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Glenn Hoag, Athlète - Volleyball Québec

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<strong>Volleyball</strong> Québec4545 avenue Pierre-de-CoubertinMontréal Québec H1V 0B2Tél. : 514 252-3065 Téléc. : 514 252-3176www.volleyball.qc.ca info@volleyball.qc.caGLENN HOAGIntronisé au Temple de la renommée en tant qu’athlète en septembre 2011Originaire de La Tuque, en Mauricie, <strong>Glenn</strong> ne boudait aucunsport à l’adolescence : hockey, athlétisme, soccer et bien sûrvolleyball, qu’il a commencé au niveau secondaire au CollègeSt-Alexandre de Gatineau. De 76 à 78, il porta les couleurs duCégep de l’Outaouais, où il était dirigé par Jacques Laramée.Quoique ses premières expériences avec les équipesprovinciales fussent un échec, <strong>Glenn</strong> ne baissa pas les bras : levolley était devenu une passion. Il prit ensuite la route del’Université de Sherbrooke, où il joua pour Denis Custeau etPierre Bélanger de 78 à 81 et remporta trois championnatsprovinciaux de suite, en plus d’être nommé au sein des équipes d’étoiles provinciale et canadienne àla saison 80-81.Au printemps 81, <strong>Glenn</strong> se présenta à un camp de sélectionde l’équipe canadienne sénior au lendemain de la finale duChampionnat canadien sénior et reçut une invitation pour lecamp suivant. Au Québec – où il n’était pas identifié commeathlète potentiel – personne ne savait ou ne se doutait qu’ilvenait de faire un pas de plus vers son rêve. À ce deuxièmecamp, il vivra la semaine d’entrainement la plus difficile desa carrière. Sa technique n’est pas au niveau. <strong>Glenn</strong> metles bouchées doubles pour impressionner l’entraineur, KenMaeda. Au terme du camp, Paul Gratton lui annonce qu’ilfait partie du groupe et, quelques mois plus tard, il reçoit unappel de la <strong>Volleyball</strong> Québec, étonnée d’apprendre qu’il apercé les rangs de l’équipe. Pour <strong>Glenn</strong>, cetaccomplissement s’est avéré être une grande leçon depersévérance qui l’accompagnera tout au long de sacarrière.De 1981 à 1985, Maeda ne donna aucun répit. <strong>Glenn</strong> devait à peu près changer tous ses gestestechniques. Le style « japonais » lui en faisait baver, et lui faisait repousser ses limites. Il répondait entravaillant plus.Des compétitions internationales dansl’uniforme rouge et blanc, il en a vu : CoupeCanada, Jeux du Commonwealth, CoupeBerlin, Mundialito, Championnat du monde,Jeux universitaires mondiaux, Jeuxpanaméricains, tournois de la confédérationNorceca et Jeux olympiques. Et ce n’est pastout que d’y avoir participé; l’équipe a connu dusuccès à plusieurs de ces tournois, notammentune 2e et 5e position aux Jeux universitairesmondiaux de 1983 et 1985, une 1re positionaux Jeux du Commonwealth de volleyball etune 4e position aux Jeux olympiques deLosAngeles en 1984.


De 1984 à 1993, ses neuf années chez les pros dans quatre clubs différents le marqueront encoreplus. Il sera sacré champion de France en pro A à trois occasions, vainqueur de la Coupe de Francedeux fois et vice-champion d’Europe.Sur le plan individuel, <strong>Glenn</strong> attire le respect par son jeu et se taille une place au sein des équipesd’étoiles à plusieurs reprises. Il reçoit même le titre du joueur par excellence à trois reprises, dans lesligues de France et d’Italie et lors d’un tournoi international tenu en Belgique.<strong>Glenn</strong> a connu des hauts électrisants et d’inévitables bas. Les liens tissés remplissent sa tête desouvenirs heureux et son cœur de passion, toujours grandissante, pour le volleyball. Sur le terrain, ilaura marqué son époque d’une persévérance décidée.Comme Monsieur <strong>Hoag</strong> était en Turquie, c'est son épouse Donna et son fils Nicholas qui ontassisté à cette intronisation.Photo : Daniel Mainville (Président de <strong>Volleyball</strong> Québec), Nicholas <strong>Hoag</strong>, Donna Kastelic etPaul Gratton Crédit photo : photographie Martine Larose

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