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Programme & Liste des Intervenants - JIQHS

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<strong>Programme</strong> & <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong>12 èmes <strong>JIQHS</strong>Lundi 29 et mardi 30 novembre 2010 – La Villette, ParisLes Séances PlénièresLundi 29 avril 2010 / 9:00 - 10:00N°1 PLENIERE D'OUVERTURE : " Le Patient au cœur <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong>"BACHELOT NARQUIN Roselyne, ministre de la santé et <strong>des</strong> sportsModérationIntervenantIntervenantIntervenantIntervenant(Sous réserve)Pascal FORCIOLI, président <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong>Le patient au cœur <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong>Un représentant <strong>des</strong> usagers (Nicolas BRUN ?) UNAF, président d'honneur du CISSUne synthèse de l'enquête ENEIS 2009 (titre à préciser)Dr Céline MOTY MONNEREAU (DREES) et Dr Philippe MICHEL (FORAP)L'enjeu de la sécurité <strong>des</strong> soins médicamenteux pour le patient. L'engagement de la France dans leprogramme High 5 de l'OMSEdith DUFAY, CH de LunévilleConduire les changements : le métier de transformateur hospitalier, la méthode KJ et les ateliers departage d'expériences avancées aux <strong>JIQHS</strong>C Geisler, pour le comité scientifique <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong>Le point de vue <strong>des</strong> usagers : une vidéo qui en dit longVidéo filmée à l'Hopital de la Tour, Genève (intervention détaillée de M. Ben Saad, At 7 QualityManagement)N°2ModérationIntervenantIntervenantN°2bModérationLundi 29 avril 2010 / 17:00 - 18:00PLENIERE : La qualité <strong>des</strong> soins et l'écoute du patient dans les politiquesrégionales de santé"FORCIOLI Pascal, président <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong>SANNIE Thomas, Conférence Régionale de Santé et pour l'Aunonomie,CISS Ile-de-France, Représentant <strong>des</strong> usagersAOUSTIN Martine, directrice ARS Languedoc RoussillonLundi 29 avril 2010 / 17:00 - 18:00semi PLENIERE : RESTITUTION DES ATELIERS PEAHamid SIAHMED (CHU Limoges) ; Dr Francis FELLINGER (P conf <strong>des</strong> PCME de CH)Mardi 30 avril 2010 / 11:15 - 12:30N°3 PLENIERE : "Qualité, Solidarité et Santé publique"ModérationIntervenantIntervenantIntervenantPascal FORCIOLI président <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong>Jean-Paul DELEVOYE, Médiateur de la RépubliquePr Laurent DEGOS, président du collège de la HASDidier HOUSSIN, Directeur de la DGS, ministère de la santé et <strong>des</strong> sportsREMISE DES PRIX POSTERS <strong>JIQHS</strong><strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationLes Ateliers de Communications Scientifiques et PratiquesLundi 29 novembre Matin 10h30 - 12h30Atelier n° 1Qualité de la dimension humaine de la prise en charge <strong>des</strong> patients : expériencesmédicales, soignantes et médico-socialePascal Forcioli, Directeur général adjoint, chargé de la santé publique, ARS du Nord Pas de CalaisModération Christiane Marchal, RU Necker, CRUQ Centrale, APHP et clinique privée Les Noriets (94)Quelle qualité médicale, sociale et éthique dans l'accès aux soins et dans lutte contre la précarité ?IntervenantIntervenantIntervenantDr Claire GEORGES-TARRAGANO, Hôpital Saint-Louis, ParisL'activité de PASS, permanence de l'accès aux soins et ainsi premier maillon de la chaine qualité, se révèleêtre souvent le "chainon manquant". Les complexités multiples <strong>des</strong> patients en situation précaire à l’hôpitalSaint-Louis ont été à l’origine de la mise en place <strong>des</strong> RCP médico-sociales et éthiques. Ces réunionspermettent de décloisonner les pratiques et de trouver la décision la plus juste dans l’intérêt du patient, audelàde la seule approche médico-technique.Dans le contexte d’une médecine technique et spécialisée, il s'avère nécessaire de proposer <strong>des</strong> stratégiesqui ne reposent pas que sur la maladie et l’organe, mais qui respectent avant tout l’intérêt du patient danstoutes ses dimensions. Ce modèle remet l’humain dans toutes ses dimensions au centre de la pratique. Ilallie intérêt individuel et intérêt collectif, il évite <strong>des</strong> prescriptions inutiles et coûteuses, il associe éthiquesindividuelle et collective.C'est un véritable apport aux missions de service public qui, de plus, pousse plus loin la validation de nosmodèles d'écoute <strong>des</strong> patients et de décision de prise en charge : sur ce plan, nous sommes tous concernés.Travail sur l'amélioration <strong>des</strong> pratiques soignantes ???ou Deases management (en cours)en coursLe kit de retour à la vie à domicile après un AVCCrystel BONNET,Emilie DOUSSET, Delphine CIVET, Dominique BENICHOU (pdte de France AVC 44),CHU de NantesLauréat 2010 de la FONDATION ALTRAN pour la santéAtelier n° 2Face à la douleur : approches qualité face aux douleurs chroniques, en HAD et auxurgencesLes apports <strong>des</strong> démarches qualité, <strong>des</strong> sociétés savantes et <strong>des</strong> projets institutionnels pour releverl'immense défi de la PEC de la douleur. Un stand de la SFETD sera présent le 29 novembre aux <strong>JIQHS</strong>.ModérationModérationTémoinIntervenantIntervenantIntervenantDr Pierre VOLCKMANN, Clinique IRIS (GdS), président de la SFETDMarie Claude Lefort, coordonatrice génrale <strong>des</strong> soins, CHU AngersJean-Paul Lévy, Association ACMD, hôpital BeginFace aux douleurs chroniquesDr Florentin CLERE, CH Châteauroux, Unité douleur, HAS1) Retour d'expérience d'une structure de prise en charge de la douleur et du CLUD.2) Présentation du projet liant la SFETD et la HAS sur une méthodologie qualité qui permet de progresserdans la PEC <strong>des</strong> douleurs chroniques sévères.Titre à préciserDr Christine PAILLER, Oncologue, Prst CME de Santé Service PuteauxLa prise en charge de la douleur aux urgencesDr Jean Paul FONTAINE, Hôpital Saint Louis, service <strong>des</strong> urgencesUne EPP sur la douleur aux urgences.<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


Atelier n° 5Les 100 premières V 2010 : bilan, PEP, gestion <strong>des</strong> risques et place <strong>des</strong> usagersTrès pédagogique, instructif et retour d'expérience <strong>des</strong> 100 première V2010ModérationModérationIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantJamila OUMAHI, Hôpital de Carcassonne, Ingénieur en chef Q&GRLe chef de service Certification ES, HASRetour d'expérience d'un établissement pilote, un an aprèsC.BOURSON, CH Compiègne, Responsable QualitéLe regard de l'expert visiteurPhilippe BRAUN, Expert visiteur V2010, directeur de la clinique Edouard Rist, Paris14 rue Boileau 75016 ParisBilan <strong>des</strong> 100 premières V2010HASBilan du BAQIMEHP (publié en septembre 2010)voir Claude Gueldry (directrice du Baqimehp)Synthèse et conclusionsAtelier n° 6La CRUQPC : partie prenante de la qualitéL'an passé, avec <strong>des</strong> représentants d'usagers du CISS Ile de France, cet atelier s'est organisé en groupe detravail et a formulé plus de 100 recommandations (à consulter sur www.jiqhs.fr). Celles-ci feront l'objet d'unsuivi et de concertation avec le ministère. Cette année, en prolongement, nous proposons <strong>des</strong> enquêtes ettémoignages innovants, sources d'inspiration et de débats stimulants pour que cette instance dépasse lagestion <strong>des</strong> réclamations et <strong>des</strong> plaintes et qu'elle puisse pleinement jouer un rôle constructif dansl'amélioration continue, reconnu en interne. Cela suppose <strong>des</strong> règles, <strong>des</strong> métho<strong>des</strong>, une volonté, unestratégie. Et <strong>des</strong> acteurs formés et impliqués. Le patient au coeur de la CRUQ PC : une évolution essentiellesous le regard <strong>des</strong> associations d'usagers, <strong>des</strong> tutelles et <strong>des</strong> experts visiteurs de la HAS. Une bonne façonde préparer "2011, l'année <strong>des</strong> droits <strong>des</strong> usagers".ModérationIntervenantJean-Pierre BURNIER, CH Gonesse, Directeur, pilote du GT sur les RU à la FHFRetour de l'enquête de la FHP sur les CRUQ PC : état <strong>des</strong> lieux et chemin à parcourirThierry BECHU, délégué FHP (MCO) ou Ségolène BENHAMOU, Directrice de la Clinique de SarcellesLes 132 recommandations issues <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong> 2009 pour la CRUQ PC (et leur prolongement 2011)IntervenantIntervenantTémoinIntervenantTémoinTémoinCatherine Ollivet, Secrétaire Générale CISS idf, France Alzheimer, et pilote du projet du CISS qui travailleà partir <strong>des</strong> 132 propositions <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong> 2009Les 132 recos : leur origine, leur contenu, le dialogue au sein du CISS et avec le ministère, les perspectives2011L'exemple d'une CRUQ PC et ses premiers enseignementsJean-Luc Plavis, RU, Hôpital Foch et CISS IdFAnne MOURAD, dir <strong>des</strong> soins, clinique Edouard Rist, 14 rue Boileau 75016 ParisGestion <strong>des</strong> réclamations : comment être constructif ?Viviane BELOT et Martine TRANCHE, Hôpital Antoine BéclèreUne démarche qualité gestion <strong>des</strong> risques qui facilite et objective le traitement <strong>des</strong> réclamations et, surtout,qui exploite cette source d'informations pour faire progresser l'établissement et les services aux usagers,conformément à l'intention d'un nombre croissant d'usagers qui souhaitnent que leur signalement soit utilepour l'avenir.Anne DEPAIGN LOTH, HAS, sera dans la salle pour apporter <strong>des</strong> informations à l'assistanceAlexandra FOURCADE Mission Usagers du système de santé, sera dans la salle pour apporter <strong>des</strong>informations à l'assistance<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


Atelier n° 7Quality Management : "Yes I can"Exemples internationaux de politique qualité, d'implication de tous, de culture de l'amélioration continueModérationIntervenantIntervenantIntervenantDr Charles BRUNEAU, HASDr Sylvia BENZAKEN, vice pdte CME du CHU de NiceL'expérience de Quality Management dans la longue durée : un changement culturel en profondeur(titre provisoire)Gôren HENDRICK, dir du Système hospitalier de Conté de JONKÖPING, SuèdeLe quality management dans l'établissement et dans les relations avec le territoire de santé = le conté : l'un<strong>des</strong> rares et tous meilleurs modèles de quality management de niveau international ; le rencontrer àISQUAL, en automneCertifié V2010 "sans réserve ni reco" : un état d'esprit avant toutJoseph HALOS, directeur EPSM Lille MétropoleLa santé mentale est-elle un pays étranger ? Témoignage d'une approche basée sur l'humain, le positif (ABeck), l'engagement collectif. Avec un fort engagement de la direction et de la CME. Ce sont les agents quidonnent du sens aux actions, notamment la communauté médicale. Ce qui fait que nous sommes sévèresavec nous-mêmes et que nous recherchons une efficience pérenne. C'est pour cela que nous nousengageons dans deux certifications supplémentaires : l'ISO et la certification de service. C'est pour cela quenous recourons à <strong>des</strong> métho<strong>des</strong> rigoureuses, que nous travaillons la qualité du management. On essaied'être aussi clair dans la philosophie qui nous anime. C'est peut-être ce qu'il y a de plus profond à allerchercher. Tout à fait dans l'esprit <strong>JIQHS</strong>.La porte du changement s'ouvre vers l'intérieur (titre provisoire)Bertrand BIGO, QUALIOSFarhat BEN SAAD, Cliniques de laTour, Dir <strong>des</strong> soins et de la qualité, GenèveUne véritable dynamique collective, avec une forte implication <strong>des</strong> managers de proximité, dans tous lesdomaines. "La spirale de la dynamique a commencé à partir du moment où on a eu plus de managers quidisaient eux aussi Yes I can ". Le pilotage est très structuré. Vers une organisation sans papier, allégeantles exigences bureaucratiques. Démo de Qualios en direct sur le web. Les patients expriment un hautniveau de satisfaction. L'actionnaire américain constate l'efficience et les résultats.Atelier n° 8Hôtellerie : innovations marquantes, service et qualitéAnnulé<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationTémoinIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantModérationTemoinIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantAtelier 15Information médicale et qualité : le cas <strong>des</strong> soins palliatifsLes soins palliatifs constituent désormais une activité bien identifiée, au point de vue <strong>des</strong> pratiques commedans celui <strong>des</strong> systèmes d’information, notamment dans le contexte de la tarification à l’activité. L’aptitude <strong>des</strong>établissements de santé à décrire et à facturer cette activité de manière fiable est donc devenue un enjeu,alors que la réalité est souvent en retrait de cet objectif, notamment pour les prises en charge hors Unitésdédiées à cette activité. Au cours de cette session, trois établissements feront part de leur stratégie visant àformaliser de manière opérationnelle la définition de la prise en charge en soins palliatifs, et à fiabiliser lerecueil d’informations pour cette activité. L’un <strong>des</strong> établissements présentera également la mise en place dusystème documentaire en nome ISO de son système d’information médicale, et l’illustrera sur l’exemple del’activité de soins palliatifs.Dr Pascale VINANT, Unité mobile de soins palliatifs et Dr Jérome FRENKIEL, Unité d’Informationmédicale – Groupe hospitalier Cochin, AP-HPEliane TOUSSAINT, DGOSTitre en coursDr. Claire DELY et Dr. Paolo BERCELLI, DIM - Centre hospitalier Sud BretagneTitre en coursDr. Pascale VINANT, Unité mobile de soins palliatifs – Groupe hospitalier Cochin, AP-HPTitre en coursDr. Christian GUY-COICHARD, Service d’oncologie médicale, Hôpital Saint Antoine, AP-HPUn système documentaire qui prépare l'ISODr Jérome FRENKIEL, Unité d’Information médicale – Groupe hospitalier Cochin, AP-HPAtelier n° 16Indicateurs et tableaux de bordLes indicateurs s'installent dans le paysage <strong>des</strong> établissements de santé. Nous porgressons collectivement…avec lenteur, avec lourdeur, avec difficultés. Mais nous progressons : entre le jeux <strong>des</strong> contraintes nationales,le jeux <strong>des</strong> acteurs locaux et la difficulté technique à produire <strong>des</strong> données pertinentes, quel chemin tracerafin d'éviter les gros écueils et faire oeuvre utile ? Si la réussite de certains établissements n'est pas due qu'auhasard, au moins peut-elle inspirer utilement.Dr Leila MORET, Service d'Evaluation Médicale et d'Education thérapeutique, Unité Qualité RisquesEvaluation, Réseau QUALISANTE44 et CHU de Nantes02 40 84 69 24 ; leila.moret@chu-nantes.frDr Valérie SALOMON, Bureau qualité et sécurité <strong>des</strong> soins (PF2), Sous-direction du pilotage de laperformance <strong>des</strong> acteurs de l'offre de soins, DGOS01 40 56 52 77 ; Valerie.SALOMON@sante.gouv.frUn regard de sociologue sur le "risque indicateur" : comment faire pire en croyant faire mieux ?Maya BACACHE, enseignant-chercheur, Telecom ParistechLes Stratégies absur<strong>des</strong>. Comment faire pire en croyant faire mieux . Éditions du Seuil, 2009, réédition enpoche courant 2010. Une étude hors du domaine de la santé dont les conclusions nous alertent sur <strong>des</strong>dérives néfastes que d'autres n'ont pas su éviter.Titre à préciserSandrine MORIN, chef de projet au sein du service IPAQSS (HAS), responsable <strong>des</strong> indicateursL'essentiel : indicateurs dans la V2010 (PEP, mco, ssr, psy) et l'usage qui en est fait (l'implication <strong>des</strong>professionnels et <strong>des</strong> directions) ; bilan <strong>des</strong> indicateurs dans les 100 premières V2010. Intervention en 10',avec en réserve <strong>des</strong> diapos utilisées en apports lors <strong>des</strong> échanges.Deux expériences pilotes, l'une en santé mentale et l'autre en soins de suite et de réadatpation selonle modèle OMS PATHMarc PRUSKI, RQGR, EPSM, Erasme (92), et ANRQ-PSY et Dr Leïla Moret, CHU de Nantes etQUALISANTE44Mise en place <strong>des</strong> indicateurs en continu au bloc opératoire et limitesMartine CHAYS, Clinique Saint Vincent, groupe Capio<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationIntervenantIntervenantIntervenantTémoinsModérationGd témoinIntervenantModérationIntervenantIntervenantIntervenantAtelier n° 17Déploiement d'innovations médicales et infirmiéres sur le terrainDr Monique ROTHAN-TONDEUR, EHESP, Dir dpt <strong>des</strong> sciences infirmières et paramédicalesTitre à préciserLaurent POIROUX, infirmier et chercheur en réanimationSoutenir un programme innovant quand on a pas de moyen : cas d'une clinique privée en SSR ayant reçule Trophée 2010 de la meilleure publication par la FHPDr Philippe MEURIN, Les grands prés, 27 rue Ste Christine, 77174 Villeneuve-Saint-DenisL'analyse d'une complication fréquente en chirurgie cardiaque fait apparaître <strong>des</strong> idées reçues sur lesprescriptions habituellement recommandées. Approfondissement, élargissement multicentrique, présentation,publication, reconnaissance internationale et au final prix de la meilleure publication de l'année par la FHP.Comment monter un étude quand on n'a ni l'habitude ni le budget ? Comment publier ? Comment diffuser laconnaissance utile ? Un retour d'expérience formidable.BeST : belgian screening tool (sélection et mise à disposition sur le web d'échelles de mesurecliniques en soins infirmiers et médicaux )Micheline GOBERT, Université de Louvainmail : micheline.gobert@uclouvain.be + 00 32 2 764 31 79www.best.ugent.be fournit les échelles, les explications, les conseils d'utilisationLes services du ministère à vos cotés (titre à préciser)Marie LANG et Dr Jean-Pierre DUFFETAdj chef du Bureau Innovation et recherche clinique et Chargé de projetsAtelier n° 18Filières de soins : le défi qualitéUne qualité globale et bien visible pour le patient, qui dépasse le cadre de la consultation ou de l'interventionspécialisée, avec davantage de coopération, de transversalité, de prévention, de communication : faire ensorte que le patient soit au cœur de notre système de santé, pas la pathologie. Développer les filières, le plussouvent, est un défi par nature régional ou local, plutôt que national. Et c'est de plus en plus nécessaire.Dr Philippe MICHEL (Directeur du CCECQA et Président de la FORAP) et Antoine BACHOLLEJean-Yves Grall, directeur de l'ARS Lorraine (sous réserve)La pertinence <strong>des</strong> hospitalisations hors MCO : comment ? Quelles limites ?Dr Marie-José D'ALACHE-GAUTIER, Réseau Qualité Bas-NormandPrésentation <strong>des</strong> conclusions : court résumé. La grille de pertinence d'une journée d'hospitalisation (HAS2004). Onl'a utilisée dans le réseau Bas Normand.Parcours coordonné du patient (à préciser)Antoine BACHOLLE, Hôpital Beauregard, DirecteurUne filière innovante dans la prise en charge sanitaire et médico-sociale : l’unité de recours et <strong>des</strong>oins gériatriques du CHU LimogesDr Stéphan MEYER, gériatre, fondateur de l’URSG et vice président de la Fédération Française <strong>des</strong>Associations de Médecins Coordonateurs en EHPAD, CHU de LimogesIntervention portant sur : la nature, les objectifs, les ressources et la conduite du projet, la qualité <strong>des</strong>coordinations, les impacts qualité sur les patients en termes d’évitement <strong>des</strong> urgences et de complications(comparaisons avant / après).La mise en place d'une filière : exemple de l'ostéoporosePr Georges WERYHA, CHU Nancy, Endocrinologue et rhumatologueg.weryha@chu-nancy.fr 03 83 15 34 39 sec: mc.cochelet@chu-nancy.frLa mise en place d'une filière : exemple en gérontologiePr Thierry DANTOINE, CHU Limogesthierry.dantoine@chu-limoges.fr; 05 55 05 86 26 / 06 79 82 07 62La prévention est indispensable. Il a fallu se remettre en question. On s’est mis en posture d’anticiper la sortieavant même l’entrée : le patient est au cœur de notre approche, pas la pathologie. Coopération avec lemédico-social, avec la méd de ville, avec les urgences, etc. Impacts multiples. Aboutissement avec l’UPSAV.<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


Les Ateliers de Communications Scientifiques et PratiquesMardi 30 nove Mardi 30 novembre Matin 9h - 10h45Atelier n° 21Humanisme et bientraitanceIl existe une typologie <strong>des</strong> maltraitants : à coté <strong>des</strong> personnes souffrant de pathologies mentales lour<strong>des</strong>,de carences sévères mais aussi <strong>des</strong> pervers et <strong>des</strong> escrocs, les étu<strong>des</strong> montrent que le plus gros de lamalatraitance ordinaire est de notre fait", familles ou professionnels. Il existe en nous un "désir de réparation"de l'autre abimé par l'age, le handicap, la longue vie. Notre idéal rencontre la réalité. La désillusion, souventse retourne en abolition de l'attachement, de la solllicitude, de l'amour. Ainsi, la bonne volonté trouverapidement ses limites. Les processus <strong>des</strong>tructeurs s'installent. La réalité de la vieillesse, de la maladie,de la mort sont facteurs à hauts risques de surgissement de la haine et de la violence que nous contenonstous en nous. C'est à ce point de rupture de déliaison que ce produit le pasage à l'acte maltraitant.Le seul moyen de prévenir le passage à l'acte est la conscientisation de ces processus à l'oeuvre.Notre outil de traitement est notre capacité à comprendre le caractère obsolète de ces affects.Ensuite penser, parler, échanger nous préserve le plus surement de l'acte maltraitant".Michèle Myslinsky, psychologue, à l'occasion de la journée mondiale sur la maltraitance Alma France,ce 15 juin 2010. La HAS a inscrit la prévention de la maltraitance et la promotion de la bientraitancedans la liste <strong>des</strong> critères de qualité du nouveau manuel de certification (V2010) <strong>des</strong> établissements de santé,et publié un rapport sur la maltraitance ordinaire.Attention : formation, recrutement, sélection, promotion <strong>des</strong> professionnels :où est l'humanisme comme critère ?ModérationNathalie SAC VANDERWILDT, RQ GH Saint-Vincent, Alsacepeut-être poster du GH St Vincent (parcours du patient en ban<strong>des</strong> <strong>des</strong>sinées : bien / mal traitance)Un DRH : celui de Foch…, Sylvain DUCROZTémoinIntervenantIntervenantPosterIntervenantIntervenantFiorina Legrenzi, représentante <strong>des</strong> usagersUne "EPP bientraitance" fortement mobilisatrice : l'expérience régionale du REQUAPatricia MINARY-DOHEN, cadre de santé, "chargée de mission bientraitance" du REQUAEvaluation initiale, charte d'engagement, action pratiques, mesure <strong>des</strong> progrès : une boucle vertueusepratiquée dans un, puis deux, puis trois établissements USLD. Démarche qui a suscité un intérêt très marquéde l'ANESM. La bientraitance : un pont qui relie entre eux tous les établissement du secteur social, médicosocialet sanitaire.L'exemple d'un CHDr Mona CAILLON, CH CALAIS - Chef de service et Q & GR ; Dorothée MARLARD, cadre supérieur <strong>des</strong>anté ; Odile VANSTEEN BERGHE, cadre de santé03 21 41 46 35 63 / 06 14 62 18 71 - m.caillon@ch-calais.frLa bientraitance en BDPrésentation rapide (falsh) d'un posterUne approche pédagogique de la bientraitance, Hôpital Saint Camille, Bry sur Marne (94)Véronique SEILLE 01 49 83 10 10; v.seille@ch-bry.orgQualité de vie <strong>des</strong> soignants et <strong>des</strong> patientsMme PRONOST, Directrice de l’HAD, Clinique Pasteur,Toulouse<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationIntervenantIntervenantAtelier n° 22Ethique et QualitéLa question éthique fait partie du soins et a un rapport avec la qualité la plus quotidienne. Y compris l'éthique de base :je rentre sans frapper, je parle comme si le patient n'était pas là, etc.Pr Emmanuel HIRSCH sous réserveQu'est-ce qu'une éthique du care, au quotidien ? (une philosphie du soin : laquelle et pourquoi ?)Philippe SVANDRA, Maitre de conférence, Marne la Vallée, Hôpital Saint Anne, ParisL'intérêt de mettre en place un groupe de réflexion éthique et comment le faire vivreDr Bernard ROMEFORT, Notre Dame du LacComment ne pas déposséder mais aider une équipe à aborder les questions éthiques difficiles. Un groupe de réflexionaide à réfléchir, à décider en autonomie et ne fixe pas de règles, contrairement à un comité éthique d'établissement.IntervenantIntervenantL'éthique pratique au quotidienM. A. DENEUF-GERMAIN, CH Saint QuentinConcrètement : l'éthique sur le terrain (sortir sans consentement, s'exprimer sous tutelle, refus de soin, secret médical,relation avec la police, etc.), les ateliers éthiques, et le groupe ressource sur les situations difficiles. Les moyens derépondre aux exigences d'éthiques (pour les patients, les professionnels, les repr <strong>des</strong> usagers, les visites de certification,etc.)Apathie, sympathie et empathie dans la relation de soinPierre LE COZ , CCNE, Espace éthique méditerranéenVice-président du Comité national d'éthique, Directeur du département <strong>des</strong> sciences humaines, Faculté de médecine deMarseilleAtelier n° 23Chirurgie ambulatoire : le défi méthodologique d'accompagnement <strong>des</strong> équipesLa médecine ambulatoire, et particulièrement la chirurgie, représente un enjeu exceptionnel : quand elle réussit, c'est unprogrès considérable pour le patient, c'est une révolution organisationnelle, c'est un avantage economique. Mais notrepays est en retard. Il prend seulement la mesure <strong>des</strong> enjeux et <strong>des</strong> difficultés à la mettre en place, avec les intéressés.Car en chirurgie ambulatoire, le global mais aussi le moindre détail comptent. Aussi, cet atelier se consacre-t-il, en étroitpartenariat avec l'AFCA, à un enjeu dans l'enjeu : l'indispensable accompagnement méthodologique <strong>des</strong> équipessoignantes et <strong>des</strong> établissements, dans la préparation et dans la durée. Lequel, pourquoi, comment ? Et cetaccompagnement doit lui même être à la hauteur. Soignants et méthodologues : il faut agir ensemble !ModérationIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantDr Hélène LOGEROT; conseiller médical de la FEHAPL'accompagnement de l'établissement : l'exemple de la polyclinique mutualiste Sainte-Marguerited'AuxerreMarie-Agnès COUTY, directriceUn pilote, un projet, un suivi, du travail en équipe, un gros travail avec les médecins, une forte transparence, unaccompagnement méthodologique : une conduite du changement avant tout qui aborde la prise en charge très en amontet la poursuit très en aval.L'accompagnement <strong>des</strong> équipes de chirurgie ambulatoire : l'exemple de l'hôpital J. Verdier (APHP)Pr Corinne VONS, Présidente du comité scientifique de l'AFCAL'accompagnement <strong>des</strong> équipes de chirurgie ambulatoire : l'exemple de la clinique Jules Vernes(Nantes) ou de la Fondation Ophtalmologique Rothschild (Paris)Jean-Pierre DEVYS sous réserveL'accompagnement <strong>des</strong> équipes de chirurgie ambulatoire : l'exemple italien + la perspectiveeuropéenne (présentation en français)Professeur Ugo BACCAGLINI, Hôpital Universitaire de Padoue, Italie, président de l'InternationalAssociation for Ambulatory Surgery.Indicateurs de qualité : déprogrammation de patient, sortie retardée voir nuit complémentaire, complication postopératoires évitables, etc. Indicateurs de performance : nombre de procédures améliorées, accroissement de patients etd'actes, réduction de problèmes organisationnels divers, etc.<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


Atelier n° 24 (en cours de constitution)Le risque ingérable : que faire quand le risque inacceptable fait partie du soin ?L'activité médicale est de nature risquée et le risque fait partie du vivant. Certes, le développement dumanagement <strong>des</strong> risques est nécessaire mais il faut aussi se préparer aux limites <strong>des</strong> dispositifs que nousmettons en place à l'échelon local ou global. Les outils de gestion <strong>des</strong> risques, les experts, les règles decommunications sont parfois dépassés, inopérants : que faire en cas de reco divergentes ?En absence de reco ? La situation peut alors nous surprendre voire nous paniquer : elle est ingérable.Comment s'y préparer ?Atelier n° 25Délais insupportables : ça ne doit pas durer !Voilà de la non qualité évidente : files d'attente, embouteillages, engorgements, goulets d'étranglement,annulation et reports d'agenda, déprogrammation, transferts inutiles... Stress et mauvaise prise en charge, enretour, augmentent à nouveaux les problèmes.La qualité et la sécurité du flux n'existent pas dans les organisations obsolètes ou saturées. Les chantiersd'optimisation du flux (flux de patients, d'activités, de tâches, de produits, de décisions) sont incontournables.De plus, les marges de productivité sont nombreuses et importantes. En revanche, l'accompagnementméthodologique <strong>des</strong> telles réorgnisations, lui, n'est pas évident . Il ne s'improvise pas. Mais il s'apprend : envoici trois exemple significatifs et les fonctions qualité et risques doivent s'en occuper.ModérationIntervenantIntervenantIntervenantIntervenanten coursRéduction <strong>des</strong> délais en ambulatoireClarisse PAGET, Responsable Qualité, groupe Capiocpaget@capio.fr' 04 37 47 16 40En coursTransport interne du patient : réduction <strong>des</strong> délais et du stress grâce à l'optimisation concertée entemps réelPascal GOUILLY, Cadre Supérieur de Santé, CHR Metz ThionvilleGouilly P., Hubert J., Vander Maren M., Pegeot C., Lesage F., Gloaguen E.Finaliste du prix 2010 de la Fondation Altran pour la SantéDispositif déployé sur Metz et Thionville avec <strong>des</strong> indicateurs en routine, en temps réels et <strong>des</strong> résultatssignificatifs : "on maîtrise plutôt bien jusqu'à 20% de fluctuation".<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationTémoinIntervenantIntervenantIntervenantAtelier n° 26Qualité et hygiène : Les révolutions en cours. Le plan national 2013.(Texte à revoir). Dans tous les pays, l'hygiène hospitalière a produit <strong>des</strong> progrès spectaculaires ces dernièresannées. Mais il reste beaucoup à faire. Après celle <strong>des</strong> indicateurs publics et la lutte contre les infectionnosocomiales, une nouvelle révolution est nécessaire dans notre pays dont nous abordons ici trois aspectsdéterminants : en matière d'évaluation et de progression <strong>des</strong> pratiques réelles, en matière d'analyse et detraitement <strong>des</strong> événements indésirables dans les unités, en matière de communication interne et externe.Les leçons de l'hygiène hospitalière enrichissent les démarches qualité/sécurité (et réciproquement) tant surles plans méthodologiques, organisationnels que stratégiques. Le tout avec une transparence et une réactivitéexigeante.Pr Jacques FABRI, Rédacteur en chef Risques & Qualité04 78 77 70 31 / 06 11 40 05 77 - jfabry@univ-lyon1.frClaude Léger, Le LIEN, ancienne RU, ancienne hygiéniste et membre du CLIN NordLa démarche qualité en stérilisation : un moyen pour réduire le risque infectieux et mieux traiter lesEvénements Indésirables infectieuxIsabelle Hermelin, Pharmacien, CHR Orléans.La démarche qualité en sté (diaporama ou poster + pdf de l'article dans techniques hospitalières) avec unflash sur un aspect plus ciblé, par exemple le traitement <strong>des</strong> EI en hygiène puis échanges avec la salle.Ouverture ensuite sur la réduction du risque infectieux et épidémiologique dans nos établissements, avec enperspective le plan national 2013.Le plan national 2009-2013 : contenu utile et mise en perspective avec les révolutions en cours auniveau <strong>des</strong> établissementsVanessa Van ROSSEM, DGOSFaire évoluer les indicateurs nationaux et locaux pour progresser vers de nouveaux progrès tangibles: lesquels, pourquoi, avec qui, comment ?Dr Anne SAVEY, CCLIN Sud-est et Société Française d'Hygiène HospitalièreContre le risque du "chiffre pour le chiffre", donc <strong>des</strong> efforts ciblés sur les chiffres publiés plutôt que ciblés surles vrais enjeux d'hygiène hospitalière, renforçons les actions sur la vigilance active sur le terrain et la maîtrisepratique <strong>des</strong> situations à risque. Revue d’actions pratiques possibles.Animation Les 6 orientations nationales, les 5 indicateurs de suivis nationaux et les multiples objectifs intermédiaires :séquence de brainstorming pour agir au niveau <strong>des</strong> établissements (en cours d'étude)La communication vers les professionnels et vers les usagers : un retour d'expérienceIntervenant Pr Philippe Berthelot, CHU St Etienne (sous réserve)La communication, levier du changement collectif. Entre la communication "informative et pédagogique" au filde l'eau (d'où venons-nous, où allons-nous) et la communication de crise ponctuelle (le diable estmalheureusement sorti de la boîte) : quelle leçon retenir d'une expérience particulière ? Faire référence aupassage au guide pratique de la SFHH en communication HH.<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


TémoinAtelier n° 27A nouveaux risques, nouvelle stratégieLes prochaines années vont transformer l’offre de soins et la compétition public / privé. Les risques vontprofondément évoluer. Le contexte légal et économique nous incite à prendre <strong>des</strong> décisions rapidement ;mais il ne faut pas reproduire le modèle de la gestion <strong>des</strong> risques passée pour les nouveaux risques (ex : dvptde l’ambulatoire qui pousse à une amélioration drastique ante et post opératoire).L’innovation s’accélère (médicaments, dispositifs médicaux, soins, génétique, éducation du patient, télésanté,etc.). Tout le monde est concerné. Cela pousse à introduire de nouveaux types de contrôle qualité, au fur et àmesure <strong>des</strong> innovations et expérimentations.Les décrets d’application de la loi HPST (PCME, EI, chirurgie, patient, etc.) et les défis ci-<strong>des</strong>sus supposentune nouvelle coopération <strong>des</strong> soignants avec les acteurs QGR : plus étroite, plus proactive, mieux inscritedans la durée et sur les vrais enjeux.Pour fixer les priorités stratégiques, il est nécessaire :- D’avoir une bonne vision de ces évolutions, de sentir les nouveaux enjeux, de ne pas penser l’avenir commela reproduction du passé,- D’utiliser <strong>des</strong> méthodologies de travail collaboratif permettant de se focaliser sur l’essentiel,- D’agir rapidement. Après il sera trop tard.René AMALABERTI, HASVincent RENAULT (Dir Alpha Santé à Hayange en Moselle)Les trois maladies de l'hôpital publicL'exploration <strong>des</strong> fausses anomalies (l'incidentalome) ; l'absence de mesure du SMR, notamment sur lesnouvelles technologies ; <strong>des</strong> structures mal orientées vers ce dont la population a besoin ; l'organisation dutravail et du temps de travail. Bref une vision moins égoïste de son métier...Pr Jean-François BERGMANN, Hôpital Lariboisière (sous réserve)<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationModérationIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantModérationIntervenantIntervenantLes Ateliers de Communications Scientifiques et PratiquesMardi 30 novembre Apres-Midi de 15h15 à 17hAtelier n° 31Qualité de la fin de vieDeux personnes sur trois terminent leur vie en établissement de santé. La loi "Leonetti" de 2005 prend en compte quatre principes : ledéveloppement <strong>des</strong> soins palliatifs, l’accompagnement <strong>des</strong> mourants, le respect de la volonté <strong>des</strong> mala<strong>des</strong>, le refus de l’acharnementthérapeutique. En ce qui concerne trois de ces principes, la qualité c'est surtout une vision, <strong>des</strong> convictions, de l'attention, de l'énergie,de multiples idées pratiques et un état d'esprit qui a du sens. Transformer un lieu de "fin" en un lieu d'envie donc... de "vie" : c'est réussirl'impensable.Annick MACREZ, AFGRIS, Hôpital Bichat, Paris, Directrice QualitéDr Benard DEVALOIS, ancien président de la SFAPSynthèse du programme de recherche national sur l'application de la loi LeonettiNadia PEOC'H, CHU Toulouse, Direction <strong>des</strong> SoinsLa qualité <strong>des</strong> soins de la fin de vie en HAD : l'intérêt d'une EPP... à domicileDr RODIERE, Coordonnateur Santé Service Dax, HAD, Comité national <strong>des</strong> soins palliatifsLa qualité de la fin de vie : un projet collectif qui transforme l'établissementCedric TCHENG, Etablissement Sainte Marie, Villepinte (93)Jean-Pierre MOISSIGNAC, Jeanne Garnier, 01-43-92-21-05Notre "EPP" sur la fin de vie - CH de LuxembourgSuzanne BOUR-KREUTZ, Formatrice interneFrédéric FOGEN, Médecin <strong>des</strong> soins palliatifsLucienne GRANDPIERRE, Cadre aux soins palliatifsAtelier n° 32Développer la dimension humaine <strong>des</strong> EPP médicales et paramédicalesLes EPP souvent manquent de soutien par une politique institutionnelle <strong>des</strong> EPP (bilan <strong>des</strong> 100 premières V2010). Les trois quarts <strong>des</strong>ES n'ont pas encore de RMM dignes de ce nom.Dr Nicole Perier, Qualité EPP Certification, Direction de la politique médicale, AP-HP.01.40.27.37.07 ; sec : 01.40.27.38.57 ; nicole.perier@sap.aphp.frCHU Angers ou EPSM Lille (en cours)Une EPP sur les techniques d'animation favorisant l'implication <strong>des</strong> patients addictifs dans le processus de changement : lathérapie communautaireDr Nicole HUGON, Clinique Saint Barnabé (GdS), MarseilleEPP paramédicales humanisées en SSRGCS HELPAM (en cours)Atelier n° 33Chemin clinique, sous l'angle d'une démarche de conduite de changement participativeLe vrai débat sur dans le chemin clinique, c'est ce que l'on cherche à obtenir ensemble quand on se réunit autour de la table. C'est une réussite auCanada ou dans certains services avec l'implication <strong>des</strong> infirmières mais c'est encore souvent un problème en France quand on le perçoit comme uneprise de pouvoir <strong>des</strong> paramédicaux. Enjeux, ici : simplifier la méthode, éviter les dérives en matière de pouvoir et d'autorité dans la gestion de projet etbien mener l'approche processus au service du patient. L'efficience vient en surcroit, mais elle vient systématiquement.Modération Jean PETIT, CHU ToulouseLes points névralgiques, le cas du chemin clinique hors les mursIntervenant nom à recevoir de François BERARDLe chemin clinique, tout le chemin clinique, rien que le chemin cliniqueIntervenant Dr Christophe Segouin, Lariboisière,L'exemple d'un parcours coordonné de soins en oncologieIntervenant Hélèna BURLOT, RQ, Hôpital Privé d'Antony, 92<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


ModérationIntervenantAtelier n° 34, en coursLes référents QGR internesTexte :En coursRéférents en GCS : une "communauté de pratique"Marc MOULAIRE, GCS Helpam, ArdècheModérationModérationIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantIntervenantAtelier n° 35Accréditation <strong>des</strong> laboratoires de biologie médicaleDr Anne GRUSON, CH Arras, commission Certificatin de l’HAS, VP Section santé Humaine COFRACDr Bernard GOUGET, FHF, Commissaire de QUALIBIOL'expérience d'un pôle de biologie en cours d'accréditationPr Michel VAUBOURDOLLE (cf <strong>JIQHS</strong> 2009) ou Jacques ISOPET, CHU Toulouse ou Pierre - Jean BARGNOUXAccréditation <strong>des</strong> LBM par le COFRACHéléne MEHAY, Responsable Section Santé Humaine du COFRACVéronique GARDET : Présidente Commission Technique d’Accréditation COFRACImpact de l’Accréditation sur la Certification <strong>des</strong> ESPierre Jean BARGNOUX ou O. AGULLES – CH Nancy sous réserveExpérience d’une Accréditation en CHUProfesseur IZOPET – CHU Toulouse, sous réserveExpérience d’une Accréditation en CHDr Yannick COSTA, responsable du pôle médicotechnique et traitement du cancer, CH de Lagny Marne la Vallée et ENNOVAtelier n° 36, en coursImagerie et radiothérapie ISOModérationDr Hervé LECLET, conseiller en certification d'imagerie, Opta-SCentre de radiothérapie Dunkerque (GdS)IntervenantIntervenantModérationIntervenantModérationLOUHICHI Véronique, Directrice, Centre de radiothérapie Dunkerque ; BAHER … , Qualiticienne, Centre de radiothérapie deDunkerqueco-intervention de l'ASN (en cours)Perspectives visibles et enjeux cachés en diagnostic et en thérapie, privés et publicsDr Hervé LECLETAtelier n° 37Conduite du changementAtelier pratique de formation à l'indispenseble communication interne dans les contextes de changementEric MATHERN, agence de communication Beaurepaireavec la participation d'Eric Graindorge, DG d'Orsay-LongjumeauTravaux en groupesAtelier n°38Gouvernance et Humanisme : un défi méthodologique d'élaboration du cadre stratégique <strong>des</strong> établissements et<strong>des</strong> pôlesNombre de participants limités.Jérôme CARPE, PDG de ReorIl s'agit d'un véritable atelier pratique à but pédagogique, basé sur une étude de cas. La salle est aménagée dans ce but et lesparticipants seront accompagnés par les consultants du cabinet Reor. Ils devront faire face au défi de formuler <strong>des</strong> prioritésstratégiques claires et motivantes, et néanmoins cohérentes et réalistes ! Ils seront mis d ans une situation où ils seront porteursde légitimités, de visions et d'expériences hétérogènes, exactement comme nous le sommes dans nos établissements de soins.L'objectif est que les participants puissent déployer concrètement cette méthodologie ludique, efficace et innovante dans leurs propresétablissements et pôles. Un guide leur sera fourni.<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


D 1D 2IntervenantIntervenantD 3IntervenantLes Séances DécouverteLundi 29 novembre de 13h45 à 14h40Restitution <strong>des</strong> ateliers du matinTélésanté : mobilité + simplicité + rapidité + traçabilité = qualitéDu cadre global de l'e-santé aux révolutions techniques en cours (exemples France et étranger)Patrice CRISTOFINI, Orange HealthcareUn exemple de partenariat au service de la qualitéJean-Marc Briand, BlueKanGo, PDG,Q & GR : tout ce qu'il faut savoir sur la loi HPSTCécilia MATEUS et Michèle PERRIN, DGOSD 4 Les leçons de plusieurs catastrophes et accidents collectifsLes leçons de plusieurs accidents collectifs ou de catastrophes : accidents de radiothérapie de Toulouse et d'Epinal, dramesrépétitifs et similaires causés par défaut de surveillance de mala<strong>des</strong> mentaux, accidents d'injection, voire de grands sujets commela canicule, ..."Intervenant Dr Françoise LALANDE, Inspectrice générale <strong>des</strong> affaires sociales, IGASModération. Nicolas CRESTEL, reédacteur en chef HOSPIMEDIAD 5 Avancées scientifiques en Risques & Qualité : thème 1Une science de la qualité / sécurité existe, ne passons pas à coté d'elle. De nombreux ateliers <strong>des</strong> <strong>JIQHS</strong> en témoignent. Ildevient de plus en plus dangereux de fonder nos décisions sur <strong>des</strong> représentations erronées, sur <strong>des</strong> croyances qui se sontdéveloppées dans un système de santé ancien qui n'a plus rien à voir avec celui dans lequel nous opérons aujourd'hui : innovant,collaboratif, connecté. Ce type d'atelier Découverte n'a pas pour but de faire le tour de la science QGR et de signaler aux expertsles dernières avancées scientifiques de l'année. Il a pour but de diffuser <strong>des</strong> notions scientifiques, <strong>des</strong> concepts, <strong>des</strong> approchesqui deviennent incontournables. Ou de tenter de poser scientifiquement <strong>des</strong> questions qu'on passe trop sous silence.IntervenantIntervenantD 6Comment l'organistion <strong>des</strong> services et le mode de management ont-ils un impact sur le suivi <strong>des</strong> recommandations ?(projet Théorem)La Culture sécurité, qu'est-ce que c'est ?Dr QUENON Jean-Luc, CCECQAArticle dans Gestion Hospitalière : l'hôpital malade de ses médicamentsPESTY François, pharmacien, expert du circuit du médicament, Consultant ITGQualité sur le web (en cours)www.platines.fr, la base de données totalement revue en 2010 et ses usages au service de la qualitéwww.santepratique.fr, accompagner le patient sans substituer aux professionnels de santé : une révolution par le web ?Sous réserveNouveau : une base de données QGR au service <strong>des</strong> représen tants <strong>des</strong> usagers : et si les professionnels s'en servaientaussi ? Sous réserveEspace Usagers du système de santé, sur le site web du ministère<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


D 7La qualité en télé-santé« Nous sommes à un moment singulier. L’informatique, l’e-santé pénètrent « partout ». Nous modifions notre système de santéavec l’introduction de bouleversement en termes de gouvernance. Des projets de réseaux ou de pôles de Santé se multiplientdans toutes les régions et pour toutes les pathologies. Ils ont pour objectif principal de faciliter la communication et la coordinationentre <strong>des</strong> professionnels de santé, ou du domaine social, exerçant auprès d’une population. Des projets de Dossier patient etGestion de la connaissance accompagnent ces organisations et établissements de santéLa production de soins, la prévention sanitaire, l’enseignement et la recherche médicale et scientifique, le développementindustriel, la gestion et le contrôle <strong>des</strong> systèmes sanitaires et sociaux, se fondent sur la disponibilité au moment voulu, à l'endroitprécis d'une information fiable pour les seuls opérateurs habilités.Et nous percevons une évolution profonde de notre environnement informationnel, avec, dans le même temps, une difficulté ànous le représenter. Ces Difficultés sont aggravées par la rupture que provoquent les technologies de l’information comme l’InterneOr, les technologies traitent aussi de flux financiers (paiement d’actes, feuille de soins électronique,...) au sein de réseaux qui, par1. existence de dispositifs de piratage en libre service sur l'Internet,2. atteinte du patrimoine informationnel de l’établissement3. virus transmis en pièce jointe dans les messageries,4. saturation <strong>des</strong> systèmes par l’envoi de messages répétés,5. usurpation d’identité aisée,…IntervenantIntervenantIntervenantD 8IntervenantDr Pierre Simon, coauteur du rapport sur "La place de la télémédecine dans l'organisation <strong>des</strong> soins"Dr KLEINBREL LineLEROUX Vincent, Professeur Ecole Centrale de Paris, Dr en santé publique"Lean Management" : révolution ou effet de mode ? Exemples pratiquesGRANIER Nicolas, GE Healthcare<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010


D 9D 10D 11IntervenantIntervenantLes Séances DécouverteMardi 30 novembre de 13h45 à 14h40Restitution <strong>des</strong> ateliers du matinRéseaux de santé : la qualité en directRisques et qualité <strong>des</strong> technologies innovantesLe défi QGR <strong>des</strong> technologies innovantesBERTRAND Eric, GR Hôpital Lariboisière, 92, animateur du réseau Comm'HitLa mise en œuvre de l'innovation technologiqueBERTRAND-BARAT Josselyne, CHRU de BordeauxD 12 Avancées scientifiques en Risques et Qualité : thème 2Modération Gilbert MOUNIER, SoFGRESTémoin Julie Le Cardinal, Ecole Centrale de Paris, GIM'SThèse Ecole Centrale de ParisIntervenant En coursThèse Ecole Centrale de ParisIntervenant En coursD 13Restitution <strong>des</strong> posters primés et nominésD 14 La non qualité se dissout-elle dans l’information au grand public ?Le besoin d'information tant en matière de qualité que de non qualité, un besoin de consommateur, mais aussi decitoyen et d'être humain. Communiquer plus et mieux <strong>des</strong> ES vers les usagers.IntervenantIntervenantFrançois Malye Le PointLa communication publique sur la qualité de l'offre de soins : enjeu technique, enjeu politique ? L'exemple étranger(NHS Choice, autres)PEJU Nicolas, ARS Ile de FranceD 15 Avancées scientifques en Risques & Qualité : thème 3Qualité et Santé publique ? Enjeux techniques, enjeux politiques ?Les démarches qualité étendues sur un territoire de santé, enjeu de santé publique !<strong>Programme</strong> et <strong>Liste</strong> <strong>des</strong> <strong>Intervenants</strong> 12 èmes <strong>JIQHS</strong> Version au 14/10/2010

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