Secteur : Industries Agroalimentaires A la Une - Tunisie industrie

Secteur : Industries AgroalimentairesA la Une► Arrêté du ministre de l’industrie et de l’énergie et des petites etmoyennes entreprises du 10 août 2007, portant homologation de lanorme tunisienne relative aux spécifications des dattesP2► Lesieur met de la DHA dans son huile►Huiles d’olives : quatre poids lourds créent un «Groupement d’IntérêtEconomique»►Les dattes tunisiennes : cap sur le marché allemandCTAIC, GTZ et Packtec joignent leurs compétences dans un effort derepositionnement des dattes sur le marché allemandP2P3P3NE RATEZ PAS…SALON INTERNATIONAL DES MACHINES AGRICOLES11 au 17 novembre 2007 ALLEMAGNE-Parc des expositions HanovreSURFEZ….P5http://www.dcinvest.fr/Service francophone d'aide à la création et à l'externalisation desociétés en Roumanie.P6

Décret N°2007-2138 du 21 août 2007, complétant le décret N°2004-1090 du 17 mai 2004, fixant les conditions et modalitésd’application des dispositions de paragraphe 7.26 du titre II des dispositions préliminaires du tarif des droits de douane à l’importationrelatif au soutien de la compétitivité de l’industrie localeSource : JORT N°69 du 28 août 2007Arrêté du ministre de l’agriculture et des ressources hydrauliques, du ministre des finances et du ministre de l’industrie, de l’énergie etdes petites et moyennes entreprises du 17 août 2007, portant modification de l’arrêté du 24 septembre 2001 fixant le nombre desprojets de fabrication de glace, les gouvernorats concernés par ces projets, ainsi que le nombre de projets de transformation ou decongélation de poissons bleusSource : JORT N°68 du 24 août 2007Arrêté du ministre de l’industrie et de l’énergie et des petites et moyennes entreprises du 10 août 2007, portant homologation de lanorme tunisienne relative aux spécifications des dattesDécret N°2007-2079 du 14 août 2007, fixant le salaire minimum interprofessionnel garanti dans les secteurs non agricoles régis par lecode du travailDécret N°2007-2080 du 14 août 2007, fixant le salaire minimum agricoleSource : JORT N°67 du 21 août 2007Circulaire aux intermédiaires agréés N°2007-16Objet : Circulaire n°99-09 du 24 mai 1999 relative à l’octroi par les banques intermédiaires agréés résidentes de crédits à court termeen dinars au profit des entreprises non résidentes installées en TunisieDécret N°2007-2032 du 8 août 2007, modifiant et complétant le décret N°94-538 du 10 mars 1994 portant encouragement desinvestissements des nouveaux promoteurs.Décret N°2007-2035 du 14 août 2007, modifiant et complétant le décret N°94-814 du 11 avril 1994, relatif à la définition des petitesentreprises et à la détermination de leur champ d’activité ainsi qu’aux conditions et modalités d’octroi des avantages auxquels elles sontéligibles.Source : JORT N°66 du 17 août 2007Règlement (CE) no 951/2007 de la Commission du 9 août 2007 établissant les règles d’application des programmes de coopérationtransfrontalière financés dans le cadre du règlement (CE) no 1638/2006 du Parlement européen et du Conseil arrêtant des dispositionsgénérales instituant un instrument européen de voisinage et de partenariathttp://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/site/fr/oj/2007/l_210/l_21020070810fr00100025.pdfLesieur met de la DHA dans son huile►Face au succès des margarines« santé » de type « Fruit d’Or Proactiv», Lesieur contre attaque avecIsio Mémo. Cette nouvelle référence« contribue à entretenir la vitalitéd’esprit », selon le groupe, grâce à laDHA, un oméga 3 d’origine marine.Avec cette huile enrichie Lesieurcherche à maintenir la vigueur dusegment des huiles mature et quireprésente plus de 14% des huilesécoulées.► Marque ombrelle à forte notoriété,Isio pèse plus de 70% des ventes maishttp://www.strategies.fr/archives/1459/page_42499/ et RIA N°681, Juillet 2007a perdu, sur l’année passée près de 4%de parts de marché ! Quant aux huilescombinées, elles progressent toujoursde 3,7% de volume, mais voient leursventes reculer de 1,4%. Pour inverserla tendance, Isio Mémo devraitbénéficier d’un soutien promotionnelimportant.

Huile d’olives : quatre poids lourds créent un «Groupement d’Intérêt Economique»Quatre opérateurs d’envergure dusecteur de l’huile d’olives viennent dejoindre leurs forces en créant un«Groupement d’Intérêt Economique».Ces quatre partenaires sont «SlamaHuiles» (groupe Slama), «MEDAGRO»(groupe BSB), Hikma Foods Company,dirigée par M. Samir Laouimel(également patron de Hikma Olive Oil),et Huilerie Ben Yedder (groupe AmenBank).Baptisé «Mediterranean Olive Oil», etdomicilié chez la société Slama Huiles,ce groupement a pour objet d’assurerdes «veilles technologique, économique,étude et recherche de marchés àl’exportation de l’huile d’oliveconditionnée», ainsi que «l’organisationd’actions promotionnelles communes,relations publiques, lobbying,prospection préliminaire de clients,réalisation de marques communes,création et développement, mise auSource : http://www.webmanagercenter.com.tn/management/article.php?id=32262point, enregistrement et promotion enfonction des marchés et de la clientèlecible, participations auxmanifestations et foires avec standsautonomes et éventuellementinstallation ou/et d’une plateforme àl’étranger, favoriser les échangesd’informations relatives au secteur del’huile d’olive entre les membres,coordination des approvisionnementsen commun, d’intrants etaccessoires»…Les dattes tunisiennes – cap sur le marché allemandCTAIC, GTZ et Packtec joignent leurs compétences dans un effort de repositionnementdes dattes sur le marché allemandLa Tunisie est le 10 ème producteurmondial de dattes – loin derrière les«grands producteurs» comme l’Egypte,l’Arabie Saoudite, l’Iran et l’Algérie etla Libye voisines.Néanmoins, la datte tunisienne esttrès prisée à l’étranger en raison deses atouts nutritionnels et ses qualitésgustatives. Actuellement, un bon tiersde la production annuelle d’environ120.000 t de dattes est destiné àl’exportation. Ceci est le tauxd’exportation le plus élevé parmi lespays producteurs. Les dattestunisiennes sont écouléesprincipalement sur le marché françaisqui absorbe presque 30% del’exportation tunisienne. Viennentensuite par ordre d’importance lesmarchés italien (14% de l’exportationtunisienne), marocain (13%), espagnol(12%) et allemand (9%).Faire profiter à la Tunisie davantagede ce potentiel à l’exportation – tel estl’objectif d’un projet initié par lacoopération technique allemande(GTZ). Dans cette perspective la GTZa joint sous forme d’un partenariatpublic privé ses propres compétences àcelles de la CTAIC et du Centretechnique de l’emballage et duconditionnement (Packtec).Le projet PPP vise à encadrer demanière exemplaire un nombre limitéde conditionneurs de dattes tunisiensdans un processus d’innovationsusceptible de re-positionner leproduit «dattes» avec une meilleurevaleur ajoutée sur un marché modèle –en l’occasion le marché allemand. Ilparaît que le repositionnementefficace est tributaire à la fois de larevalorisation des modes dedégustation «classiques» et de l’offrede nouvelles formes de consommation,par exemple dattes sous forme de«snacks», «energy bars», ou autres.Située en tout début du projet,l’intervention de Dirk Axtmann, expertintégré à la CTAIC, a pour but demieux apprécier les conditions du repositionnementescompté des dattestunisiennes sur le marché allemand. Ils’agit avant tout de contacter lesacteurs clés dans les différentscircuits de distribution prometteurs,d’évaluer les créneaux porteurs ainsique les nouvelles habitudes desconsommateurs. Forts des résultats decette recherche les conditionneurs dedattes tunisiens pourront alorss’engager dans un processusd’innovation au niveau de l’introductionde nouveaux produits et duconditionnement et de l’emballage.Source : Partenaire et Développement Eté 2007Après les jouets et le dentifrice, les aliments chinois mis en causeAprès les jouets et les tubes de dentifrices, c'est au tour desaliments en provenance de Chine d'être pointés du doigt,certains présentant des risques graves pour la santé, selon uneétude du magazine Expansion .Colorants interdits découverts dans des sauces ou dans desgâteaux de riz, moisissures cancérigènes sur des fruits secs,résidus d'antibiotiques dans des lots de miel et de poissons,traces de mercure sur des anguilles ou encore stocks denouilles incluant des composants génétiquement modifiés... laliste des ingrédients impropres à la consommation est longue,relève le magazine. Les ustensiles de cuisine en provenance deChine détiennent eux aussi leurs lots de produits insalubres,puisque l'on retrouve sur divers articles des traces de nickel,de manganèse ou de chrome susceptibles de contaminer lesaliments.

Ainsi, pour les produits alimentaires, 263 notifications pourproduits dangereux ont été relevées en 2006, selon le réseaud'alerte rapide de la Commission européenne. Et déjà, au coursdes sept premiers mois de cette année, l'Expansion fait étatde "209 problèmes".Deux facteurs expliquent essentiellement ces problèmes dequalité: d'une part, la Chine, devenue au fil des années le"garde-manger" du monde, est fortement sollicitée par tous lespays qui souhaitent s'approvisionner à des coûts toujours plusbas. D'autre part, on relève en Chine "un manque incroyable deformation et d'éducation sur les dangers de contamination etsur les bonnes pratiques à adopter pour garantir la sécurité desSource : http://fr.news.yahoo.com/afp/20070828/tbsalimentation-chine-consommation-lead-f41e315_1.htmlconsommateurs", commente dans l'étude Gilles Martin, patrondu laboratoire Eurofins, implanté en Chine.Le gouvernement chinois, a décidé, face à la psychose quis'installe vis-à-vis de ses produits, de prendre le problème àbras le corps et de collaborer avec les Américains pour"améliorer la sécurité de ses aliments", affirme le magazine.Autre sujet alarmant: la contrefaçon alimentaire. "Sur les 2millions de produits alimentaires contrefaits recensés dans lemonde en 2006, entre 16 et 20% venaient de Chine", assureChristophe Zimmerman de l'Organisation mondiale des douanes,cité dans l'étude.Un fléau particulièrement préoccupant qui, selon l'Expansion,finance de plus en plus les réseaux du crime organisé, cesderniers considérant ce moyen de blanchiment comme "moinsrisqué que les filières bancaires ou immobilières".Actuellement, en Europe, les importateurs sont responsables enmatière de sécurité alimentaire. Ils doivent assurer latraçabilité des produits tout au long de la chaîne alimentaire,identifier leurs risques et alerter les autorités sanitaires encas de doute. Mais nul ne sait l'attitude qu'ils adopteront lejour où ils se retrouveront à la tête de quelques tonnes demarchandises douteuses sur les bras.

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