G à te dire…Faute de se trouver plus près de la mer, un petit coin de paradis à 40 minutes d'Agen est bien connu de nombred'entre nous. Voici des éclaircissements sur les quelques histoires obscures circulant à son sujet.Connaissez vous la légende du lac de La Lagüe ?« C'était dans les temps anciens où les vertes collines gasconnes voisinaient avec l'immense étendue des landes désertiques.A l'orée des sables et des marécages, au pied des coteaux de Xaintrailles vivaient à Tirelauze, de richespropriétaires, Ronald et sa femme Babet, au milieu de vignes généreuses et de beaux champs de blé.Un soir de septembre, valets et servantes accroupis au pied des sarments, achevaient la vendange. Un homme apparutau bout du chemin, vêtu d'un lourd manteau, appuyé sur un bâton noueux et, s'approchant de Ronald, lui demandaune grappe de raisin pour apaiser sa soif. Celui-ci le chassa rudement. Le voyageur vit alors avec horreur que levisage des vendangeurs étaient recouverts d'une muselière ! Il reprit son chemin, prévenant de son prochain passage.Il revient en effet le soir de Noël ! Toutes les cloches des paroisses voisines, de Pompiey, de Fargues, de Xaintrailles,appellent les fidèles à la veillée rituelle. Valets et servantes de Tirelauze, emmitouflés dans leurs pauvres haillonss'apprêtent à la fête quand apparaît, dans la nuit, une ombre troublante. C'est le voyageur qui, à l'automne, aannoncé son retour."Donnez-moi s'il vous plaît un verre de vin, dit-il à Ronald et Babet, ma route a été longue et j'ai très soif"Ronald s'écrit "Passe ton chemin..." Babet lève son bâton et les chiens aboient férocement.Le pèlerin alors recule, reprend sa route, lève les bras vers le ciel brillant d'étoiles. Du sol qui s'effondre dans ungrand bruit jaillit une eau bouillonnante, engloutissant Tirelauze, ses prés et ses champs, ses vignes et ses bêtes.A la place de la terre maudite s'étend depuis lors un lac paisible et mystérieux : la Laguë. On dit qu'en son milieu"un gouffre bout et mêle les larmes de Ronald et Babet repentants". On dit aussi que la nuit de Noël, le chant d'uncoq se fait entendre du fond du lac quand les cloches carillonnent alentour. »J.P.Votre local s’agrandit !Nous vous annoncions au début de l'année que notre local allait s'agrandir. L'occupant provisoire a enfin quittéles lieux et la chose est maintenant acquise : nous pouvons utiliser tout l'étage !Après quelques travaux de mise en conformité et d'ouverture d'un passage entre les deux grandes pièces, nouspourrons mieux vous accueillir, surtout lors des soirées ou vous venez nombreux. Cela permettra aussi de créerun espace mieux adapté à la tenue de réunions, de débats, de tournois de jeux, ou de présentationsaudiovisuelles.Comme cela avait été fait par Denis, à qui nous ne rendrons jamais assez hommage, il conviendra d’aménageret de décorer ce nouveau local pour qu’il soit agréable à vivre.Nous faisons donc appel à tous ceux qui se sentent une âme de bricoleur,d’artiste ou de décorateur pour mener cette tâche à bien dés cet été.Toutes les suggestions et les offres d’aide, de matériel, de matériaux ou demobilier seront bienvenues. Toutes les idées ou les moyens permettantd'atténuer le coté sonore des grandes pièces seront aussi appréciés.Manifestez vous nombreux,même si votre contributionvous parait modeste !16
Game-boy / Game-girlLe coin ludiqueRéponse aux énigmes précédentesIl s’agissait bien évidemment de Jean Cocteau et duverbe aimer car son passé n’est jamais simple, son présentn’est qu’indicatif et son futur toujours conditionnel. Le shaman avait bien 3 fils dont le benjamin âgé de 8ans, le cadet de 12 ans et l’aîné de 16 ans.Dans le Grand Dictionnaire universel du XIXème siècledont il est l'auteur, Pierre Larousse a séparé Bonaparteet Napoléon avec, pour le premier, la mention : "général dela République française, né à Ajaccio (îlle de Corse) le 15août 1769, “mort” au château de Saint-Cloud, près de Paris,le 18 brumaire, an VIII de la République française, une etindivisible (9 novembre 1799)". Napoléon mourant à nouveauà Sainte Hélène en 1821. "Errare humanum est, perseverare diabolicum !"Une erreur s'est glissée dans l'énoncé, il fallait lire : "Dansun groupe de collégiens, le quart des élèves n'étudie pas lelatin, le tiers des élèves n'étudie pas le grec" le reste étantinchangé.Mes plus plates excuses à ceux qui n'ont pas pu trouver lesommeil pendant deux mois … ;-)Voici le corrigé, je suis à votre disposition pour desexplications sur les cas les plus tordus qui sont bien sûr lesfameuses exceptions qui confirment la règle !Parviendrez vous à trouver les quelque 28 fautes qui émaillentce texte ! Quoique difficile, l’exercice est instructif surtoutpour les quatre vingts millions de francophones.Passer plus d’une heure et demie à chasser la faute d’orthographe,ne serait-ce que par acquit de conscience, cela voussera peut être utile le jour ou vous postulerez à des postesclés. Vous pourrez utiliser tous les slogans culte que vousconnaissez et argumenter sur les produits phare de votresecteur, rien n’y fera si vous ne savez pas écrire !Vous n’oserez plus tenter un recours devant le conseilprud'homal pour régler ce différend avec votre éventuelemployeur sans avoir fait un effort auparavant.Ainsi, pour ne pas faire des cauchemars ou succomber auxtentacules acérés de la grammaire, laissez faire votre intuitionavec les certitudes qu’elle s’est forgées au gré dutemps. Ne cédez pas trop vite aux a priori, aux ouï-dire ouaux appas des nouvelles règles de la loi Toubon.Si vous ne voulez pas finir comme une âme en peine toutétonnée de détonner avec le rose de ce monde imparfait etrester sceptique devant l’intérêt de porter attention à l’orthographe,alors faites confiance à votre for intérieur. Il nesera jamais trop tard pour vous écrier : au temps pour moi,j’ai eu tort !… voire même pour aller jusqu’à faire un meaculpa public.Il fallait bien sûr reconnaître un aspirant et un juteux.Le Marquis joue au Père Fourras :I - Parlons littérature.Dans la première moitié du 20 éme siècle(1901-1950) est paru un ouvrage connude tous dont on cause toujours aujourd-’hui.Encensé par quelques uns, plus que décriépar d’autres; ce qui est mon cas.S’il est difficile à trouver de nos joursdans les librairies, il fut en son temps un best seller vendu àplusieurs millions d’exemplaires (au moins 3 ou 4). Livre siincontournable que les maires l’offraient aux jeunes couplesle jour du mariage. Ce succès permit à son auteur, pauvre àl’époque où il l’écrivit, de s’acheter une grande résidenceloin de tout qui devint sa maison de campagne et son havrede paix pour y vivre loin du tumulte.Quel est ce livre et qui en est l’auteur?II - Devinette (facile).Dès que l’on prononce son nom il disparaît.Qui est-il?Le quizz PhotoAmitiés à toutes et à tousLe Marquis de FilcabaRendez vous dans les pages centrales pour jouer à retrouverqui se cache derrière les charmantes frimousses de membresou sympathisants de l'association.Le premier "sans faute" que nous recevrons sera primé et larécompense sera remise à Carlane le 13 Septembre.Merci à ceux qui ont accepté de nous confier leur photo debien vouloir garder le secret (ils peuvent aussi jouer avecl'avantage de se reconnaître).Expédie tes réponses :Par mail à contact@ecce-homo.frou par tél.: 05.53.70.97.61Tu gagneras un ticket de loterie à gratter ou une consommationau local en nous donnant une bonne réponse.Prends toi au jeu et amuse toi bien !Bon courage à toutes et tous !17