MV 165 Janvier 2013 (.pdf - 4,41 Mo) - Sanary-sur-Mer

actualitésColine D'Inca,Pascale Robertset Richard Guedj.Renée Bianchini et Noëlle Béraud ont offert à FerdinandBernhard son arbre généalogique.Sur la piste de nos ancêtres...“Avec les beaux registres que nous avons à Sanary, nospassionnées de généalogie parviennent à reconstituerdes familles entières” a souligné Ferdinand Bernhard,saluant le travail de Renée Bianchini et Noëlle Béraudet ajoutant : “elles sont même remontées jusqu’àCharlemagne pour certaines de leurs recherches”.C’était lors de l’inauguration de l’exposition “CesSanaryens d’ici et d’ailleurs”, qui présentait à laMédiathèque les arbres généologiques de famillessanaryennes comme les Decugis ou encore les Flotte.Notre maire a mis à profit cette occasion pour rendrehommage à Barthélemy Rotger, grâce à qui tant dedocuments d’une grande valeur historique ont pu êtresauvés. “Nous sommes les héritiers des générationspassées” a-t-il conclu “et cela nous incite à laisserquelque chose de beau aux générations futures”.Les acteurs de plus bellela vie à SanaryC’était à l’occasion de la représentation de “Gigi”au Théâtre Galli : Coline D’Inca, Pascale Robertset Richard Guedj ont bien sûr parlé de la pièce deColette, mais aussi évoqué leurs rôles dans “Plus Bellela Vie”. “Sybille”, “Wanda” et “Charles Henri Picmal”(qui assure aujourd’hui l’encadrement des acteurs) ontexprimé le plaisir qu’ils ont à participer à la fameusesérie de France 3 qui, selon eux, “aborde sans taboutous les sujets de société”.Des classes de la Vernette ont composé pour la nouvelleannée ce calendrier 2013, dont chaque mois est illustré parun dessin réalisé par un écolier. Saluons une idée originaleet très créative !LE SAVIEZ-VOUS ?Il est criminel pour l’environnement de jeter des mégots sur la chausséeOn l’a dit et répété, et pourtant de trop nombreux fumeurs continuent de jeter leurs mégots surla chaussée, ou même dans ce qu’ils croient sans doute être des “bouches d’égouts”, mais quisont en réalité les pluviaux de la ville. Ce qui signifie que ce mégot va arriver directement…dans la mer ! Où ils mettront plusieurs mois à se dégrader. Rappelons qu’il faut près d’un anà un mégot pour “disparaître”, et 10 fois plus s’il s’agit d’une cigarette avec filtre !Pour les mégots de cigarette, la Ville a installé des cendriers urbains sur les panneaux indicateursde la voie publique. À défaut, on peut encore utiliser les poubelles. Et s’ils ne disposentpas de ces éléments à proximité, les fumeurs peuvent aussi avoir sur eux des “cendriers portables”(disponibles dans les bâtiments municipaux) pour y stocker leurs mégots.Ce n’est qu’avec un peu de civisme que nous pourrons réellement protéger l’un de nos biensles plus précieux : la mer.actualités - 19