MAGAZINE ACADEMIE JACQUES LEVINET NOVEMBRE 2015

PERSONNELLE MODERNE
IAZ MARTINEZ
e, mais quel est la différence?
ents techniques sont basés sur une didactique appliquée, une
apter devant des attaquants de divers gabarit, car les
lus faible physiquement ou mentalement.
iques, simples, directes et anatomiquement précises basées sur
er à être très précis sur les points les plus vulnérables afin de
xations, des étranglements, etc.. Tout ce cursus technique est
quelle est la philosophie du KAISENDO?
fficacité dans des conditions réelles, la supériorité réside
ques et combat ou de lutte. Concrètement le Dojo devrait être
oublié. Pour la grande majorité la pratique se résume au seul
ec des fioritures inadéquates face à une agression de la rue
rcices techniques ou ses Katas, sous une harmonie cadencée et
ans la rue est discutable. Dans le dojo le pratiquant se trouve
anger apparent alors qu’il peut réaliser de temps en temps de
ue les règles sont distinctes que dans le Dojo, les rues sont
de et percutant pour se sortir d’affaire. Lorsqu’on doit se
traliser et pour battre l’agresseur.
vrait arrêter dans un instant l’attaquant dans sa tentative
vrait être direct et rapide sans perte de temps superflu.
relâchée et vigilante à la fois avec une respiration contrôlée.
le.
MAG-AJL:
e nous nous trouvons face à une situation réelle de danger, de
ponse appropriée en respect avec les normes et la législation.
les limites fixées par la loi.
e Kaisendo sans requis d’arts martiaux ?
SIAK
porte quelle personne, bien que son apprentissage soit plus lent sans être moins efficace par rapport à
me nous apprenons au judoka les techniques de frappe du karaté, de Taekwondo ou de boxe.
s, les luxations et les immobilisations du judo ou du jiu jitsu.
al Autodéfense KAISENDO