Syntax Sportbroschuere 2014_Franz

Syntax – pour le sport,
pour la jeunesse

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Le sport – performance,
passion et école de vie
Chers amis sportifs,
chers partenaires commerciaux,
En 2014, Syntax fête son 30 e anniversaire – nous y
trouvons une bonne raison et un moment idéal pour
renouveler notre effort de sponsoring sportif. Ainsi,
le partenariat conclu l’an passé avec Swiss Olympic
prend cette année toute son envergure. Nous atteignons
là en quelque sorte l’Olympe du sport suisse et
nous avons la ferme intention d’y déployer également
tout notre élan et toute notre passion. Notre collaboration
avec la Fondation de l’Aide Sportive Suisse,
que nous soutenons dès cette année en qualité de
donateur, s’inscrit dans un cadre similaire.
Nous
restons dans
la course
Mais ces activités au niveau national ne nous font
bien sûr pas oublier ou négliger notre engagement
pour la jeunesse et le sport dans les régions. Nous
restons ici largement présents, car nous avons la certitude,
en ex-sportif amateur passionné et ex-sportive
d’élite, que le sport constitue un excellent guide dans
l’existence. Nous sommes toujours très heureux de
pouvoir soutenir et accompagner des jeunes gens
dans l’évolution qui en fera des piliers prometteurs
et sains de notre société. Nous nous portons donc
garants de l’importance prioritaire, actuelle et future,
du sport et des valeurs qui lui sont associées au sein
de Syntax.
Dans le sport, la performance, la passion, la détermination,
la qualité, la ténacité et des valeurs éthiques
exemplaires sont autant d’éléments indispensables.
Pour rester dans la course, il faut donner le maximum,
mais sans sacrifi er le plaisir. Il en va de même
pour nos activités commerciales: nous tenons à rester
dans le peloton de tête et à convaincre nos clients
et partenaires, jour après jour, grâce à des performances,
une qualité et des résultats de haut niveau.
Les prestations de notre entreprise ainsi que notre
engagement en faveur du sport nous permettent de
gérer et de renforcer la marque Syntax de manière
ciblée, sur deux plans distincts. Nous nous réjouissons
à l’idée de continuer de faire route avec vous
dans cet esprit.
Peter Kuratli
Président du conseil d’administration et CEO
Syntax Traductions SA
Jeannine Kuratli
CFO, membre de la direction d’entreprise
Syntax Traductions SA

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La Suisse nation sportive –
réalité ou illusion?
Les nombreux succès internationaux des sportives
et sportifs suisses donnent à penser que la
Suisse est une nation sportive. Mais cette image
résiste-t-elle à un examen plus approfondi, dans
les coulisses, dans la réalité?
Janvier 2014, Melbourne: Stanislas Wawrinka fait
sensation en remportant l’Open d’Australie, le premier
tournoi du Grand Chelem de l’année. Du coup, toute
la Suisse est folle de tennis et partage la fi èvre de la
victoire. Une semaine plus tard, Novi Sad: la Suisse
prend le meilleur sur la Serbie, fi naliste de l’an dernier
en Coupe Davis. Toute la Suisse rêve déjà de la fi nale,
qu’il s’agit cette fois d’atteindre et de gagner. Février
2014, Sotchi: les sportifs suisses décrochent six
médailles d’or aux Jeux olympiques d’hiver, le pays
occupe fi nalement le septième rang du classement
des médailles. Toute la Suisse fête ses héros olympiques
dans l’enthousiasme et la fi erté. Eté 2014, Brésil:
l’équipe nationale suisse, numéro 6 du classement
de la Fifa, compte parmi l’élite mondiale du football.
Et leurs matchs bénéfi cient ainsi d’un engouement
fantastique auprès de la population suisse.
Le sport de pointe
fait fi gure
de parent pauvre
au sein de la
Suisse offi cielle
La passion collective soulevée dans notre pays par
les prouesses sportives semble confi rmer que la
Suisse est une nation sportive de talent. Les succès
des sportives et sportifs suisses sont impressionnants.
Ils se mêlent aux meilleurs éléments mondiaux
dans de nombreuses disciplines et accaparent
quantité de titres et de trophées. Mais cette impression
est trompeuse. Un examen sérieux révèle que la
Suisse n’a rien d’une authentique nation sportive; son
quotidien sportif est moins enivrant. Et on doit qualifi
er de cyniques les discours pathétiques de ceux qui
accourent sous les projecteurs pour partager la gloire
de médailles auxquelles ils n’ont guère contribué et
qui battent en retraite devant les préoccupations des
sportifs au lieu de s’engager résolument dans l’intérêt
du sport. Cela vaut aussi bien pour des fonctionnaires
surmenés que pour des politiciens en mal de
reconnaissance.
La réalité est celle-ci: contrairement à la plupart des
pays voisins ou scandinaves, notamment, le sport
et surtout le sport de pointe font fi gure de parents
pauvres au sein de la Suisse offi cielle. Ils ne jouissent
que d’une importance et d’une estime bien modestes
dans le quotidien politique, social ou économique
– excepté, justement, quand il s’agit de fêter des
succès et des médailles. La Suisse se réclame certes
du principe de la performance, et celui-ci s’applique
dans de nombreux domaines. Mais, paradoxalement,

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il n’est ni accepté ni vécu dans une mesure comparable
en matière de sport.
Les conditions-cadres dont disposent les sportifs
suisses pour se hisser au meilleur niveau international
sont, pour user d’un doux euphémisme, suboptimales.
Ce fait est confi rmé par toute une série de
preuves. Il suffi t d’observer la misère régnant dans les
halles de sport et les stades, où la Suisse, l’un des
pays les plus riches du monde, se distingue encore à
peine du niveau du tiers-monde. Les projets prometteurs
ne bénéfi cient pas de la priorité nécessaire,
peuvent être bloqués presque à loisir ou nécessiter
des phases de réalisation interminables.
On paie plus volontiers
pour des séquelles
plutôt que pour
des investissements
judicieux et préventifs.
Le sport scolaire, une base importante pour le développement
physique des enfants et des jeunes gens,
est de plus en plus limité, voire supprimé. On paie
plus volontiers pour des séquelles plutôt que pour
des investissements judicieux et préventifs. Sans parler
de l’encouragement du sport de compétition, où
l’Etat et ses institutions accumulent un énorme retard.
La formation des entraîneurs et des fonctionnaires
est également négligée dans de nombreuses disciplines
sportives. Enfi n, last but not least, le sponsoring
sportif a aussi connu des temps meilleurs, alors que
des sommes croissantes sont aujourd’hui consacrées
à la culture ou à des projets sociaux. Même les
confortables excédents des loteries détenant une
concession de l’Etat sont attribués de préférence
à ces domaines. A peine 136 des 550 millions de
francs en question bénéfi cient au sport!
Mais comment le sport peut-il rester un point fort
de la Suisse? Quelles sont les origines des succès
remportés, en l’absence d’un système global, réunissant
les écoles, la formation professionnelle et
l’encouragement du sport, mettant à disposition des
infrastructures adéquates et des entraîneurs qualifi
és? Quels sont les piliers du sport suisse? A qui
devons-nous ses victoires et ses places d’honneur?
Les réussites obtenues sont avant tout le fruit du
très dur travail des sportives et sportifs qui acceptent
de gros sacrifi ces pour se consacrer pleinement à
leur sport, leur passion, en fournissant un important
engagement personnel, en temps et en argent.
Le goût de la performance, la détermination et la
ténacité, liés au talent nécessaire, constituent des
conditions indispensables pour s’imposer dans un
contexte aussi compétitif. Le cercle des proches joue
également un rôle majeur – des membres de la famille
aux supporters et donateurs. Dans la plupart des
sports, les parents des jeunes talents doivent fournir
un engagement personnel et fi nancier considérable
pour leur permettre de surmonter les premiers
obstacles.
Plus une carrière sportive se développe, plus les
sponsors gagnent en importance. Mais pour les
grandes entreprises, il paraît souvent peu intéressant
de s’engager pour une cause qui ne se refl ète pas
immédiatement dans les comptes annuels et le bilan.
Certes, il existe quelques projets phares exemplaires
dans le cadre desquels de grandes entreprises
soutiennent généreusement la relève et/ou le sport
d’élite. Et bien sûr, de nombreux autres groupes investissent
des sommes considérables dans le sponsoring
sportif, mais cet effort se limite essentiellement
à quelques disciplines sportives très médiatisées,
surtout à la télévision: la motivation vient ici principalement
de leur aspiration à maximiser l’effet publicitaire,
le rejaillissement positif sur leur propre image, et
moins d’un intérêt et d’un engagement pour la cause
elle-même. La majorité des sports ne disposent en
revanche qu’une faible couverture télévisée et ne
peuvent obtenir qu’une toute petite part du gâteau.
Ce sont donc souvent des entrepreneurs locaux
et régionaux qui jouent le rôle de sponsors, qui
s’engagent en faveur de jeunes sportifs encore peu
connus ou d’associations sportives, qui accompagnent
et soutiennent fi nancièrement des projets et
des initiatives d’encouragement de la relève. Non
seulement ils créent ainsi les conditions nécessaires
aux succès sportifs, mais ils produisent une bonne
partie du ciment social de la Suisse locale et favorisent
ainsi le bon fonctionnement de la société –
même si cela leur vaut des ricanements. Sans ces
moyens, les jeunes talents de toutes les disciplines
sportives et de tous les niveaux de performance
subiraient de fortes restrictions, et l’existence de
quelques manifestations sportives en serait très fortement
compromise.
En dépit de tous les succès sportifs remportés sous
le drapeau suisse, il faut constater que la Suisse
n’est pas une nation sportive à succès – cette image
est illusoire. Les lacunes structurelles dans le tissu
sportif sont tout simplement trop vastes. En fait, la
Suisse est juste une nation abritant un grand nombre
de sportives et sportifs talentueux. «Notre» pays
peut certes être fi er de ces athlètes, mais il ne devrait
pas trop s’en enorgueillir. Car ils ne sont pas le fruit
d’un encouragement systématique et de conditionscadres
appropriées. Ils se sont imposés grâce à leur
classe et à leurs performances personnelles, aidés
par des initiatives privées et par l’effort d’utilité
publique de nombre de gens à qui le sport tient
vraiment à cœur.
Ces diverses lacunes structurelles et ces défi ciences
politiques ne sauraient être compensées par
les efforts pourtant considérables d’institutions (de
droit privé) telles que Swiss Olympic, la Fondation de
l’Aide Sportive Suisse ou différents gymnases sportifs,
les activités bénévoles d’innombrables comités
d’associations et d’entraîneurs ainsi que le soutien
fi nancier de nombreux donateurs et mécènes.
La plupart des médias, électroniques ou imprimés,
ont certes récemment amélioré la qualité de leurs travaux
consacrés au sport. Mais ici aussi, l’image n’est
pas vraiment nette. On célèbre ainsi également les
succès les plus remarquables, surtout dans quelques
sports bien précis, qui monopolisent la majeure partie
de la présence médiatique. Et on met également
l’accent sur les principaux sportifs qui collectionnent
les titres et les médailles. Mais les médias ne parviennent
pas à susciter une large prise de conscience
générale en faveur du sport sous toutes ses formes.

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Deux partenaires qui
vont bien ensemble
Syntax
et Swiss
Olympic
Syntax Traductions rime avec le sport depuis longtemps
déjà. Et depuis 2013, Syntax est aussi partenaire
offi ciel de Swiss Olympic. L’association faîtière
du sport suisse promeut le sport de pointe, soutient
les associations sportives suisses et ancre les valeurs
olympiques dans la société suisse sur mandat du
Comité international olympique (CIO). Le nouveau
partenariat complète et enrichit l’engagement sportif
de Syntax. Peter Kuratli, président du conseil
d’administration de Syntax, et Christof Kaufmann,
responsable du département Marketing et Communication
de Swiss Olympic, mettent en lumière les
raisons et le cadre de cette coopération.
Peter Kuratli: Pour nous, le partenariat conclu l’an
passé avec Swiss Olympic résulte d’une parfaite
unité de vue: la devise de Swiss Olympic est en effet
«For the Spirit of Sport». Notre affi nité et notre amour
du sport sont bien connus. On peut se demander
pourquoi nous ne nous sommes pas trouvés plus
tôt...
Christof Kaufmann: Comme toujours dans la vie, il
faut un moment propice. Pour nous, c’était le printemps
passé: de notre côté, les conditions-cadres
étaient alors idéales pour une nouvelle collaboration
dans ce domaine. En tout cas, nous sommes très
heureux et fi ers d’avoir pu conclure cette convention
avec vous.
PK: Pour nous, c’est aussi une grande satisfaction
de pouvoir partager les valeurs olympiques de hautes
performances, de respect et d’amitié à travers ce
partenariat, et de contribuer au développement du
sport suisse de compétition et de masse. D’autre
part, nous avons la certitude de favoriser ainsi également
la visibilité et la notoriété de Syntax.
CK: En effet, les émotions du sport sont notre bien
le plus précieux et celui-ci s’associe à nos partenaires.
Nous vous offrons ainsi une plate-forme à la
fois riche d’émotions et crédible pour un engagement
très effi cace, avec de nombreuses possibilités de
positionner votre entreprise par rapport au sport.
Ceci d’autant plus lors d’événements sportifs majeurs
comme les Jeux olympiques d’hiver 2014 à
Sotchi.
PK: Les Jeux de Sotchi ont en fait dépassé la plupart
des espoirs placés en eux, surtout quand on pense
à tout le scepticisme exprimé avant la manifestation.
Nos sportives et sportifs ont une nouvelle fois donné
à la Suisse un trésor d’émotions fortes grâce à leurs
fantastiques performances.
CK: Le chef de notre mission olympique, Gian Gilli, a
également parlé d’une très bonne année olympique,
mais il a aussi relevé que nous aurions pu faire mieux
encore. Certes, il y a des athlètes blessés et déçus.
Mais ceux-ci doivent rester conscients du fait que
tous les champions traversent des passes diffi ciles –
surmonter ces épreuves les rend plus forts.
PK: La vitrine médiatique du sport de pointe, dont
notre marque Syntax peut également bénéfi cier, est
une chose. Un autre aspect qui compte tout autant
pour nous réside dans le fait que Swiss Olympic est
très attachée à l’encouragement de la relève – tout
comme nous, qui nous engageons en faveur de
jeunes gens destinés à devenir des membres sains
et performants de la société de demain. Et bien sûr,
nous apprécions à sa juste valeur les efforts déployés
par Swiss Olympic pour ancrer le sport dans la société
et la faire ainsi profi ter d’un supplément de qualité
de vie et de santé, en encourageant la population à
exercer des activités sportives régulières.
CK: Merci pour les fl eurs, mais ici, je dois vous
retourner le compliment. Syntax jouit d’une excellente
réputation de prestataire linguistique de haut
niveau, notamment dans les cercles sportifs. En tant
qu’institution opérant au niveau national dans un pays
multilingue, nous nous estimons très heureux de
pouvoir compter sur un partenaire qui possède ces
compétences et cette expérience spécifi ques.
PK: Dans nos activités commerciales, nous misons
en fait sur les mêmes facteurs de succès que dans
le sport: la quête de la qualité, le goût de la performance,
l’assiduité, la passion et la ténacité ainsi que
le respect, la loyauté et une éthique irréprochable
sont indispensables. Nos activités exclusives pour
Swiss Olympic constituent ainsi un nouveau label de
qualité. Le logo de Swiss Olympic n’apporte pas une
simple amélioration optique de nos instruments de
communication – il constitue aussi une promesse de
prestations pour nos clients actuels et futurs.
CK: Donc une situation win-win classique, comme le
dit si bien l’adage. Espérons que les bonnes performances
et le fair-play de nos sportives et sportifs
continueront de contribuer à la fascination du sport et
de l’esprit olympique.
www.swissolympic.ch

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Afi n qu’aucun sportif de
talent n’échoue devant
un obstacle fi nancier
Fondation
de l’Aide
Sportive
Suisse
Depuis plus de 40 ans, l’Aide sportive suisse
soutient les athlètes suisses dans leur ascension
vers l’élite mondiale. Elle met un accent
particulier sur l’âge de la relève et les sports
marginaux, où la présence médiatique, les
grands sponsors et les prix importants sont
absents. L’Aide sportive suisse aide ici les
talents et leurs familles à surmonter les défis
financiers.
La Fondation de l’Aide Sportive Suisse est une
organisation à but non lucratif, d’utilité publique et
non subventionnée, dont le siège est à Ittigen près
de Berne. Avec Swiss Olympic et l’Offi ce fédéral du
sport, elle compte parmi les principales organisations
du sport suisse. Très appréciée pour sa gestion
responsable et transparente des fonds, l’Aide sportive
consacre quelque 2,8 millions de francs par an à
l’encouragement de plus de 500 espoirs suisses du
sport de compétition. Les fonds sont versés directement
sous forme d’aide individuelle, de parrainages
et de distinctions à des athlètes de talent répartis sur
plus de 50 spécialités sportives.
Syntax entre dans la course avec Semyel Bissig
A titre de donateur de l’Aide sportive suisse, Syntax
Traductions SA apporte une contribution importante
à l’encouragement des talents en route vers les
sommets de leur sport. Une partie des dons est
directement consacrée au parrainage d’un athlète.
Syntax a opté pour l’encouragement ciblé du skieur
alpin Semyel Bissig. Le jeune homme de Nidwald âgé
de 16 ans est l’un des talents suisses du ski les plus
prometteurs et a déjà pu remporter de nombreux
succès, notamment en slalom géant, sur les scènes
internationale et nationale. On peut consulter le profi l
de Semyel sur le site web de la Fondation de l’Aide
Sportive Suisse www.aidesportive.ch.

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Avec Syntax de la
base au sommet
L’engagement
de Syntax
dans le tennis
Interclub
LNA
Syntax
Open
Syntax Junior Cup
Ecole des talents Syntax TZH
Interclub (IC), niveau club
jusqu’en LNB
Equipes juniors régionales
Bref survol des principaux projets de tennis
de Syntax
Pour les débutants en compétition: Syntax est le
sponsor titre de la Syntax Junior Cup de Swiss
Tennis. Dans le cadre de cette série de tournois, les
nouveaux venus classés R7 au maximum peuvent
acquérir de précieuses expériences. Plus de 40 tournois
Future de catégories U10 et U12, dont les points
comptent pour le classement général, se déroulent
ainsi dans tout le pays. A la fi n de la saison, les huit
joueuses et joueurs les mieux classés de chaque
catégorie se disputent le Masters national de Swiss
Tennis à Bienne.
www.swisstennis.ch
Promotion des juniors, niveau club
Pour les talents de Suisse centrale: Syntax soutient la
fédération régionale Tennis Zentralschweiz TEZ en
qualité de sponsor principal. Il s’agit ici de réunir les
juniors les plus talentueux de la région et de leur offrir
des conditions optimales pour favoriser leur épanouissement.
www.tenniszentralschweiz.ch
Tous les projets d’encouragement de la jeunesse
et de la relève de Syntax poursuivent
un objectif commun: fournir une contribution
significative au développement de la personnalité
des jeunes gens. Le concept revêt la forme
d’une pyramide d’encouragement, dont la large
base peut donner naissance à la pointe de
demain. Les activités couvrent ici un très vaste
domaine: de l’encouragement des juniors sur le
plan régional au «SyntaxOpen» et à l’Interclubs
de LNA (TC Ried Wollerau) pour les meilleurs
joueurs, en passant par l’«Ecole des talents
Syntax TZH» et la «Syntax Junior Cup» de Swiss
Tennis pour les débutants en compétition. Par
ailleurs, Syntax soutient des personnalités
sportives sélectionnées, établies ou montantes.
Ces porte-drapeaux servent aux jeunes de
motivateurs, de modèles, qui leur donnent des
perspectives sportives.
Pour les talents de la région du Lac de Zurich: Syntax
est le sponsor principal de l’Ecole des talents
Syntax TZH au Centre de tennis de Horgen. Fabian
Rötschi et Philipp Müllner, deux ex-professionnels,
encouragent les jeunes talents avec beaucoup d’élan
et de passion en appliquant un concept qui correspond
précisément à la philosophie de Syntax.
www.tzh.ch
syntax Talentschule
Pour l’élite régionale jusqu’au meilleur niveau national:
ses activités, son expérience, ses infrastructures
et ses personnalités dirigeantes font du TC Ried
Wollerau l’un des principaux centres de tennis de
la région du lac de Zurich/Linth. C’est là notamment
que se rassemble l’élite régionale pour l’Interclubs
de Ligue nationale A. Cela permet aux joueurs
talentueux de toute la région de montrer au public un
tennis du meilleur niveau sans pour autant quitter leur
propre club.
www.tcried.ch
La pointe de la pyramide: le «SyntaxOpen» est un
tournoi de tennis parfaitement établi en Suisse et
qui réunit l’élite nationale et la classe internationale
moyenne des hommes.
www.syntaxopen.ch
syntaxopen

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«J’ai commencé à
jouer chez moi, dans
le salon»
Ecole des
talents Syntax
L’équipe de pros chevronnés de l’Ecole des
talents Syntax TZH au Centre de tennis de
Horgen fournit un excellent travail d’encouragement
de la relève, avec le soutien de Syntax
en tant que sponsor principal. Actuellement,
12 enfants y sont entraînés et suivis intensivement.
Ilias Zimmermann, 13 ans, est classé R3
et occupait en avril 2014 le 806 e rang du classement
de Swiss Tennis.
Ilias, comment es-tu venu au tennis?
Quand j’avais à peu près 5 ans, ma grand-mère m’a
offert une petite raquette de tennis, car elle avait peur
que je me blesse trop vite en jouant au football. J’ai
commencé à jouer chez moi, dans le salon. Cela m’a
permis de découvrir le tennis, et je ne l’ai plus quitté
depuis. Je joue au Tennis Club de Horgen depuis
l’âge de 8 ou 9 ans.
Qu’est-ce qui te plaît particulièrement
dans ce sport?
Je préfère les sports individuels. Contrairement aux
sports d’équipe, on est seul responsable de ses succès
ou de ses échecs. J’ai aussi joué au football, un
temps, mais fi nalement j’ai dû faire un choix. Quand
nous allons en vacances, je joue aussi encore un peu
au golf.
Pourquoi es-tu à l’Ecole des talents de Syntax,
et quelles sont tes forces et tes faiblesses?
C’est vraiment tout simple: j’ai bien joué au tennis,
alors j’ai pu entrer dans l’école. Mon point fort est
certainement le jeu en fond de court. Mon smash est
bon aussi, mon service moins, et la volée, ça dépend
toujours un peu. A part ça, je bouge rapidement et
je peux bien anticiper le jeu. Je dois surtout travailler
la concentration, la patience et la discipline. Je suis
parfois un peu paresseux et je ne bouge pas suffi -
samment.
Quand t’entraînes-tu, à quel rythme et
qu’est-ce que tu préfères dans l’entraînement?
J’ai cinq entraînements de tennis par semaine, soit
huit heures au total. J’aime surtout les cours semiprivés.
On peut se mesurer à quelqu’un, et les entraînements
à deux sont plus amusants que les cours
individuels, où il faut bouger davantage. En plus de
l’entraînement de tennis, nous avons aussi deux
heures par semaine de condition physique et bien sûr
les compétitions.
Quels sont tes objectifs sportifs et qui sont tes
modèles?
J’aimerais un jour devenir joueur professionnel et
pouvoir vivre du tennis. Mais je sais à quel point ce
sera diffi cile. Mes principaux modèles sont les
joueurs suisses de pointe.
A quels tournois participes-tu le plus
volontiers?
Ce que j’aime le mieux, ce sont les tournois en salle.
Je préfère le revêtement Rebound Ace – c’est là que
le rebond de la balle me convient le mieux. Je joue
moins volontiers à l’extérieur; je ne peux pas me concentrer
pleinement car j’ai peur des guêpes.
Quel a été ton plus grand succès jusqu’à
présent et où aimerais-tu vraiment gagner?
Parmi mes meilleurs succès, il y a surtout la victoire
aux championnats suisses junior en double. Et j’ai
une fois atteint les quarts de fi nale en simple. J’ai
aussi remporté un tournoi aux points. En plus, j’ai
pu participer à un tournoi international en Tchéquie.
J’aimerais une fois jouer à l’US Open ou à Wimbledon.
Et gagner.
L’Ecole des talents Syntax TZH réunit le plus tôt
possible les meilleurs juniors de l’école de tennis
de Horgen et leur offre un suivi holistique. De quoi
créer une base solide et assurer un accompagnement
professionnel pour leur avenir sportif. Les directeurs
sportifs Fabian Rötschi et Philipp Müllner,
ex-joueurs professionnels ATP, sont soutenus par
une équipe d’entraîneurs de tennis et de compétition
compétents et expérimentés.
www.tzh.ch
syntax Talentschule

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Un bagage sportif
précieux et des expériences
inoubliables
Syntax
Junior
Cup
En 2013, la Junior Cup de Swiss Tennis avait
lieu pour la troisième fois déjà sous le patronat
de Syntax Traductions. Près de 1600 enfants
ont pris part à cette série de tournois. La
Syntax Junior Cup, la série de tournois d’été
pour juniors la plus suivie de Suisse, a une fois
de plus été fidèle à sa réputation. L’aventure de
Viviane Suffert montre bien les aspects ludiques
que peut revêtir la vie des tournois.
Comme chaque année, le Masters national de
septembre 2013 au Karl-Heinz Kipp National Tennis
Center de Bienne a constitué le temps fort de la saison.
32 enfants de moins de 12 ans s’étaient qualifi és
et se disputaient le premier titre national de leur jeune
carrière. Viviane Suffert, du Tennis Club d’Uitikon (13
ans), qualifi ée au masters d’une saison précédente,
se souvient des événements qui ont fait de sa qualifi -
cation au tournoi fi nal une expérience inoubliable.
«Il me manquait encore 5 points pour la qualifi cation
au masters de la Syntax Junior Cup à Bienne. C’est
pourquoi je me suis inscrite à un tournoi au Valais.
Mon père a eu l’idée de prendre une tente pour
dormir sur place, au cas où je passerais le cap de la
première journée. J’ai gagné, par bonheur, et je me
suis qualifi ée pour la fi nale du lendemain.
Ma première nuit sous la tente a été super sympa.
Après le tennis, j’ai été à la piscine, juste à côté du
terrain de camping. Le programme de la soirée
prévoyait une disco avec pizza. Après la nage et le
tournoi, j’avais une faim de loup, mais le four à pizza
improvisé était totalement débordé. Nous avons dû
tirer des numéros et attendre deux heures notre pizza.
Nous avons passé le temps en jouant au Yahtzee
avec d’autres enfants. Finalement, la pizza sentait
l’huile, elle était immangeable. Mais sur le moment,
nous en avons ri et nous avons vraiment passé de
bons moments dans le camping.
La nuit aussi a été amusante. Nous avions une petite
tente de deux places et le matelas avait une fuite.
Quand je me suis réveillée, j’étais couchée par terre
et il pleuvait fort. Au point que nous avons joué la
fi nale en salle. J’ai gagné 7:6 au troisième set et je me
suis qualifi ée pour le masters. Je repense toujours
avec plaisir à ce week-end. Depuis, je fais chaque
année un tournoi à l’extérieur avec mon père et nous
passons la nuit sur un terrain de camping.»

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19
Au commencement
était le ballon rond
L’engagement
de Syntax
dans le
football
Peter Kuratli, fondateur et président du conseil
d’administration de Syntax, a joué au football
avec passion des décennies durant. Sa ferveur
et son enthousiasme pour ce sport sont restés
intacts. Ainsi, le soutien de jeunes footballeurs
a marqué les débuts de l’histoire du sponsoring
de Syntax.
Syntax encourage et accompagne le projet
d’encouragement de la relève de la Fédération de
football de la région zurichoise FVRZ en qualité
de sponsor et partenaire offi ciel depuis sa fondation,
il y a plus de 14 ans – Syntax en a même été
le tout premier sponsor et partenaire. La FVRZ, qui
compte quelque 45 000 joueuses et joueurs, plus
de 2000 équipes dont 65% d’équipes juniors de 188
associations, est l’une des plus grandes fédérations
sportives régionales du pays. Elle estime que l’une
de ses tâches primordiales consiste à favoriser une
organisation judicieuse des loisirs et à assumer des
responsabilités concrètes. Elle élargit donc constamment
l’encouragement de la jeunesse et de la relève,
avec la formation initiale et continue des entraîneurs,
le suivi et le soutien des juniors de talent et la mise en
œuvre dans les centres d’entraînement ou les centres
de formation régionaux.
www.fvrz.ch
Peter Kuratli a présidé le FC Rüschlikon pendant
11 ans. Puis, après avoir initié la fusion avec le club
voisin, le FC Kilchberg, il a accompagné 10 ans durant
la destinée du nouveau FC Kilchberg-Rüschlikon
en qualité de vice-président. C’est pourquoi Syntax
a été le sponsor principal de l’équipe fanion pendant
plusieurs années et continue aujourd’hui de soutenir
la section junior du FC Kilchberg-Rüschlikon.
www.fckr.ch

20 21
La dimension personnelle
fait la différence
Sponsoring
Après 12 ans de bob comme pousseur et freineur,
Thomas Lamparter a annoncé la fin de sa
carrière active en mars 2014. En dépit de ses
performances impressionnantes, la recherche
de sponsors a toujours constitué pour lui un
dur travail.
Le pousseur Thomas Lamparter a remporté
d’innombrables succès sur les pistes de bob du
monde entier avec différents pilotes, de Martin Annen
à Beat Hefti. Champion du monde et triple champion
d’Europe, médaillé olympique et multiple vainqueur
de la Coupe du monde, il a derrière lui une carrière
des plus brillantes en sport de compétition. Ceci aussi
grâce au soutien de différents sponsors, qui lui ont
permis de pratiquer son sport favori sans contraintes,
tout au long des années.
Thomas Lamparter ne souhaite donc pas se plaindre
de la situation régnant sur le marché suisse du
sponsoring sportif, d’autant que le bobsleigh bénéfi
cie de conditions relativement favorables avec les
sponsors d’équipes. Mais la recherche de sponsors
individuels dans un sport marginal est un dur travail,
qui demande toujours un important engagement
personnel. En outre, la crise fi nancière a rendu la
tâche encore plus ardue récemment, car les entreprises
sont devenues plus réservées en la matière.
Leur philosophie de sponsoring joue ici également
un rôle majeur: «Pour les entreprises qui mesurent
uniquement ou essentiellement la contrepartie de
leur soutien en termes de présence de leur logo
dans la presse ou à la télévision, les sports peu
médiatisés sont évidemment devenus moins attractifs.
Dans cette mesure, les médias exercent ici une
infl uence considérable.»
Lui-même a surtout pu compter sur des sponsors
privés de sa région et de son entourage, avec lesquels
il entretenait des relations particulières sur le
plan personnel. «C’est d’ailleurs aussi par ce biais
qu’a débuté la collaboration avec Syntax. Peter
Kuratli et moi avons fait connaissance plutôt par
hasard. Sur la base de cette relation personnelle et
de points de vue concordants sur le sport, est né
un partenariat de sponsoring dominé par des liens
d’amitié», se souvient le bobeur d’Aarwangen, âgé
maintenant de 36 ans.
Thomas Lamparter estime que l’importance des
relations humaines s’accroît dans le sponsoring. «Il y
a une évolution très nette qui s’éloigne de la simple
présence du logo pour aller vers des plates-formes
ou des événements où j’interviens en qualité de sportif
sponsorisé et où je peux donner à mes parrains un
meilleur accès à mon sport et à ses attraits spécifi
ques.»
Thomas Lamparter souligne que son retrait de la
compétition n’est pas motivé par un manque de moyens
fi nanciers: «C’était simplement le bon moment
pour moi de donner une autre orientation à mon
existence.» Et indépendamment de la fi n de sa propre
carrière, il souhaite que «plus d’entreprises et surtout
de gens conscients de l’importance de la fonction du
sport dans la société investissent davantage dans le
sport, précisément pour renforcer cette fonction. Il
me semble que le potentiel est indéniable en Suisse.»

22 23
«Saviez-vous que…»
… Syntax sponsorise depuis plusieurs années le
tour final de l’Interclubs de LNA? En 2014, Syntax
s’engage à nouveau dans le cadre du «Tour fi nal
Viande Suisse Interclubs de la ligue nationale», soit le
temps fort de la saison pour les meilleures équipes
suisses, qui se déroulera comme l’année dernière sur
les courts du LTC Winterthur les 9 et 10 août 2014.
... Syntax est le partenaire officiel des Swiss
Indoors de Bâle depuis 2005 pour les traductions?
Dans le cadre de cette collaboration, Syntax réalise
tous les travaux de traduction du troisième tournoi en
salle du monde.
… les partenaires de sponsoring de Syntax Marco
Chiudinelli et Michael Lammer restent membres
du noyau de l’équipe suisse de Coupe Davis? Après
les premiers tours contre la Serbie, où Marco et
Michi se sont imposés en double contre le Kazakhstan,
l’équipe est déjà en demi-fi nale de la compétition
de cette année et conserve toutes ses chances
de ramener en Suisse «le plus horrible saladier du
monde».
… Syntax a pu fêter un événement exceptionnel
lors des Swiss Indoors 2009 (qui coïncidaient avec
l’anniversaire de Syntax)? En effet, juste à temps
pour le 25 e anniversaire de l’entreprise, le partenaire
de sponsoring de longue date de Syntax Marco
Chiudinelli a accédé aux demi-fi nales où il n’a dû
s’incliner que de justesse devant son ami d’enfance
et alors leader du classement mondial Roger Federer.
Le pro du tennis bâlois a alors effectué une ascension
inédite au classement ATP, jusqu’à atteindre le 52 e
rang.
… la «Laureus Charity Night», la principale manifestation
de collecte de fonds de la Fondation Laureus,
est devenue une date incontournable du calendrier
social suisse? Plus de 500 invités du monde du
sport, de la politique et de l’économie se réunissent
pour ce gala exclusif destiné à fi nancer la fondation.
Syntax aussi y a «acheté» une table afi n de soutenir
grâce au sport les enfants et les jeunes gens désavantagés
au sein de notre société en raison de
défi cits physiques ou psychiques, d’origine familiale
socialement ou économiquement défavorable, d’abus
et autres problèmes.
… l’édition 2014 du «SyntaxOpen» est supprimée?
Ce tournoi très réputé qui réunit des joueurs de premier
plan national et de la classe moyenne internationale
des hommes ne peut pas être disputé cette
année en raison des transformations du Centre de
tennis TZH de Horgen.

Syntax
en bref
Syntax
in brief
Les versions linguistiques de haut niveau sont le fruit
d’un processus intervenant en plusieurs étapes et en
équipe. Nos méthodes de travail et notre philosophie
du «complet linguistique sur mesure» assurent le
succès durable de la collaboration avec nos clients –
des entreprises, des institutions et des organisations
de toutes tailles qui tiennent à une qualité élevée.
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livrés (respect de la mise en page
originale); réalisation de matériel et de données
d’impression pour les langues d’Europe de l’Est
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e-Learning, localisation, traitement en ligne
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European and Asian languages.
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management, TMS processing, multi-lingual
webmastering, e-learning projects, localisation,
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systems).
© by Syntax I Mai 2014 I Graphique: guentherwerbung.ch I Photos: Peter Kuratli; Alois Günther; FVRZ (Bruno Füchslin); Bigstock; Freshfocus; Keystone
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