Sicile - Camping Car en Liberté - Free

Notre bateau est à quai et en train d’embarquer, nous demandons a monter pensant qu’il se rend aMilazzo et bien non il va accompagner un groupe de français pour faire le tour de l’île de Vulcano.Une chance car ainsi nous avons les explications sur l’île.Nous sommes très étonné de voir la vallée des monstres et toutes ses grottes creusées par l’eau et lesouffre.Nous passons devant les plages de sable noir.Le phare en mauvais état fonctionne cependant. Pas d’oiseaux sur cette île. Seul un sur la sirène aumilieu de l’eau.Nous revenons à Vulcano ou nous repartirons vers Milazzo avec une mer agitée mais moins que lematin. Nous arrivons à Milazzo et entreprenons de chercher un taxi, introuvable !La police municipale téléphone à un taxi qui nous amènera au camping moyennant le prix de 5€par personneUne douche s’impose, tant nous sommes couvert de poussières de souffre. Un peu de lessive pouréviter que le linge que nous portions se troue. Le repos parait indispensable, tant d’émotion avec sevues irréelles.Je fais le plein de toutes nos batteries car demain nous amènera vers d’autre paysages etdécouvertes.Kms parcourus 0kmMardi 19 Septembre 2006 ---Jour 12Ce matin après avoir faire les services et payé le camping nous partons pour continuer notre tour deSicileNous décidons de reprendre la route du font de mer. En ville nous stationnons pour que je puissealler poster la lettre pour la MaifJe suis étonnée de voir un bureau de poste italienne, sécurisé au maximum avec des sas biensécurisés et un système de tickets et aussi des panneaux sous forme de dessin indiquant ce que faitchaque guichetQuand on sait comment était la poste italienne avant je suis super étonnée de cette évolution. Enchemin Fernand va acheter le pain et les légumes et fruits, il faut en profiter ici car c’est peu cher eten grande quantitéNous passons ensuite par une grande ville bien embouteillée et aux rues bien encombrées par desvéhicules mal stationnés.Nous prenons avec difficultés la 113 le long de la mer. Il pleut par intermittente mais peu. Le longde la mer il est possible de stationner sans problème.A Vulcano nous n’avions vu aucun oiseau et là ils sont très nombreux en bord de mer. La mer esttrès mauvaise et les oiseaux sont au bord.Aujourd’hui on trouve que les automobilistes sont plus sages. Ils ne klaxonnent plus autant et nouslaissent passer. Ce que je ne comprends pas c’est que les gens stationnent n’importe comment alorsqu’ils ont la place de stationner normalement