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Page 01-4106 Cse Mouna - La Nouvelle République

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actuelLe chiffre du jourPlus de 50 ha de végétation partis en fumée en moinsde 24 heures à Béjaïa.<strong>La</strong> NR <strong>4106</strong> – Dimanche 21 août 2<strong>01</strong>12terrorismeLutteDeux terroristes abattus prèsde Tizi Ouzou.Pour l’intervenant, «une certainepartie estime que l’Algérie est àl’abri des événements qui secouentles pays arabes et pensequ’il n’y a pas de crise en Algériequi nécessiterait des réformes politiques.Cette partie, a-t-il précisé,assumera la responsabilitédes risques que pourrait engendrertout échec des réformes politiques».Le premier responsablede cette formation politique n’a,cependant, pas précisé qui étaitcette partie. Pour lui, «il est dangereuxde faire échec à l’opportunitéde réformes, car cela pourraitavoir des conséquences sur lastabilité du pays. Les premiers indicesrévèlent le manque de sérieuxqui caractérise ces réformes».Sur sa lancée, M. Rebiaia cité le non-respect du principede graduation des lois. A ce sujet,il a estimé qu’«au lieu de procéderplagesNoyade209 décès par noyade enregistréscet été.investissementStructuresLes guichets uniques de l’ANDIbientôt dans les 48 wilayas.Ennahda dénonce les manœuvres visantà déstabiliser le processus de réformes Fathi Rebiai, secrétaire général du mouvement Ennahda. (Photo > Sid Ali/New Press), Le secrétaire généraldu mouvement Ennahda,Fathi Rebiai, monte au créneauet dénonce toutemanœuvre visant à déstabiliserou à échouer le processusde réformes politiquesengagé par le présidentde la <strong>République</strong>.Prenant la parole au coursd’une conférence animée àl’occasion de l’anniversairedu 20 août, M. Rebiai a expriméles craintes de sonparti quant aux «indicateursqui dénotent d’unevolonté réelle de faireéchec aux réformes».Front pour la justice de AbdallahDjaballah : un parti mort-né ? Créé le 30 juillet dernier, le mouvement politique baptiséFront pour la justice ne sera pas agréé, a-t-on appris de sourcecrédible et proche du ministère de l’Intérieur.Un rejet pur et simple sera notifié aux créateurs de ce parti,conformément aux textes et lois régissant les partis politiques, aajouté notre source. En effet, les erreurs du passé ne serontdésormais que de mauvais souvenirs, elles ne pourraient ni êtrerenouvelées ni être cautionnées par l’Etat. C’est pour ces raisonsque n’importe quel mouvement, qui sera créé en contradictionavec la loi de la république, ne pourrait pas voir le jour. Mêmesi à titre officiel, le ministère de l’Intérieur n’a pas encoreréagit, le futur parti de Abdallah Djabbalah, ne sera pasautorisé à exercer. D’un côté, si la Constitution algériennedonne le droit de créer des partis politiques, ce droit ne peuttoutefois être invoqué pour attenter aux libertésfondamentales, aux valeurs et aux composantes fondamentalesde l'identité nationale, à l'unité nationale, à la sécurité et àl'intégrité du territoire national.Dans ce même contexte, le fameux article précise le respect desdispositions de la Constitution et met complètement «horsjeux» des partis créés anarchiquement. En outre, l'article 42précise que dans le respect des dispositions de la Constitution,les partis politiques ne peuvent être fondés sur une basereligieuse, linguistique, raciale, de sexes, corporatiste ourégionale. En deuxième lieu, en se rapprochant des militantsde l’ex-FIS dissous, l’ex-chef d’Ennahda et d’El Islah a signélui-même le certificat de décès de son mouvement avant mêmesa naissance. Après avoir nié au début son intention derassembler de l’ex-FIS, Djabbalah a reconnu avoir rencontré desIslamistes et du parti dissous et des opposants de la formationdu MSP, d’Aboudjarra Soltani.Dans ces conditions, l’Etat ne pourrait pas faire revenir par lafenêtre un parti chassé par la porte par le peuple et les causesdu rejet sont bel et bien argumentées. A ce sujet, certainspartis, qui continuent d’activer anarchiquement sur le champpolitique, seront appelés avec les réformes politiques en cours,soit à se conformer avec la loi où à disparaitre.Moncef RédhademainCérémonie en l’honneurd’Amar <strong>La</strong>skri à l’APCde Sidi M’hamed.R E P È R ETouati écarteles candidaturesde «dernière minute»Le président du Front nationalalgérien (FNA), M. Moussa Touati,a souligné, hier, à Tizi Ouzou, lanécessité de «réhabiliter le rôle dela base militante dans le choix descandidats aux prochaineséchéances électorales, législativeset communales». Intervenant lorsd’une rencontre régionale de sonparti, M. Touati a justifiél’importance de ce «retour à labase» dans le choix des hommeset des femmes appelés àreprésenter le FNA aux assembléesélues par «l’impératif de mettrefin aux candidatures de dernièreminute émises par des arrivistesdans le but de satisfaire leursambitions personnelles, audétriment des idéaux du parti».«Cette manière de procéder nedoit plus avoir cours, carpénalisant les militants intègresayant fait leurs preuves à labase», a-t-il souligné avantd’exhorter les militants de sonparti, de s'investir, en perspectivedes prochaines échéancesélectorales, «dans un travail deproximité pour diffuser lemessage du parti, dont le credoconsiste en le respect de lavolonté populaire comme sourcede légitimité politique». Evoquantle «poids» de son parti surl’échiquier politique national, M.Touati a indiqué que «le FNAn’est pas un parti de roiteletscomme l’affublent certains qui necroient qu’en la puissance del’argent», soulignant que «le FNAtire sa force de la pertinence deson programme axé sur lespréoccupations du peuplealgérien, et inspiré des valeurs dela Révolution de novembre 1954».Par ailleurs, s’exprimant sur «larecrudescence» des actesterroristes en Kabylie, le présidentdu FNA a estimé que «la survenuede ces actes au moment où ons’attend à la mise en œuvre desréformes politiques souhaitéesn’est nullement un fruit duhasard, mais pourrait trouver sonexplication dans le fait que lesintérêts des partisans du statuquo actuel sont dérangés par cesréformes, annonciatrices de lavolonté populaire comme sourcede toute légitimité politique».M. R.à une révision de la Constitution,le gouvernement a amendéd’autres lois qui pouvaient découlernaturellement de la loimère,une fois amendée». Cependant,le premier responsable decette formation politique a reprochéaux «décideurs le manquede transparence» qui fait que lesort des propositions soumisespar les personnalités et les partispolitiques ayant pris part auxconsultations demeure inconnu,alors que d’autres «lois n’ayantaucun trait aux propositions ontvu le jour», a-t-il ajouté.Pour lui, «l’Algérie qui était pionnièreen matière de pluralisme,notamment suite aux évènementsd’octobre 1988, connaît aujourd’huiun retour en force du partiunique sous une façade pluraliste»,a encore déploré M. Rebiai.Il a souligné, dans ce contexte,que l’Algérie «est aujourd’huiconfrontée à deux options : opterpour une réforme réelle, globaleet profonde ou pour une consécrationde la réalité médiocre àtous les niveaux et, partant, undétournement de l’action politiqueet la faiblesse du front interne; ce qui pourrait ouvrirgrande la voie à une interventionétrangère». Pour l’intervenant, ilest impératif de ne pas «laisserpasser cette opportunité des réformeset de revoir la méthodologieproposée», appelant à «assainirle climat pour de réelles réformespermettant la tenued’élections libres et transparentesà la faveur de la justice sociale».Abordant des questions historiques,M. Rebiai a appelé à «préserverce legs de la Révolution età en faire une source d’inspirationet de fierté», dont pourronts’abreuver les générations montanteset ce, à travers l’intensificationdes programmes du systèmeéducatif relatifs à l’histoireet aux valeurs de la guerre de libération.Raouf A.Voir sur Internetwww.lnr-dz.com

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