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CCED proces verbal 14 décembre 2011 - Conseil scolaire ...

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4. Politiques présentées au <strong>Conseil</strong> en 2 e lecture - à revoirLe surintendant fait part que les politiques suivantes ont été présentées au <strong>Conseil</strong> en 2 e lecture maisnécessitent une consultation auprès du service des Ressources humaines car elles ciblent aussi lesemployés du <strong>Conseil</strong>, de par le fait que ces personnes sont en contact avec les élèves. L=on doit s=assurerque ces politiques sont conformes et respectent la nouvelle Loi sur la santé au travail, de même que lesconventions collectives.Politique 7.012 - Élèves et employés atteints du virus de l=immunodéficience humaine (VIH) et/ou dusyndrome d=immunofévidience acquise (SIDA)Politique 7.013 - Réduction des risques de transmission de maladies contagieusesPolitique 7.036 - Sensibilisation à la présence d=allergènesLa politique 7.027 et sa procédure administrative - Contrôle de la pédiculose (poux et lentes) sera aussirevue.Suite aux consultations avec le service des Ressources humaines, les modifications, s=il y a lieu, pourrontêtre présentées au Comité à sa réunion de janvier. Par la suite, les politiques pourront être présentées au<strong>Conseil</strong> pour approbation en 3 e lecture à la dernière réunion du mois de janvier.5. Article 23 - Centre Glengarda - mise à jourLe surintendant donne une mise à jour des préoccupations soulevées par notre <strong>Conseil</strong> lors d=une rencontreavec le Comité de travail sous la tutelle de l=hôpital de Windsor. Ce comité a pour mandat de développerun plan basé sur leur modèle conceptuel pour la livraison de services. Il informe les membres que les défisse situent au niveau des classes, que le programme n=affecterait pas le nôtre mais plutôt la transition quis=enchaîne à l=intérieur de cet organisme et leurs partenaires. Parmi les préoccupations soulevées, lalivraison des services en français en tout temps est l=une qui est prioritaire dans le cadre de larestructuration, y compris à l=intérieur des services connexes et supplémentaires fournis par autres agences.Par ailleurs, il fait part que le Centre Glengarda a adopté un fonctionnement faisant en sorte d=établir unsystème de thérapie ou d=intervention sur place dans un cycle de rotation de 6 mois, que l=élève soit prêt ounon à retourner à son école d=origine.Il ajoute de plus que l=on doit développer la capacité de l=équipe de transition à travailler à la réintégrationde nos élèves dans nos écoles, à bâtir la capacité du personnel enseignant et d=appui et à formeradéquatement les équipes-écoles pour assurer une transition fluide et réussie de l=élève. Des discussionsseront entamées avec le secteur de l=enfance en difficulté du ministère de l=Éducation car ce qui estproposé nécessiterait des modifications à notre structure actuelle pour l=Article 23. Aucun organisme nesouhaite abandonner le programme de l=Article 23 existant, sinon le financement s=éteindra. Il estnécessaire de se pencher sur le défi d=héberger ce programme au Centre Glengarda, qui ne peutprésentement livrer tous les services en français, ou dans l=une de nos installations <strong>scolaire</strong>s lesquelles nesont pas adéquatement équipées pour ce programme.Lors de la rencontre, il a été exprimé que la ville de Windsor et le comté d=Essex sont désignés pour lesservices en français. Les membres du Comité de travail ont été réceptifs aux préoccupations soulevées etl=on verra dans l=élaboration du plan si les besoins d=encadrement seront adressés.Francine Ringuette, directrice des services d=appui à l=élève fait part qu=elle se rendra prochainement auCentre Glengarda afin de partager les inquiétudes relatives à la ré-intégration de certains élèves après 6mois, même si ceux-ci ne sont pas prêts. Elle donne comme exemple le cas difficile d=un élève qui revienten janvier. L=on reconnaît toutefois que l=élève ne puisse rester dans l=agence de façon indéfinie. Si l=élèvea besoin de traitement le Centre Glengarda est d=accord, mais il n=existe pas de solution présentement.D=autre part en ce qui a trait à la question du français : lorsque l=éducateur francophone est absent, il estremplacé par un éducateur anglophone car les services connexes offerts par les agences locales ne sont pasdu tout offert en français. Lorsqu=on appelle l=équipe d=urgence, tout se fait en anglais car il n=y a pas defrancophones au sein des agences. Il n=y a pas d=équivalence de services en français de la part des agences2


3anglophones pour les francophones; cela est la réalité du milieu, mis à part la travailleuse sociale.Il serait fort souhaitable d=avoir une classe, lors de la construction d=une école, qui permettrait l=équivalencedans la livraison de services. Lorsque le Centre Glengarda sera fusionné avec le Windsor RegionalHospital, il y aura une classe francophone dans un organisme anglophone avec des services en anglais.Le président Joseph Bisnaire mentionne qu=auparavant il y avait des classes de comportement dédiées à cesélèves, mais maintenant les élèves sont intégrés dans les écoles. Il s=informe si les parents ont exprimé desinquiétudes face au programme, à l=aspect du manque de services en français et du milieu anglophone danslequel les élèves doivent vivre. Il s=enquiert s=il ne serait pas préférable d=héberger les enfants dans nosécoles, avec des services connexes en français auxquels les enfants ont droit. Il demande de plus si unedate a été fixée pour remédier au problème.Francine Ringuette partage qu=il se peut que les parents ne soient pas au courant de la proportion élevée deservices fournis en anglais. Elle cite le cas avec une famille francophone où l=on a constaté lors de laré-intégration de l=élève à l=école que son anglais était beaucoup plus fort que le français. Elle suggère quesi l=on ne peut pas avoir l=équivalence de services dans nos écoles, il faudrait alors avoir un deuxièmeéducateur francophone pour remplacer celui qui s=absente. Elle ajoute de plus que la grandeur de la salle declasse dédiée à nos élèves n=est que le quart d=une salle de classe régulière, là aussi il serait nécessaired=avoir l=équivalence.Le surintendant fait part, en ce qui a trait à l=échéancier pour la complétion de la restructuration, que l=onciblerait de façon non-formelle autour du 1 er avril 2012. Le Comité de travail a encore plusieurs sujets surlesquels se pencher d=ici là. La priorité est de trouver un mécanisme pour la livraison des services enfrançais. Le Centre Glengarda souhaiterait élargir le programme, mais la liste d=attente a présentement étémise en suspend. Alors pour l=intégration de nouveaux élèves, il faut s=assurer que les services en françaissoient disponibles.Au sujet de l=hébergement des élèves, il ajoute que l=on doit continuer à revendiquer auprès des agencespour la mise en place et l=offre de services en français, vu la désignation pour les services à Windsor etEssex. Pour l=instant l=on se concentre sur ce qui est offert au Centre Glengarda.Joseph Bisnaire comprend que l=on veuille le programme de l=Article 23, mais demande s=il est vraimentréaliste de croire que cette institution sera capable d=offrir des services équivalents tel que nécessaire pournos élèves, c=est-à-dire s=il y aura un changement suffisamment significatif pour que les élèves puissentperformer en français dans des locaux adéquats. Devant la présente situation, il est difficile de voir qu=ellepuisse être remédiée immédiatement.Le surintendant mentionne qu=en faisant l=analyse des coûts financiers associés à la création d=une structurecomparable à l=intérieur de nos installations <strong>scolaire</strong>s, il s=agirait de centaines de milliers de dollars quenous n=avons pas présentement. L=on partagera avec les ministères de l=Éducation et de l=Enfance et lajeunesse que le financement accordé en relation avec les articles 23 de langue française doit garantir queles servies seront livrés en français.Lors des discussions, il sera mention de ce qui s=avère nécessaire de recevoir pour le maintien duprogramme de l=Article 23. Par exemple, le déménagement à un espace physique plus grand pouraccommoder notre programmation. Ensuite, voir comment les équipes d=intervention donneront desservices plus élargis en français. Ils comprennent que les services actuels sont inadéquats et souhaitentexplorer enhanced services in French; mais nous souhaitons des services complets.Joseph Bisnaire fait part que sans vouloir déresponsabiliser cette institution à remplir ses responsabilitésenvers la communauté francophone, il note que cela prend toujours énormément de temps pour que cesagences reconnaissent les besoins de services en français. Il demande s=il y aurait lieu d=écrire une lettreaux ministères responsables faisant état de nos préoccupations pour aider à faire avancer le dossier.


Le surintendant suggère que l=on s=en tienne pour le moment aux discussions avec le Comité de travail,voir ce qui nous est proposé, et si cela ne correspond pas à nos besoins, poursuivre auprès d=autresinstances. Dans un deuxième temps, une lettre serait à considérer.Norman Conkey, représentant du Thames Valley Children Centre, observe par rapport à la coordination dela transition de l=élève, qu=il semblerait que l=équipe de transition n=examine pas vraiment si les stratégiesfonctionnent à l=école et que l=école de l=élève ne s=implique pas suffisamment pendant la périoded=hébergement de l=élève. Il suggère que l=école devrait s=informer des progrès de l=élève sur une basemensuelle auprès du Centre Glengarda et vérifier si l=horaire est tel que celui de l=école. Il devrait y avoirplus de contact entre l=école et le Centre afin d=assurer que les services en français se poursuivent lors del=absence de l=éducateur. Puis examiner ensemble quels sont les points sensibles à retenir pour que laré-intégration de l=élève soit réussie.Francine Ringuette précise que la transition des élèves du Centre Glengarda à l=école se fait sur unepériode de 3 semaines à 1 mois, moment auquel l=élève est considéré comme étant complètement intégré etla responsabilité devient celle de l=école. Les éducateurs du Centre viennent une demi journée ou deux foisla semaine et après cette période, l=élève est entièrement notre responsabilité. Le Centre manque depersonnel francophone, donc l=éducateur qui œuvre auprès des élèves quitte le Centre pour venir à l=écoleet, pendant ce temps, il est remplacé par un éducateur anglophone.Elle mentionne de plus que, depuis cette année, la moyenne de temps où l=enfant est hébergé au Centre estde six mois. Avant cela pouvait être jusqu=à deux ans selon les besoins. Après 6 mois, l=élève est ré-intégréà l=école, qu=il soit prêt ou non pour cela. Certains enfants ont besoin d=une période plus longue, doncdans ce cas, l=élève est référé à l=agence Maryvale où tous les services ne sont qu=en anglais.Le surintendant ajoute qu=à l=agence Maryvale, il y a des lits pour des francophones, par contre aucunservice en français n=y est offert.Le président note la complexité de la situation. Il remercie l=administration de la mise à jour pertinente.6. Poste de leader en santé mentale - mise à jourLe surintendant informe le Comité à propos du récent affichage pour le poste de leader en santé mentale.La nouvelle orientation donnée serait un chef superviseur avec maîtrise et/ou doctorat en travail social,étant donné la difficulté de recruter un psychologue de langue française lors du dernier affichage. Ledeuxième affichage est sorti le 12 décembre et les mises en candidature se termineront le 19 décembreprochain. Nous avons espoir de recruter un candidat ou une candidate possédant les compétences requises.Le président s=enquiert au sujet du niveau de qualification en psychologie dans l=instance du premieraffichage.Paul Levac fait part que l=on ciblait les candidats possédant une maîtrise et ayant déjà travailler auprèsd=enfants. Toutefois aucune demande n=a été reçue. Plusieurs conseils <strong>scolaire</strong>s de langue française ont cedéfi, incluant ceux situés dans les centres à plus forte densité de population.Il est confirmé que le deuxième affichage de ce poste est à l=externe, bien que les employés du <strong>Conseil</strong>possédant les compétences requises puissent aussi postuler.7. Retour sur la journée pédagogique du 18 novembre <strong>2011</strong> - formation des éducatricesFrancine Ringuette, directrice des Services d=appui à l=élève, dresse un portrait des activités de la journéepédagogique tenue le 18 novembre dernier. La formation s=est déroulée sous forme de carrousel incluantdes ateliers sur des sujets pertinents tels que la santé mentale et autres. Des représentants des servicescliniques, pédagogiques et de l=enfance en difficulté ont présenté les ateliers. Des rétroactions très positivesont été reçues toutefois pour certains ateliers on aurait souhaité plus de temps.4


Elle ajoute que lors de la journée pédagogique en février, deux périodes de 75 minutes chacune, soit unedemi-journée, est réservée pour adresser le domaine de la santé mentale plus amplement ainsi que celui dela différenciation.Joseph Bisnaire s=informe à propos de commentaires reçus au sujet du niveau de français des éducatrices.Paul Levac fait part que l=administration se penche présentement sur l=élaboration d=un programme pourtous les employés visant l=amélioration des habiletés en français.8. AutresSans objet.9. Information- LD Edge Newsletters, novembre, décembre/janvier- Réseau franco-santé du Sud de l=Ontario- Sondage <strong>2011</strong> de la Table provinciale francophone pour la personne handicapée de l=Ontario- Copie d=une lettre au Bureau de santé de Windsor-Essex- Copie d=une lettre au ministère de l=Éducation- Lettres - retraitée du Bureau de santé de Windsor-Essex10. Prochaine rencontre du comitéÉtant donné le court lapse de temps et les vacances du temps des fêtes, il est convenu de reporter laprochaine rencontre du <strong>CCED</strong> au mercredi 18 janvier 2012, 9h30, par vidéoconférence.11. Levée de la séanceL=ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 11h50.Le président remercie les membres de leur présence depuis le début de l=année <strong>scolaire</strong> et souhaite à tousun très Joyeux Noël et une bonne et heureuse année 2012.5

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