Ça chauffe ! Week-end d'hiver - Les Subsistances

Les Subsistances 

Laboratoire de 

création artistique 

8 bis, quai Saint-Vincent 

F-69001 Lyon 

tél. +33 (0)4 78 39 10 02 

fax +33 (0)4 78 30 46 35 

info@les-subs.com 

www.les-subs.com 

Dossier de presse 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Ça chauffe ! 

Week-end d’hiver 

DANSE - THÉÂTRE - NOUVEAU CIRQUE - MUSIQUE - 

P L ATEAU ELECT R O 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Vendredi 14, samedi 15 

et dimanche 16 janvier 2005 


3 jours de créations à venir voir emmitouflé(es) 

Des formes courtes, des spectacles, des performances, 

des instantanés, des concerts ! 

Carine Faucher 

Responsable de la communication 

04 78 30 37 27 

carine.faucher@les-subs.com 

Anne Duffner 

Assistante de communication 

04 78 30 37 28 

anne.duffner@les-subs.com 

Association loi 1901 subventionnée par la Ville de Lyon - n° siret : 450 389 101 000 12 - code ape : 923 A



Ce week-end d'hiver est l’aboutissement des temps de résidence de certains 

artistes qui ont travaillé aux Subsistances depuis le mois de janvier 

2004. C’est aussi l’entrée dans l’univers d’autres artistes qui débutent 

leurs parcours dans nos murs : un programme éclectique pour des spectacles 

qui explorent les langages artistiques d‘aujourd’hui, une centaine 

d’artistes pour trois jours de découverte. 


c’est 9 créations, 8 spectacles, 5 performances, des concerts, des visites 

guidées, une exposition, des installations, un atelier de jonglage. 

Au programme 

2 créations-événements, 

une idée singulière : le Collectif Strip-tease, 

trois spectacles de jonglage ... 

...et beaucoup d’artistes de danse, de théatre, de cirque, des musiciens... 

C e r t a i n s s p e c t a c l e s s e r o n t p r o p o s é s e n e x t é r i e u r , 

v e n e z e m m i t o u f l é s a u w e e k - e n d ç a c h a u f f e ! 

Dossier de presse : Week-end d’hiver. 2



Sommaire 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Alain Buffard / Les inconsolés ! Création ! 

p.4 

Alexis Forestier / Sunday Clothes (ritournelles) ! Création ! 

p.6 

International 

Rabih Mroué & Lina Saneh / Biokhraphia p.7 

Jonglage en trois temps 

Adrien Mondot / Convergence p.8 

Jörg Müller / C/O (le tube) p.9 

Nicolas Mathis & François Lebas / Le parti pris des choses p.10 

Collectif Strip-Tease 

! 7 Créations ! 

Camille Boitel / Stripeux tiseux de la mere boitel p.11 

Nathalie Veuillet / Effeuillement / déshabillement / abandon p.12 

Steven Cohen / Installation p.12 

Gilles Pastor / Lily, coq à boches p.13 

Turak / Michel Laubu / Stirptiz : petites inventions ... p.14 

DACM / Etienne Bideau-Rey / Gisèle Vienne / Tranen veinzen (feindre les larmes) p.15 

Mickaël Phelippeau & Maud le Pladec / Fidelinka-Extension p.16 

Pleins feux sur l’association edna 

G.Touyard / B.Charmatz / J.Cima / Programme court avec essorage p.17 

Vincent Dupont / Jachères p.17 

Musique électro 

Echo Sonore 7 / Plateau électro p.18 

+ + + + 

Elodie Carré & Pascal Sémur / Territoires étrangers p.20 

Laurent Driss / La caravane poétique p.20 

Georges Matichard / Art/sites p.21 

Exposition de l’ENBA / p.21 

Atelier de jongalge / p.21 

Informations pratiques P.22 

Calendrier / p.24 


Alain Buffard / PI:ES 

Les inconsolés 

Création aux Subsistances d’un des chorégraphes français de référence sur la scène 

internationale. Les inconsolés, pièce pour trois danseurs, interroge les derniers 

moments de l’enfance et les premiers moments de la découverte du sexe, qui mettent 

soudain à nu l’altérité et ici l’homosexualité. La danse d’Alain Buffard souvent proche 

des arts visuels s’ouvre ici à la parole pour s’enquérir des souvenirs et des limites. 

Ven 14_ janvier 

à 21h15 

Sam 15_ janvier 

à 21h 

Dim 16_ janvier 

à 16h15 

Tarifs Grand Angle : 10 / 8 

(Réduit +) / 6 (Réduit ++) 

Durée : 1h environ 

Conception : Alain Buffard 

Fabrication et interprétation : 

Alain Buffard, Matthieu Doze, 

Christophe Ives 

Direction technique : 

Christophe Poux 

ISC : Claire Servant et 

Christophe Wavelet 

Masques : Daniel Cendron 

Production : Tanguy Accart et 

Hélène Joly 

Coproduction : Les 

Subsistances (dans le cadre 

d’une résidence aux 

Subsistances, 2004/2005, 

Lyon) / Les spectacles vivants 

– Centre Pompidou / Centre 

National de la Danse – Pantin 

/ Centre Chorégraphique 

National de Montpellier – 

Languedoc Roussillon, programme 

ReRC / Centre 

National de Danse 

Contemporaine d’Angers / 

Centre Chorégraphique 

National de Tours 

Avec le soutien du Ballet 

Atlantique Régine Chopinot 

dans le cadre des accueils 

studios 

Production : PI:ES 

PI:ES est soutenu par la 

DRAC Ile-de-France au titre 

de l’aide aux compagnies et 

reçoit le soutien de l’AFAA – 

Ministère des Affaires 

Etrangères pour ses projets à 

l’étranger. 

" Je crois qu’on ne peut pas être consolé de toute façon. Nous sommes tous de 

grands inconsolés. Il y a toujours des histoires de manques, de blessures qui, 

quoi que l’on fasse, rendent le deuil impossible. " 

Alain Buffard 

Les précédentes créations d’Alain Buffard questionnaient la représentation du 

corps dans la danse évoquant déjà la sexualité, ressort important de son inspiration. 

Dans " INtime / EXtime " (présenté en avril 2004 aux Subsistances), les 

rapports de couple, le désir étaient abordés de manière littérale. Avec les 

Inconsolés, il s’agit de les aborder de manière plus frontale. 

Alain Buffard interroge ici les derniers moments de l’enfance et les premiers 

moments de la découverte du sexe, qui mettent soudain à nu l’altérité et l’homosexualité. 

Un travail présent-passé qui entremêle des personnages fictionnels pour réinventer 

et transformer notre intimité. 

Les inconsolés se mêlent en des jeux de miroirs disparates, des jeux d’alliance 

et de désalliance. Ils sont aussi les absences et les fantômes. Ils sont amoureux. 

Ils sont furieux. 

Une certaine idée à la fois cruelle et amoureuse des relations et des présentations 

de corps en rupture. 

Mais, au fond, quel chagrin peut être consolable ? 

En tournée : 

du 9 au 12 mars Centre Pompidou - Paris 

3 avril, Le Vivat - Armentières 

17 mai Festival Perspectives Sarrebrück - Allemagne 

6,7,8 octobre Chapelle Fromentin - La Rochelle 

Spectacle_Danse 

© Matthieu Doze 


Parcours 

Alain Buffard commence la danse en 1978 avec Alwin Nikolais au Centre National de Danse Contemporaine 

d’Angers. Il devient l'interprète de Brigitte Farges et Daniel Larrieu et danse avec Régine Chopinot, Philippe 

Découflé… Il chorégraphie deux pièces avec Marie-Christine Georghiu accompagnées par les Rita Mitsouko. 

Tout en continuant son parcours d'interprète, il devient assistant à la Galerie Anne de Villepoix pour les 

expositions de Rémy Zaugg, Fischli & Weiss, Vito Acconci, Chris Burden, …. 

Par la suite il chorégraphie “Bleu nuit” (1988, son premier solo), puis “Les Maîtres Chanteurs” (1989, de 

Wagner mis en scène par Claude Régy au Théâtre du Châtelet). Entre 1991 et 1996, il cesse toute activité 

chorégraphique. En 1996, il fait deux rencontres déterminantes, Yvonne Rainer lors de la réactualisation de 

sa pièce “Continuous project-altered daily” par le Quatuor Albrecht Knust, et Anna Halprin avec qui il travaille 

en tant que lauréat de la "Villa Médicis hors les murs". En janvier 1998, il présente “good boy”, son 

deuxième solo, au festival "Les Inaccoutumés" à la Ménagerie de verre à Paris ; il chorégraphie également 

une séquence de “Disparus”, long métrage de Gilles Bourdos présenté à la Quinzaine des réalisateurs à 

Cannes 98. Il fabrique deux trios “lNtime / EXtime” et “MORE et encore” (Alain Buffard, Matthieu Doze, Anne 

Laurent, Rachid Ouramdane / festival le Choré-graphique à Tours / juin 1999). En janvier 2001, il présente 

“Dispositifs 3. 1”. (Alain Buffard, Anne Laurent, Laurence Louppe, Claudia Triozzi). En avril 2001, il créé Good 

for…” à partir des matériaux de “good boy”, un dispositif in situ pour le Centre d'Art Contemporain du 

Crestet (Alain Buffard, Matthieu Doze, Rachid Ouramdane, Christian Rizzo). En décembre 2001, il réalise un 

film vidéo “Des faits et gestes défaits” pour la Villa Gillet à Lyon. En 2002, il co-réalise “Dé-marche” avec 

l’artiste visuel Jan Kopp à la Villa Gillet à Lyon (Alain Buffard, Jan Kopp, Laurence Louppe). Il présente en 

février 2003 “Wall dancin’ – wall fuckin’” à la chapelle Fromentin à la Rochelle (Alain Buffard et Régine 

Chopinot). Il élabore une troisième version de “good boy” pour 20 danseurs qui s’intitule “Mauvais genre” 

créé pour le festival Montpellier Danse en juin 2003. Alain Buffard a été co-commissaire avec Larys Frogier 

de l’exposition Campy, vampy, tacky au centre d’art contemporain La Criée à Rennes en mars-avril 2002 ; il 

collabore également avec des plasticiens (Jean-Baptiste Bruant, Marc Domage, Laurent Goldring, Frédéric 

Lormeau,…), et propose régulièrement des ateliers dans les écoles d'art. Il prépare actuellement un projet 

de film avec Anna Halprin à San Francisco avec le soutien du Ministère des Affaires Etrangères et le Fresnoy, 

studio national des arts contemporains, où il est artiste-invité pour la saison 2004/2005. 

Matthieu Doze, interprète de danse contemporaine depuis 1987, principalement pour les projets de Joëlle 

Faure, Dominique Bagouet, Olivia Grandville, Daniel Larrieu, Le Quatuor Albrecht Knust, Alain Buffard, Loïc 

Touzé, Christian Rizzo, Emmanuelle Huynh, Fanny de Chaillé et Claudia Triozzi. Parallèlement, depuis 1994, 

il œuvre à différents projets plastiques, chorégraphiques et musicaux (aka Ben Dover) : “Tu ne changeras 

jamais” (1995), “sous eXposé” (1996), “7 danseurs en danseur” (1997), “Il commence” (incipit) (2000), “general 

cue” (avec Christian Rizzo, 2001), “leçon de la danse” (2002), “LES GENS DE QUALITE dancers in kwality” 

(2002), “modulations de fréquences” (2003), “LUX” (2004). 

Il associe temporairement ou durablement son travail à celui de plasticiens (Jean-Patrick Pelletier, Jocelyn 

Cottencin, Fanny de Chaillé, Ronan Masson, Vincent Epplay), de metteurs en scène (Olivier Py, Gilles 

Bouillon) de cinéastes (Rémi Lange, Yannick Haennel, Olivier Ducastel et Jacques Martineau, Lionel 

Delplanque).Depuis 1993, il est membre fondateur des Carnets Bagouet, groupe de recherches travaillant à 

partir de l’œuvre du chorégraphe Dominique Bagouet. Il prend également part aux travaux des signataires 

du 20 Août, groupe de travail et de représentation composé d’artistes et de chercheurs issus du champ chorégraphique 

contemporain. Il dispense, par ailleurs, un enseignement destiné à des danseurs, des comédiens 

ou des étudiants (arts plastiques, cinéma …) Depuis 1995, il développe des projets de créations transartistiques 

: -Le festival descent-danse (Tours, 1995-1998) -UnHiverSale (sons, images, mouvements) : 

pôle de production, d’édition, et de diffusion de projets plastiques, musicaux, et chorégraphiques (depuis 

1999). 


Alexis Forestier 

Sunday Clothes (ritournelles) 

Le monde des Endimanchés est constitué de chansons, de bruits, d’un univers sonore 

original solidement ancré au théâtre. Stein, Kafka, Büchner, Ponge ou Michaux sont 

les singuliers paroliers des chansons de ce concert incongru. Entre ritournelle populaire 

et musique contemporaine, Alexis Forestier rassemble et articule les compositions 

musicales de ses précédents spectacles pour créer avec la complicité de 3 musiciens, 

un véritable spectacle, moment à part, allègre et hautement créatif, à l’écart de 

toutes les voies connues de l’esthétique théâtrale et musicale. 


à 21h30 


à 20h 


à 18h30 



Durée : 1h environ 

Conception : Alexis Forestier 

et Cécile Saint-Paul, Marc 

Bertin, David Besson, Moïra 

Montier-Dauriac, Michel 

Bertrand 

Co-production : Les 

Endimanchés / 

Co-production et résidence 

Les Subsistances, Lyon / 

France / 2005 

Co-réalisation : Les 

Endimanchés / Théâtre de 

l’Echangeur 

La compagnie les 

Endimanchés est conventionnée 

par la DRAC Ile de France 

Aujourd’hui compagnie de théâtre, 

Les Endimanchés était à sa 

c réation un groupe de perc u ssions 

s’intéressant à la chanson 

populaire. En partant de ce parcours 

artistique ponctué par des 

compositions musica les, des 

re c h e rches théâtra les, Les 

Endimanchés proposent “Sunday 

Clothes (ritournelles)” un concert / installation. 

L’an dernier, avec “Faust ou la fête électrique” sa dernière création 

largement remarquée, Alexis Forestier signait à partir du livret 

une musique chantée par six comédiens chanteurs et un 

soliste contre-ténor. Ici, avec certains d’entre eux, il s’attache à 

une nouvelle recherche dans l’idée du concert, de la “variété”. 

Au sein d’un laboratoire d’expérimentation musicale autour de la 

relation entre le texte et la musique, la question est constante : 

que peut devenir un travail musical né de la rencontre avec une 

écriture lorsqu’il n’est plus subordonné au texte ? 

Par goût pour la ritournelle, Alexis Forestier utilise la répétition, 

moyen pour suspendre le temps narratif de la représentation, déterminer le processus 

dramaturgique et devenir alors une composante essentielle de l’espace scénique. 

“Sunday Clothes (ritournelles)” est l’aboutissement d’une pratique instrumentale et 

d’une recherche sur le son. 

En tournée : 

À l’Echangeur - Bagnolet du 21 janvier au 5 février 2005 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Parcours 

Concert_ Théâtre / musique 

Alexis Forestier musicien et sa compagnie Les Endimanchés poursuivent une recherche sur l’écriture poétique 

et les formes fragmentaires – dramaturgiques ou littéraires – sur la gestion de la transposition théâtrale 

et musicale (Char, Ponge, Michaux…) notamment dans " Chaînes " de René Char, " Le Drame des 

constructeurs " de Henri Michaux. Alexis Forestier sait aussi mêler dans ses recherches tous les genres 

artistiques : les arts plastiques, la scénographie et les images vidéos ou Super8 (en collaboration avec 

Cécile Saint-Paul). Pour " Faust ou la fée électrique " présenté au Théâtre Paris-Villette, Alexis Forestier a 

signé à partir du livret une musique chantée par six comédiens chanteurs et un soliste contre-ténor. Lors 

de leur prochaine résidence aux Subsistances, Les Endimanchés initieront un projet de création autour 

des expressions de la folie. Il s’agira de trouver un point d’articulation entre le/les langages de la folie et 

leur recherche esthétique préoccupée par le dérèglement de la machine théâtrale, la représentation 

vécue comme trouble de l’émergence (du sens). 


Rabih Mroué & Lina Saneh 

Biokhraphia 

Drôle, féroce, cynique, le monologue est écrit et mis en scène par Rabih Mroué et Lina 

Saneh. Ensemble, ils interrogent au travers du récit, que l’on suppose assez autobiographique, 

la vie d’une femme libanaise dans sa réalité intime, sociale et politique. 

"Biokhraphia" ne raconte pas mais questionne aussi le rôle de l'artiste, de tout artiste 

et sa place dans la communauté. C’est insolent et léger, tenant d’un travail théâtral 

documentaire qui a fait la réputation internationale de Rabih Mroué. 


à 19h30 


à 22h15 


à 15h30 



Durée : 40 min 

Ecriture et mise en scène : 

Rabih Mroué et Lina Saneh 

Interprètation : Lina Saneh 

Régie générale / décor : Ali 

Cherri 

Spectacle_Théâtre 

Rabih Mroué appartient à 

la génération d’artiste s 

libanais qui émergent à 

la fois au liban et dans le 

monde entier. Avec Lina 

Saneh, il raconte la vie 

d’une femme libanaise 

dans toute sa complexité 

et toutes ses dimensions 

: sociale, familiale, politique 

et sexuelle. 

Rabih Mroué et Lina 

© Houssam MOUCHAIMECH 

Saneh ébranlent les certitudes, en jouent, ils ne racontent pas 

mais attaquent les conventions, dénoncent les manipulations et le 

rôle de certains tabous sociaux et politiques ancrés dans la culture libanaise. 

“Biokhraphia est un one-woman-show, une pièce de théâtre qui n’en est pas vraiment une. Biokhraphia est 

aussi inclassable que provocatrice. Lina Saneh a des réflexions justes, rapides parfois cruelles. Les mots 

s’échappent de sa bouche. Elle cerne les malaises de la société, ses erreurs, sans jamais donner de leçon. 

Simple, efficace.” L’orient Le Jour - Beyrouth - Samedi 6 avril 2002 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Parcours 

Rabih Mroué, artiste libanais, est à la fois comédien, metteur en scène, auteur. Né en 1967 à Beyrouth, il 

crée ses premières pièces à partir de 1990 à Beyrouth, Paris, Vienne, Tunis, Berlin, Bonn, Bruxelles, Bâle 

et au Caire. Il utilise différents médias tels que la vidéo (vidéaste depuis 1995, il travaille pour la télévision 

Future TV), la performance ou le théâtre. Son travail minimaliste souligne fortement le contexte économique 

et politique libanais en réalisant des pièces quasi documentaires dans lesquelles se mêlent fiction et réalité. 

Actrice et metteur en scène libanaise, née à Beyrouth en 1966, Lina Saneh a commencé ses études de théâtre 

à l’Université Libanaise à Beyrouth, puis à la Sorbonne Nouvelle à Paris. Elle a joué et dirigé plusieurs 

pièces, présentées en Europe et dans le monde arabe. Depuis 1990, son travail était essentiellement basé 

sur le jeu de l’acteur, son corps, l’espace. Créer avec le corps de l’acteur l’environnement urbain, ses 

conflits, ses contradictions. Un corps marqué par la ville, par ce projet arrêté, suspendu, du politique, de 

l’urbain, de la modernité. Aujourd’hui, sa principale interrogation est : à l’ère de la mondialisation, de l’internet 

et du virtuel, quelle place encore pour le corps, pour l’expérience directe, pour l’espace public et la 

parole politique ? C’est, entre autres, la pratique théâtrale elle-même qui est mise en cause. D’où son intérêt 

pour les formes pluridisciplinaires, multi-médias, performances, vidéo art, installation… qui interrogent 

notre citoyenneté et notre place dans l’espace public. Outre son travail de praticienne, Lina Saneh donne des 

cours de Mise en Scène, d’Esthétique Théâtrale et d’Histoire du Théâtre à l’Université Saint-Esprit (Kaslic) 

et à l’Institut des Etudes Scéniques et Audio-Visuelles de l’Université Saint Joseph (IESAV). Principales 

mises en scène : “Les Chaises”, (1996) ; “Ovrira”, (1997, production Festival Ayloul) ; “Extrait d’Etat Civil” 

(2000) ; “Biokhraphia” (2002, production Ashkal Alwan). 


JONGLAGE EN 3 TEMPS 

Quatre artistes nous invitent à envisager de manière fort différente ce 

qu’est le jonglage. De la découverte de la densité poétique de l’objet jusqu’à 

sa pure et simple disparition, ils nous font entrer de manière singulière 

dans une des bases des arts circassiens. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Adrien Mondot 

Convergence 

Drôle d’univers que celui d’Adrien Mondot, pris entre la réalité des balles qu’il sait 

faire rebondir en virtuose et sa volonté de les faire disparaître physiquement. Ce 

jeune artiste grenoblois est jongleur mais aussi diplomé de haut niveau en informatique. 

Il a créé un programme qui lance de manière aléatoire des balles virtuelles et 

il passe son temps à les rattraper. Cela donne un premier spectacle mystérieux, où 

l’on finit par confondre réalité et image, visions noires ou blanches, mené en dialogue 

avec un violoncelle d’une étrange profondeur qui nous fait douter de nos sensations… 


à 20h30 


à 19h30 


à 18h 

FOCUS : Gratuit 


Conception et interprétation : 

Adrien Mondot 

Conception et régie son : 

Christophe Sartori 

Conception et régie lumière : 

Thierry Laroche 

Violoncelliste : Véronika 

Soboljevski 

Ce spectacle a été accueilli dans le 

cadre du programme de résidence 

Les Migrateurs - réseau pour les 

arts du cirque - Alsace / Le Maillon / 

Théâtre Pôle Sud - Strasbourg, il est 

également soutenu par l’Académie 

Fratellini et l’ADAMI. 

Coproduction Le Manège - Scène 

Nationale. 

“Convergence”, première expérience 

de création primée par 

l’ o p é ration Jeunes Ta le n t s 

Cirque, met le jonglage et l’informatique 

au ce n t re de la 

démarche de recherche. Ils ne 

sont plus des éléments servant 

une trame narrative, ils sont à la 

fois le propos et l’objet du spectacle. 

Essayer d’aller voir audelà 

de l’image du jonglage, ou 

j o n g ler avec ce t te image ; le 

point de départ du projet pourrait 

être résumé par la 

© Droits réservés 

question : « que reste t-il du jonglage 

si on enlève les balles ? ». 

Convergence met en abîme la discipline par la technologie ; en 

détourne les règles les plus strictes (le temps, la gravité) ou les plus 

sournoises (la chute) pour créer autant de tableaux allégoriques et 

surprenants, plus proches de la danse que de la performance technique, 

pour aller au fond du jonglage, là ou réside sa poésie. 

Aux Subsistances, Adrien Mondot montre une première expérience de création. 

L’aboutissement est prévu en septembre 2005. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Parcours 

Jonglage virtuel 

Adrien Mondot, chercheur en informatique et passionné par le jonglage, allie un parcours d’artiste avec une 

formation informatique (DEA Imagerie, vision et robotique). Sa démarche artistique s’articule autour de 

deux axes : la technique de jonglage traditionnelle et le développement informatique pour la création artistique, 

ce qui signifie concevoir des outils adaptés, autant dans les domaines graphiques que sonores, en 

tentant d’explorer les nouvelles possibilités et enjeux qu’entraîne l’utilisation de cette technologie. 

Dossier de presse : Week-end d’hiver 8

Jörg Müller 

J ö rg Müller, artiste allemand, est un jongleur de ré f é re n ce to u j o u rs à l’affût de nouve 

l les ex p é r i e n ces avec des choré g raphes ou des compagnies de cirque. La pro p o s i t i o n 

qu’il nous fait ici est d’éto n n a n tes inte r ventions jonglées autour de la notion de tube. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

c/o (Le Tube) 


à 19h45 / 21h 


à 18h / 22h30 


à 17h30 



Conception : Jörg Müller 

Avec : Jörg Müller 

Écriture : Jörg Müller, Vincent 

Peter, Cendrine Gallezot, Francis 

Albiero 

Mise en scène : Cendrine 

Gallezot, Francis Albiero 

Création lumière : Paul 

Beaureilles 

Construction socle : Mathieu 

Delangle, Jörg Müller 

Conseil chauffage : Johan Olivier 

Tra vail improvisé dans un cylindre rempli d’eau. L’eau est le 

guide du tra vail : la suspension, 

le sile n ce, l’ i s o lement, l’ i n t i m i t é , 

la solitude, la mémoire, la re s p ira 

t i o n . . . 

«L’eau me permet de jongler avec moimême 

; jongler avec mon corps qui pèse 

entre très peu et rien et parfois même 

moins que rien. Bercé dans ce milieu, l’intimité 

touche ma peau, couvre mon ego et 

je goûte de temps en temps l’air des autres 

de ce monde autre.» Jörg Müller_ 

Coproduction Centre National des Arts du Cirque de Basse-Normandie. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Parcours 

Performance plastique_Jonglage 

Jörg Müller est diplômé du Centre National des Arts du Cirque de Châlons en Champagne en 1994. Depuis 

1993 il travaille autour du tube et crée «les tubes» avec Mads Rosenbeck puis l’année d’après «Mobile (les 

tubes)», travail autour de tubes sonores et suspendus, et en 2001 «C/O (Le Tube)». Au cirque, il a travaillé 

avec le Cirque Plume «Toiles II» (1995), la compagnie Cahin-Caha «ChiencrU cirque bâtard» (2000/2002) et 

«Arbeit Hinz et Kunz» (2001) avec Nikolaus Holz et Christian Lucas. Son parcours a également croisé celui 

de nombreux chorégraphes Pierre Doussaint, Kitsou Dubois (1996/2001/2002), François Verret, et surtout 

Mark Tompkins avec lequel il s’engage dans une résidence de deux ans à Strasbourg à partir de 1999. Il 

découvre à ses côtés la «composition instantanée» ainsi que la «contact improvisation» lors de plusieurs 

stages. 


Nicolas Mathis et François Lebas 

Le parti pris des choses 

par le collectif petit travers 

Deux jongleurs dialoguent, s’interrompent, jouent de l’accident. Deux jeunes artistes 

très habiles transposent à quatre mains les harmonies et les incongruités poétiques 

du "Parti pris des choses" de Francis Ponge. Voici un premier court spectacle joyeux, 

simple et sensible qui invente une poétique légère, traduction libre par les balles de 

langage et de sons. 


à 19h15 


à 18h30 


à 14h30 



Auteurs, jongleurs : François 

Lebas et Nicolas Mathis 

Mise en scène : Brune Campos 

Graphisme et peinture : Aude 

Poirot 

Ils rêvaient de réinventer 

un jonglage 

expressif ; un langage 

porteur d’ambiguïté, 

de déséquil 

i b re . .. A t t i ré s 

depuis lo n g te m p s 

par la poésie de l’image, 

du geste , 

N i colas Mathis et 

François Lebas sont 

touchés par la 

forme poétique littéraire en lisant « Le parti pris des choses 

». Francis Ponge joue avec la langue et les sons comme 

ils rêvent de le faire avec le geste et l’objet. L’œuvre devient alors le point de départ d’une 

réflexion esthétique appliquée au jonglage avec l’idée d’écrire un spectacle composé de 

courts poèmes chorégraphiques. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Parcours 

Spectacle_jonglage 

© droits réservés 

Dessins Aude Poirot 

Après une formation à l’école du Cirque Plume à Besançon, Nicolas Mathis découvre le théâtre gestuel, pratique 

la danse contemporaine et classique et jusqu’en 2002, se forme auprès de Denis Fargetton sur le jonglage. 

François Lebas pratique la danse, le cirque et le jonglage. Il devient interprète pour plusieurs spectacles 

inclassables tels que “Le cri du Caméléon” de Joseph Nadj ou bien “Gopf”, compagnie MZDP. Parallèlement 

à sa formation professionnelle au Lido, Centre des Arts du Cirque de Toulouse, il poursuit ses collaborations 

avec Andy de Groat et Alain Rigout. 


COLLECTIF STRIP-TEASE 

9 artistes, 6 variations de 20 à 40 min, et 1 installation 

sur le thème du strip-tease 

Huit artistes s'interrogent sur le dévoilement. Qu'est-ce que se déshabiller 

en public ? Sur quelles émotions cela joue t-il ? Quelle distance ? 

Quel humour ? Que signifie cet étrange protocole du déshabillement 

dont on connaît l'aboutissement et qui n'a de sens que dans sa durée ? 

Des artistes relèvent le pari de mettre à nu la forme du déshabillement 

et d’en faire une forme artistique. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Camille Boitel 

Stripeux tiseux de la mere boitel 


à 00h 


à 23h 



Conception nudementdénudement 

: Robin 

Chemin, Anne-Laure 

Futin, Camille Boitel 

Performances_danse, théâtre, vidéo, cirque 

Performance_Nouveau Cirque 

“Ici, le femilin-mascunin fait corps. Je travaille sur le jeu et le rite. 

Dans le strip-tease, ils sont simultanés (déjoués-vulgarisés). 

Loin de moi l'idée de référer, ou de re-culer encore une fois l'anudité solide du corps 

fétiche-factice-fort de l'habituel magasin à sexe...Le taquin coquin gogo couillonnant 

à tour de bras et tour de taille n'a pas grand chose à voir (il n'y a à voir que ce que 

l'on voit sans cesse, des morceaux d'une peau tronquée, mal cachée, mal montrée...) 

avec la mise à nu qui nous occupe : questionner le strip-tease, lui rendre son archaïsme, 

le découvrir, le mettre à nu. En tant qu'homme, je ne montre pas mon corps 

volontiers à l'audience, je ne montre pas mon corps pour mon corps, je n'exhibe pas 

mon sexe en cambrant les reins, et je ne suis pas très à l'aise dans la rue si je suis 

nu comme un ver. Cependant, l'irraisonnable intimité nue, le fragile corps nu, qui ne 

se protège pas (ou se protège plastiquement mais non pas intimement), le corps nu 

risqué et engageant, ce corps là, suspendu, ressemble presque en tous les points à 

notre bon vieux acte théâtral. Et comme lui, il peut être subtil, violent, furieux, vulgaire, minable, poétique. 

Les codes ici ne nous serviront pas de sujet, mais de cadre, (comme dans une grande pièce classique, tout 

le monde connaît la fin à l'avance), l'ob-scène vient du public. Sa présence même est une obscénité. “ 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Parcours 

Camille Boitel travaille depuis plus de 10 ans sur la manipulation de l'objet (détournements et mises en 

scène). Son travail physique se fonde sur différents outils techniques comme l'acrobatie, la pantomime, ou 

la danse. Avec la mere boitel, depuis 3 ans, se développe une écriture théâtrale insolite, scénographique, 

rythmique, musicale, chorégraphique... Elle a créé une aventure "désastreuse" d'une expérience théorique 

“Variations comiques” à la Villette en décembre 2003, une performance “Carnets de proximité” sur un texte 

et une invitation de Christophe Huysman au Garage Moderne à Bordeaux durant "Les grandes traversées", 

un intermède “La polka” dans la Chauve Souris mise en scène par Colline Serreau à l'Opéra Bastille en 

2002, “La Symphonie du Hanneton” de James Thierrée en tournée pendant 4 ans, et tout dernièrement en 

juin 2004, “J.B. D.F. et A.I.” une trilogie d'après une étude sur les outils et les gestes des artisans, créée lors 

du festival Les Intranquilles 2004. “L'homme de Hus” créé en mars 2003 au théâtre de la Cité Internationale 

à Paris, vu à la réouverture des Subsistances en janvier 2004, tourne actuellement en France et à l'étranger. 


Nathalie Veuillet / Là Hors de 

Effeuillement/déshabillement/abandon 


à 22h30 


à 21h15 



Avec : Simon Marozzi, Charlotte Dumoulin, 

Marlène Saldana 

Mise en scène : Nathalie Veuillet, assistée de 

Séléna Hernandez 

Composition sonore : Wilfrid Haberey 

Régie Lumière : Samuel Ponceblanc 

Création vidéo : Denis-Fabien Corlin 

Costumes : Samicha Mekrelouf 

Nous re t i e n d rons abandon. 

Abandonnez. Mouvement de l'intérieur 

vers l'extérieur, avec ou sans 

effort. Si je vous donne mes nudités, 

qu'en ferez-vous ? Lesquels de vos 

fantasmes se nourriront-ils ? Si je 

m'abandonne, vous abandonnerezvous 

? 

Une mariée mise à nu par certains célibataires, derrière 

un grand verre brisé, un épluche-peau pour jarretière 

mentale, une et des figures d’étouffement de 

tellement de trop pleins d’épaisseurs. Choisissez. Ce 

sont vos abandons qui me guident. 

Parcours 

Metteur en scène, Nathalie Veuillet dirige depuis 1992 sa compagnie avec Wilfrid Haberey. Depuis dix ans, 

cette direction bicephale adapte et met en scène des textes contemporains (Pérec, Duras, Glück...) et classiques 

(on se souvient par exemple des Brigands de F. Schiller aux Célestins en 2000). Elle a également 

réalisé quatre courts métrages, des performances multiformes, et initié des événement culturels notamment 

le festival Court-Circuit (3 éditions) et "Bocal" (5 éditions). 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Steven Cohen 

Maid in Africa 

Ven 14_janvier 

à 23h30 

Sam 15_janvier 

à 00h45 


à 17h15 


Performance_Théâtre / vidéo 

Le strip-tease comme entité politique. Vendre son corps… 

© Aurélie Haberey 

Installation 

On se souvient du bouleversant solo " Dancing inside out " où Steven Cohen, performer 

sud-africain explore avec crudité et violence son identité complexe, expose son 

intimité et raconte l’inscription indélébile sur le corps des traces de l’histoire. 

Il poursuit sa démarche avec une nouvelle exploration sur la thématique du striptease. 

Le déshabillement/mise à nu est-il une manière de vendre son corps ? En existe-il d’autres ? Steven 

Cohen tente d’y répondre avec un véritable engagement artistique et politique. Il s’interroge sur le corps 

et son exploitation (faisant référence à la prostitution, le travail manuel éreintant, les rapports entre les 

différentes communautés…) et rend aussi hommage à sa nourrice sud-africaine âgée de 84 ans, qui 

demeure depuis son enfance l’employée de maison au sein de sa famille. 

Parcours 

A p rès des études de le t t res et d’arts plastiques à Johannesburg, S teven Cohen c rée pendant dix ans des 

œ u v res plastiques : des photo g raphies sérigraphiées, peintes à la main sur des to i les, qui font l’objet de 

n o m b reuses expositions. Surtout connu pour ses perfo r m a n ces, Steven Cohen ne se produit pas uniquement 

sur scène et dans des galeries d’art mais aussi, sans qu’on l’y invite, dans des lieux publics. 

H o m o s exuel, juif, blanc et africain, il utilise son corps et celui des autres pour créer un “art vivant” qui re nvoie 

à la sculpture, à la danse co n te m p o raine et au tra ve st i ssement. Le projet intitulé “Living art” (Art 

v i vant), une série d’inte r ventions publiques provo ca n tes, a reçu le premier prix du Vita Art Award en 

Afrique du Sud. Steven Cohen s'est produit en Afrique du Sud, au Luxe m b o u rg, en Allemagne, à 

M a d a g a s car, au Canada, en Fra n ce, en Estonie et aux Eta t s - U n i s . 


Gilles Pastor / Kastôr Agile 

Lily, coq à boches 


Performance 

à 00h 

Sam 15_janvier 

Film 

à 00h15 



Jeu, mise en scène et 

vidéo de famille : Gilles 

Pastor 

Montage-vidéo : 

Vincent Boujon 

Collaboration 

artistique : Catherine 

Bouchetal et Pierre 

David 

La biche émissaire, la poule à boches, 

la salope de la famille, la brebis galeuse, 

la "saucisse", la chair à Allemand, 

la fille galante, la collaboration horizontale, 

la valse des vaches, 

Lily, coq à boches, tondu (e), scalpé (e), 

déplumé (e), décapité (e), zigouillé (e), 

désapé (e), un strip-tease à la croisée 

des chemins homme-femme 

Performance + Film_Théâtre 

"Me tondre - être tondu (e) - Je - coq à boches - Ni tout à fait un striptease, 

ni tout à fait un viol, mais tout cela à la fois, 

un sabbat à la croisée des chemins, 

homme-femme-volaille tondu (e), déplumé (e), décapité (e), zigouillé 

(e), désapé (e). - 

Tondre n'est pas inscrit dans le code de la guerre. Tondre produit, en revanche, le spectacle 

public de la dégradation de la femme en tant que femme. La tonte est un abîme 

régressif qui nous saisit d'effroi.” 

Gilles Pastor_ 

" Tondre une fille parce qu’elle a aimé d’amour un ennemi officiel du pays est un absolu, 

et d’horreur et de bêtise. " 

Marguerite Duras _ Hiroshima mon Amour 

Parcours 

Comédien et metteur en scène, Gilles Pastor participe à la fondation des Trois-Huit, compagnie de théâtre 

lyonnaise. De 1992 à 2001, au sein de ce collectif, il met en scène plusieurs créations (performance théâtre/vidéo, 

opéra-ballet, chantier public...) et quitte les Trois-huit pour créer Kastôr Agile. Avec sa compagnie, 

il crée “La Cocadrille - Théâtre d’Altitudes” d’après John Berger et “FrigoS” d’après la pièce de Copi. En juin 

2004, Gilles Pastor a créé, pour le festival Les Intranquilles 2004, “Fermez-vos yeux, Monsieur Pastor”. Il 

créera à l’automne 2005 aux Subsistances, “Requiem pour D.J.” d’après l’œuvre de Derek Jarman, peintre 

et écrivain anglais mort du sida en 1994. 


Turak / Michel Laubu 

Stirptiz : Petites inventions pour se strip-teaser 

chez soi, entre amis, en société 


à 22h30 


à 21h15 


à 16h15 


Durée : 27 min peut-être 

Auteur et metteur en scène : 

Michel Laubu 

Complicité et costumes : Emilie 

Hufnagel 

Assistant à la mise en scène : 

Laurent Bastide 

Avec G é raldine Zanlo n g h i , 

Caroline Cybula, Anne Vernet, 

Sandrine Roche 

Constructeurs : Charly Frenea, 

Emmeline Beaussier, Pa q u i to 

Couet 

Bande son : Isabelle Fuchs 

Parcours 

Performance_Théâtre d’Objet 

Le thème du strip-tease… bien éloigné de notre univers… comment 

relever le défi ? 

Un strip-tease Turak : 

" n’être habillé que de marionnettes " 

" Jamais si nu que sous nos habits " 

" Nous sommes tous tout nus sous nos habits " 

" Nu avec des moufles " 

" Déshabiller Pierre pour habiller Paul " 

" Déshabiller l’épaule pour habiller les pierres " 

" La nudité comme castelet " 

" Entre-jambes et curiosité... " 

Michel Laubu découvre la Turakie en 1985 à mi-chemin entre la marionnette et le théâtre d'objets. Depuis 

son premier spectacle en 1985 et plus récemment avec ”Un oiseau avec des moufles” (2003), “L’heure où 

les pingouins vont boire” (2003), “L’épaule Nord” (2004) jusqu'à la "La petite fabrique de pingouins" en 2004, 

le Turak a imposé sa vision d'un pays à part, logé en "géographie verticale". Formé à l'origine au théâtre 

oriental, c'est aujourd'hui Michel Laubu qui exporte le Turak au Laos, au Portugal, en Thaïlande ou au 

Cambodge... 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 


Etienne Bideau-Rey / Gisèle Vienne / 

D.A.C.M 

Tranen Veinzen / feindre les larmes 


à 21h30 


à 20h 



Conception : Etienne Bideau-Rey et 

Gisèle Vienne 

Création sonore : Patric Chiha 

Interprétation : Lou Van Egmond, 

Mélanie Rullier, Ugo Dehaes 

Création maquillages : Rebecca 

Flores 

Production WPZimmer/ Anvers, 

Musée de la mode d’Anvers. 

Administration :Anne-Claire Rigaud. 

Depuis plusieurs 

années, Gisèle Vienne 

et Etienne Bideau-Rey 

ex p lo rent ensemble le s 

rapports du corps 

humain aux corps artificiels. 

Ils ont souve n t 

utilisé le masque 

comme représentant 

un st é réotype, image à 

la fois figée, morbide et attira n te. 

Avec “Tranen Veinzen”, p e r fo r m a n ce basée sur une insta llation 

visuelle et sonore, ils pours u i vent leur démarc h e 

marionnettique. Dans ce t te perfo r m a n ce, l’ e s p a ce et le s 

co stumes sont co n s i d é rés comme des codes st é ré o t y p é s 

masquant la réalité des rapports des pro ta g o n i stes au 

monde. La réalité psyc h o logique des personnages est dévoilée, non pas vraiment par 

l’ ex p re ssion des visages mais bien plus, par le dénudement des corps. La psyc h o lo g i e 

e st révélée par le tra i tement plastique et gestuel que nous faisons des corps se désh 

a b i l l a n t . 

« Tranen Veinzen » évoque le dérè g lement d’un mécanisme, autant dans les mouve m e n t s 

que dans la composition plastique de la pièce, qui est tra ve rsée par la révélation prog 

re ss i ve de la nudité des corps. Ainsi, la dra m a t u rgie de la pièce est soutenue par la 

disparition des vê tements et par là même du masque. 

Parcours 

Performance visuelle et sonore_Danse 

© Elisabeth Broekaert 

Gisèle Vienne et Etienne Bideau-Rey se sont rencontrés à l’Ecole Supérieure Nationale des Arts de la 

Marionnette. Auparavant Gisèle Vienne a étudié la philosophie au Lycée Fénelon à Paris, Etienne Bideau- 

Rey est venu au théâtre par les arts plastiques et la scénographie. Ils ont créé la compagnie DACM. 

Ensemble, ils ont chorégraphié et mis en scène "Splendid’s" de Jean Genet (2000), "ShowRoomDummies" 

(2001) et "Stéréotypie" (2003). 

Gisèle Vienne a exploré également le glissement entre réalité et fantasme avec la création “I Apologize” en 

septembre 2004 aux Subsistances. Ce spectacle était l’aboutissement de sa collaboration avec l’auteur 

américain Dennis Cooper et le musicien Peter Rehberg. “I Apologize” est le premier spectacle d’un diptyque 

qui sera créé pour le festival d’Avignon 2005. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 


Mickaël Phelippeau & Maud Le Pladec 

Fidelinka-Extension 


à 23h 


à 16h15 



De et par Mickaël 

Phélippeau et Maud Le 

Pladec 

Création sonore : Fabrice 

Faltraue 

Création lumière : 

Benjamin Boiffier 

F i d e l i n k a - E x tension pense le st r i p - tease comme une ex te n s i o n 

p o ss i b le de l’ h y stérie. Par des pro cédés de reprises ou de playback, 

des icônes médiatiques issues du cinéma et de la musique 

d eviennent des figures exposées symptômes de leur époque. 

Fidelinka est un projet au long court, qui allie la danse, les arts plastiques 

et la performance. Il questionne la représentation du corps 

hystérique aujourd’hui. En se référant à ce phénomène, il permet de 

mettre en lumière une représentation du corps contemporain. 

L’histoire des métamorphoses de l’hystérie, « maladie des attaques », ne suit pas une 

évolution linéaire. On ne peut donc pas l’appréhender de manière univoque. Le monde 

artistique et la littérature en particulier s’est approprié cette « figure » en la manipulant. 

C’est avec la conscience de sa polysémie et l’impossibilité d’en donner une définition 

stable que s’est engagé ce travail. Polysémie également dans le caractère même de 

l’hystérique, le/la malade ayant cette faculté de modifier ses symptômes en fonction du 

contexte, du lieu et de la période. 

Dans Fidelinka, des icônes médiatiques explosent de l’intérieur, considérées comme 

des symptomes de leurs époques. Elles se dévoilent, nous dévoilent, violemment. 

Parcours 

Performance_Danse 

Maud le Pladec 

Danseuse. Elle se forme au CCN de Montpellier avec Mathilde Monnier, puis travaille avec Guillermo 

Bothello “Le temps” (2000), Loïc Touzé “Morceau” (2000), “Love” (2003), Emmanuelle Vo Dihn “Texture 

Composite” (2001), “Sagen” (2001), “Décomposition” (2002) ou encore Luis Ayet “N'aller nulle part” (2002) 

ou Patricia Kuypers “Exploration I” (2002). Elle a également travaillé au Japon avec la chorégraphe Takiko 

Iwabuchi et intègre la Compagnie La Liseuse pour la création de “Once upon a time”. Maud le Pladec fait 

également partie d'un groupe de recherche chorégraphique “Leclubdes5” au sein duquel participe Mickaël 

Phélippeau. 

Mickaël Phelippeau 

Après une formation en arts plastiques, (DEA en Arts plastiques et DENSEP à l’Ecole des Beaux-Arts de 

Rennes) et un parcours d’interprète dans quelques compagnies de danse, Mickaël Phelippeau suit la formation 

EX. E. R. C. E. au CCN de Montpellier en 2002. Il a travaillé avec différents chorégraphes Mathilde 

Monnier, Alain Buffard, Laure Bonicel, John Scott, Julie Desprairies, Catherine Contour, Kataline Patkaï, 

Cécile Proust. Il mène également un travail personnel autour de performances / rendez-vous ayant principalement 

lieu dans des vitrines. Depuis 2001, il collabore avec 4 danseuses performeuses au sein du groupe 

de recherche " Leclubdes5” qu’ils ont crée ensemble. 

Le travail de Mickaël Phélippeau aborde la question de l’identité, du genre, de la déformation, du travestissement. 

Le jeune artiste implique directement son corps dans ses performances. Ses travaux s’inscrivent 

le plus souvent dans une série de rendez-vous / performances à la frontière entre l’espace public et l’espace 

privé, souvent dans des vitrines, qu’elles soient celles d’une galerie, d’un commerce, d’un particulier. 

L’utilisation de ces lieux est une volonté d’exhibition et de protection, marquant la délimitation entre regardeur 

et actant. 


Association edna 

A l’occasion de leur résidence aux Subsistances, Boris Charmatz et l’association edna, 

présenteront (aux week-ends de janvier et d’avril) une rétrospective de trois de leurs 

pièces ainsi qu’une performance in-situ. Boris Charmatz, devenu aujourd’hui l’un des 

chorégraphes français les plus connus sur le plan international a créé, il y a treize ans, 

avec Dimitri Chamblas l’association edna à l’occasion de la création “A bras le corps” à 

la Villa Gillet (Lyon). Parallèlement aux créations, l’association edna a développé des 

projets ayant pour vocation de proposer un espace ouvert à des essais multiples. Cette 

démarche est à l’origine de plusieurs projets artistiques parmi lesquels on compte 

Jachères de Vincent Dupont et la performance Programme court avec essorage, conçue 

par Gilles Touyard. 

G.Touyard / B.Charmatz / J.Cima 

Programme court avec essorage 


à 22h30 


à 22h15 


à 17h30 



Conception / installation : Gilles Touyard 

Ave c Boris Charmatz et Eric Martin (le 14 et 

15), Boris Charmatz et Julia Cima (le 16) 

Direction déléguée : Angèle Le Grand 

Administration : Sandra Neuveut 

Coordination : Laura Beurdeley 

Dans un dispositif imaginé par le plasticien Gilles Touyard 

en collaboration avec Boris Charmatz et Julia Cima, deux 

danseurs sont littéralement "passés à la machine". Debout 

sur deux plateaux tournant selon le rythme d'une machine 

à laver, ils doivent lutter, pendant toute la durée de la 

pièce, contre la force centrifuge, jusqu'à la limite de leurs 

capacités physiques. 

Production edna 

Co-production Le Quartz, CDN et CCN de Brest, Théâtre National de Bretagne. 

Créé au Quartz, Centre National Dramatique et Chorégraphique de Brest le 20 mars 1999 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Vincent Dupont 

Jachères / Improvisations 


à 20h 


à 20h 


à 15h 

Tarifs Grand Angle : 10 / 8 (Réduit +) / 6 

(Réduit ++) 


Conception : Vincent Dupont 

Avec : Thierry Balasse, Vincent Dupont, 

Yves Godin, Myriam Lebreton, Eric Martin 

Textes : Christophe Tarkos “Ma langue” 

Tome III “Donne” /Ed Al Dante / Collection 

Niok. 2000 

Lumière : Yves Godin 

Décor : Boris Jean 

Direction déléguée : Angèle Le Grand 

Administration : Sandra Neuveut 

Coordination : Laura Beurdeley 

Production : association edna 

Avec le soutien de Inouïe et de la Ménagerie 

de Verre 

Diffusion : association edna et association 

J’y pense souvent. 

Performance_Danse 

Spectacle_Danse 

Jachères, improvisations est un spectacle qui questionne 

le réel en travaillant sur des notions de rapprochement et 

d ’ é loignement tant visuel que sonore. L’ i m p rov i s a t i o n , 

c’est ici l’expérimentation du matériau sonore et de son 

rendu (dans le creux de l’oreille) via des casques portés 

par chaque spectateur. C’est aussi la lente évolution des 

corps, du fond de la scène jusqu’à une extrême proximité 

avec le public, l’évolution des lumières qui jouent du visible 

et de l’invisible. 

Nous sommes dans un état d’observation et de flottement 

qui ouvrent le " champs " à des interprétations diverses 

sans qu’aucune ne semblent définitives. 

“Jachères / improvisations” a été créé le 6 novembre 2001 à la Ménagerie de Verre à Paris. 

Remerciements au CND, Les Bâtisseurs d’Ephémères, Théâtre National de Chaillot, Eric Beton, Nuno 

Bizarro, Arnaud Boisramé, Annie Deschênes, Denis Dupont, Boris Charmatz, Olivier Morel, Touta et 

Martin, Gilbert Roggi, Nathalie Sembinelli, Agnès Thurnauer. 

L’association edna est subventionnée au titre de l’aide aux compagnies chorégraphiques 

par la Direction Régionale des Affaires Culturelles Ile de France / Ministère de la 

Culture et de la Communication. 


Echo Sonore 7 



de 23h à 2h 

Entrée libre 

C o n certs proposés par 

Violaine Didier / ARTY 

FARTY 

Vendredi 14 janvier 

People like us 

Programmation proposée par Violaine Didier (programmatrice 

des Nuits Sonores, festival de musique électronique) réunissant 

des représentants de la scène lyonnaise et des figures emblématiques 

internationales. 

AU PROGRAMME : 

Vendredi 14 janvier 

23h00/ 23h45 : People like us (GB - Londres) 

0h00/ 1h00 : Vicnet (Fr-Paris / Deco) 

1h15/ 2h00 : Laurent Dratler aka Dj Poulet (Fr-Lyon / Dopebase) 

Samedi 15 janvier 

23h00/ 0h00 : The Rebel (GB - Londres) 

0h15/ 1h15 : Volt (Fr-Paris / In The Red) 

1h15/ 2h00 : Basscad (Fr-Lyon / Bee Records) 

People like us crée des collages à partir de samples audio et de séquences 

video. Ces éléments réappropriés composent son univers. Elle cherche à 

donner une nouvelle vie aux sons et images ainsi recontextualisés et offre 

au public une nouvelle méthode d’interprétation. Le résultat est un univers 

labyrinthique et mystérieux à mi-chemin entre un humour naïf et une satire 

sinistre. A partir de séquences audiovisuels du 20 ème siècle, elle bouleverse 

nos relations avec les technologies contemporaines. Son travail, délicieusement 

parodique, met en parallèle des images emblématiques des 

cultures occidentales des 20 ème et 21 ème siècles. 

Vicnet 

Vicnet est le projet solo électro pop de ce jeune designer français. Créée de toute pièce, sa musique est un 

entrelacement d'influences : basses années 80, cheap electronic funk, tubes absurdes électro pop, caisses 

claires de Commodore 64, handclaps old school et expérimentations "laptopesques". Une recherche d’harmonies 

et de rythmes élaborés mêlant sons digitaux et voix synthétiques. Il a notamment collaboré avec 

Joana Preiss (vocals), Cedric Perrier (Alive One), Lionel Fernandez (Pllab) et Erik Minkkinen (Vicdeath). 

Laurent Dratler aka Dj Poulet 

Tête de file du collectif lyonnais Dopebase, Laurent Dratler aka Dj Poulet 

propose l’illustration scénique de son tout nouvel album : "Mars Hôtel". 

Dans cette nouvelle aventure sonore - "Laurent Dratler et La Seconde 

Machine à Poulet" - le chanteur bidouilleur jongle entre sampleur et guitare, 

transposant certains codes et rythmes électro à la chanson narrative. 

Plateau électro 

© Irène Moon 

© D.Chaussende 


Samedi 15 janvier 

The Rebel (Label In the red records) 

Ben R Wallers est THE REBEL. Il a fondé les COUNTRY TEASERS il y a plus de dix 

ans à Edimbourg en Ecosse. Wallers manie l'ironie, la satire et l'humour noir 

comme nul autre. Le groupe a sorti cinq albums et presque autant de singles sur 

des labels comme Crypt, Fat Possum, Guided Missile ou In The Red. Dans son projet 

solo " THE REBEL ", il utilise l’ironie pour aborder des sujets importants comme 

le sexisme ou le racisme. Tel William Burroughs, il adopte même souvent le système 

d'expression propre à ceux qu'il dénonce. Ce qui ne manquera pas d'en dérouter 

certains. Disponibles à l'origine uniquement via des cassettes maison aux titres 

à rallonge, ces chansons en liberté entre digressions country tordues et électro-pop 

lo-fi confirment le talent unique du REBEL, aux côtés de Mark E Smith, Calvin 

Johnson ou Wesley Willis. THE REBEL ne chante pas le beau. Il dissèque sur un ton 

© Zoe Miller 

monotone et éraillé, entrecoupé de mélodies enivrantes, la fascination grandissante de nos sociétés 

occidentales pour le mal et l'horreur. Ce qui l'amène sur un territoire dangereux, sans limite mais fascinant, 

où il questionne nos droits et nos libertés. 

Volt (Label In the red records) 

Volt est un trio parisien composé de Lili Z (guitare, boîte à ryhtmes, 

voix), Jack (voix) et FX (synthé). Issus de la scène punk rock française 

des dix dernières années, Lili Z et Jack ont fait partie de groupes phares 

comme les No talents ou Splash four qui ont su conquérir le continent 

américain ainsi que le reste du monde. De leurs débuts, ils ont 

conservé la guitare incisive en y ajoutant synthés et boîte à rythmes 

dans une dynamique punk enragée. Pourtant leurs chansons parlent 

d’amour ou plutôt de sensualité exacerbée. Leur musique est dérou- 

© M. Dos Santos 

tante et pousse l’auditeur à se laisser dévergonder tant les rythmiques 

sont entraînantes et radicalement ré-volt-ées. Avec l’influence de la scène indus, ils ont su créer un univers 

à la fois brûlant et terriblement glacial. Ayant récemment signé sur le mythique label de Los Angeles In the 

red records, ils peuvent actuellement être considérés comme l'un des groupes phare du courant synthpunk, 

représenté notamment par le groupe Lost sounds également sur In the red. 

Basscad (Label Bee Records) 

Le concept est d’utiliser chaque platine comme un instrument à part entière : 

boîte à rythmes, sampler, synthé, scratch, bassline et réglages en tout genre, 

notamment par le biais d’un Koas pad. 

Basscad est avant tout une expérience live, axée sur l’interaction et le contact avec 

le public. Chacun dispose d’un panel d’instruments modulables. Le principe 

même du Dj’ing libère les artistes des partitions et leur permet de donner libre 

cours à leur créativité. Cette nouvelle forme live permet une forte présence scénique 

et laisse entrevoir un vaste terrain de jeu avec deux influence majeures : 

électro / breakbeat et techno. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 


Elodie Carré et Pascal Sémur 

Territoires étrangers 

Boire sa soupe dans un bol mou, se laisser inviter 

pour une sieste accompagnée, en tête à tête 

partager une séance " d’écoute "… Elodie Carré 

et Pascal Sémur jeunes plasticiens performers 

créent des situations au croisement de l’art et 

du social. Instants de complicités pour construire 

une esthétique de la relation. 


de 19h à 1h 


de 18h à 1h 


de 14h à 18h 

Entrée libre 

Parcours 

Elodie Carré travaille et vit à Bordeaux. Ses recherches se situent au croisement 

de l’art et du social. Elle crée des situations décalées qu’elle construit et actionne 

avec le public pour une rencontre de passage. Elle élabore des micro-situations 

et interroge différents modes de déambulation et manières de vivre son 

corps par rapport à l’autre. Elle participe à diverses interventions en collaboration 

avec Catherine Contour et Jean-Paul Thibeau, et travaille actuellement avec 

Pascal Sémur. 

Pascal Sémur, artiste pluridisciplinaire, travaille sur la notion de co-présence des oeuvres participatives où 

il construit une esthétique impliquant les publics dans des actions libératrices de gestes, d’expressions et 

d’attitudes. Il s’empare des logiques de communication et les transforme pour leur faire subir l’exploration 

des contradictions de l’aléatoire et des conversations sociales et culturelles. Il participe notamment aux 

expéditions “Le bout du Monde”, et collabore avec Abdella Karroum, Fbwn, Jean-Paul Thibeau. Avec Elodie 

Carré, il collabore au projet de la cantine populaire. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Laurent Driss 

La caravane poétique 


de 19h à 00h 


de 18h à 00h 


de 14h à 18h 

Toutes les heures 



La caravane poétique : Que s’y passe-t-il ? 

Presque rien, les gens entrent, s’asseyent, écoutent et puis ressortent 

avec quelques mots ou des images qu’ils auront inventées. 

Des mots prononcés par Laurent Driss, tout doucement, 

imprégnant l'espace d'un temps hors courant. 

“On pourrait plagier Nougaro et reprendre son idée de ciné-mots.” 

Lampes, poufs, sièges et livres épars. Dans les livres des mots, 

des sons, des paroles. La voix chaude du lecteur englobe le public, la connexion s’établit 

avec notre réserve personnelle d’images. A l’intérieur de cette cabane sur roues, un 

étrange contraste entre les bruits de la ville et ceux des mots. 

Pa rco u rs 

Performance_Arts Plastiques 

Lectures 

L a u rent Driss e st né en 1973. Pendant ses études de le t t res modernes et arts du specta c le, il intègre une tro upe 

de théâtre. A partir de 1996, il participe à dive rs stages, avec notamment Pe ter Herschnack (pro fe sseur de 

yoga et pré p a ra teur d’un groupe de danseurs) et Patrick le Mauff, qui proposent un tra vail autour de "la prés 

e n ce". Cette ex p é r i e n ce lui donne l’ év i d e n ce que l’ e ssentiel du tra vail de comédien ou de poète réside là, 

"dans ce t te pré s e n ce, à soi, au monde, et aux autres" (Laurent Driss). Plus ta rd, sa re n co n t re avec l’ h o m m e 

de théâtre Bruno Mey ssat le co n fo r te dans ce t te idée. En 1998, il met en place un atelier ouvert aux co m é d i e n s 

en voie de pro fe ssionnalisation, puis crée en 2001, avec quelques amis poètes, écrivains ou gra p h i stes, la 

g a z e t te "la Canette". Il fonde aussi l’ a ssociation Barca Avella qui a pour but l’ a ss i sta n ce et la promotion des 

Arts, Lettres et Specta c les Viva n t s . 


Art/site 

Visites guidées 

non conventionnelles 


à 20h30 et à 23h 


à 18h, à 20h30 et à 23h 


à 14h et à 16h30 

Entrée libre 

Durée : 1h 

Conception et réalisation : 

Georges Matichard 

Les Subsistances sont un site patrimonial 

exceptionnel. Après le succès des visites 

Art/site du week-end de (ré)ouverture et 

du week-end de printemps ça bouge, nous 

a vons invité Georges Matichard, notre 

guide inofficiel, à inventer une troisième 

visite non conventionnelle du site. Georges 

© Bruno Amsellem 

Matichard, qui fut un des membres éminents 

de la compagnie de théâtre de rue Illotopie, concocte une visite très historique 

et délirante. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Exposition de l’ENBA 

J u st what is that makes Today's Homes so 

Different, so Appealing ? 


de 19h à 1h 


de 18h à 1h 


à 14h et à 20h 

Entrée libre 

"Just what is that makes Today's Homes so Different, so Appealing ?" est le 

titre du fameux collage de 1956 de Richard Hamilton, considéré comme le 

point de départ du Pop Art, qui figurait dans l'expo “This is Tomorrow” la 

même année à Londres. Autour de cette thématique une dizaine de jeunes 

artistes lyonnais et/ou de Post diplôme proposent cette exposition. 

Première collaboration entre l’ENBA et les Subsistances. 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

Atelier de jonglage 

Stage de jonglage 


de 14h à 17h 

+ Dim 16_ janvier 

à 14h et à 17h 

+ Sam 15_ janvier : 

“ C / O ...” à 18h 

“Le parti pris...” à 18h30 

“Mobile...” à 19h 

“Convergence” à 19h30 

Tarif : 15 

Visites 

Autour du “jonglage en trois temps”, un ateleir d’initiation aux pratiques de 

jonglage sera animé par l’École de Cirque de Lyon 

Et aussi un bal le dimanche après-midi ... 

et bien d’autres surprises ! 


I N FO R M ATIONS PRAT I Q U E S 

/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / 

BILLETTERIE / TA R I FS 

SPECTACLES PAYANTS : 

10 / 8 (réduit +) / 6 (réduit ++) / 2 tickets Su. Réservez vos places jusqu’au mercredi 

12 janvier à 19h puis pendant le Week-end sur place uniquement. 

Biokhraphia / Jachères / Les inconsolés / Sunday Clothes 

SPECTACLES GRATUITS : 

Gratuit pour tous. Prenez vos places pour le Week-end sur place à la billetterie 

(Nombre de places limitées) 

Ven 14 janvier 

DOUBLE / TRIPLE : 

Effeuillement … + Stirptiz + Maid in south... 22h30 

Stripeux tiseux + Lily 00h 

SIMPLE : 

Le parti pris des choses 19h15 

Convergence 20h30 

C/O 19h45 / 21h 

Tranen Veinzen 21h30 

Programme court 22h30 

Art/site 20h30 et 23h 

Caravane poétique : 18h, 19h, 20h, 21h, 22h, 23h, 00h 

Dim 16 janvier 

TRIPLE : 

Stirptiz + Fidelinka + Maid in south... 16h15 

SIMPLE : 


C/O 17h30 

Programme court 17h30 

Convergence 18h 

Art/site 14h et 16h30 

Caravane poétique : 14h, 15h, 16h, 17h, 18h 

Sam 15 janvier 

DOUBLE : 

Effeuillement … + Stirptiz 21h 

Fidelinka + Stripeux tiseux 23h 

Lily (film) + Maid in south... 00h15 

SIMPLE : 

C/O 18h / 22h30 


Convergence 19h30 

Programme court 20h 

Tranen Veinzen 21h30 

Art/site 18h, 20h30 et 22h30 

Caravane poétique : 19h, 20h, 21h, 22h, 23h, 00h 

Installations, exposition, concerts électro, bal : Entrée libre 

A telier jonglage : 15 / 2 séances. (12 pers max.). Inscription avant le 12 janvier 19h 

ACHETEZ VOTRE CARTE SU ! 

Carte Su 10 (10 tickets Su) 40 / 30 réduit* 

Carte Su 20 (20 tickets Su) 80 / 60 réduit * 

Voyez l’ensemble de la programmation du Week-end pour 8 tickets Su seulement 

et profitez de vos tickets restants sur la programmation des Subsistances jusqu’en 

janvier 2006 ! 

Une carte Su est valable pour tous les membres de la famille. 

* Réduit : - 25 ans, demandeur d’emploi, Rmiste, famille de 4 pers., professionnel, groupe de 10, carte Cézam, 

carte loisirs, > Activ !, les amis de la Villa Gillet, adhérents Parc et Grande Halle de la Villette, ) 

Dossier de presse d’hiver. 22

RENSEIGNEMENTS 

04 78 39 10 02_ / Du mardi au samedi de 14h à 19h 

R É S E R VAT I O N S 

AVANT LE 12 JANVIER, 19H 

SPECTACLES PAYANTS 

Par téléphone : 04 78 39 10 02 

Sur place (accueil) : Du mardi au 

samedi de 14h à 19h 

Par mél : resa@les-subs.com 

A la Fnac 

VENIR AUX SUBSISTA N C E S 

A pied depuis les Terreaux (15 min). Rejoindre le quai Saint-Vincent puis remonter 

la Saône jusqu’au N° 8 bis. 

Métro + Bus. Bus 3/19/44 arrêt Homme de la Roche ou Subsistances 

Bus 13/18 arrêt Duroc (prendre les escaliers qui descendent sur la Saône) 

R E S TA U R ATION / BAR 

Restauration / bar sur place. 

LORS DU WEEK-END, 

SUR PLACE UNIQUEMENT, 

TOUS SPECTACLES 

Vendredi 14 et samedi 15 : 

à partir de 17h 

Dimanche 16 : 

à partir de 13h 

Dossier de presse d’hiver. 23

CALENDRIER ÇA CHAUFFE 

Certains spectacles seront proposés en extérieur, 

venez emmitouflés au week-end ça chauffe ! 

Certains horaires sont susceptibles d’être modifiés. 

VENDREDI 14 JANVIER 

1 9 h L a u rent Driss La ca ra vane p oé t i q u e L E CT U R E S G R AT U I T 

(À PARTIR) E N B A Just what is that makes ... E X P O S I T I O N ENTRÉE LIBRE 

E. Carré & P. Sémur Te r r i to i res étra n g e rs ARTS PLASTIQUES / P E R F. E . L I B R E 

1 9 h 1 5 N.Mathis & F. L e b a s Le parti pris des choses J O N G L AGE / P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

1 9 h 3 0 R . M roué & L.Saneh B i o k h ra p h i a T H É ÂT R E/ S P E CTAC L E PAYA N T 

1 9 h 4 5 J ö rg Mülle r c/o (Le tube) J O N G L AG E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

2 0 h edna / V. D u p o n t J a c h è re s DA N S E/ S P E CTAC L E PAYA N T 

2 0 h 3 0 Adrien Mondot C o n ve rg e n ce J O N G L AG E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

G e o rges Matichard A r t / s i te VISITE COMMENTÉE G R AT U I T 

2 1 h J ö rg Mülle r c/o (Le tube) J O N G L AG E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

2 1 h 1 5 Alain Buffa rd Les inco n s o l é s DA N S E/ S P E CTAC L E PAYA N T 

2 1 h 3 0 A lexis Fo re st i e r Sunday Clothes ... C O N C E R T/ S P E CTAC L E PAYA N T 

G.Vienne & E.Bideau-Rey Tranen Ve i n z e n DA N S E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

2 2 h 3 0 edna / G.To u ya rd P ro g ramme court ... DA N S E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

Nathalie Ve u i l le t E f fe u i l le m e n t T H É ÂT R E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

+ Tu ra k S t i r p t i z T H É ÂT R E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

+ Steven Cohen Maid in south Africa V I D É O/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

2 3 h G e o rges Matichard A r t / s i te VISITE COMMENTÉE G R AT U I T 

(À PARTIR) Arty Fa r t y Echo Sonore 7 M U S I Q U E/ C O N C E R T ENTRÉE LIBRE 

0 0 h C a m i l le Boite l Stripeux Tiseux C I R Q U E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

+ Gilles Pa sto r L i ly, coq à boches T H É ÂT R E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

SAMEDI 15 JANVIER 

1 4 h A telier de jonglage J O N G L AGE / AT E L I E R PAYA N T 

1 8 h J ö rg Mülle r c/o (Le tube) J O N G L AGE / P E R FO R M A N C E G R AT U I T 


(À PARTIR) E N B A Just what is that makes ... E X P O S I T I O N ENTRÉE LIBRE 



1 9 h(À PA R T I R )L a u rent Driss La ca ra vane poétique L E CT U R E S G R AT U I T 

1 9 h 3 0 Adrien Mondot C o n ve rg e n ce J O N G L AG E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 


A lexis Fo re st i e r Sunday Clothes ... C O N C E R T/ S P E CTAC L E PAYA N T 

G.Vienne & E.Bideau-Rey Tranen Ve i n z e n DA N S E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

2 0 h 3 0 G e o rges Matichard A r t / s i te VISITE COMMENTÉE G R AT U I T 

2 1 h Alain Buffa rd Les inco n s o l é s DA N S E/ S P E CTAC L E PAYA N T 

2 1 h 1 5 Nathalie Ve u i l le t E f fe u i l le m e n t T H É ÂT R E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

+ Tu ra k S t i r p t i z T H É ÂT R E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 



J ö rg Mülle r c/o (Le tube) J O N G L AGE / P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

2 3 h M.Phelippeau & M.Le Pladec F i d e l i n k a - E x te n s i o n DA N S E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

+ Camille Boite l Stripeux Tiseux C I R Q U E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 


(À PARTIR) Arty Fa r t y Echo Sonore 7 M U S I Q U E/ C O N C E R T ENTRÉE LIBRE 

00h15 G i l les Pa sto r L i ly, coq à boches F I L M/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 



DIMANCHE 16 JANVIER 

1 4 h A telier de jonglage (Durée 3h) PAYA N T 


(À PARTIR) L a u rent Driss La ca ra vane poétique L E CT U R E S G R AT U I T 

E N B A Just what is that makes ... E X P O S I T I O N ENTRÉE LIBRE 






1 6 h 1 5 Alain Buffa rd Les inco n s o l é s DA N S E/ S P E CTAC L E PAYA N T 

Tu ra k S t i r p t i z T H É ÂT R E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

+ Phelippeau & Le Pladec F i d e l i n k a - E x te n s i o n DA N S E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 


1 6 h 3 0 G e o rges Matichard A r t / s i te VISITE COMMENTÉE G R AT U I T 



1 8 h Adrien Mondot C o n ve rg e n ce J O N G L AG E/ P E R FO R M A N C E G R AT U I T 

1 8 h 3 0 A lexis Fo re st i e r Sunday Clothes ... C O N C E R T/ S P E CTAC L E PAYA N T

Ça chauffe ! Week-end d'hiver - Les Subsistances

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

Delete template?

Save as template?