur rizicole local. dans tous les pays du projet mais également un effort de résumer certaines donnéesRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)65

élaboré, tous les pays sont en train d’achever le développement de bases de données parties. La première partie comprend trois chapitres. Le premier chapitre fourni des une contribution de l’initiative d’urgence sur le riz ». Le troisième chapitre apporte le agrégées des pays (chapitre 4). La dernière section présente les annexes.66 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

PARTIE IRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)67

68 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

CHAPITRE 1Information générale sur l’Afrique1.1. Importance du riz de l’Ouest, du Nord et de l’Est ont enregistré les parts les plus importantes avec10,2 millions de tonnes, 7,3 millions de tonnes et 5 millions de tonnes respectivement. s’est accrue passant à 3,2 % par an entre 1961 et 2006. La forte augmentation de exemple, la consommation de riz s’est accrue pour atteindre un taux annuel de 15 % demande croissante. La hausse rapide des importations (8,4 % de croissance paran depuis 1997) a permis de combler l’écart croissant entre l’offre et la demanderégionale. Cette hausse rapide des importations a été estimée à 3,77 % sur la périodede tonnes (près de 16 millions de tonnes de riz blanchi) et 9,6 millions de tonnes ontété importées soit un tiers du volume de riz commercialisé sur le marché mondialles événements de la crise alimentaire de 2008.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)69

CHAPITRE 2Renforcement de la disponibilité et de l’accès aux statistiquesrizicoles pour l’Afrique subsaharienne : une contribution del’initiative d’urgence sur le riz2.1 Le projet2.1.1. Contexteles pays africains ne peuvent plus, pour nourrir leurs populations croissantes, dépendredes importations en provenance d’Asie. Les prix de la nourriture, du carburant et desparticulièrement vulnérable car il s’agit d’une des deux principales cultures (avec leurbaines. le gouvernement du Japon s’est engagé à aider les pays africains à doubler leurle gouvernement du Japon à travers l’Agence japonaise de coopération internationaleLa CARD est un Groupe consultatif de donateurs, d’institutions de recherche etd’informations, la coordination et l’harmonisation des initiatives et projets existants, etreçu un appui en vue d’élaborer leur propre Stratégie nationale de développement dela riziculture (SNDR).70 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

en décembre 2007. Cette initiative est élaborée en vue d’améliorer la disponibilité à d’autres acteurs régionaux.dans ce contexte. ERI comprend deux volets : amélioration de l’accès aux semencessubsaharienne.Dans le cadre du volet sur le système de données rizicoles, le projet travaille avec lespartenaires des Systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA) dans les 21 pays et informations rizicoles à partir d’échantillons représentatifs sur le plan national.Outre la collecte de données rizicoles représentatives sur le plan national, le projet acontribué au renforcement des capacités des SNRA et des NASS. Le renforcement desreprésentatifs sur le plan national. Dans la plupart des cas, les échantillons dans la plupart des pays. Une autre réalisation majeure du projet a été l’harmonisation d’effectuer certaines agrégations et analyses comparées entre pays. Comme stipulédans le contrat, le rapport de synthèse va inclure les résultats principaux des pays(résumés descriptifs des résultats) et l’analyse des données agrégées rassembléesà travers les 21 pays. L’harmonisation des méthodologies d’échantillonnage a tenuRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)71

AGRHYMET, Niger et un représentant de la BAD.2.1.2. Objectifsdu projet étaient les suivants :1. Le renforcement de la capacité des statisticiens agricoles nationaux et desagricoles, la méthodologie d’échantillonnage pour la collecte de donnéesl’organisation de cours de formation pour les participants anglophones etfrancophones.2. Harmonisation des méthodologies de collecte de données sur le riz.3. 4. 2.1.3. Résultats attendus1. Formation des chercheurs des Systèmes nationaux de recherche agricole etde vulgarisation (SNRAV) et statisticiens agricoles des pays candidats à ladonnées rizicoles (42 personnes au total). rizicoles dans les pays membres de la CARD.3. Mise à disposition aux pays membres de la CARD de données rizicoles production). secteur rizicole local.72 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

IntroductionCHAPITRE 3Contexte méthodologique et réalisations du projetDans le cadre du démarrage des activités du projet, deux ateliers successifs ont étéorganisés pour les pays anglophones et francophones. Les ateliers de lancement ontdes données collectées. L’atelier a permis aux pays du projet de partager avec leurscollègues certaines informations générales sur leurs pays mais, plus important, lesde rassembler les données et informations agricoles. L’atelier a été le lieu d’échangesdes différentes approches en vue de faciliter l’insertion des activités de collected’urgence de données rizicole dans le cadre du système de collecte de donnéesactuel. Une autre importante réalisation a été l’élaboration des plans d’activités etdes budgets des pays respectifs en vue de démarrer les activités sur le terrain. Lesprincipaux événements des ateliers de démarrage étaient les suivants : cérémoniede groupe, élaboration de plans d’action et budgets des pays, et table ronde. élaboré les budgets et plan activités. L’objectif de la table ronde était de partager desopinions et perspectives de différents experts sur le sujet. La table ronde a réuni des appropriées de collecte de données représentatives sur le plan national. En vued’atteindre les objectifs de l’atelier, les deux experts statisticiens avec une bonneCotonou, (Bénin) et Dar es-salam (Tanzanie). Les missions de suivi et d’évaluationRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)73

activités du projet. De plus, le réseautage actif a été maintenu entre les unités defocaux des pays en vue de les assister dans la manipulation et l’analyse de données3.1. Étapes et organisation de la mise en œuvre du projetConformément aux objectifs du projet, la méthodologie utilisée a été articulée autourde plusieurs étapes importantes.1. L’élaboration d’un plan d’activités détaillé du projet et recrutement descoordonnateurs du projet et de leurs assistants de recherche.2. démarrage).3. 4. Organisation d’ateliers consultatifs nationaux.5. 6. 7. a. b. logiciel Access,c. Élaboration d’un plan standard en anglais et en français pour les rapportsd. e. Missions de terrain en vue du suivi des activités des projets et fournituref. L’assistance en ligne a été également fournie sur demande.74 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Le projet devait être exécuté conjointement par les SNRA et les NASS. Le projeta été élaboré en vue d’établir un partenariat solide et durable entre les SNRA et1. La coordination globale du projet est assurée par l’Institut national de rechercheagricole (NARIS).2. 3. rizicoles SNRA et de statisticien NASS.4. L’analyse (analyse descriptive et interprétation de données) et la publication dedonnées étaient également la responsabilité conjointe des deux partenaires et,et de statisticiens NASS. un statisticien pour coordonner les activités du projet et travailler directement avecles coordinateurs régionaux des projets basés à Cotonou, Bénin et Dar es Salaam,Tanzanie. à assurer la cohérence et la comparabilité des données collectées entre les pays.été revus et analysés par l’unité de coordination du projet. Sur la base des revuesdes rapports préliminaires, les commentaires et les suggestions ont été soumis auxactualisés et révisés, y compris les bases de données ont été envoyés par les pays. en vue de nettoyer les ensembles de données, de générer les tableaux et de conduire 11Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)75

Les rapports et les ensembles de données des pays ont été envoyés à AfricaRiceen vue de l’agrégation et de l’analyse comparée entre les pays. Il a été demandé àpar le projet sous un format géo référencé en utilisant Google Maps. projet sont la propriété conjointe des NASS, des SNRA et d’AfricaRice. Dans l’articlede publication, les chercheurs et les étudiants des SNRA, d’AfricaRice, d’universitéset autres institutions associées au projet actuel auront accès libre, sans réserves etactuel (données brutes et données nettoyées) y compris les données issues du3.1.1. Les ateliers de démarrage du projet avec des documents du projet et les invitants à nommer un statisticien pour lespays francophones et à Dar es Salaam du 1 er au 5 juin pour les pays anglophones. projet. leurs plans d’action et budgets détaillés. Les ateliers ont également eu pour objectifde servir de lieu de concertation des experts pour la conception et la méthodologie76 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

participé aux ateliers de démarrage ont travaillé pendant 5 jours sur la méthodologieLes programmes des ateliers de lancement étaient les suivants : 1) la présentationdes objectifs du projet, les plans d’activités et les budgets ; 2) les présentationsindividuelles des pays sur leurs secteurs rizicoles, et l’étendue et les méthodologiessessions plénières en vue de discuter des résultats des Groupes de travail et desLes expériences des 5 pays pilotes (Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Niger, Nigeria, etde données sur le riz ont également été présentées lors des sessions plénières. Ledernier jour de l’atelier, une table ronde a été organisée en vue de partager des opinions Un résultat majeur des ateliers de démarrage a été un accord sur les étapes clés etLes rapports détaillés pour les ateliers sont disponibles.3.1.2. Ateliers de formation sur la méthodologie d’enquête agricoleAfricaRice et la BAD ont organisé un atelier de formation sur la méthodologie agricoledu 27 au 31 juillet 2009 à Abidjan, Côte d’Ivoire en collaboration avec le Centredispositif d’échantillonnage et à l’harmonisation et de faciliter l’adoption des meilleures suivi des OMD et la mesure des résultats. Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)77

le plan national ; iii) de recommander les directives de méthodologie d’échantillonnagepour une future utilisation dans les 21 pays.lancement de mai et juin, les participants d’AGRHYMET, des SNRA et des NASS duNiger ont également pris part à l’atelier. ont été consacrés à la présentation des méthodes d’échantillonnage et au dispositifse sont focalisés sur l’élaboration de méthodes d’échantillonnage et de procéduresau niveau national. pays en développement ont été recrutés comme personnes ressources lors del’atelier. Les experts statisticiens ont été les facilitateurs/instructeurs lors de l’atelierrevue des méthodologies suivies par les 21 pays et une directive pour la conduite de3.2. Mise en œuvre des enquêtes nationales en vue de la collecte dedonnées3.2.1 Dispositif d’échantillonnageLe tableau 1 présente les diverses méthodes et tailles d’échantillons utilisées dans lespays. Dans la plupart des pays, la méthode d’échantillonnage à deux niveaux a été78 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Tableau 1. Méthode d’échantillonnage et taille de l’échantillon dans les 21 paysPaysMÉTHODED’ÉCHANTILLONNAGETAILLE DEL’ÉCHANTILLONBénin Échantillonnage à 2 niveaux 1 255Burkina Faso Échantillonnage à 2 niveaux 760Cameroun Échantillonnage à 2 niveaux 1 200Côte d’Ivoire Échantillonnage à 2 niveaux 3 325Gambie Échantillonnage à 2 niveaux 370Ghana Échantillonnage à 2 niveaux 1 120Guinée Échantillonnage à 2 niveaux 1 085Kenya Échantillonnage à 2 niveaux 572Liberia Échantillonnage à 3 niveaux 1 500Madagascar Échantillonnage à 3 niveaux 1 606Mali Échantillonnage à 2 niveaux 2 495 Échantillonnage à 2 niveaux 492Nigeria Échantillonnage à 2 niveaux 10 500 Échantillonnage à 2 niveaux 2 140 Échantillonnage à 2 niveaux 848Rwanda Échantillonnage à 2 niveaux 395Sénégal Échantillonnage à 2 niveaux 1 863Sierra Leone Échantillonnage à 2 niveaux 1 300Tanzanie Échantillonnage à 4 niveaux 1 050Togo Échantillonnage à 2 niveaux 727Ouganda Échantillonnage à 2 niveaux 1 537 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)79

avant le démarrage de l’activité.Tableau 2.S/N PAYS NOMBREEnquêteurs Contrôleurs Superviseurs Opérateurs desaisie1 Bénin 63 17 8 152 Burkina Faso 78 28 93 Cameroun 120 164 Côte d’Ivoire5 Gambie 120 16 66 Ghana 1657 Guinée 78 33 17 108 Kenya 60 129 Liberia 37 1910 Madagascar 60 15 6 1511 Mali 120 2812 13 Nigeria 112 62 3614 centrafricaine72 6 1015 Congo16 Rwanda 1617 Sénégal18 Sierra Leone 130 13 419 Tanzanie 105 5 2120 Togo 25 221 Ouganda80 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

3.2.3. Traitement des données (saisie, traitement et analyse de données) documents de travail envoyés pour les assister dans l’analyse de données et dans du nettoyage et de l’analyse de données.3.3. Réalisations par activitéaux pays. Les principales réalisations relatives au respect des réalisations desdes pays. Le suivi des activités du projet a démarré en septembre 2009 à travers unnombre de visites aux pays fait par le leader du programme 4, les coordonnateurs été maintenus entre AfricaRice et tous les points focaux des pays du projet. Des plusieurs codes Stata en vue d’assister les pays dans la manipulation et l’analyse dede tabulation. Les 21 pays ont reçu le plan de soumission du rapport pays de même un résumé du statut de la collecte et saisie de données.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)81

Tableau 3.S/N Pays PA FondsreçusAcquisitiond’ordinateurRéceptionde 2 DVD delicences Stataet livres1 Bénin oui oui oui oui2 Burkina Faso oui oui oui oui3 Cameroun oui oui oui oui4 oui oui Non oui5 Côte d’Ivoire oui oui oui oui6 oui oui oui Nondu Congo7 Gambie oui oui oui oui8 Ghana oui oui oui oui9 Guinée oui oui oui oui10 Kenya oui oui oui oui11 Liberia oui oui oui oui12 Madagascar oui oui oui oui13 Mali oui oui oui oui14 oui oui oui oui15 Nigeria oui oui oui oui16 Rwanda oui oui oui oui17 Sénégal oui oui oui oui18 Sierra Leone oui oui oui oui19 Tanzanie oui oui oui oui20 Togo oui oui oui oui21 Ouganda oui oui oui oui82 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Tableau 4.des rapports d’étapesN° d’ordre Pays Premier rapportd’étape trimestrielDeuxième rapportd’étape trimestriel1 Bénin oui oui2 Burkina Faso oui oui3 Cameroun oui oui4 ouiNon5 Côte d’Ivoire oui oui6 ouiouidu Congo7 Gambie oui oui8 Ghana oui oui9 Guinée oui Non10 Kenya oui oui11 Liberia oui oui12 Madagascar oui oui13 Mali oui oui14 oui Non15 Nigeria oui oui16 Rwanda oui oui17 Sénégal oui oui18 Sierra Leone oui Non19 Tanzanie oui Non20 Togo oui oui21 Ouganda oui ouiRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)83

Tableau 5de la collecte, saisie et analyse de donnéesN° Pays QuestionnairesretournésCollecte dedonnéesachevéeMasque desaisie dedonnéespour lespaysdisponiblesSaisie dedonnéesachevéeLogicielutilisépour lasaisie dedonnées1 Bénin oui oui oui oui Access2 Burkina Faso oui oui oui oui 3 Cameroun oui oui oui oui Access4 oui oui oui oui Access5 Côte d’Ivoire oui oui oui oui Access6 du Congooui oui oui oui Access7 Gambie oui oui oui oui Access8 Ghana oui oui oui oui Access9 Guinée oui oui oui oui 10 Kenya oui oui oui oui Access11 Liberia oui oui oui oui Excel12 Madagascar oui oui oui oui Access13 Mali oui oui oui oui 14 oui oui oui oui Access15 Nigeria oui oui oui oui Access16 Rwanda oui oui oui oui Access17 Sénégal oui oui oui oui Access18 Sierra Leone oui oui oui oui Access19 Tanzanie oui Non oui Non Access20 Togo oui oui oui oui Access21 Ouganda oui oui oui Non Access84 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Tableau 6.des rapports et bases de données des paysS/N Pays Rapportenvoyé àAfricaRiceBases dedonnéesenvoyées àAfricaRice1 Bénin oui Oui, tous lesmodules2 BurkinaFasoouiOui, tous lesmodulesObservationso Rapport provisoire(résultats sur la base del’échantillon)o Les bases de donnéescomplètes en versionStatao Version Accessincomplèteo Rapport provisoire(résultats sur la base del’échantillon)o Les bases de donnéescomplètes en version3 Cameroun oui Oui, tous lesmoduleso Rapport provisoire sur labase de l’échantillon4 Côte d’Ivoire oui Oui, tous lesmodules5 Gambie oui Oui, à l’exceptiondes chercheurso Rapport provisoireo Bases de donnéesAccesso Rapport provisoire sur labase de l’échantillono sur les tableaux derésultatso des bases de données6 Ghana oui Oui à l’exceptiondes chercheurso Rapport provisoire(résultats sur la base del’échantillon)o Bases de donnéesAccessRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)85

S/N Pays Rapportenvoyé àAfricaRiceBases dedonnéesenvoyées àAfricaRice7 Guinée oui des producteurs8 Kenya oui Oui, tous lesmodulesObservationso Rapport provisoire avecles résultats extrapolés,o Base de données dansStatao Rapport provisoire(résultats sur la base del’échantillon)o des bases de données9 Liberia Non Non o Analyse préliminairefondée sur la tabulationtableaux10 Madagascar oui Oui, à l’exceptiondes chercheurso Rapport provisoire(résultats sur la base del’échantillon)o Les bases de donnéesen version Stata11 Mali oui oui o Rapport provisoire avecnationales rassembléeso La base de donnéesn’est pas complète.12 oui Non o Rapport avec résuméexécutif comprenant descommentaires sur lestableaux13 Nigeria oui une partieproducteurso Certains tableaux eto Rapport86 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

S/N Pays Rapportenvoyé àAfricaRice14 duouiBases dedonnéesenvoyées àAfricaRiceOui, tous lesmodulesObservationso Rapport révisétemporaireo Les bases de donnéesen version Stata15 démocrati-CongoNonOui, tous lesmoduleso Les tableaux ont étégénérés et envoyés auxpartenaires en vue deleur interprétationo Bases de données16 Rwanda oui oui o Tableaux au niveauproducteurs etpérimètres17 Sénégal oui producteurs18 Sierra Leone oui Oui à l’exceptiondes chercheurso Rapport provisoire(résultats basés surl’échantillon)o Base de données chezStatao Résultats présentés dansde rapport19 Tanzanie Non Non o base de données20 Togo oui Oui, tous lesmoduleso Rapport prévisoire(résultats basés surl’échantillon)o Les bases de donnéesen version Stata21 Ouganda Non Non donnéesRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)87

3.3.1. Questions institutionnelles et administrativesTransfert de fonds achevé dans tous les pays du projet.Les unités de coordination sont bien établies au sein des pays avecdeux points focaux par pays (1 SNRA et 1 NASS).3.3.2. Contraintes logistiquesdu projet 2 licences à utilisation individuelle pour Stata 11 avec 2 DVD 3.3.3. Activité 1 du projet : Renforcement des capacités et formationStatut - réalisé Établissement de la collaboration régionale avec AGRHYMET pour lesuivi des activités du projet. consultants.tous les points focaux des pays.3.3.4. Activité 2 du projet : harmonisation des méthodologies de collecte dedonnéesStatut - réaliséfocaux des pays du projet.88 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

élaborées et distribuées aux pays pour faciliter la collecte de donnéeen utilisant les outils standards de collecte de données.3.3.5. Activité 3 du projet : collecte, traitement, analyse et publication destatistiques rizicoles actualisées dans 21 pays d’Afrique subsaharienneStatut : AchevéTous les pays ont soumis les premiers rapports trimestriels à l’Unité decoordination du projet (Tableau 4).Tous les pays ont soumis les seconds rapports trimestriels à l’Unité decoordination du projet (Tableau 4).Tanzanie (Tableau 5). La saisie des données est achevée dans tous les pays à l’exception dela Tanzanie et de l’Ouganda (Tableau 5).Après la saisie des données, les pays ont procédé au nettoyage et àl’analyse de données.Les rapports préliminaires des pays et les ensembles de donnéesenvoyées à AfricaRice (Tableau 6).Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)89

PARTIE II90 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)91

CHAPITRE 4Quelques résultats préliminaires des enquêtesbasées sur les données au niveau village. Le nettoyage et le traitement des donnéesbasées sur les données des divers villages.4.1. Répartition des échantillons par genreTableau 7. Répartition des échantillons par genre (%)PAYS HOMME FEMMEBénin 80,07 19,93Burkina Faso 80,70 19,30Cameroun 62,00 38,00Côte d’Ivoire 94 6Gambie 15,80 84,20Ghana 92,09 7,91Guinée 48,60 51,40Kenya 52,30 47,70Liberia - -Madagascar 84,60 15,40Mali 70,95 29,05 77,94 22,06Nigeria 85,42 14,58 - - 85,80 14,20RwandaSénégal 90,74 9,26Sierra Leone 52,77 47,23Tanzanie - -Togo 90,51 9,49Ouganda - -Total 72,77 27,3392 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

les riziculteurs sont les plus nombreux. D’entrée de bord, l’exception la plus notable l’échantillon). Ensuite, en Guinée, 51,4 % des riziculteurs sont des femmes, il s’agitconstituent une proportion relativement importante sont : le Kenya (47,7 %), la SierraFigure 1. Genre des riziculteurs dans les échantillons globaux des pays.Genre des riziculteurs27,23 27.23% %HommesFemmes72,77 72.77% %4.2. Répartition des échantillons par genre et par âgeTableau 8. Répartition des échantillons par genre et par âge (%)Répartition par âge des chefs de ménage rizicole HOMME FEMME< 20 ans 7,81 8,94 13,10 10,47 22,36 18,05 23,53 29,53 21,25 23,10> 60 ans 11,70 9,69Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)93

ce Groupe constituent 71 %. La grande proportion (46 %) de producteurs de ce grand Sénégal, Sierra Leone, et Togo.Figure 2. Répartition des échantillons par genre et par âge (%)30%25%20%15%10%HommeFemme5%0%60Ans4.3 Statut maritalTableau 9. Répartition des chefs de ménage rizicole par statut marital (%)Statut marital Homme FemmeMarié 85,68 52,95Célibataire 10,07 11,04Divorcé 1,48 15,54Veuf ou veuve 1,10 18,41Dans tous les échantillons, les riziculteurs (85,68 %) et rizicultrices (52,95 %) proportions pour le cas des riziculteurs (10,07 %) et des rizicultrices (11,04 %).94 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Cependant, les divorcés (15,54 %) et les célibataires (18,41 %) sont notables pour sur 11 pays : Bénin, Burkina-Faso, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Kenya,Madagascar, RDC, Sénégal, et Togo.Figure 3. Statut marital90%80%70%60%50%40%30%20%10%0%MariéCélibataireDivorcéVeuf/veuveHommeFemmeSur la base des données de 5 pays : Bénin, Madagascar, RDC, Sénégal, et Togo,fonction des catégories.Tableau 10. Spar catégorieHOMMEFEMME< 1 ha 67,95 76,97 26,91 17,25 2,53 2,42 0,54 0,46 0,24 0,57> 50 ha 1,81 2,33Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)95

(76,97 %), la taille moyenne du terrain cultivé est de moins d’un hectare. Une deuxième les rizicultrices.Figure 4. 80%70%60%50%40%30%HommeFemme20%10%0%50ha4.5. Rendement4.5.1 Rendement rizicole agrégé par écologieTableau 11. Rendements moyens par type de variété, tonne/hectareTraditionnelleAmélioréesNERICAd’AfricaRiceAmélioréesnonNERICAd’AfricaRiceAmélioréesdes SNRAAutresamélioréesRendement (t/ha) 1,944 1,796 1,278 2,204 2,09796 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Les rendements les plus hauts ont été observés pour les variétés de riz amélioréesdes SNRA et d’autres institutions, plus de 2 tonnes par hectare. Toutefois, ces chiffresFigure 5. Rendements moyens par type de variété2.5Rendement (t/ha)2.01.51.00.50.0TradionnellesAmélioréesNERICAAmélioréesnon NERICAAmélioréesSNRAAutreamélioréesFigure 6. Rendement par écologieRendement par écologie (t/ha)3,803,2292,3591,8581,5530,925Irrigué Plateau Plateau avecirrigaond'appointBas-fondMangroveAutreRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)97

Les rendements agrégés ont été calculés par écologie en vue de comparer les écologies irriguées et de mangrove ont en moyenne des rendements de plus de Ghana, davantage de données sur les écologies de mangroves sont attendues dela Gambie, du Ghana, de la Guinée, du Liberia, du Sénégal, et de la Sierra Leone.permet pas une comparaison directe avec les données agrégées sur le rendementpour le système rizicole irrigué.La riziculture de bas-fond occupe la seconde place avec un rendement moyen de2,3 t/ha. Les rendements rizicoles de bas-fond agrégés rassemblent des données été calculé sur la base des données de l’écologie de plateau des pays suivants : 4.5.2. Rendement rizicole à travers les pays par écologieLes données agrégées sur le rendement ont également été calculées pour les pays98 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Tableau 12. Rendement par écologie et par paysIrrigué Plateau Plateauavecirrigationd’appointBasfondsMangrove Autre Toutes lesécologiesBénin 2,635 1,714 1,357 2,915 2,155Burkina Faso 2,691 2,889 2,333 4,358 0,25 2,504Cameroun 4,422 1,648 2,790 2,953Côte d’IvoireGambieGhana 4,828 2,040 3,165 3,800 3,458GuinéeKenyaLiberiaMadagascar 2,144 1,196 1,306 1,725 1,593MaliNigeriaRCA 1,142 2,248 0,390 1,260RDC 1,950 1,451 1,000 1,422 1,456Rwanda 6,290 6,290SénégalSierra LeoneTanzanieTogo 2,960 1,674 1,770 2,109 1,600 2,023OugandaTous les pays 3,229 1,858 1,553 2,359 3,800 0,925BéninAu Bénin, toutes écologies confondues, le rendement moyen est de 2,15 t/ha. Lerendement le plus élevé a été noté pour le bas-fond (2,91 t/ha) suivi du rendement production irrigués aux milieux de production de riz de bas-fond. Le rendement moyenpour le système de plateau est de 1,71 t/ha comparé à 1,36 t/ha avec le plateau avecRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)99

Figure 7. Rendement par écologie au BéninRendement par écologie (t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesBurkina FasoToutes écologies rizicoles confondues, le rendement moyen au Burkina Faso est de2,5 t/h avec les rendements les plus élevés (4,36 t/ha) observés pour la riziculturede riziculture irrigué occupe la troisième place avec 2,69 t/ha. Au Burkina Faso, desefforts intensifs ont été fournis en vue d’améliorer les systèmes de production de rizcultures). Les variétés de riz améliorées sont également utilisées dans les systèmesrecherche dans le cadre du projet d’amélioration de la riziculture de plateau.100 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Figure 8. Rendement par écologie au Burkina FasoRendement par écologie au Burkina Faso (t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesCamerounLe rendement moyen pour toutes les écologies rizicoles est de 2,95 t/ha, le rendementde riz irrigué est de 4,42 t/ha contre 2,79 t/ha pour le système de riziculture de basfonds.Le système de riziculture de plateau a un rendement de 1,65 t/ha.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)101

Figure 9. Rendement par écologie au CamerounRendement par écologie au Cameroun (t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesGhanapour les systèmes de plateau se situe à 2,04 t/ha. Un rendement de 3,8 tonnes/hacontribué au niveau relativement haut enregistré en riziculture de mangrove.102 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Figure 10. Rendement par écologie au GhanaRendement par écologie au Ghana(t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesMadagascar de 1,59 t/ha. Le rendement moyen pour les systèmes irrigués est de 2,14 t/ha cerendement de riz de bas-fond est également faible 1,72 t/ha comparé au rendementmoyen de 2,31 t/ha pour les 8 pays. À Madagascar, cependant, le plateau avecirrigation d’appoint a un rendement de 1,31 t/ha contre 1,19 t/ha pour le plateaul strict.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)103

Figure 11. Rendement par écologie à MadagascarRendement par écologie à Madagascar(t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesRépublique centrafricaine 1,26 t/ha avec des rendements plus élevés enregistrés pour la riziculture de plateau(2,25 t/ha). Le rendement du riz irrigué est de seulement 1,14 t/ha. Le rendementfaible parmi les 8 pays mais également bien en dessous de la moyenne de 2,31 t/hapour tous les pays.104 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Figure 12.Rendement par écologie en RCA(t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesRépublique démocratique du Congo (RDC)Le rendement moyen pour toutes les écologies en RDC est de 1,46 t/ha près de laau rendement de toutes les autres écologies, notamment les systèmes de plateau(1,45 t/ha), le plateau avec irrigation d’appoint (1,0 t/ha) et les systèmes de productionde riz de bas-fond (1,42 t/ha).Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)105

Figure 13.Rendement par écologie en RDC(t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologiesTogotoutes les écologies est de 2,02 t/ha. Le système riz irrigué a un rendement moyende 2,96 t/ha. Le système de bas-fond a également un rendement dans la gamme ded’appoint et 1,67 pour le plateau strict.106 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Figure 14. Rendement par écologie au TogoRendement par écologie au Togo(t/ha)IrriguéPlateauPlateau avecirrigationd'appointBas-fondMangroveAutreToutes lesécologies4.6. Connaissance des variétésTableau 13. Connaissance des variétés (%)TraditionnellesAmélioréesNERICAd’AfricaRiceAmélioréesnon NERICAd’AfricaRiceAmélioréesdes SNRAAutresamélioréesConnaissancedes variétés, %73,12 32,92 5,43 55,38 32,97le tableau 12. Les riziculteurs ont une meilleure connaissance de leurs variétés bien les variétés améliorées NERICA et non NERICA d’AfricaRice et les variétésaméliorées introduites par les SNRA ou autres variétés améliorées. Ces informationssont générées à partir de données de 6 pays : Bénin, Ghana, Guinée, Kenya,Madagascar, et RDC.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)107

Figure 15. Connaissance des variétés (%)Connaissance des variétés (%)80%70%60%50%40%30%20%10%0%TradionnellesAmélioréesNERICAAmélioréesnon NERICAAmélioréesSNRAAutreaméliorées4.7. Variétés cultivéesTableau 14. Variétés cultivéesTraditionnellesAmélioréesNERICAd’AfricaRiceAmélioréesnon NERICAd’AfricaRiceAmélioréesdes SNRAAutresamélioréesVariétéscultivéesen 200971,95 16,97 15,17 25,24 27,08En 2009, la majorité des cas de variétés de riz cultivés sont des variétés de riztraditionnelles. Toutefois, les variétés de riz améliorées sont également cultivées dansdes proportions relativement plus faibles. Ces informations sont générées à partir dedonnées de 6 pays : Bénin, Ghana, Guinée, Kenya, Madagascar, et RDC.108 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Figure 16. Variétés cultivéesVariétés culvées en 200980%70%60%50%40%30%20%10%0%TraditionnellesAmélioréesNERICAAmélioréesnon NERICAAmélioréesSNRAAutresaméliorées4.8. Contraintes par écologie irriguéeTableau 15. Contraintes de l’écologie irriguée, %ContraintesbiotiquesContraintesabiotiquesContraintessocioéconomiquesPrincipales contraintesIncidence moyenne surl’écologie irriguée (%)Oiseaux 9,21Adventices 9,15Insectes 9,10Carence en Zn 14,06Faible capacité de gestion de13,20l’eauSalinité/alcalinité 13,04 16,10Les engrais non disponibles toute15,48l’année 14,33 14,11Engrais disponibles tardivement11,84dans la saisonRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)109

Figure 17.Principales contraintes par catégorie de l’écologie irriguée (%)Bioque Abioque Socio-économique9,219,159,1014,0613,2013,0416,1015,4814,33 14,1111,84OiseauxAdventicesInsectesCarence en ZnFaible capac ité degestion d el'eauSalinité/alcalinitéDifficultés à maîtriser l'eauLa non-disponibilité desengrais pendant l'annéeL'accès di ficile à l'eaufLe coût élevé desengraisLes engrais disponiblestardivement pendant lasaison110 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

4.9. Contraintes de l’écologie de plateauTableau 16.Contraintes majeuresIncidence moyenne surl’écologie de plateau (%)ContraintesbiotiquesContraintesabiotiquesContraintessocioéconomiquesInsectes 70,46Oiseaux 70,08Adventices 68,9371,56avant la récolte70,27d’eau) 68,61stockagebattagetransportLongue distance pourcommercialiser le rizvannage77,3076,9576,7676,5176,46 prononcées avec une incidence de l’ordre de 70 %.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)111

Figure 18.Principales contraintes par catégorie dans l'écologie de plateau (%)BioqueAbioque Abioque Socio-économique77,3076,95 76,76 76,51 76,4670,46 70,0868,9371,5670,2768,61InsectesOiseauxAdventicesPerte physique des grainsde riz avant la récolteSécheresse(manque d'eau)Perte des grainspost-récoltePerte des grainsdue au stockagePerte d egrains lorsdue au battagePertes de grainsdue au transportLongue distance pourcommercialiser le rizPerte degrainlorsdue au vannage112 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

4.10. Contraintes de l’écologie de bas-fondTableau 17. de l’écologie de bas-fondPrincipales contraintesIncidence moyenne surl’écologie de bas-fond ( %)ContraintesbiotiquesAdventices 34,46Insectes 34,33Oiseaux 33,46ContraintesabiotiquesFaible capacité de gestion del’eau42,58Érosion du sol 41,23avant la récolte36,71Contraintes socioéconomiques 47,54Engrais disponibles tardivementpendant la saison42,83Les engrais non disponibles toutel’annéepailles de riz42,3441,25 40,56Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)113

Figure 19.Principales contraintes par catégoriedans l'écologie de bas-fond (%)AdventicesInsectesOiseauxFaible capacité degestion de l'eauÉrosion du solPerte physique degrains avant la récolteCoût élevé desfactures d'eauDisponibilité tardive desengrais pendant la saisonLa non-disponibilité desengrais pendant l'annéeUtilisation économiquelimitée de la paille de rizLe coût élevé des engraisBioque Abioque Socio-économique114 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

4.11. Contraintes de l’écologie de MangroveTableau 18.Principales contraintesIncidence moyenne dansl’écologie de mangrove (%)ContraintesbiotiquesContraintesabiotiquesContraintes socioéconomiques 3,71Adventices 1,99Insectes 1,95Salinité/alcalinité 5,75Toxicité ferreuse (Fe) 3,85Acidité 3,41Les taux d’intérêts élevés sur les4,11créditsLes retards dans l’octroi de crédit 4,00Les engrais non disponiblestoute l’annéeÉloignement du marché desintrants3,603,53La non disponibilité du crédit 3,31Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)115

Figure 20.Principales contraintes de l'écologie de mangrove (%)Bioque Abioque Socio-économique5,753,713,853,414,11 4,003,603,533,311,991,95Maladies et autres attaquesAdventicesInsectesSalinité/alcalinitéToxicité ferreuse (Fe)AciditéTaux d’intérêts élevéssur les créditsRetards dans l’obtentionde créditNon-disponibilité de l’engraispendant l’annéeÉloignement du marchéd’engraisNon-disponibilité du créditComparé aux écologies irriguées, de bas-fond et de plateau, l’écologie de riz de116 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

ANNEXE 1Programme (emploi du temps mensuel)ObjectifrésultatsintermédiairesActivitéM09A09M09J09J09A09S09O09N09D09J10F10M10A10OS1 : Lerenforcementde la capacitédes statisticiensagricolesnationaux etdes chercheursdes SNRA surles meilleuresd’élaborationla méthodologied’échantillonnagepour la collectede donnéesrizicole et l’analysepublications.IR. 1. Formationdes chercheursdes Systèmesnationaux derecherche agricoleet de vulgarisation(SNRAV) etstatisticiensagricoles despays candidats àla CARD dans lade méthodologiescommunesde collecte dedonnées rizicoles(42 personnes autotal).Partenaires :AfricaRice,SNRAV dans lespays de la CARD,UniversitésA.1.1. Les deuxconsultantssont recrutés etopérationnelsfocal paysnommés etcomplètementopérationnelsA.1.3.la session deformation pourles expertspaysA.1. 4Organisation dedeux ateliers deformation pourles expertsde l’Ouest etXAO*X X XX X XXXRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)117

ObjectifrésultatsintermédiairesActivitéM09A09M09J09J09A09S09O09N09D09J10F10M10A10OS2 :Harmonisation desméthodologiesde collecte dedonnées sur le rizIR.1.Harmonisation desméthodologiesde collecte dedonnées rizicolesà travers les paysmembres de laCARD.Partenaires :AfricaRice,SNRAV dans lespays de la CARD,Universités,AGRHYMET,AFRISTATA.2.1.Développementd’outilsstandard decollectes dedonnées, revuset testés par lespartenaires despays.X X X XOS 3 : Collecte,traitement analyseet publicationde donnéesrizicolesactualisées danssubsaharienne.IR.1. Mise àdisposition auxpays membresde la CARDde donnéeset actualisées(donnéespertinentes surles écologies,les variétés, lesdes producteurs, lasource de revenuproduction).Partenaires :AfricaRice,SNRAV dans lespays de la CARD,Universités,AGRHYMET,AFRISTATA.3.1. Miseniveau paysen vue dela collectede donnéesrizicoles surdifférents sitesavec la tailled’échantillonconnue.3. 2. Analysede donnéesX X X XX X X X118 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

ObjectifrésultatsintermédiairesActivitéM09A09M09J09J09A09S09O09N09D09J10F10M10A10de donnéesrizicoles dans 21subsaharienne etpublication desbasées sur lesdonnéesIR. 1. Brèvescontribueront àguider le suivides décisionsrizicoles et évaluerles impacts desinvestissementsfaits dans lesecteur rizicolelocalPartenaires :AfricaRice,SNRAV dans lespays de la CARD,Universités,AGRHYMET,AFRISTAT4.1.Disséminationdes donnéeset informationsà traversles bulletinset rapportsle webX*Recrutement du coordonnateur d’AO.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)119

ANNEXE 2Dispositif d’échantillonnage et taille de l’échantillon des 21 paysPAYSMéthoded’échantillonnageSites deséchantillonsRégions/sitesBéninÉchantillonnage à 2niveauxBurkina Faso Échantillonnage à 2niveaux1 255760- 61 districts sur 77- 11 districts sur 12 (à l’exception dulittoral)été choisiesrégions sur 13 ont été choisies.Cameroun Échantillonnage à 2niveaux1 200 5 bassins rizicolesCôte d’IvoireÉchantillonnage à 2niveaux 3 325- 475 districts de recensement (DR)dans 672 régionsGambie Échantillonnage à 2niveaux370 - 6 régionsGhana Échantillonnage à 2niveauxGuinéeÉchantillonnage à 2niveauxKenya Échantillonnage à 2niveaux1 085 - 7 régions (BOKE, FARANAH,KANKAN, KINDIA, LABE, MAMOU,N’ZEREKORE)- 33 préfectures572 - 5 provinces- 9 districts (1 district dans la provincecentrale et 2 districts dans 2 autreszones).Liberia Échantillonnage à 3niveauxMadagascarÉchantillonnage à 3niveaux 1 606pays-15 districts- 143 FokontanyMali Échantillonnage à 2niveaux Échantillonnage à 2niveaux2 495120 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

PAYSMéthoded’échantillonnageSites deséchantillonsRégions/sitesNigeria Échantillonnage à 2niveaux 10 500- 6 régions- 36 États- 700 ZDcentrafricainedu CongoÉchantillonnage à 2niveauxÉchantillonnage à 2niveauxRwanda Échantillonnage à 2niveaux2 140 - Bassin du Sud Est (préfectures deOuaka, Basse-Kotto et de M’Bomou)- Bassin central et du Nord Estpartie de Haute-Kotto)- Basin du Sud-Ouest et une partie duNord-Ouest (préfectures de Ombella-périurbaine de Bangui)- Une partie de Ouaka (Kidjikra)848 - 8 provinces-395 - 6 principales régions productrices derizl’Ouest), Rwamagana, Kanyonyomba,Cyunuzi, Cyabayaga, et BugeseraSénégal Échantillonnage à 2niveaux2 000- Zones irriguées : Delta (Districts deSaint-louis et Dagana), Moyenne ValléeHaute Vallée (District de Bakel) etAnambé (District de Vélingara)- Zones irriguées : Centre Est duSénégal (District de Tamba), Kédougou(Districts de Kédougou, Salématade Saraya), Bassin du Sud Ouest(Districts de Fatick et Foundiougne),Haute Casamance (Districts de Kolda,Vélingara, et Médina Yoro Foulah),Moyenne Casamance (Districts deSédhiou, Goudomp Bounkiling etBignona) etBasse Casamance (Districts deZiguinchor et Oussouye)Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)121

PAYSMéthoded’échantillonnageSites deséchantillonsRégions/sitesSierra Leone Échantillonnage à 2niveauxTanzanie Échantillonnage à 4niveauxTogo Échantillonnage à 2niveaux1 300 - 13 districts producteurs de riz- 21 districts et 105 villageséchantillonnés- Zone des lacs (Mwanza, Mara,Shinyanga, et Kagera),- Zone du Nord (Manyara, Kilimanjaroet Arusha)es salaam et Tanga),- Zone de l’Ouest (Kigoma et Tabora)- Zone centrale (Dodoma et Singida)- Zone des hautes terres du sud(Mbeya, Iringa et Rukwa)- Zone du Sud (Mtwara, lindi etRuvuma)727 Centrale, Kara, Savanes)- 251 villagesOuganda Échantillonnage à 2niveaux122 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

ANNEXE 3Point focal/ représentant par paysN° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT1 Ahouassou G. GilbertBéninMinistère del’Agriculture, de2 Oloukoi Laurent Institut national desrecherches agricoles duCollaborateurTél. : 229 95 420 557Courriel : gbegah1@yahoo.frÉconomiste Tél. : 229 90 066 004Courriel : oloukoi_laurent@yahoo.fr3 Guissou S. RichardBurkina FasoDirection généralede la promotion del’économie ruraleIngénieurstatisticienTél. : 226 70 769 346Courriel : richardguissou@yahoo.fragristat@fasonet.bf4 Ouedraogo Mathieu Institut del’environnement et derecherches agricolesINERAAgroéconomiste Station Farako BaTél. : 226 70 728 542Fax : 226 20 970 159Courriel : oued_mathieu@yahoo.fr5 CamerounMinistère del’Agriculture et dudéveloppement ruralMINADERChef service desrecensementagricolesTél. : 237 99 540 562Fax : 237 22 234 507Courriel : zodjop@yahoo.fr6 Dorothy Malaa Kenyi Institut de la rechercheagricole pour leDéveloppementIRADAgroéconomiste Menoua Division, West regionTél. : 237 77 770 069Fax : 237 33 442 492Courriel : dorothymalaa@yahoo.co.ukRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)123

N° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT7 Doumbia SekouCôte d’IvoireCNRA/Centre nationalde la recherche8 Traoré Youssouf Chef service gestion del’informationChercheur Tél. : 225 23 472 424/07 623 053Courriel : moulouck2001@yahoo.frStatisticieninformaticienMinistère de l’AgricultureTél. : 225 20 228 000/07 871 757Fax : 225 20 228 001Courriel : pnriz@yahoo.frTryf5@yahoo.fr9 Adama JAWOGambieInstitut national derecherche agricoleNARI10 M. Ebrima Cham Département dedu ministère del’AgricultureAgroéconomiste ajawo20@yahoo.comStatisticien Banjul(00220) 4 225 210mansakonko2000@yahoo.co.uk11 M. Nortey JohnGhanaMoFA (Directoratla recherche et del’information)Agro-économisteprincipalBureau : +233 21 664 317Cellulaire : +233 208 339 706Fax : +23 321 664 317Courriel : johnnorts@yahoo.com12 M. Wiredu AlexanderNimoConseil pour laet industrielle (CSIR),Institut de rechercheagricole de la Savanne(SARI)Chercheur(Économiste)Mobile : : +233 244 790 235E-mail : nanayawnimowiredu@yahoo.co.uk124 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

N° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT13 Diawara SekouGuinée (IRAG)14 Aly Condé GuinéeService national desAgroéconomiste ConakryTél. : 224 60 359 865/62 275 996Courriel : sekoudiawara@yahoo.frResponsable desOp de terrainSNSAMinistère de l’Agriculture et del’ÉlevageTél. : 224 60 291 332/62 213 014Courriel : alycond056@yahoo.fr15 Mme Kore Winfred16 M. Thuranira EliasGitongaKenyaInstitut Kenyan derecherche agricoleInstitut kenyan derecherche agricole(KARI)- NARLResponsable dela rechercheKARIMobile : +233 244 790 235Courriel : wikore2000@yahoo.co.ukBiométricien Cellulaire : +254 (0) 723 606 204Courriel : thuranira2003@yahoo.com17 M. Momo Jobson A. Liberia Institut central derecherche agricoleResponsable desprogrammes/projets spéciauxBureau : +231 77 742 463Cellulaire : +231 64 77 081Courriel : vahun.guma@yahoo.com18 Madagascar Centre national de ladéveloppement ruralFOFIFA/CENRADERUChercheurenseignantRue Fernand Kansanga, enceinteCIDST, TsimbazazaAntananarivo (101)Tél. : 261 320 406 502/331 478 515Courriel : abelratovo@yahoo.fr19 Randriamora Jean N. Ministère del’Agriculture, deChef du serviceagricoleLogt 1961, cité des 67 haAntananarivo (101)Tél. : 261 341 575 261Courriel : jeanniry@gmail.comRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)125

N° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT20 Bocar Dit Sire BAMaliDirecteur desCourriel : bocarsire@yahoo.fr21 Maiga Boubacar IER/CRRA-Niono Agroéconomiste,chercheurTél. : 223 76 140 631Courriel : boubacar.maiga1@ier.mlboubacarmaiga97@yahoo.fr22 M. OgunlanaBandele**Nigeria Bureau national desDirecteur adjoint Cellulaire : 08027248902Courriel : bandeleogunlana@yahoo.co.uk23 Dr (Mme) OjehomonVivian EbihomonNigeria Institut national derecherche sur lescéréales -NigeriaAssistante duResponsable dela rechercheBureau : +234 8036369760Mobile : +233 8036369760Courriel : tojehomon@yahoo.com24 Dr OgundeleOlorunfemiNigeria NISER- Institutnigerian de rechercheChercheurboursierBureau : +234-7030574305Cellulaire : +234-7030574305Courriel : Olorunfemiogundele@yahoo.com25 Mbedane M. HervéRCAInstitut centrafricainde la rechercheICRAChef servicedes systèmesdes productionsanimalesTél. : 236 75 059 953/75044114Courriel : mbedane_herve@yahoo.fr26 Bida-Kette Reginald Direction de lala documentation et del’informationDirection deagricole, de laDocumentation etde l’InformationDSDI, ministère de l’Agriculture etdu Développement RuralTél. : 236 75 756 816/77 088 077Courriel : reginaldbidakette@yahoo.fr126 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

N° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT27 Talongomo T. Gilbert*RDCService nationalagricoles/ministère del’AgricultureChef de divisionAv. Batetela/SNSA, GombeKinshasaTél. : 243 0998178397Courriel : talongomo_gilbert@yahoo.fr28 Kinzamba AbangOlivierINERA - InstitutNational pour l’Étudeet la recherche29 Ingabire Chantal Rwanda Institut des SciencesRwanda (ISAR)Assistant derechercheTél. : 243 997577181Courriel : olikabang@yahoo.frAgroéconomiste Tél. : 250 788443133Courriel : chanil20@yahoo.fr30 Mukayiranga Justine Rwanda Institut des SciencesRwanda (ISAR)Socioéconomiste du Rwanda (ISAR)ISARTél. : 250 578768/788528366Fax : 250 578768Courriel : mukayirangajustine@yahoo.fr31 Dieng AliouneSénégalInstitut sénégalais derecherches agricolesBureau d’analyses(ISRA/BAME)StatisticienÉconomisteRoute des hydrocarbures Bel airTél. : 221 338591759Courriel : dieng_alioune@hotmail.com32 Sagna Mamadou Direction de l’analyse,de la prévision et desStatisticieninformaticienDakarTél. : 221 338646468Fax : 221 338646471Courriel : mosagna@yahoo.frmosagna@gmail.comRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)127

N° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT33 M. Mahmood NazirAhmedCentre de rechercheagricole de RokuprResponsable dela rechercheCellulaire : 232-76-910-474Courriel : naziruadie@yahoo.com34 M. Sheriff, MohamedAjubaSierra LeoneDépartement del’évaluation et du suividu ministère del’AgricultureDirecteur adjoint Cellulaire : +232-76-646442Courriel : mohamedajuba@yahoo.com35 Malemi NyandaTanzanieMinistère del’Agriculture, de laSécurité alimentaire etdes coopératives.ÉconomisteprincipalMinistère de l’Agriculture, Sécuritéalimentaire et des coopératives.DAR ES SALAAM , Tanzaniemnyanda2002@yahoo.com36 Elisha MartineMkandyaMinistère del’Agriculture, del’Alimentation et descoopératives, institutde recherche agricolede la zone Est, IlongaTanzanieÉconomiste Bureau : +255 232623201Mobile : +255 (0)784-419669Fax : +255 232623284Courriel : nanayawnimowiredu@yahoo.co.uk37 Tsogli EziTogoDirection de lala Documentation et del’Information38 Tsatsu K. Domenyo Institut togolais de(ITRA)IngénieurAgronome/chefsection prévisiondes récoltesTél. : 228 9286913Courriel : ezitsogli@yahoo.frAgroéconomiste Tél. : 228 9034450Courriel : tsatsu_remy@yahoo.fr128 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

N° NOM PAYS INSTITUTION DÉSIGNATION CONTACT39 M. Benard OdurOugandaOrganisation nationalede recherche agricole(NARO)Statisticien Organisation nationale derecherche agricole (NARO)bodur@isae.mak.ac.ugetodurbenard@yahoo.com40 Mme Nakakawa, MaryFrancesOrganisation nationalede recherche agricole(NARO)SocioéconomisteBureau : +256 414 320341/2Mobile : +256 772 552 729Fax : +256 414 321070Courriel : francesnm@yahoo.comou francesnm@naro.go.ug41 Marcos Langa Chercheur IIAM-Instituto de Investigacao2698Tél. : +258 28120318Cellulaire : +258 829748530marcoslanga @yahoo.com42 Fidélio Salamandane Chercheur IIAM-Instituto de InvestigacaoTél. : +258 28120318Cellulaire : +258 829748530salamandane@yahoo.com.brM. Gilbers Talongomo est décédé le 2 décembre 2009 à Kinshasa. Une nouvelle recrue, M. RobertNGONDE NSAKALA, a été nommée.** Dr Ogunlana, Bandele a pris sa retraite.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)129

ANNEXE 6Mise en œuvre des recommandations du CEN 6Décisions et recommandations du Comité des experts nationaux6 e Réunion biennale (23–25 juin 2008)Recommandation 1 : Félicitations au DG d’AfricaRice et son équipeLe CEN est impressionné par les réalisations majeures enregistrées par le DG fonction, à savoir :eti) ii) l’augmentation des propositions de projets conjoints avec les Systèmesnationaux de recherche agricole (SNRA),iii) le développement d’une Initiative d’urgence comme réaction à l’actuellecrise alimentaire mondiale, le lancement d’un programme post-master,iv) le fort plaidoyer pour les pays membres d’AfricaRice dans les forumsinternationaux et locauxv) Félicite le Directeur général et son personnel pour ces actions concrétisées en si peude temps.Recommandation 2 : Nouveau Programme de recherche et Plan StratégiqueLe CEN note avec satisfaction les démarches entreprises par AfricaRice pour mettreen place une nouvelle structure des programmes de recherche et élaborer un nouveauetexercice.130 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Statut en septembre 2010des ménages obtenues dans 21 pays africains est en cours et sera utilisé commeRecommandation 3 : Alignement AfricaRice-IITA et AfricaRice-IRRI-CIATLe CEN apprécie les démarches entreprises par le Centre en forgeant la cohérencestation de Cotonou, et est en outre impressionné par les démarches courageuseset le CIAT.Statut en septembre 2010États membres.Recommandation 4 : Expansion géographique et Centre d’excellence de l’UA ettransformer en un Centre d’excellence de l’Union africaine tout en restant un centredu Groupe Consultatif.Statut en septembre 2010Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)131

Recommandation 5 : Adhésion de l’Égypteetentités.Statut en septembre 2010AfricaRice a recruté deux agents d’Égypte, un sélectionneur de riz hybride et unassistant de recherche en biologie moléculaire au laboratoire, tous les deux basésau Sénégal. En 2010, un cours de formation sur la sélection du riz hybride a été tenuRecommandation 6 : Formation des chercheurs des SNRALe CEN est très préoccupé par la faiblesse des effectifs du personnel affecté à larecherche rizicole et de son état de vieillissement dans l’ensemble des SNRA. Il notebesoins de formation des SNRA, cible les donateurs en vue d’un développementdes échanges d’informations et des communications entre les acteurs de la rechercherizicole et les communautés de développement.Statut en septembre 2010132 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

AfricaRice est en train de rétablir le mécanisme de Groupe d’action pour rassemblerles ressources humaines rares au niveau des SNRA dans diverses disciplineschercheurs visiteurs ou participent à des cours spécialisés individuels ou collectifs.Les jeunes ressortissants des pays membres peuvent s’engager dans le programmepost-master. Les efforts de renforcement des capacités en faveur des SNRA faitRecommandation 7 : Les rendements rizicoles dans les pays membresLe CEN constate la grande disparité entre les niveaux des rendements rizicoles dansles pays membres,et rendement, partage l’information sur leurs causes et prenne par la suite des mesuresproactives pour proposer des solutions.Statut en septembre 2010 rendement et hiérarchiser les priorités de R & D dans ce sens.Recommandation 8 : Levée des contraintes post-récoltelong terme pour lever cette contrainte de façon concertée avec les SNRA.Statut en septembre 2010 de la science rizicole et, de ce fait, ont gagné en importance dans les programmes particulier de l’ACDI et de la fondation Syngenta.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)133

Recommandation 9 : Plaidoyer pour la production rizicole africaineet Statut en septembre 2010en réponse à la crise rizicole de 2008 l’on éclipsé. AfricaRice cherche activement àrenforcer la collaboration avec les CER, en particulier avec la CEDEAO. Le Centre aproposé plusieurs axes de collaboration dans le cadre des programmes de mobilisationde l’Ouest.Recommandation 10 : Acquis de la recherche rizicole en Afriquerizicole à travers les présentations des pays.etplus visibles et pour un partage mutuel des expériences entre les SNRA.Statut en septembre 2010Les actes de la réunion du CEN vont consigner de telles informations, comme celaétait fait pour la réunion 2008 du CEN.etle cadre des activités d’AfricaRice.134 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Statut en septembre 2010 la recherche rizicole et au développement du secteur rizicole au Liberia dans l’Uniondu Fleuve Mano en général.Recommandation 12 : Semences de qualitéLes formations dispensées aux pays membres en matière de semence par AfricaRicedoivent être soutenues et, accrue des semences de base et des semences à l’intention des SNRA et desproducteurs multiplicateurs.Statut en septembre 2010ans. Les initiatives d’urgence en réponse à la crise rizicole de 2008 ont contribué àRecommandation 13 : Production rizicole dans les bas-fondsdes bas-fonds.Aussi recommande-t-il à AfricaRice de renforcer les efforts de recherche surl’amélioration de la riziculture dans cette écologie par la gestion de l’eau, la gestion deStatut en septembre 2010l’Ouest.Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)135

Recommandation 14 : Arriérés de cotisations des États membresmettent AfricaRice en position favorable de négociation dans la recherche dela mise à jour de leurs contributions annuelles.Recommandation 15 : Motion de remerciementLe CEN adresse ses sincères remerciements à l’endroit de Son Excellence leUne motion de remerciement est également adressée au gouvernement de Côtela crise.Fait à Cotonou, le 25 juin 2008Le Comité des experts nationaux136 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

ANNEXE 7Liste des participantsN° Noms Fonction ContactDG ou représentant1 Dr Koudandé O.DelphinDG pi/INRABRep. Institut national desrecherches agricoles duBénin (INRAB)Tél. : 00 (229) 21 30 02 64, 21300723Fax : 21 30 07 23Courriel : kdddolph@yahoo.fr2 DG - INERAdu CongoTél. : (243) 898931713inera_dg@yahoo.fr /mpmafuka@yahoo.fr3Dr Mbemba-MakizaAndréDirecteur Centre dede Loudima (CRAL/DGRST)2499 Congo, BrazzavilleTél. : (242) 665-13-86/242 560 43 61mbemba_makiza@yahoo.fr4 Dr Hamidou Traoré Chef SISTCRep. DG-INERA/BurkinaFasoBurkina Faso Tél. : 00(226) 50340270Fax : (226) 50340271hamitraore8@yahoo.com5 Dr Dixon Alfred DG, Sierra LeoneAgricultural ResearchInstitute/Institut derecherche agricole deSierra Leone (SLARI)Tél. : (232)76705108a.dixon@cgiar.org /adixon.slari@gmail.com6 Dr Comlan AtsuAgbobli7Mme Mina TsiriarijaoRandrianarisoa8 Dr Ochigbo AbelAnthonyDirecteur généralInstitut togolais de(ITRA) TogoCoordonnateur desOrganismes RattachésRep. DG-FOFIFAMadagascarDirecteur exécutifNational Cereals ResearchInstitute/Institut national derecherche sur les céréales(NCRI)Tél. : (228) 2252148/2254118Fax : (228) 2251559itra@cafe.tgTél. : 00261 330232801mina_tsiriarijao@yahoo.frTél. : 066-4621 88Ochigbo-abel@yahoo.co.uk /ncribadeggi@yahoo.comRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)137

N° Noms Fonction Contact9 Dr Ibet Issa Outhman DG-ITRADTchad10 Dr Macoumba Diouf Directeur généralInstitut sénégalais derecherches agricoles(ISRA)11 Dr Sylvester DicksonBagumaAg. Director, QualityAssurance/DirecteurRep. DG-NARONational AgriculturalResearch Organization/Organisation nationale derecherche agricole (NARO),UgandaNdjamena, Route de FARCHA,Tél. : +235 66 20 10 06Fax +235 22 53 41 63DakarTél. : (221) 338591719/20Fax : 338322427diouf_macoumba@yahoo.fr/mariatousarr@yahoo.frTél. : +256-772504827Fax : +256-414321070sdbaguma@naro.go.ug12 M. Joel EveveNgueleyDirecteur de laRecherche et EtudesEnvironnementalesRep. DG-ONADER, GabonCointetTél. : (241) 76 02 39/ 76 3836/05938706/03158989onaderonader@yahoo.fr13 Dr Sizi Z. Subah Deputy Minister forTechnical Service/Ministryof AgricultureRep.DG-CARI, Liberia14 Dr Dembele Bouréma Directeur général adjointRep. DG Institut d’economierurale (IER), Mali15 Dr Sido YacoubaAmirChercheur principal,Rep. DG-INRAN, Niger16 Dr Nutsugah Stephen Directeur th Street, Sinlcor1000 Monrovia, LiberiaTél. : (231) -6-557104sizizsubah@yahoo.comMaliTél. : (223) 20225573/+223 76440714Fax (223) 20223775dbourema55@yahoo.frTél. : (227) 96 96 11 75sidoamir@yahoo.frTél. : (233) 243265430sknutsugah00@gmail.com138 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

N° Noms Fonction Contact17 Dr Allarangaye D.Moundibaye18 Dr Zakra A.NicodèmeChercheur-rizDirecteur général adjoint,chargé des affairesRep. DG CNRA, Côted’IvoireTél. : (235) 2252 0101Fax 00235 22 52 00 73itrad1dg@yahoo.fr;allarangaye@yahoo.frTél. : (225) 23472446/fax 23472411Nicodeme.zakra@cnra.ci19 Dr Mustapha Ceesay Directeur général adjointNARI, GambieThe GambiaTél. : (220) 448 31 12Fax: (220) 44849 21musceesay@yahoo.com20 Dr Abdel-Salam EDrazResponsable de larecherche, sélectionneuret généticien (ARC-FCRI-Égypte9 Gama St Giza, Egypt, ARCTél. : 00235 73 65 70/ Fax 35736570a_c_draz@yahoo.com21 Dr Famoi Beavogui DG-IRAGConakryConakryTél. : +224 60586510/67586510Famoi.beavogui@irag-guinee.org,beavoguifamoi@yahoo.fr22 Dr Kane AbdoulKarim23 Lopes MarcosAntonioDG-CNRADAMauritanieissauTél. : +222 6539821/222 83636kaneabdoulkarim@yahoo.frTél. : +245 6605550Lopes_marcosantonio@yahoo.frRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)139

N° Noms Fonction ContactObservateurs24 Dr Roy-MacauleyHaroldCORAF/WECARD,SénégalTél. : +221 77 426 01 41h.roy-macauley@coraf.org25 de concertation desriziculteurs du BéninTél. : +229 95 40 54 33gbenoup@yahoo.frAfricaRice26 Directeur générald’AfricaRiceCotonou, Bénin27 M. Aguibou Tall Directeur del’Administration et desFinances, AfricaRiceCotonou, Bénin28 Dr Aliou Diagne Chef de programmeCotonou,Bénin29 Dr Bado Vincent Représentant régionalAfricaRice-Sahel, Sénégal30 Dr Sitapha Diatta Représentant régional ,Côte d’Ivoire31 Dr Marco Wopereis DGA RechercheDéveloppementCotonou,BéninTél. : (229) 21350188Fax : (229) 21 350556a.tall@cgiar.orgTél. : (229) 21 35 188Fax (229) 21 350556a.diagne@cgiar.orgTél. : +221 33 9626441Fax : +221 33 9626491vbado@cgiar.orgTél. : +225 0519.5786Satellite : 882.1621.301270Tél. : (229) 21350188Fax : (229) 21 350556m.wopereis@cgiar.org32Dr Samuel Bruce-OliverConseiller du DGd’AfricaRiceCotonou-BéninTél. : (229) 21350188Fax (229) 21 350556s.bruce-oliver@cgiar.org140 Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)

Le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (GCRAI)Le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale (GCRAI) est un partenariat mondial quirassemble des organisations engagées dans la recherche pour le développement durable avec l’appuides bailleurs de fonds. Ces bailleurs incluent les gouvernements des pays en développement et despays industrialisés, les fondations et les organisations internationales et régionales. Les travaux qu’ilssupportent sont réalisés par 15 membres du Consortium des Centres internationaux de recherche agricole,en collaboration avec des centaines d’organisations partenaires, y compris les instituts nationaux etrégionaux de recherche, les organisations de la société civile, le monde universitaire et le secteur privé.Les Centres du GCRAIAfricaRiceBioversity InternationalCIATCIFORCIMMYTCIPICARDAICRISATIFPRIIITAILRIIRRIIWMIWorld AgroforestryWorldFishCentre du riz pour l’Afrique (Cotonou, Bénin)Bioversity International (Rome, Italie)Centre international d’agriculture tropicale (Cali, Colombie)Centre pour la recherche forestière internationale (Bogor, Indonésie)Centro Internaçional de Mejoramiento de Maiz y Trigo (Mexique)Centro Internaçional de la Papa (Lima, Pérou)Centre international de recherches agricoles dans les régions sèches(Aleppo, Syrie)Institut international de recherche sur les cultures des zonestropicales semi-arides (Patancheru, Inde)Institut international de recherche sur les politiques alimentaires(Washington, DC, États-Unis)Institut international d’agriculture tropicale (Ibadan, Nigeria)Institut international de recherche sur l’élevage (Nairobi, Kenya)Institut international de recherche sur le riz (Los Banos, Philippines)International Water Management Institute (Colombo, Sri Lanka)World Agroforestry Centre (Nairobi, Kenya)WorldFish Center (Penang, Malaisie)Rapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)vii

Afr caR ceCentre du riz pour l’Afrique (AfricaRice)01 B.P. 2031, Cotonou, Béninwww.AfricaRice.orgviiiRapport de la 7 e réunion biennale du Comité des experts nationaux (CEN VII)