Farmers’ ExperiencesL'absence de travail du sol permet d'économiser dutemps, du carburant et de semer plus de surface"Si je n'avais pas employé cette technique,je n'aurais pas pu m'occuper de l’augmentationde superficie pour essayer de rendrele travail plus rentable", indique Din Zwar,Wirrabara.C'est un voisin qui l'a encouragé à essayer le semis directdès les années 80. A la moitié du travail d'un champ, uncertain mois de mars, ils décidèrent de sauter le pas et depasser au semis direct sur le reste de la superficie. Aumoment de la récolte, ils n'ont pas vu la différence.Ne pas travailler le sol est plus rentableSon collègue, Russel Zwar, est d'avis que cette technique estplus rentable qu'un travail classique, surtout grâce au faitque le semis économise du temps et préserve la structuredu sol. Nous pouvons effectuer les récoltes tôt et les termineravant qu'elles soient trop humides. Les champs sontdevenus plus drainants et sont bien plus praticables quandil a plu. Nous pouvons y pénétrer plus tôt et pluslongtemps", indique-t-il. Le <strong>Seed</strong> <strong>Hawk</strong> positionne avecprécision les semences. Don et Russell ont essayé plusieurssemoirs avec des résultats divers. Ils viennent d'acheter un<strong>Seed</strong> <strong>Hawk</strong>."Nous voulions cultiver plus de colza et nous avons penséque le <strong>Seed</strong> <strong>Hawk</strong> serait plus avantageux et plus fiable. Laculture de cette année est en terre depuis une semaine etsort plus épaisse que jamais, elle a pourtant été semée à unecadence plus lente".Moins d'érosionLe système sans travail du sol présente quantitéd'avantages. Ces dernières années, ils ont réduit les dosesd’azote car le système semble devenir plus autosuffisant.Le coût des produits chimiques est marginalement plusélevé, "mais c'est peu de chose comparé aux dommagescausés au sol par un travail classique qu’il faut alors réparer"."Le risque d'érosion a virtuellement disparu. Dans lespentes, nous trouvons, qu'avec un semis direct et uneprotection du sol par les résidus, que même de fortespluies ne causent pratiquement pas d'érosion. Notre solest un peu plus friable et sa structure s'améliore tout letemps", explique Don.Des économies sensibles de carburantLes Zwar ont observé une économie notable de carburantdepuis qu'ils ne travaillent plus le sol."Cette année, nous avons un semoir pneumatique plusgrand, tiré par le même tracteur et nous utilisons moins decarburant que d'habitude. Pas seulement parce que nouseffectuons moins de passages, mais aussi parce que c'estplus facile de se déplacer sur le terrain", explique Russell.LES FAITSNom: Don et Russel Zwar Lieu: Southern FlindersRange, Murraytown, AustralieSurface: 1000 ha de terre agricolePluviosité: 550 mm/an Rotation: Céréale, foin,céréale, colza Animaux: Moutons18
Toujours une idée d'avanceLe <strong>Seed</strong> <strong>Hawk</strong> de Väderstad agagné le prix du meilleurnouvel équipement agricole ausalon Henty Machinery FieldDays en Australie. Ce prixremporté sur un des continentsles plus secs au monde est lapreuve que le <strong>Seed</strong>hawk est unsemoir d’exception."Compact, manœuvrable et bourréd’avantages techniques de premierplan".Près de 50 000 visiteurs ont parcourude très longues distances pourrencontrer les 700 à <strong>800</strong> exposantsdu salon australien présentantleurs équipements techniques lesplus récents. Le prix a été remis àAmbrose Doolan propiétaire d’un<strong>Seed</strong> <strong>Hawk</strong> Väderstad utilisé biensûr en semis direct sur son exploitationmais aussi en entreprise surdes fermes voisines.Le jury était composé d'agriculteursde la région. Lors de saprésentation du <strong>Seed</strong> <strong>Hawk</strong> 600CVäderstad, Ambrose Doolan a résuméson idée en une phrase :19