popoblad decembre/janvier/fevrier/mars - Cercle Polytechnic

d’augmenter, le jeune Popo passe à un certain moment par un point de nonretourau-delà duquel l’alcool a un effet plutôt néfaste sur son chant 2 . Dessymptômes se manifestent, la bouche devient pâteuse, l’articulation difficileet la douce mélopée se transforme en vocifération et braillement dignes duplus vil Oméga.Les deux dernières courbes reprises à titre indicatif sur le graphique sont desextrapolations théoriques. La première (droite horizontale) est appelée la« Groux’s Curve » et représente la non-dépendance pour certains individusde la capacité de chant et de la quantité d’alcool ingurgitée. La qualité duchant reste donc très faible même après une forte consommation alcoolisée.La seconde (quart de cercle dans le coin inférieur droit) est la « Dead-manCurve » appelée aussi « Zone de la Fougère », survenant après uneimprégnation forte pendant une période prolongée. Pour rappel, il s’agitd’une zone à ne jamais atteindre pour le jeune Popo sous peine de ne paspouvoir repasser le point de non-retour; la capacité de chant et alorscomplètement annihilée et ce de manière irréversible.Pour conclure sans transition, une petite phrase à méditer : ‘’Pour que labière fasse du bien aux femmes, il faut que ce soient les hommes qui laboivent’’.BandjesArchiviste à la retraite2 Apparemment, il existerait un point de non-retour pour les Vieux Cons mais cela n’a pasencore été prouvé scientifiquement…